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jeudi, 25 avril 2019

Déroulement de la journée du 12 mai avec Civitas à Paris

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17:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vincent Lambert condamné à mort, malgré le rapport des experts

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Marie Mérotte, Ecrivain cliquez ici

Le Conseil d’État a confirmé, aujourd’hui, la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne d’arrêter de nourrir et d’hydrater Vincent Lambert, ce qui revient à le faire mourir de faim et de soif alors même qu’il est vivant.

Les experts mandatés par le tribunal administratif avaient pourtant précisé, dans leur rapport, que la prise en charge de Vincent Lambert ne relevait pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable. La Justice ne les a pas suivis. Elle condamne, aujourd’hui, Vincent Lambert à une mort certaine en s’appuyant sur la loi Claeys-Leonetti qui a ouvert la porte à l’euthanasie en France. Vincent Lambert sera plongé dans un état de sédation profonde et continue conformément à cette loi.

Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.

Vincent Lambert est pourtant vivant et il n’est pas maintenu artificiellement en vie. C’est pourquoi ses parents se battent sans relâche pour le sauver.

Saisi par ses parents, opposés à l’arrêt des soins de leur fils Vincent, ainsi que par deux de ses frères et sœurs, le Conseil d’État a entendu, en mars dernier, les divers protagonistes en appel de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne. En janvier 2019, le tribunal avait, en effet, estimé que le traitement qui était donné à Vincent Lambert pour l’alimenter et l’hydrater (par voie entérale) relevait de l’obstination déraisonnable et avait donc refusé d’annuler la décision d’arrêt des soins prise par le Dr Sanchez, du CHU de Reims, après une longue bataille judiciaire où avaient été mises en cause les conditions de réalisation de l’expertise de l’état de Vincent et l’impartialité du tribunal.

Actuellement, Vincent Lambert est dans un état stable et consolidé. Il n’est pas en fin de vie. Tous ses organes vitaux fonctionnent sans appareillage palliatif ni branchement quelconque. Et pourtant, il n’est toujours pas pris en charge de manière adaptée à son état dans un établissement spécialisé. Le CHU de Reims, qui a toujours refusé son transfert, a préféré lancer des procédures d’arrêt des soins qui sont, en réalité, ici, autant de tentatives d’euthanasie d’une personne handicapée.

Les experts judiciaires mandatés en 2018 par ce même tribunal administratif ont écrit, noir sur blanc, que le traitement de Vincent Lambert ne relève pas d’une obstination déraisonnable. Ils ont, également, évoqué la possibilité de son transfert. Rappelons qu’en avril 2018, 70 médecins avaient écrit que Vincent Lambert n’était manifestement pas en fin de vie.

Il est fort probable que l’arrêt d’alimentation et d’hydratation entérales ainsi que la sédation profonde et continue de Vincent Lambert seront rapidement mis à exécution. Plongé dans un état de sommeil sans retour en arrière possible, il ne sera plus ni alimenté ni hydraté et mourra de déshydratation, dans des souffrances que personne ne peut décrire.

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Appel à se mobiliser pour Notre-Dame de Paris et pour sainte Jeanne d'Arc

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Père Laurent, aumônier de Civitas, ofm cap.

Chers Amis,

C’est avec le cœur endolori par l’incendie de Notre-Dame de Paris que se déroulera cette année notre défilé en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc. Comme si cette souffrance ne suffisait pas, cet événement a soulevé un inimaginable déferlement de haine contre l’Eglise catholique et la France chrétienne. Les vrais Français ne peuvent rester insensibles en face de ce torrent de blasphèmes. Oui, Notre-Dame de Paris, sur l’Ile de la Cité, c’est le cœur de notre capitale. C’est là que Louis XIII, en 1638, consacra la France à la Sainte Vierge, en action de grâces pour la protection divine obtenue dans les périls qu’il eut à affronter. « Pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons,dit-il, nous ferons construire de nouveau le grand autel de l’église cathédrale de Paris avec une image de la Vierge qui tienne entre ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix ; nous serons représentés aux pieds et du Fils et de la Mère, comme leur offrant notre couronne et notre sceptre ». Souvenons-nous que le premier spectacle que virent les pompiers après l’incendie, ce fut précisément ce même autel encore éclairé par les projecteurs.

C’est aussi dans ce sanctuaire que débuta le procès qui annula la condamnation de sainte Jeanne d’Arc. Cette illustre sainte nous rappelle que la solution de nos drames terrestres vient d’abord du Ciel. Les fléaux infligés aux nations sont le châtiment des péchés de leurs enfants. Ces offenses demandent réparation. Mais la sainte guerrière nous dit aussi qu’il faut lutter. C’est par la résistance armée et l’attaque hardie que, au nom de Dieu, elle bouta l’envahisseur hors de France.

Comme Jeanne nous en montre l’exemple, le défilé sera d’abord un témoignage de foi. Pour la première fois, il commencera par le saint Sacrifice de la Messe, lequel sera célébré « pour la France blessée au cœur par l’incendie de Notre-Dame de Paris ». Seul le Sang de notre Rédempteur, répandu sur nos autels, peut réparer les blasphèmes et attirer sur notre pays la pitié divine. En ce 12 mai, veille de l’anniversaire de la première apparition de la Sainte Vierge à Fatima, sera renouvelée la consécration de Civitas au Cœur Immaculé de Marie.

En outre, nous demanderons à sainte Jeanne d’Arc d’être, comme elle, « sans peur et sans reproche, dans les camps comme au champ de bataille » (cardinal Pie). Car, comme le disait saint Pie X lors d’une allocution pour sa béatification (13 décembre 1908), « de nos jours, la force principale des mauvais, c’est la lâcheté et la faiblesse des bons, et tout le nerf du règne de Satan réside dans la mollesse des chrétiens ! ». Venez donc nombreux, chers Amis, pour l’honneur de Notre-Dame et de sainte Jeanne d’Arc, et pour le salut de la France chrétienne. Que Dieu vous bénisse !

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mercredi, 24 avril 2019

Comme tout le monde... Pinatel se pose des questions !

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Source Pinatel cliquez ici

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JUAN BRANCO: "Macron a été élu par une mafia !"

 

Condensé de son dernier passage

chez Thinkerview illustré

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mardi, 23 avril 2019

La pédophilie..., une “orientation sexuelle” ? Nous y voilà !

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Le cardinal Joseph Tobin, archevêque de Newark, Etats-Unis, aimerait bien que l'on  modifie le Catéchisme de l'Eglise catholique. En qualifiant l'attraction homosexuelle d’« intrinsèquement désordonnée », a-t-il déclaré lors d'une interview sur une chaîne nationale, l’Eglise se rend coupable d’une formulation « très malencontreuse », et il espère qu'elle saura tenir à l'avenir un discours moins « blessant », quels que soient les résultats de sa réflexion sur les relations homosexuelles en elle-mêmes.

Sans doute le cardinal « gay-friendly » ne pensait-il point justifier ainsi la pédophilie.
Mais les mots ont un sens et les concepts des prolongements logiques.

Rien ne l'illustre mieux que cette autre information, rapportée par l’excellent Newman Report sur les aberrations pédagogiques aux Etats-Unis, aussi présentes outre-Atlantique qu'en France.

Les responsables gouvernementaux des écoles publiques en Californie estiment « vraiment important » d'apprendre aux collégiens ce que sont la pédophilie et la pédérastie parce qu’il s'agit d'une « orientation sexuelle ». C'est ce qu'a reconnu une responsable du district scolaire de Brea Olinda, sur interpellation de parents indignés. Et pas question de mettre un terme à cet enseignement dans les classes, a-t-elle ajouté.

C’est donc en classe de troisième (le « 9th grade américain ») que les élèves des écoles publiques seront amenés à découvrir les relations sexuelles entre adultes et adolescents comme une possibilité culturelle. «  Nous faisons cela parce que il est question ici de perspectives historiques ; ne savoir comment les relations entre genres et des différents types d'orientation sexuelle ont existé au cours de l’histoire », a déclaré la vice-surveillante des programmes, Kerrie Torres.

C'était au cours d'une réunion avec les parents d'élèves et on comprend que cet aveu ait provoqué des réactions indignées. Une mère d’élève a aussitôt demandé : « Alors des relations sexuelles entre un homme et un garçon, c'est une orientation sexuelle ? »

Réponse de Torres, qui s'est bien gardé de démentir : « C'est une chose qui  s'est produite au cours de l'histoire, et donc, c'est très important pour nous de l'inclure dans les programmes. »

Des programmes américains par ailleurs formidablement indigents en ce qui concerne d'autres faits historiques, comme par exemple « la naissance, la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ ou le texte complet du traité du Mayflower », ironise Alex Newman.

L'orientation sexuelle est aujourd’hui de plus en plus protégée par des déclarations de droits et autres chartes de non-discrimination. L’enseignement en Californie prépare objectivement le chemin à une reconnaissance de la pédophilie comme une « orientation sexuelle » parmi d'autres, ce qui devrait interdire en toute logique de qualifier les pulsions sexuelles à l'égard des enfants ou des adolescents comme intrinsèquement désordonnées.

C'est exactement de cette manière que l'on protège « l'orientation sexuelle » constituée par des pulsions sexuelles vis-à-vis de personnes du même sexe. Le simple fait de les considérer « désordonnées » est déjà « blessant », n'est-ce pas, Votre Eminence, Joseph cardinal Tobin ?

En fait, c'est la notion de consentement qui s'est substituée à celle de moralité, pour ce qui est des actes, et l'idée d’une inclination naturelle en elle-même moralement neutre qui remplace l’existence de désirs non conformes à la nature de l’homme.
 
Cette logique de la neutralité morale de l'attirance homosexuelle s’applique déjà dans des écoles américaines à la neutralité morale de l'attirance pédophile, ou plus exactement à l'attirance éphébophile éprouvée par certains homosexuels. En s'interdisant tout jugement de valeur sur l'attirance homosexuelle, on ouvre la porte à une appréciation analogue d'autres attirances, dès lors que le critère de référence se réduit à la possibilité du libre consentement.
 

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samedi, 20 avril 2019

Sacraliser l’espace. En nous-mêmes.

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Notre-Dame dévastée par les flammes. Ces derniers mois, des incendies ont frappé Saint-Sulpice, à Paris, Saint-Nicolas, dans le nord, et Saint-Alain, dans le sud de la France. Des cimetières ont été dévastés, des croix ont été brisées, en un crescendo irrépressible. Nous pouvons voir les choses de diverses façons :

1-La haine djihadiste

De France sont partis de nombreux combattants de l’Etat islamique, et nombre d’entre eux ne sont toujours pas rentrés. Hier, un tailleur de pierre parisien a posté un tweet dans lequel il indique que, sur les chantiers, la main-d’œuvre vient de l’Afrique musulmane. Un sabotage serait donc possible ? Effectivement. Et si les autorités le savent, elles le taisent, pour ne pas diffuser un climat de terreur. Il suffit de penser que le personnel qui met les bagages dans les soutes des avions a la même provenance pour comprendre que l’effet de panique générale serait assuré.

2-L’accident

On en parle de façon un peu trop récurrente. Mais il est tout à fait possible, ce qui serait encore pire.

3-Les satanistes

Il s’agit d’un phénomène en croissance rapide en Occident. Je ne sais pas si nous découvrirons jamais la cause de cet événement, mais la connaître n’a qu’une importance relative, dès lors que l’on possède en soi une idée métaphysique à travers laquelle le symbole et l’âme de l’époque prévalent sur les faits contingents qui les accompagnent. On trouvera toujours un djihadiste ou un sataniste, quasiment en état de transe, pour accomplir un acte corrosif en ligne avec le symbole régnant et l’âme du moment. Et ce sont ceux-ci et non ceux-là qui comptent vraiment. Le symbole des hippies et de la contestation était une rune de la vie renversée, soit une pure inversion : avec des racines orientées, non vers le ciel, mais vers les enfers. Tel fut le message de « libération ». Une révolution psychédélique qui niait le père, castrait le mâle et faisait de l’identité une superstructure à commander à la carte. Chaque fois que l’on utilise le mot « libération », c’est de dévastation intérieure et collective que l’on parle. Et c’est de la dévastation intérieure et collective que l’on produit. Evidemment, ce ne fut pas seulement un phénomène spontané, mais, comme tout ce qui roule vers le bas, il eut une dynamique propre qui s’accéléra selon la loi de la gravitation. Notez bien ceci ! L’inversion de la hiérarchie et de l’ordre ne produit pas, en bas, des sommets, mais bien des tourbillons. Parce que le verbe, lorsqu’il n’est plus conjugué par un sujet conscient, prend une forme passive et ses Nazgül de Tolkien deviennent des compléments d’agent. On peut débusquer de nombreux virus et parasites intervenant comme compléments d’agent durant l’après-guerre en Europe. L’un d’eux en particulier, déjà puissant au début du XXème siècle, relie les structures de la terreur subversive : c’est le satanisme théosophique, qui commença par imprégner la totalité des services secrets britanniques, puis se répandit dans les principaux « services » occidentaux, mais aussi soviétiques. Si l’on devait entrevoir une centrale ennemie ayant de possibles responsabilités dans la mutilation de Notre-Dame, c’est peut-être là que l’on pourrait la trouver. Et c’est de là que partent également le djihadisme et le salafisme, inspirés aux pays musulmans par les services secrets occidentaux depuis le conflit en Afghanistan, dans les années 80. Ainsi Daech a été « vendue » en Occident sous le nom d’Isis, non seulement à la suite d’une appropriation illégitime et invertie de l’appellation du culte d’Isis, mais aussi pour donner un avertissement à l’aide des initiales « Is Is » : « Is Intelligence Service », c’est-à-dire la centrale de l’ombre. Avant Notre-Dame, exactement au même endroit, se trouvait un temple d’Isis. Pour les initiés, le message est clair. Reste à savoir si cela s’est fait avec une participation humaine consciente ou pas. Dans la négative, ça serait pire, parce que cela dénoterait une force surhumaine majeure dans l’inversion dévastatrice. Je me rends compte que très peu de gens disposent des instruments culturels et des expériences de vie nécessaires pour affronter une question aussi inquiétante. On risque de basculer dans le sensationnalisme et d’entrer dans le jeu des conditionnements psychologiques et spirituels. . Avant tout, tenons-nous éloignés de ces excès ! Car, en ces temps qui, d’un point de vue guénonien, sont la fin d’un cycle, et, d’un point de vue chrétien, la fin des temps, l’ennemi principal, le véritable allié de l’ennemi voleur d’âmes, c’est l’angoisse du devenir. A laquelle s’oppose seulement l’Etre, qui, si son devenir semble illusoire et destiné à se corrompre jour après jour, contient en réalité ce devenir, dès lors qu’il exprime une sérénité métaphysique rattachée à l’éternité. En quelques mots, ce qui compte, ce n’est pas tant de découvrir qui, quelles forces, se trouvent derrière le symbole de la destruction de Notre-Dame. Ce qui importe, c’est la capacité de réaction au processus de soi-disant « libération », au tourbillon destructeur qui en sont la cause essentielle. Il faut « Etre Europe », au sens exact de ce que cela signifie, c’est-à-dire que nous devons récupérer la conscience des Héros, la vision de l’art et du beau, et, par-dessus tout, refonder en sacralisant les espaces. En commençant par les espaces à l’intérieur de nous-mêmes. L’ennemi -appelons-le « Satan » si cela paraît plus familier à certains- existe tout en n’étant pas : il est hypnose et illusion. Celui qui sourit et aime la lumière ne perd jamais. Sanctifions-nous, nous-mêmes, avec simplicité, et, par contagion positive, les autres, autour de nous : alors, nous ne pourrons pas perdre. L’Europe fera son grand retour, et ce sera pour toujours. Elle se relèvera comme un phénix, sublimant et incarnant à la fois tout ce qu’elle est.

Gabriele Adinolfi, le 16 avril 2019

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vendredi, 19 avril 2019

Triste anniversaire de la loi Taubira

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Triste anniversaire : Le 23 avril 2013 était votée la loi Taubira ouvrant aux personnes de même sexe la possibilité de se marier entre elles et d’adopter. Les circonstances qui ont entouré le vote de cette loi n’ont pas fait honneur à la démocratie de notre pays. En plus de la divergence anthropologique, le mépris, la violence, les oukases, les barbouzeries et l’injustice dont ont abusé un pouvoir pervers laissent des traces douloureuses dans la société. Des années après, la fracture n’est toujours pas réduite, comme en témoigne la mobilisation lors des Etats-Généraux de la Bioéthique et le déni de ceux qui rêvent d’une société libérale-libertaire.

Le 23 avril à partir de 20:00, des Sentinelles de Paris veilleront place Vendôme pour redire silencieusement leur refus de voir bradée une anthropologie respectueuse de la dignité de l’homme pour laisser la place à une seule logique de marché. Elle témoignerons ainsi de leur détermination à demander, sans jamais se lasser, l’abrogation de cette loi scélérate.

Elle se tiendront debout, silencieuses, éloignées les unes des autres, pacifiques, sans slogan ni signe distinctif et elles respecteront l’ordre public. Comme toujours. Vous pouvez les rejoindre pour vous aussi veiller, que ce soit 10 minutes, une heure ou plus si le coeur vous en dit.

Vous êtes les bienvenus.

 
 
 
 

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Notre-Dame, Assange, prison pour Soral : Bruno Golnisch commente l’actualité

L'actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :
incendie à Notre-Dame 
le Grand Débat en conclusion 
Julian Assange interpelé 
prison ferme pour Alain Soral
Bruno Gollnisch quitte le Parlement européen :
bilan, regrets et perspectives...
 
 

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Une autre Europe, est-elle possible ?

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« La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).

Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.

Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier.

 
 

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Eric Zemmour : ¨La guerre civile sera sanglante¨

Eric Zemmour était reçu par Elie Chouraqui ce dimanche dans l’émission Elie sans interdit.

 
 
 
 

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jeudi, 18 avril 2019

Beau témoignage de l´aumônier des pompiers de Paris


Avec le Saint-Sacrement, il a béni la cathédrale Notre-Dame en flammes ... de l'intérieur.

Témoignage exceptionnel du père Fournier, aumônier des pompiers de Paris.

recueilli par KTO TV.

 
 

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mardi, 16 avril 2019

« Je rage d’impuissance, la France brûle et je ne peux rien faire. »

sos.jpgUn volontaire de SOS Chrétiens d’Orient en mission en Syrie :

Je viens d’apprendre l’incendie en cours à la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Je suis volontaire avec l’association SOS Chrétiens d’Orient en Syrie.

J’étais à table, avec les volontaires, et nos téléphones personnels ont presque tous sonné au même moment. S’ensuit un flot de photos toutes plus impressionnantes les unes que les autres. Tous les groupes de conversation, familiaux, amicaux, sportifs, ne parlent que de ça.

J’ai le cœur serré, l’impression que c’est ma maison qui brûle. A l’heure où j’écris ces lignes, la flèche de la cathédrale vient de tomber. La chrétienté de France perd son toit le plus beau. Plus que du bois et des pierres, c’est la France toute entière qui part en fumée. Je repense au fabuleux spectacle « La Dame de cœur », projeté sur la façade du plus beau monument de Paris. Je pense à ces milliers de pèlerins qui, chaque année, marchent de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres, dont je suis. Je ne peux m’empêcher de songer aux innombrables attaques qui ont frappé les lieux de cultes chrétiens en France ces derniers mois. J’espère qu’il s’agit d’un simple accident. Je rage d’impuissance, la France brûle et je ne peux rien faire. Je songe aux églises qui ont brûlé ici en Syrie. Le Symbole est lourd.

En ce début de Semaine Sainte, nos cœurs de français chrétiens saignent. Il nous reste la prière et l’espérance de la Résurrection.

Beaucoup de mes amis se dirigent en ce moment vers le monument pour y prier. Je les envie. Je n’ai pas grand-chose d’autre à faire que de m’associer à leur prière. Pour les trésors de l’Eglise de France qui partent en fumée. Pour les pompiers qui se démènent.

Plus tard, il nous faudra la vérité et rebâtir.

Notre-Dame de Paris, priez pour nous.

Source: Le Salon Beige

 
 

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lundi, 15 avril 2019

Notre-Dame de Paris ravagée par un incendie, suivez en direct.

 

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Les aides à la presse pour les grands groupes aux ordres !

Les coups de pouce sous la forme d’aides à la presse ne parviennent pas forcément aux journaux qui en ont le plus besoin : quatre titres de presse accaparent en effet 30 % de ces subventions publiques.

Entretien avec Éric Verhaeghe

Source: RT France

 

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Les inscriptions au Pèlerinage de Chartres sont ouvertes !

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Message de la Direction des pèlerins :

Ah qu’il est bon d’arriver enfin au week-end ! Qui ne se réjouit pas, les beaux jours aidant, de la perspective d’une grasse matinée avant de projeter une balade au soleil, une terrasse avec des amis, un barbecue familial, une sieste, la lecture d’un bon roman, une séance de cinéma… le week-end est fait pour se reposer ou partager des moments que la semaine travaillée met en suspend. Si le samedi reste souvent consacré aux accompagnements, activités ou supermarché, le dimanche assure dans ces 48h d’interruption, une pause garantie, aussi légitime que méritée, une bouffée d’oxygène, une expiration profonde et libératrice : enfin, on profite de la vie !

Sauf que…il y a un week-end par an où ça peut ne pas se passer tout à fait comme ça ! Un week-end qui en plus de jouer les prolongations, propose un programme nettement plus engageant : mettre entre parenthèse la grasse matinée pour se lever à 5h (ou même n’avoir pas besoin de se lever si l’on est parti la veille au soir en car), démarrer sa journée en tenue décontractée par une messe chantée dans la mythique cathédrale Notre Dame de Paris, s’alléger de tout le superflu en concentrant 3 jours en un sac, troquer ses chaussures de ville pour de bonnes chaussures de marche qui entament ou poursuivent une histoire chargée de souvenirs, préférer le charme de la nature au bitume citadin, l’intimité du chapitre à la foule des magasins, la quiétude de la méditation à l’agitation d’un terrain de sport pour mettre à l’honneur et de manière exclusive le seul, l’unique, le Seigneur.

Sortir ? Oui ! Plus que jamais ! Mais quitter la ville, son bruit, son fourmillement, pour retrouver la campagne, la Beauce, la forêt et la cathédrale, cette forêt de pierre. Quitter son confort, ses pantoufles et son petit-déjeuner, pour vivre trois jours inouïs, et inoubliables, qui prennent chaque année une saveur nouvelle, la question de la météo n’étant que l’élément extérieur d’une montée garantie vers le soleil de l’Eucharistie. Quitter son monde, ses habitudes pour se nourrir de la Foi catholique, boire à la source de la doctrine, se purifier dans le bain de la Confession, en un mot : se plonger en Chrétienté. Faire fie pendant 72h de ses contraintes, ses soucis, ses fardeaux, ses mails, ses whatsapp et sms, se couper de tout pour revenir à l’essentiel, se décharger de tout pour le confier dans la prière, prendre du recul et se donner la chance de repartir à zéro, avec un regard neuf, un cœur allégé, une âme revivifiée.

Le mot est prononcé : Chartres ! Chartres sonne, Chartres t’appelle ! Chartres, c’est la cathédrale, étoile de la Beauce, tour de David, nef victorieuse chargée de blé et de grâces, vision radieuse du dimanche soir, miracle d’une procession du lundi après-midi, joie paisible d’une communion sainte.

Chartres, ce n’est plus une mais deux colonnes immenses de plus de 250 chapitres, s’étalant sur plusieurs kilomètres, magiquement orchestrées par un SO à toute épreuve. La colonne des adultes, et la colonne des familles.

Chartres, c’est la magie de centaines de visages d’enfants de 6 à 12 ans, qui marchent à leur rythme, encadrés par des chefs et des cheftaines énergiques, enthousiastes et dévoués pour leur donner la joie de l’effort, le sens de l’entraide, la soif de la sainteté. Car ils sont nos premiers missionnaires, le « paratonnerre du pèlerinage » selon la belle expression de notre cher abbé Coiffet.

Chartres, c’est la vigueur naissante des Pastoureaux de 13 à 16 ans, adolescents conquérants, assoiffés de plénitude, accompagnés par une équipe de choc et des aumôniers de feu : quel meilleur bain pour les aider à grandir dans le beau et le vrai que ces 3 jours tournés vers l’exigence d’un idéal qu’ils n’entendent plus ailleurs ?

Chartres, c’est l’immensité d’une Chrétienté adulte renouvelée, dont la jeunesse (moyenne d’âge 21 ans) dément toute désespérance du vieillissement de la fille aînée de l’Eglise, puisant aux racines de la Tradition depuis nos prédécesseurs, Péguy et André Charlier, au sein de 13 régions !

Chartres, c’est la Pentecôte, la Babel baptisée, avec ses plus de 1300 pèlerins étrangers venus de tous les continents !

Chartres, c’est un temps familial sous le regard de Dieu, petits et grands sous la même bannière répartis dans 40 chapitres, pour la première fois réunis en 3 régions (1000 adultes et 1000 enfants).

Chartres, c’est un ciel emplumé de ceux que l’on appelle les anges gardiens, et il y en a plus de 3 000sur tous les continents : nos pèlerins qui ne peuvent pas marcher pour des raisons d’âges, physiques, de maternité, d’expatriation et auxquels s’associent les prisons, les monastères, les maisons de retraite et les paroisses spirituellement unis à la colonne avec le livret « ange gardien » et forts des paroles de Notre-Seigneur : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux ».

Chartres, c’est aussi la discrétion absolue d’un nombre incommensurable de bénévoles ; de la DIRPEL (direction des pèlerins), qui coordonne, organise, fait prier et chanter à tous les échelons (étrangers, province, Ile de France, régions, chapitres), qui forme les 750 chefs de chapitre et adjoints, qui pourvoit à l’accueil de chacun… jusqu’à la DIRSOUT (direction des soutiens), en charge de l’intendance, des cuisines, des toilettes, des achats, de la sécurité, du service d’ordre… Tous œuvrent dans la joie et dans l’ombre au service de chacun d’entre vous, chers pèlerins, pour que Chrétienté demeure !

Chartres, c’est donc cette immense foule qui grandit chaque année pour se lancer à corps perdu dans ce challenge un peu fou, dont la finalité se résume en 3 mots : Chrétienté, Tradition, Mission.

Chers amis, chers pèlerins, au week-end ordinaire, préférez l’extraordinaire et rejoignez le pèlerinage les 8, 9 et 10 juin 2019 : Chartres vous ouvre ses bras, inscrivez-vous et faites-le vite car l’anticipation est notre meilleur levier pour organiser ces 3 jours de manière la plus fluide et agréable pour vous. Il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que de recevoir les témoignages de tout ce que vous avez vécu et les grâces reçues chaque année : à l’impossible, nous sommes tenus !

“Une seule condition : l’inscription, rapide et enthousiaste, à partir d’aujourd’hui même, sur www.nd-chretiente.com ! N’attendez pas : fatale est l’hésitation, mais heureuse la décision !”

N’hésitez pas non plus à rejoindre les centaines de bénévoles qui oeuvrent à la réussite du pèlerinage, dans l’une des équipes de la logistique et du service d’ordre, pour le montage des tentes, le transport des sacs, les cuisines, les WC, la propreté, le transport des pèlerins…

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mercredi, 10 avril 2019

Discours de Viktor Orbán, à l’occasion de la présentation du programme du Fidesz-KDNP

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Si je vois bien, je suis ici l’œuf du coucou. Tous ceux qui ont pris la parole avant moi étaient des experts dans les sujets qu’ils ont abordés, et même notre ministre de la Justice n’était qu’une exception apparente puisqu’il a été pendant de nombreuses années ambassadeur à Bruxelles, il peut donc être considéré comme un expert en politique étrangère. József Szájer préside notre groupe parlementaire à Bruxelles, et Péter [Szijjártó] est notre ministre des Affaires étrangères. Je suis le seul à me singulariser. Alors, pourquoi ai-je reçu la parole ?

J’ai reçu la parole parce que c’est l’usage au début d’une campagne : la revue des troupes, la réunion, le lancement de la campagne, l’exposé des objectifs. Si nous regardons autour de nous – pas seulement dans cette salle, mais dans le pays tout entier –, nous pouvons dire avec assurance que notre communauté politique est sûre d’elle, forte et de bonne humeur. Mais il faut se garder d’un excès de confiance : nous sommes tout de même face à une compétition. Nous avons eu la fin de semaine dernière les championnats de Hongrie de natation, qui pour certaines épreuves a plutôt été un championnat d’Europe, et Katinka Hosszú (1) a pu dire, après l’une d’entre elles, qu’il est bel et bon d’avoir quelques médailles d’or olympiques – nous aussi, nous avons bien quelques victoires électorales derrière nous – il est bel est bon d’avoir confiance en soi (nous n’en manquons pas), mais lorsque l’on se présente pour la compétition suivante, lorsque l’on monte sur le socle de départ, alors ce qui s’est passé avant ne compte plus. Une seule chose compte : ce qui va se passer après, l’épreuve qui nous attend. C’est pour cela que j’ai reçu la parole, pour que je vous rappelle cette vérité. Je suis heureux de vous retrouver. Nous devrions parler de beaucoup de choses aujourd’hui sur le thème de l’Europe, mais nous n’aurons peut-être pas le temps de tout couvrir, la campagne ne fait que commencer. Nous ne pouvons pas parler de tout au

jourd’hui, et c’est pourquoi je me bornerai à indiquer, en ce début de campagne, ce qu’est l’enjeu des élections du 26 mai. Nous pourrions pourtant évoquer des sujets d’actualité brûlants, comme par exemple la relation entre le Fidesz et le Parti populaire européen (PPE). Je ne voudrais pas m’y attarder aujourd’hui, et je me limiterai à souligner devant vous que c’est nous, et pas le PPE qui décidons de notre avenir. Nous verrons, après les élections, la direction que prendra le PPE. Il semble aujourd’hui qu’il prenne celle de la gauche libérale, de la constitution d’un empire européen libéral et d’une Europe des immigrés. Si c’est cette direction qu’il prendra, vous pouvez être sûrs que nous ne l’y suivrons pas. Il y a bien sûr les humeurs et les irritantes déclarations de M. Weber sur le sentiment national. Il n’est donc pas étonnant que l’on prononce et écrive de plus en plus souvent en Hongrie ce seul mot : dehors ! (2) En ce qui me concerne, je voudrais appeler à la patience. Nous déciderons en temps opportun, sur la base de nos intérêts nationaux.

Avouons-le, les élections européennes précédentes n’avaient pas de grands enjeux. En gros, leur fonction était de déterminer si le président de la Commission européenne sera de droite ou de gauche. Cela non plus n’est pas aussi simple qu’on pourrait le croire. Voici par exemple un certain Jean-Claude Juncker : nous avons cru qu’il était de droite, et au lieu de cela nous avons reçu un socialiste européen bon teint, dont la responsabilité est déterminante dans le Brexit, dans l’invasion migratoire et dans le conflit de plus en plus vif entre l’Europe centrale et l’Europe occidentale. Aujourd’hui en revanche, il s’agit de davantage que du choix d’une seule personne. Fin mai, c’est son avenir que l’Europe choisira. L’enjeu n’est pas de savoir si ce sont les socialistes ou les conservateurs qui enverront le plus de députés à Bruxelles. Cette fois-ci, plusieurs centaines de millions d’Européens se prononceront sur des sujets plus importants que la politique partisane. L’enjeu sera de déterminer si l’Union aura des dirigeants pro-immigration ou des dirigeants anti-immigration. Nous nous prononcerons sur le destin de l’Europe : si elle devra continuer d’appartenir aux Européens, ou si nous devrons céder la place à des masses venues d’autres cultures, d’autres civilisations. Remplacement des populations, disent les Français. Si nous continuerons de protéger notre culture chrétienne, européenne, ou si nous nous effacerons devant le multiculturalisme. Tout cela fait qu’il n’est pas non plus surprenant que la ligne de fracture entre les parties en présence ne corresponde plus à l’ordre de valeurs classique entre la gauche et la droite. Voyez par exemple les quatre États membres du groupe de Visegrád et les chefs de gouvernement de ces États. Nous siégeons chacun dans des groupes différents au sein du Parlement européen, et je ne peux même pas dire que nous soyons tous du même bord idéologique. Il y a parmi nous des libéraux, des socialistes, des membres du PPE et des conservateurs – la liste doit s’arrêter là, car nous ne sommes que quatre –, et pourtant nous sommes d’accord sur l’essentiel : nous voulons que nos pays et l’Europe restent tels que nous les avons connus. Selon le vieil adage : unité sur l’essentiel, liberté sur le reste, mais empathie sur le tout. Le 26 mai, mes chers amis, nous voterons sur l’essentiel : l’enjeu est notre civilisation chrétienne. Souvenons-nous : lorsque l’Union a été fondée – rappelons-nous nos lectures d’alors –, elle avait une grande âme et un petit corps. Aujourd’hui, c’est l’inverse : son âme se rétrécit et son corps grandit. Comment donc en sommes-nous arrivés là ? Comment avons-nous pu arriver à une situation où il soit devenu possible d’avoir à mener un combat, sur notre propre continent, pour la préservation de notre mode d’existence, de notre mode de vie, de notre cadre de vie naturel ?

Nous en sommes arrivés là parce qu’un défaut s’est glissé dans l’appareil de l’élite bruxelloise. Il y a à Bruxelles une bulle, le monde virtuel de l’élite européenne privilégiée, décalée de la réalité, décalée de la vraie vie, de celle qui se déroule non pas à Bruxelles, mais dans les États-membres. Cette élite européenne ne veut pas comprendre l’avertissement du général de Gaulle, qui avait dit ceci : « La politique doit reposer sur la réalité, et la politique est justement l’art de savoir défendre un idéal sur la base des réalités ». Et ces réalités, mes chers amis, ce sont les réalités historiques, culturelles, démographiques et géographiques. Ce sont précisément ces réalités-là, la réalité de la vie des États-nations, que l’élite qui vit dans la bulle bruxelloise ne veut pas prendre en considération. Peut-être d’ailleurs ne les connaît-elle même plus. C’est ainsi qu’il peut se produire qu’un catholique comme Weber offense régulièrement les Hongrois. Un Bavarois de Bruxelles peut le faire, mais un Bavarois de Munich ne le ferait sûrement jamais. Tandis que l’élite bruxelloise ne cesse de s’en prendre à nos nations d’Europe centrale, la réalité est que l’attachement à l’adhésion à l’Union européenne n’est nulle part en Europe aussi fort qu’en Hongrie et en Pologne. Nous pouvons dire modestement que nos gouvernements y sont pour quelque chose. Nous avons beaucoup fait, au cours des dernières années, pour que les Hongrois croient en une Europe forte et performante, et ils y croient. Le résultat des élections passées le montre clairement : le Fidesz et le Parti chrétien-démocrate ont obtenu 47% des voix à nos premières élections européennes en 2004, 56% en 2009 et 51,5% en 2014, soit le premier rang en Europe en termes de soutien populaire.

La conclusion de ce qui précède est que les Hongrois, qui défendent l’Europe depuis mille ans, veulent l’Union européenne, mais qu’ils en ont assez de la manière dont les choses sont gérées à Bruxelles et qu’ils veulent un changement.

Voilà bientôt neuf ans que les Hongrois ont des controverses avec Bruxelles. Ces controverses sont apparemment chaque fois différentes, mais si nous creusons un peu, nous voyons qu’elles portent toujours sur la même chose. Elles portent sur le fait que nous ne sommes pas disposés à faire ce que dicte Bruxelles si cela n’est pas bon pour les Hongrois. Ils ont exigé des mesures d’austérité en 2010, lorsque notre gouvernement venait à peine de se former, mais au lieu de cela nous avons renvoyé le FMI et réduit nos impôts. Ils ont voulu que les banques encaissent au centuple sur les gens leurs prêts en devises étrangères, mais nous avons imposé une taxe aux banques, nous avons converti les prêts en monnaie nationale et nous avons exigé que les banques rectifient leurs comptes avec leurs emprunteurs. Ils ont voulu que les Hongrois paient les tarifs énergétiques les plus élevés – au profit des entreprises occidentales, soit dit en passant –, mais nous avons imposé la réduction des prix de l’énergie. Ils ont voulu que nous laissions passer les migrants à nos frontières, mais au lieu de cela nous avons érigé une clôture. Ils ont voulu que nous reprenions des migrants depuis l’Europe occidentale, mais nous avons tenu bon dans notre refus du système des quotas obligatoires. Voilà la situation. Nous menons depuis neuf ans un combat difficile, mais si nous voulons apprécier à l’aune de la situation actuelle de la Hongrie s’il a valu la peine que le gouvernement mène ce combat, je ne peux que dire : oui, cela en vaut la peine. Si nous jetons un œil sur l’économie hongroise, nous voyons que de plus en plus de Hongrois ont un travail, la performance de l’économie hongroise ne cesse de progresser, il vaut la peine de travailler, et chacun peut faire, chaque année, un nouveau pas en avant. Un pas peut-être pas aussi grand qu’il le souhaiterait, mais un pas tout de même, et vers l’avant. Il n’y a aucune comparaison entre l’image de la Hongrie aujourd’hui et la situation qui régnait en 2009, à la fin des gouvernements socialistes. Qu’il est loin le temps où ils sont partis, en nous laissant en héritage le FMI et l’endettement, et en laissant au pauvre Hongrois le soin de s’en débrouiller, si déjà il n’avait pas eu suffisamment de force pour les faire dégager quand il en était encore temps !

Quant aux dirigeants de l’Union européenne, ils ne nous ont pas beaucoup aidés au cours des cinq dernières années. Loin de la renforcer, ils ont affaibli notre maison commune, cette Europe qui abrite aussi la Hongrie. Le bilan des cinq années écoulées depuis 2014 est que l’un des États-membres les plus puissants de l’Union européenne, le Royaume Uni, se prépare en ce moment à quitter l’Europe, pendant que des millions de migrants ont pénétré illégalement sur le territoire de l’Union et peuvent, comme nous l’avons entendu, présenter un danger – et en présentent effectivement un, comme nous avons pu le voir de nos propres yeux – pour la sécurité des Européens et l’identité culturelle chrétienne de l’Europe. Les Anglais s’en vont, et les migrants sont entrés : voilà le bilan de la Commission Juncker.

La majorité des Européens souhaite maintenant voir un changement. J’espère que cela sera aussi ce qui sortira des urnes. L’on voit aussi – assez curieusement, si l’on considère notre propre histoire – que c’est dans les États occidentaux que l’insatisfaction augmente le plus fortement. Là précisément d’où l’on se plaît à donner des leçons à l’Europe centrale, aux Hongrois, aux Slovaques, aux Polonais, et tout dernièrement aux Roumains. Je n’aurais jamais cru que nous combattrions un jour aux côtés des Roumains sur le champ de bataille du Parlement européen. Mais c’est bien le cas, Mesdames et Messieurs, et nous assumerons ce combat. L’institut Századvég effectue depuis des années des sondages d’opinion dans chacun des 28 États-membres de l’Union européenne, sur les sujets les plus divers. J’ai pu prendre connaissance de la synthèse du dernier sondage, que le grand public connaîtra aussi bientôt. Il en ressort clairement que la population de l’Union a aujourd’hui perdu confiance dans la perspective que la vie des générations futures sera meilleure que celle de maintenant. Le rêve européen s’est brisé, ou plutôt – soyons prudents – s’est au moins cabossé. Le camp des pessimistes est aujourd’hui beaucoup plus nombreux dans les pays occidentaux que dans les pays d’Europe centrale. La proportion de ceux qui pensent que les générations futures vivront moins bien que celles d’aujourd’hui est de 68% en France, 57% en Autriche, 59% en Italie, 52% en Allemagne. Plus de la moitié en Allemagne ! Face à cela, en Hongrie – je n’évoque pas ici les autres pays d’Europe centrale – cette proportion est de 26%, et près de la moitié des Hongrois – je pourrais dire seulement encore la moitié – pensent que leurs enfants, leurs petits-enfants vivront mieux que leurs parents aujourd’hui. Je crois qu’ils ne se trompent pas. La situation actuelle est que les enfants hongrois vivront bel et bien mieux que leurs parents ne vivent aujourd’hui. Toutefois, la source principale de l’insatisfaction vis-à-vis des élites européennes n’est pas la précarisation croissante de la classe moyenne des pays d’Europe occidentale – bien qu’elle y ait joué un rôle –, mais plutôt la gestion de la migration. Dans ce même sondage, 70% des citoyens européens trouvent tout simplement faible la performance de l’Union sur ce terrain. 61% des Européens interrogés estiment que l’immigration exerce plutôt un effet de ralentissement sur l’économie européenne, et un cinquième seulement – 20% – pensent qu’elle la renforce. Nous évoquons souvent avec amertume la force gigantesque que représente ce qu’on appelle le « soft power », qui avec les universités, les instituts de recherche, les ONG, les organisations de la société civile, les médias entoure le « hard power » de la politique et qui bénéficie d’après moi, en Europe occidentale, d’une suprématie de plus de 80% : eh bien, si je regarde les chiffres de l’immigration, je vois que leurs biceps auront beau être trois fois plus gros qu’aujourd’hui, ils n’auront que très peu de chances de déboulonner le simple bon sens.

La majorité de la population de l’Union craint toujours qu’au cours des prochaines décennies des migrants continueront d’arriver massivement en Europe à partir de l’Afrique. Les Européens considèrent comme une véritable menace que l’Europe puisse cesser d’être européenne, et en viennent à dire des choses qui surprennent à première vue, car une majorité n’hésite pas à déclarer que nous devons préserver notre culture chrétienne et nos traditions. Il est vrai qu’en Europe occidentale ils ne sont que 55% à l’affirmer, mais les migrants y sont déjà comptés. Face à cela, en Europe centrale et orientale, la proportion de ceux qui estiment que la préservation de la culture chrétienne est importante est de 70%, et en Hongrie, s’il vous plaît, de 80%. Dans un pays comme la Hongrie, que nous connaissons bien, où le degré de sécularisation de la société est particulièrement avancé – nous connaissons parfaitement le taux de fréquentation des églises – plus de 80% des personnes interrogées, indépendamment de leur appartenance personnelle à une religion, affirment qu’il convient de préserver la culture chrétienne. C’est là un mandat incontestable et très clair à l’attention du gouvernement.

Une seule conclusion résulte de tout cela : les Européens ne veulent tout simplement pas d’immigration. En revanche, un certain Timmermans en veut, comme il l’a affirmé textuellement : « Partout dans le monde, les sociétés sont appelées à devenir diverses, c’est l’avenir du monde. C’est pourquoi les pays d’Europe centrale devront s’y habituer ». Un véritable discours marxiste et socialiste pur et dur, et il n’est pas étonnant que Juncker et Timmermans s’entendent comme larrons en foire. La seule question est celle-ci : comment Manfred Weber, membre du PPE, fait-il pour s’acoquiner avec un tel individu ?

L’Europe est aujourd’hui menacée par une migration de masse, parce que lorsque de telles masses humaines se mettent en route et quittent leur terre natale pour gagner d’autres contrées, ce n’est pas simplement une crise migratoire, mais un mouvement de population planétaire. L’on peut même prendre le risque d’affirmer que jamais une masse comparable d’hommes et de femmes n’a pris la route dans l’histoire du monde.

Que cela nous plaise ou pas, nous devons aussi réaliser que les grandes migrations n’ont jamais été de nature pacifique. Lorsque de grandes masses partent à la recherche de nouvelles patries, il en résulte inévitablement des conflits, parce qu’elles souhaitent en général occuper des territoires où d’autres vivent déjà, où d’autres se sont installés et qui sont également en mesure de défendre leur territoire, leur culture et leur mode de vie. Dans notre cas particulier d’aujourd’hui, l’objectif de la migration de masse est le monde occidental, et en son sein l’Europe occidentale, notre continent, considérée comme la destination la plus vulnérable. Cependant, Mesdames et Messieurs, devenir un objectif vulnérable n’est pas le fruit du hasard. Toute migration a ses causes propres, et dans le cas présent beaucoup se plaisent à évoquer les causes extérieures que sont la pauvreté, la faim, la pénurie d’eau, le changement climatique, la guerre, la persécution. Ce sont des causes évidentes, mais nous devons admettre qu’elles ne sont pas nouvelles. La cause principale, pour moi, est tout autre. La cause principale est la douloureuse constatation que bien plus d’enfants naissent hors d’Europe qu’en Europe, et c’est cela qui permet de comprendre que la cause première de la migration de masse, avec la crise migratoire européenne qui en découle, doit être recherchée non pas à l’extérieur, mais à l’intérieur. Si des enfants ne naissent pas en plus grand nombre en Europe, c’est parce que notre continent est aux prises avec un trouble de conscience doublé d’un trouble d’identité.

L’immigration est comme la goutte d’eau de mer : tous les problèmes de l’Europe y sont contenus : la crise identitaire, la crise de la gouvernance politique, les problèmes démographiques, le déclin de la compétitivité de l’Europe et aussi l’opposition entre l’Europe occidentale et l’Europe centrale. Mais ce qui s’y montre plus que tout, c’est la véritable nature de la bulle bruxelloise, ou bien – comme l’a dit Péter Szijjártó – sa véritable intention.

L’Europe est une communauté d’un demi-milliard d’êtres humains, nous sommes plus nombreux que les Russes et les Américains réunis. Si elle le voulait, l’Europe pourrait arrêter la migration de masse qui se dirige sur elle, mais la vérité est qu’elle ne s’y essaie même pas, elle fait même plutôt le contraire. Les dirigeants actuels de l’Europe encouragent et incitent à la migration, et n’hésitent pas à vouer aux gémonies ceux qui, comme moi-même ou Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, s’efforcent de l’arrêter. L’on ne peut pas considérer autrement que comme des incitations à l’immigration les mesures que Bruxelles a préconisées au cours de la période récente et qu’elle préconise toujours. Ces mesures affaiblissent des droits des États-membres à la protection de leurs frontières. Le Parlement européen vote l’introduction du visa migratoire. Le Parlement européen a approuvé une augmentation significative des sommes allouées aux organisations favorisant l’immigration et aux groupes d’activistes politiques. Ils offrent aussi des cartes bancaires pré-approvisionnées et lancent des programmes expérimentaux d’immigration avec des pays africains. Et enfin, pour casser l’opposition, ils exercent un chantage ou au moins essaient de le faire sur les pays qui font de la résistance en proposant des sanctions financières contre les récalcitrants. Voilà à quoi se prépare Bruxelles. Observez bien : dès qu’il s’agit de migration, ils en arrivent toujours au même point. Ils ont beau tordre le sujet dans tous les sens, il en sortira toujours à la fin une manière ou une autre de favoriser l’immigration. C’est comme la vieille blague que nous avons héritée de l’ancien régime sur les pièces détachées de l’usine de bicyclettes soviétique : quelle que soit la manière dont on les assemble, il en sortira toujours une mitrailleuse.

Bruxelles, mes chers amis, veut davantage de pouvoirs, davantage de pouvoirs par-dessus la tête des nations européennes. C’est l’objectif que sert le super-État supranational, le projet des États-Unis d’Europe. Il représente l’aspiration au pouvoir de l’élite bruxelloise contre les États-nations qui forment l’Europe. Et ce sont les États-nations, avec leur culture chrétienne européenne, qui barrent la route à ce projet. Il est de fait que dans la bulle bruxelloise les postes de direction sont occupés par les forces politiques et les groupements d’intérêts qui veulent mettre fin à la priorité de la culture européenne chrétienne, sur la base de l’analyse pleinement assumée selon laquelle si l’arrivée en masse d’immigrants d’autres cultures permet de repousser le christianisme, il sera possible de mettre fin non seulement au christianisme, mais avec lui également aux nations. Les démographes ont calculé à Bruxelles – pas seulement à Budapest – que si la tendance actuelle se poursuit, le nombre des musulmans en Europe passera des 43 millions de 2010 à 70 millions en 2050, et la population chrétienne diminuera de 99 millions. Les plans de la bulle bruxelloise ne prévoient aucune action visant au ralentissement de ce processus, et se préoccupent au contraire de savoir comment l’accélérer. C’est pour cela que nous n’entendons rien à Bruxelles en matière de politique familiale, et que l’on nous abreuve au contraire quotidiennement de considérations sur l’importance de la migration légale. Le commissaire chargé de l’immigration a déclaré voici trois jours que Bruxelles ne souhaite pas porter l’aide là où se trouvent ceux qui en ont besoin, mais au contraire faire venir les migrants en Europe, qui plus est – comme il l’a dit –, légalement, sur de nombreuses années et par centaines de milliers. Son programme d’immigration légale n’est autre que la couverture d’un programme de changement de la population de l’Europe. C’est à cela que nous aurons affaire pour les élections.

Sans aucune emphase, sans considération de l’ambiance classique d’une réunion électorale, je voudrais quand même affirmer sereinement que nous autres Hongrois vivons ici depuis mille ans, au cœur du Bassin des Carpates. Nous avons plusieurs niveaux d’ambition, mais nous avons au moins celle de vouloir y rester pendant au moins mille autres années, de conserver nos frontières et de laisser quelque chose à la génération qui nous suit. Je sais que les bureaucrates bruxellois s’en étranglent, s’indignent et préparent le banc d’infamie pour nos rencontres de demain, mais je voudrais tout de même rappeler que nous avons déjà l’expérience d’un empire qui a commencé avec l’attribution de davantage de pouvoirs aux Soviétiques. C’est pourquoi, chez nous, « donner davantage de pouvoirs à Bruxelles » sonne mal. Ce que nous voudrions, c’est que les nouvelles générations, nos enfants, nos petits-enfants puissent décider librement de leur vie, de la même manière que nous le faisons aujourd’hui pour la nôtre. Si toutefois l’Europe devient un continent d’immigration, les nouvelles générations n’auront pas la possibilité de choisir elles-mêmes leur forme de vie. Elles n’auront ni le droit, ni la possibilité d’en décider librement. En luttant aujourd’hui, nous luttons pour ces droits et pour ces possibilités, nous voulons que ces droits et ces possibilités soient également les leurs.

C’est pourquoi la crise de l’Europe doit être traitée à la racine. Il faut freiner les aspirations au pouvoir de l’élite bruxelloise. Quant à l’immigration, elle doit tout simplement être arrêtée. J’ai résumé en sept points ce que doivent être les mesures d’urgence qui devront être prises en Europe immédiatement après les élections dans le but d’arrêter l’immigration :

  1. Retirer la gestion de l’immigration aux bureaucrates bruxellois et la rendre aux gouvernements nationaux
  2. Déclarer ouvertement qu’aucun pays ne pourra être contraint à accueillir des migrants contre sa volonté
  3. Déclarer que personne ne devra être admis en Europe sans papiers d’identité en règle
  4. Supprimer d’un geste simple la carte bancaire migratoire et le visa migratoire
  5. Le plus important, et qui tombe le mieux : que Bruxelles ne donne pas davantage d’argent aux organisations de George Soros qui favorisent l’immigration, et que les fonds ainsi économisés soient affectés à la compensation des dépenses de protection des frontières
  6. Personne ne devra faire l’objet de discrimination négative en Europe pour s’être affirmé chrétien
  7. Que les instances compétentes – essentiellement le Parlement européen et le Conseil européen – placent des dirigeants opposés à l’immigration à la tête des institutions de l’Union

Ce sont là, Mesdames et Messieurs, les points essentiels pour nous permettre d’arrêter l’immigration et préserver notre culture chrétienne.

Je pense que nous nous sommes réunis ici aujourd’hui parce que nous croyons que dans une démocratie la décision est entre les mains des gens. Il en résulte qu’il n’est pas correct de voir le PPE s’associer à l’avance avec la gauche et les libéraux, sans même attendre la décision des électeurs. Pour ma part, je demande aux Hongrois, je demande à nous tous de souscrire au programme présenté ici et d’aller voter le 26 mai. Allez voter, et montrons à Bruxelles le 26 mai que ce ne sont ni les ONG-Soros, ni les bureaucrates de Bruxelles dans leurs opaques bureaux qui auront le dernier mot, mais toujours les électeurs, dans le secret des isoloirs.

Allez la Hongrie, allez les Hongrois !


(1) Célèbre championne de natation hongroise

(2) Allusion à certains articles parus récemment dans la presse hongroise appelant le Fidesz à quitter le PPE

Source: visegradpost

 

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mardi, 09 avril 2019

Nicolas Dupont-Aignan a reproché à Jean-Frédéric Poisson sa participation à la Marche pour la Vie

Jean-Frédéric Poisson était invité sur TV Libertés samedi soir. Il est revenu sur les raisons de son éviction de la liste de Debout la France et évoqué ses projets futurs pour continuer le combat politique.

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Pierre Hillard : Le Grand Remplacement, un plan concerté.

Intervention de Pierre Hillard, docteur en sciences politique, spécialiste du mondialisme, sur l’organisation du Grand Remplacement lors de la 3e fête du Pays Réel organisé par Civitas, le samedi 30 mars 2019 à Rungis.

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