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mercredi, 29 février 2012

Hier à Blois : le combat identitaire de Carl Lang...

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Jean Verdon, Carl Lang, Jeanne Dumont

Source La Nouvelle République cliquez ici

 

Le tour de France de Carl Lang, candidat à l'élection présidentielle sous l'étiquette Union de la Droite nationale, est passé par Blois hier. Le créateur du Parti de la France à la suite de son divorce avec le Front national dont il a été le secrétaire général, a rencontré la presse avant une petite réunion publique en présence de Jeanne Dumont, déléguée pour le Loir-et-Cher et Jean Verdon, délégué régional.

 

« Je suis le seul candidat de la droite nationale et européenne » estime Carl Lang puisque « Marine Le Pen est de plus en plus à gauche et de moins en moins à droite et de moins en moins européenne et que Nicolas Sarkozy n'est jamais sorti du socialisme ». Pour évacuer ces « trente années de démagogie socialiste, cette politique de gaspillage publique, d'irresponsabilité budgétaire » Carl Lang propose une gestion patriotique de la crise en prévoyant quatre règles. Les investissements publics doivent avoir un impact direct sur l'économie et l'emploi, les aides sociales et familiales doivent être réservées aux Français et Européens, la mise en place d'un marché régulé basé sur la réciprocité des échanges commerciaux et la défense de l'identité française, des valeurs de civilisation de la France et de l'Europe. Et pour compléter cet argumentaire nationaliste, l'Islam pointé du doigt, bien entendu. « Face au néocolonialisme qui se fait au détriment des Européens, il faut rendre la France aux Français. Nous assistons à l'islamisation de notre pays. Le projet politique porté par l'Islam n'est pas compatible avec notre civilisation, avec notre identité, notre mode de vie, notre liberté. » Carl Lang, candidat aux 300 promesses de parrainages, a deux semaines et demi devant lui pour réunir les 500 signatures. « Mais je suis un vrai candidat, prévient-il. Pas comme Boutin ou Nihous qui font un petit tour avant de se retirer. » Et si jamais il ne pouvait pas se présenter ? « Pas de consignes de vote pour le premier tour et pour le second on verra. » Cela risque d'être dur de choisir entre un socialiste et un autre socialiste.

 

Pour les élections législatives, le Parti de la France présentera deux candidats, Jeanne Dumont à Vendôme et Paul Pelletier à Blois. J.-F. M.

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Le MNR a son hebdo...

img_4f47b31b6f669.jpgDepuis quelques semaines, à l'initiative de Francis Boquillet, le MNR publie chaque semaine une lettre hebdomadaire que chacun peut recevoir gratuitement. Il suffit d'en faire la demande à  :
liste-diffusion-subscribe@m-n-r.fr

Avec ce média très informé, le MNR complète ainsi son trimestriel, Le Chêne, dirigé par Bernard Bres.

Pour consulter le dernier numéro : cliquez ici

10:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nasser, le voile et les Frères musulmans...

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Robert Ménard remet Claire Checcaglini à sa place...

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LES PROGRESSISTES...

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Par Anne Kling

La France LICRAtisée cliquez ici

 

J’ai eu la curiosité d’aller hier sur le site des « progressistes », à savoir le « pôle de renaissance communiste en France », ou encore « initiative communiste » (1), et j’y ai découvert une info qui m’a étonnée.

 

Sur le site, les « progressistes » s’étouffaient d’indignation à propos d’une initiative du Parlement européen visant à instaurer une journée de commémoration des crimes communistes. C’est vrai, ça. Des crimes ? Quels crimes ? Et ils proposaient une pétition pour combattre une idée aussi révoltante qu’incongrue.

 

Bon, ce n’est pas un scoop que je vous révèle là, toute cette affaire remonte à 2008. Le curieux, c’est que je n’en avais jamais entendu parler. J’ai pourtant entendu parler de bien d’autres journées de commémoration, de celles qu’il est impossible de rater car elles sont annoncées à coup de shofar matin, midi et soir. Mais de celle-là, jamais.

 

Comme vous êtes peut-être dans le même cas que moi, cela méritait d’aller y voir de plus près.

 

En effet, le 23 septembre 2008, le Parlement européen, dans un élan de courage tout à fait inédit, adoptait une Déclaration proclamant le 23 août, journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme, « afin de conserver la mémoire des victimes des exterminations et déportations de masse, tout en enracinant plus solidement la démocratie et en renforçant la paix et la stabilité sur notre continent ».

 

Victimes du stalinisme et du nazisme, naturellement. Oui, parce qu’évidemment, le Parlement européen n’est pas allé jusqu’au bout de sa démarche. Pour contrebalancer une audace aussi flagrante, il fallait obligatoirement y associer les infâmes de service.

 

Et puis aussi, évoquer uniquement les victimes du stalinisme permettait d’évacuer discrètement sous le tapis tous les crimes qui avaient précédé l’arrivée au pouvoir du petit père des peuples. Crimes qui n’étaient pas le fait de Staline, mais de certains révolutionnaires que nous connaissons bien.

 

Parapluie supplémentaire : pour se garder de toute polémique, les eurodéputés avaient pris grand soin de rappeler le caractère unique de l'Holocauste. Car il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes.

 

Mais enfin, ne chipotons pas, un certain début d’idée y était quand même.

 

Pourquoi le 23 août ? Parce que c’était la date anniversaire du pacte Molotov-Ribbentrop, conclu le 23 août 1939 entre l'Union soviétique et l'Allemagne.

 

Manque de bol, le 23 août est également la date retenue par l’UNESCO pour commémorer le souvenir de la traite négrière et de son abolition. Fatal télescopage de repentances et commémorations.

 

J’ignore si c’est en raison de ce carambolage de date, ou pour toute autre mystérieuse raison, toujours est-il que je n’ai jamais entendu parler en France de cérémonies de commémoration dédiées aux victimes du communisme. Disparue, passée à la trappe, la décision européenne.

 

Les communistes français de tout poil et obédience ont hurlé comme un seul homme à la falsification de l’histoire et à la chasse aux sorcières. Ils avaient raison de gueuler, plus c’est gros mieux ça passe. Et dans ce domaine, ils en connaissent un rayon. Même Mélenchon, eurodéputé grassement rétribué comme ses petits copains, y était allé de son couplet scandalisé.

 

Le texte de la pétition est un petit bijou dans son genre, mêlant réécriture de l’histoire, amalgames, outrances et omissions en tous genres. Petits extraits choisis :

 

« L’hypocrisie de l’association [communistes/nazis] est une insulte aux communistes qui ont toujours été les résistants les plus déterminés au fascisme, avant, pendant et après l’occupation.

 

L’anticommunisme fut le cheval de Troie de l’hitlérisme, les falsificateurs, par des campagnes médiatiques déchaînées et répétées voudraient reporter les crimes d’extermination massive commis par les nazis sur le compte de ceux qui les combattaient. Nous sommes en présence d’une scandaleuse falsification historique.

 

Les auteurs du texte voté, le 23 septembre 2008, par le parlement européen, se moquent bien de l’histoire, ils veulent seulement amplifier leur campagne anticommuniste en utilisant le prétexte du Pacte de non-agression germano-soviétique, du 23 août 1939. Ils pratiquent ainsi un odieux amalgame entre le 3ème Reich et l’URSS.

 

Les eurodéputés français qui ont signé et voté le texte immonde du parlement européen et ceux qui pourraient le soumettre au parlement français rejoignent la légion anticommuniste de Daladier, Raynaud, Sérol qui porta le félon Pétain au pouvoir lors du coup d’Etat, du 10 juillet 1940, à Vichy.

 

À la vérité ces eurodéputés voudraient que le parlement français obtempère à leur scandaleuse démarche, mais rien ne l’y oblige en l’état.

 

Députés et Sénateurs du Parlement français, nous vous interpellons solennellement. Vous êtes élus pour représenter la souveraineté du peuple. Si elle venait en débat, rejetez cette proposition infâme d’ « une journée du 23 août », insultante pour la France.

 

Travailleurs, démocrates, républicains et patriotes, signez et faites signer notre appel au parlement. Constituez partout des coordinations locale et/ou départementale de la flamme de la Résistance pour défendre la mémoire de nos héros et des martyrs. »

 

J’ai assez l’impression que ces grands démocrates ont su se faire entendre à haut niveau. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, l’influence et l’idéologie communistes restent hélas massives en France.

 

Idéologie et influence financées de surcroît par le contribuable : vous serez étonnés d’apprendre que le parti communiste est le 3e parti le plus riche du pays après le PS et l’UMP. Son dernier financement public s’est monté à la bagatelle de 32 004 975 €.

 

Oui, plus de 32 millions versés par le contribuable pour entretenir cette idéologie perverse (2).

 

Aujourd’hui. En France. Avant de nous occuper de porter la guerre à l’étranger, nous ferions bien mieux de nettoyer nos propres écuries d’Augias.

 

(1) Initiative communiste cliquez ici

(2) Sans oublier tous les petits copains qui touchent cliquez là

00:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 28 février 2012

Jeudi soir, Jérôme Bourbon au Local...

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20:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Serge Ayoub au Journal de Troisième voie (février 2012)...

20:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang : intervention au Libre journal du Parti de la France...


Libre Journal du Parti de la France - Émission... par Agence2Presse

02:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi prochain, à Paris...

Samedi 3 mars 2012, 14h30 - 18h00

GRANDE RÉUNION PUBLIQUE 
AVEC
 CARL LANG
Candidat de
l'Union de la Droite Nationale
à l'élection présidentielle.

Au Forum de Grenelle,
5 rue de la Croix Nivert - 75015 Paris
(métro Cambronne)

Avec les interventions de :

Yann Phélippeau
Secrétaire général adjoint du MNR,

Roger Holleindre,
Président du Cercle national des combattants,

Fernand Le Rachinel,
Président du Comité de soutien à Carl Lang,

Robert Spieler,
Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire.

Entrée 10,00 Euros

02:09 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Belgique : enfin une association pour les "cops" arc en ciel !

2445393146.jpgPar Yves Darchicourt

Il y a déjà quelques années que la France a la fierté d'avoir son "Flag" : une si nécessaire association de policiers et gendarmes gays, lesbiennes, bi et transgenres dont on peut régulièrement admirer le pitoresque char à la Gay Pride parisienne.

 

Honteusement en retard dans ce dommaine primordial de lutte contre les discriminations liées à l'orientation sexuelle, la Belgique vient de se doter de l'association "Rainbow Cops Belgium" qui, comme son homologue française, est membre du réseau "European Gay Police Association". Les "cops" arc en ciel du royaume seront ainsi représentés et défendus par une association destinée aussi à "éduquer" l'ensemble des représentants de l'ordre susceptibles d'avoir à gérer des situations en rapport avec la confrérie des LGBT et à faire comprendre à la population que la diversité de l'orientation sexuelle existe aussi dans la police et la gendarmerie.

 

Encore une belle réalisation soutenue par l'Union Européenne et dont l'intérêt n'échappera à personne en ces temps de crise économique mondiale. L'Europe progresse à pas de géants !

01:55 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ainsi parlait Europe-Action n°37...

ea-nc2b037.jpg“Mais nous ? Qu’avons-nous à conserver dans cette société ? Son idéologie ? Sa hiérarchie sociale ? Ses moeurs ? Ses idoles ? Nous voulons renverser tout cela. Alors ? il ne faut pas confondre ! Ce que nous avons à former ce n’est pas un parti conservateur mais un mouvement révolutionnaire”.

Dominique Venner, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

“La Commune, comme le vieux Sud, furent écrasés dans le sang. Mais les ouvriers de Paris et les paysans de Louisiane luttaient pour la même liberté. Ils se battaient pour leur droit à la vie, contre la réaction et le métissage, ces deux aspects d’une même menace cosmopolite”.

Jean Mabire, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

“La survie réelle, c’est-à-dire la continuité de notre substance biologique est la condition réelle de notre indépendance. Si l’Hexagone du XXe s. doit être un campement multi-racial, son indépendance ne nous fait ni chaud, ni froid. Même si un rectangle d’étoffe bleu-blanc-rouge y flotte le 14 juillet sur des grouillements colorés, un caravansérail n’est pas une patrie”

Gilles Fournier, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

Source Terre et peuple Provence cliquez ici

Mardi, Carl Lang est à Blois...

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01:27 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi, Carl Lang sera à Montpellier...

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01:23 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 février 2012

Samedi prochain, 3 mars, à Coloma (Belgique) : XIIe rencontre identitaire de Terre et peuple Wallonie

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14:27 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 26 février 2012

Sortir de la crise est possible … question de volonté

RobertoLavagna1.jpgEntretien avec l’ancien ministre argentin des Finances, Roberto Lavagna

L’ancien ministre de l’Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le principal artisan du redressement de l’Argentine engluée dans une terrible crise économique il y a dix ans. Lorsqu’il prend ses fonctions, en avril 2002, le peso vient d’être dévalué de 70 %, le pays est en cessation de paiement, la dette privée s’élève à plus de 72 milliards d’euros, l’inflation annuelle flirte avec les 125%, le chômage explose, les petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de 30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l’Union européenne décide immédiatement de se passer de «l’aide» du Fonds monétaire international (FMI) et des marchés financiers.

 Quelles sont les similitudes entre la crise argentine de 2001-2002 et la crise grecque ?

Sur le plan économique, tout est semblable. L’Argentine avait établi une parité fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l’euro, perdant ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe, associant des pays à forte productivité et d’autres dont la compétitivité est beaucoup plus faible, ne peut qu’engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième année de récession, l’Argentine l’était aussi. Le déficit fiscal, le déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l’endettement, l’explosion du chômage… toutes les grandes données macroéconomiques sont similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien meilleure qu’elle ne l’était en Argentine. Sur le plan institutionnel, l’Argentine était un pays isolé alors que la Grèce fait partie de l’ensemble économique le plus puissant du monde.

Comment avez-vous tiré l’Argentine du chaos ?

Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j’ai décidé de changer radicalement notre manière de penser la sortie de crise. Le mois suivant, j’étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du FMI et leur expliquer que nos rapports allaient s’en ressentir. Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d’euros. Les deux avaient été des échecs retentissants et certaines voix s’élevaient pour demander une troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires. Je n’ai pas voulu suivre cette voie et j’ai expliqué au Fonds que nous ne voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise. La seule chose que j’ai demandée était un «roll over» [report, ndlr] partiel de toutes les échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite.

Cette position était tout simplement impensable pour le FMI, car nous affichions notre volonté de fixer nous-même notre propre politique économique. J’ai dû leur expliquer trois fois de suite ma position avant qu’ils finissent par comprendre. A partir de là, nous avons arrêté de soutenir financièrement les banques alors que le FMI nous l’imposait, exigeant même que nous privatisions la Banque de la nation. Mais comme nous étions sortis du jeu, le Fonds n’avait plus de moyen de pression sur l’Argentine !

Vous avez donc œuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?

Les sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette institution propose toujours le même type de contrat d’ajustement fiscal qui consiste à diminuer l’argent qu’on donne aux gens - les salaires, les pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics qui génèrent de l’emploi - pour consacrer l’argent économisé à payer les créanciers. C’est absurde. Après quatre ans de crise, on ne peut pas continuer à prélever l’argent aux mêmes. Or, c’est exactement ce qu’on veut imposer à la Grèce ! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s’est transformé en une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on est dans une situation désespérée, comme l’était l’Argentine en 2001, il faut savoir changer la donne.

Selon vous, les plans d’austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires, mais c’est pourtant ce qu’on impose à la Grèce…

A tort, car l’argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit fiscal grec est plus élevé aujourd’hui qu’avant la première injection d’argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C’est le secteur financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits immobiliers à rembourser. La première chose qu’on a faite, nous, c’est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme ! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance. Au lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l’éducation, les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des services ou du tourisme.

Vous devez avoir beaucoup d’ennemis chez les banquiers…

Ils me détestent ! Ce qui ne les a pas empêchés, en 2005, de frapper à notre porte pour nous prêter de l’argent quarante-huit heures exactement après que nous avons terminé la restructuration de notre dette ! J’ai refusé ces offres intéressées en leur répondant que nous ne reviendrions pas sur le marché financier avant 2014, car nous n’en avions plus besoin. La dette sera alors de seulement 30% du PIB, la moitié des critères européens de Maastricht ! Je pense qu’un pays comme l’Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier. C’est un risque beaucoup trop grand d’augmenter à nouveau la dette. Le problème, c’est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment qu’il est positif pour l’image d’un pays d’emprunter à l’international. Il est clair que si je vendais des tomates, je trouverais très bien qu’on en mange ! Eux, ils vendent de l’argent.

Gérard Thomas à Buenos Aires pour Libération 2/02/2012

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samedi, 25 février 2012

Pour démanteler les bandes de voyous, expulsons les délinquants et criminels étrangers !

imagesCAD8NAUU.jpgUn communiqué de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France :

Alors que selon une note de la sous-direction de l'information générale (SDIG, ex-renseignements généraux) de la Direction centrale de la sécurité publique, la « guerre des bandes » aurait fait en 2011 6 morts et 252 blessés, Claude Guéant, toujours à l'affût d'un effet de communication en cette période électorale, préconise la création d'une Mission interministérielle de lutte contre les bandes. On ne voit pas bien ce que ce nouveau « machin », chargé d'observer les bandes de voyous s'entretuer joyeusement pour le contrôle de trafics divers et de territoires, va bien pouvoir résoudre.

Ces bandes étant identifiées et composées, dans la quasi-totalité des cas, d'étrangers ou de « Français » d'origine étrangère, le Parti de la France propose, pour éradiquer efficacement ce fléau, que les forces de police et de gendarmerie procèdent à des arrestations massives de leurs membres, que la justice les condamnent lourdement pour leurs exactions et qu'à l'issue de leur peine ils soient expulsés définitivement du territoire français vers leur pays d'origine.

Rétablir la sécurité partout en France doit être une priorité absolue pour que les Français soient protégés où qu'ils résident et que notre pays et ses institutions soient de nouveau respectés. Ce n'est pas en multipliant les effets d'annonce en période électorale que l'on enraye l'insécurité croissante qui pollue la vie des Français, c'est en appliquant une politique volontaire, déterminée et réelle de tolérance zéro à l'égard des malfrats de toutes sortes.

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Le Parti de la France accuse le FN de mentir aux ouvriers...

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À Sochaux hier, Christophe Devillers, responsable régional du Parti de la France, distribue des tracts pour dénoncer le double langage de Marine Le Pen face au monde ouvrier.

Il y a quelques semaines, la candidate du FN était venue à la rencontre des ouvriers, mais avait surtout croisé des journalistes. Un « tabac médiatique » qui reste au travers de la gorge de Christophe Devillers. Lui se bat pour l’autre candidat de la droite extrême : Carl Lang, du Parti de France. Les ouvriers ne sont pas nombreux à savoir qu’il est aussi dans la course pour l’Élysée (du moins, il l’espère car à ce jour, il a récolté 350 signatures sur les 500). L’urgence pour le Parti de France est donc de faire savoir qu’il ne partage pas les positions de Marine Le Pen et qu’il a son propre candidat.

« Nous devons dénoncer les positions nouvelles de Marine Le Pen qui n’ont rien à voir avec celles de son père et le discours de la droite nationale sur l’avortement, sur l’immigration… », martèle Christophe Devillers. « Marine Le Pen a un double langage, elle trompe le monde ouvrier ». Marine Le Pen, avocate du made in France ?

Candidat aux législatives

« Après enquête, il s’avère que les T-shirts de la campagne de 2007, dont il resterait des stocks importants, étaient fabriqués en Chine, tout comme ceux de la campagne de 2002. Pour la candidate autoproclamée du made in France, ça fait au minimum désordre. D’autant qu’on savait déjà que ses calicots de campagne sont fabriqués… À Nankin, en Chine ».

Christophe Devillers a été exclu du FN en 2004. « Il me considérait comme un électron libre. Le FN ne veut pas de barons de province. Ils veulent juste se servir des gens comme prête-nom. C’est la solution de facilité pour éviter tout travail d’implantation locale ».

Candidat aux dernières cantonales à Champagney, en Haute-Saône, il avait frôlé le 6 %. « C’est le fruit d’une implantation locale ».

Christophe Devillers sera candidat aux législatives dans la deuxième circonscription de Haute-Saône.

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Lundi 19 mars, un dîner débat avec Alain de Benoist aux Ronchons...

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vendredi, 24 février 2012

Carl Lang invité sur I Télé et du nouveau NH...

4f4790dfbd008CHRONIQUE_L_INVITE_DE_L_EDITION_PERMANENTE_120224_ITV_86398_image_H.jpgPour regarder cette émission avec le candidat de la Droite nationale : cliquez ici

Lire aussi le grand entretien de Carl Lang avec les responsables du site le nouveau NH cliquez ici

23:46 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Poutine sera réélu par le peuple russe pour le Bien de la Russie et de l’Europe !

poutine.jpgPar Marc Rousset

 

Monsieur André Glucksmann, obsédé par Vladimir  Poutine, le contre-modèle exemplaire de ses rêves politiquement corrects et  droit de l’hommistes, n’hésite pas à écrire dans une chronique du Figaro du vendredi  24 Février 2012 : « Poutine réussira-t-il la falsification administrative des élections présidentielles ? Devra-t-il fomenter une épidémie d’attentats attribués à d’imaginaires ennemis pour mieux réprimer les contestataires ensuite ? Ou pourquoi pas, lancera-t-il une expédition militaire, genre deuxième guerre de Géorgie, afin de s’imposer comme l’homme fort et insubmersible de la Russie ? » A noter que Monsieur Glucksmann n’est pas à une contre-vérité près car les faits et les enquêtes impartiales de l’Union Européenne  démontrent que c’est bel et bien la Géorgie du jeune, inconscient et fougueux Président Mikhaïl Saakachvili qui a commencé en Aout 2008  les hostilités militaires en Ossétie du Sud  et les a terminées dans une  totale déroute.

 

Or, le jeudi 23 Février 2012, devant une foule  réunie dans le stade moscovite de Loujkini et évaluée par les autorités à 130 000 personnes, Poutine a montré au monde que les mouvements d’opposition peinent à trouver leur second souffle. « Désormais, il n’y aura plus lieu de parler de la révolution orange car la rue nous appartient » a pu déclarer Vladimir Bourmatov, un député de Russie unie (1). Il est probable que Poutine sera réélu avec plus de 50% des voix et non plus des scores de 71% des voix comme en 2004, mais quoi d’anormal ? Les peuples européens de l’Ouest ont-ils été reconnaissants par leurs votes à  Winston Churchill, à Clemenceau, à De Gaulle ?

 

Poutine, l’obsession des Etats-Unis et des Occidentaux

 

L’Amérique veut déstabiliser et faire sauter  le verrou Poutine pour plusieurs raisons. La Russie  est  devenue une superpuissance pétrolière respectée, à défaut d’être crainte. Poutine a brisé les rêves de Mikhaïl Khodorkovski, patron de Youkos, et ceux  des Etats-Unis  qui voulaient mettre la main   sur les ressources énergétiques de la Russie.

 

Poutine veut également réarmer la Russie, immense pays  richissime ouvert aux quatre vents et deux fois plus grand que les Etats-Unis avec au grand maximum  130 millions de Russes en 2050 ! Poutine veut dépenser 590 milliards d’euros d’ici à dix ans pour se protéger de la menace militaire de l’OTAN et des Etats-UnIs. Selon le quotidien Rossiskaya Gazeta, le plan de modernisation militaire lancé il y a un an par Poutine comprendrait : construction de 400 missiles balistiques d’ici à 2022, 8 croiseurs sous-marins lance-missiles stratégiques, 20 sous-marins polyvalents, 50 navires de surface, 600 chasseurs de cinquième génération, mille hélicoptères, 2 300 chars modernes, 2 000 canons automoteurs, 28 régiments de systèmes de missile sol-air S400. Tout spécialiste des problèmes militaires sait en effet parfaitement que le système  américain de bouclier antimissile est dirigé contre la Russie, l’Iran n’étant qu’un prétexte !

 

Poutine n’a pas digéré non plus l’erreur de Dimitri Medvedev qui n’a pas  mis son véto au Conseil de Sécurité de l’ONU, d’où  la brèche éhontée dans laquelle s’est engouffrée l’Occident en bombardant la Libye et en intervenant avec des troupes au sol dans un conflit tribal interne, en lieu et place d’une zone d’exclusion aérienne, ce  qui n’est pas sans rappeler la mauvaise foi de l’expansion de l’OTAN à l’Est, contrairement aux promesses qui avaient été faites lors de la chute du Mur de Berlin  à Gorbatchev et  plus tard à Boris Eltsine !

 

Poutine s’oppose à l’intervention militaire occidentale en Syrie pour protéger  les exportations russes d’armement ainsi que la seule et unique base maritime pour la flotte russe en Méditerranée !

 

Poutine peut enfin se prévaloir d’un succès sur le plan économique à faire pâlir d’envie les Occidentaux. La croissance du PIB devrait frôler les 4,5% en 2011 et en 2012.Le taux de chômage est descendu à 6,3% ; la dette du pays est faible, inférieure à 10%du PIB. Les réserves de change sont d’environ 500 milliards de dollars. L’inflation est à la baisse, estimée à 6,5%, soit son plus faible niveau depuis 20ans.La Russie est déjà aujourd’hui la 10e économie du monde en PIB nominal et la 6e en termes de parité de pouvoir d’achat. La Russie devrait être la 4e économie de la planète en 2020.

 

Poutine propose un contre-modèle à  l’Europe décadente

 

Poutine a dores et déjà sauvé la Russie, mais il est d’autant plus dangereux qu’ il propose à l’Europe occidentale  un autre modèle que le droit de l’hommisme et l’incite à se libérer du protectorat militaire américain. Poutine a compris que le redressement, le rétablissement de la Russie passait par les valeurs traditionnelles, le patriotisme, l’Eglise orthodoxe, le sens de l’effort et du dépassement, constituant un magnifique contre-exemple pour les démocraties européennes décadentes et aveugles. Alors que les droits de l’hommistes souhaitent que la Russie s’adapte au modèle occidental, c’est bien au contraire, selon Vladimir Poutine, aux Européens de l’Ouest de retrouver leurs valeurs traditionnelles, de ne plus pratiquer la repentance. En ce sens, Poutine est le sauveur potentiel de l’Europe de l’Ouest !

 

Poutine est enfin dangereux car il est natif de Saint Petersburg, la ville symbole du rapprochement européen fondée par Pierre Le Grand ; il parle allemand, il  a travaillé pour le KGB à Dresde et a une vision continentale européenne historique que n’ont pas nos dirigeants atlantistes actuels ! C’est ainsi que devant le Bundestag, il a pu dire : « Si à une certaine époque, la réconciliation historique de la France et de l’Allemagne fut l’une des conditions de base de l’intégration ouest-européenne, aujourd’hui, c’est le partenariat entre la Russie, l’Allemagne et la France qui constitue le facteur positif majeur de la vie internationale et du dialogue européen.

 

Je suis profondément convaincu que la Grande Europe unie de l’Atlantique à l’Oural, et de fait jusqu’à l’ Océan Pacifique, dont l’existence repose sur les principes démocratiques universels, représente une chance exceptionnelle pour tous les peuples du continent, pour le peuple russe notamment…..Le peuple russe a toujours eu le sentiment de faire partie de la grande famille européenne, à laquelle le rattachent les mêmes valeurs culturelles, morales, spirituelles. »

 

(1) Le Figaro du vendredi 24 Février 2012, « Poutine poursuit  la bataille pour la Russie »

 

NDLR Jeudi 23 février : plus de 100 000 personnes ont assisté au meeting de Vladimir Poutine à Moscou :

 


Rassemblement électoral pro-Poutine à Moscou -...

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Cette semaine dans Rivarol : les Bouquins de Synthèse nationale sont à l'honneur...

SN 26 Salazar.jpgArticle publié dans Rivarol de cette semaine (cliquez là) sur le livre Salazar le regretté… de Jean-Claude Rolinat publié dans la collection Les Bouquins de Synthèse nationale :

 

Salazar le regretté… c’est ainsi que s’intitule le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat consacré à Antonio de Oliveira Salazar (1889 – 1970). Ce titre peut sembler, à première vue, surprenant car force est d’admettre que le chef de l’Etat nouveau portugais (il gouverna le pays de 1926 à 1968) n’a pas souvent bonne presse chez nous en France.

 

Rolinat aurait pu intituler son livre Salazar le méconnu… car, mis à part une biographie que lui avait consacrée Jacques Ploncard d’Assac (Salazar, DMM, 1983) il y a une trentaine d’années, les Français ne connaissent pas grand-chose de cet homme qui a transformé, en 42 ans de règne, son pays en une nation moderne. Mais Salazar le regretté… c’est plus provocateur et cela incite plus à la curiosité… car Salazar mérite en effet d’être mieux connu. Grace à cette biographie du Doutor, c’est ainsi qu’on l’appelait de son vivant, les lecteurs découvriront sans doute un autre Salazar qui ne correspond pas, loin s’en faut, aux clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique.

 

Et au-delà de la vie de cet homme, considéré de son vivant par ses partisans comme un « père pour la nation lusitanienne », c’est aussi toute l’histoire du Portugal, à travers le tumultueux XXe siècle, que nous raconte Jean-Claude Rolinat. Salazar offrit à son pays non seulement un redressement économique spectaculaire mais aussi 40 ans de paix en évitant soigneusement de rentrer dans le terrible conflit qui déchira l’Europe entre 1939 et 1945.

 

Certes le « régime de Salazar » était loin d’être parfait et son obsession à vouloir garder à tout prix un empire que certains trouvaient, au nom d’un certain « sens de l’histoire »,  anachronique et que d’autres convoitaient âprement, lui coûta fort cher. Cependant, l’une des caractéristiques essentielles qui s’applique à ce régime fut sans doute la probité... l’auteur ira même jusqu’à parler de « dictature de la probité » pour qualifier l’Etat nouveau salazariste.  Professeur d’Economie à la prestigieuse Université de Coimbra, le Président du Conseil portugais ne chercha jamais à s’enrichir, ni même à profiter de sa place pour assouvir une quelconque mégalomanie souvent propre à ceux qui dirigent, « démocratiquement » ou non, un pays. « On fait de la politique avec son cœur, on dirige avec sa tête… » se plaisait-il à dire. Salazar était avant tout un homme de bon sens qui dirigeait simplement. Nous sommes loin des dépenses fastueuses et des politiques irresponsables qui caractérisent aujourd’hui les démocraties mondialistes en faillite comme la démocratie portugaise tant vantée, il a peu de temps encore, par toute l’intelligentsia progressiste de la Terre…

 

C’est peut-être pour ces raisons que, plus de 40 ans après sa mort survenue en 1970, dans une étude réalisée par la BBC pour la RTP (entendez Radio-Télévision portugaise), 41% des Portugais (sur un échantillon de plus de 10 000 personnes) affirment qu’Antonio de Oliveira Salazar fut la plus grande personnalité de toute l’histoire du pays… et cela devant le navigateur Vasco de Gama ! Décidément, la « Révolution des oeillets » de sinistre mémoire est bien loin.

 

Les choses méritaient donc d’être remises en place Voilà pourquoi Jean-Claude Rolinat a finalement bien eu raison d’intituler son livre Salazar, le regretté…

 

Salazar le regretté… Jean-Claude Rolinat, préfacé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et postfacé par Duarte Branquinho, directeur de O Diablo, l’hebdomadaire nationaliste portugais (le Rivarol lusitanien) Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 €

 

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Dimanche soir, sur Méridien zéro...

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Une lettre ouverte de Jean-Claude Rolinat à Yves Calvi, journaliste à France 5 :

1977711293.jpgCONCERNE :

Emission «  C DANS  L’AIR »

du mercredi soir 22 février relative

à la guerre d’Espagne

 

Monsieur Calvi,

 

Vous animez généralement des  émissions d’une très bonne tenue portant sur l’actualité : les intervenants sont souvent des spécialistes reconnus ou talentueux. On ne se coupe pas la parole, on est loin des « basse-cours » de certaines émissions proposées par vos confrères. Sous la baguette…magique ( ?)  d’Yves Calvi, ça fonctionne plutôt bien pour le plus grand confort d’écoute du téléspectateur. Après tout, « bon sang ne saurait mentir »…

 

Quelle ne fut pas ma surprise en regardant ce mercredi soir 22 courant une émission consacrée au juge B. Garzon et, partant de là, à la Guerre d’Espagne (1936-1939).

 

Tout de suite, j’eus une impression de malaise ; je n’avais pas en face de moi des spécialistes devisant techniquement de faits historiques discutables, mais des procureurs s’acharnant à salir unilatéralement quatre décennies de franquisme sans prendre la moindre hauteur. Une attitude qui permettrait de voir les choses avec beaucoup de nuances, tant l’histoire avec un grand « H » n’est jamais blanche ou noire, mais toujours  grise, sujette au fil des ans et à la lumière de nouveaux témoignages identifiables, à une certaine révision. Il existe des historiens honnêtes et des perroquets indignes. On aurait  cru entendre de la « propagandastaffel » contemporaine. Et ces gens-là peuvent avoir un gentil minois, ils n’en sont que plus dangereux. Rien  n’est venu balancer, nuancer ce réquisitoire totalitaire, je n’hésite pas à utiliser le mot, à l’encontre du Franquisme. Et pourtant, pour faire la guerre, il faut être deux et si des crimes de guerre furent commis en Ibérie entre 36 et 39, le camp des « rouges » en a une très belle part. Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’écrivain espagnol de renom Michel del Castillo qui fut contemporain de cette guerre et dont la maman était plutôt dans le camp de ceux que l’on nomme improprement « républicains ». On parle beaucoup du bombardement de Guernica où s’illustra d’une façon tragique la Luftwaffe, mais on ne parle jamais des massacres  de Paracuellos commis par les bolchéviques. Page 255 de son ouvrage,  « Le Temps de Franco », Fayard 2008, l’auteur précité écrit :-« …Un plan exécuté de sang-froid. On s’étonne en 2008, de ne trouver que de brèves allusions à cette « évacuation définitive » dans les biographies les plus épaisses, si riches en considérations psychologiques, par ailleurs, sur la personnalité du Caudillo. Comment expliquer cette pudeur ? Tout se passe comme si les victimes de ces purges sanglantes méritaient à peine une mention. » Tout cela pour vous dire que 10 500  personnes sont passées, si j’ose dire, par « pertes et profits ». Quand on évoque la Guerre d’Espagne, c’est très simpliste : d’un côté il y a les « bons », les républicains-démocrates qui assassinaient à tour de bras leurs adversaires politiques, allant jusqu’à exhumer  les corps de religieux et de religieuses -, photos à votre disposition -, et les mauvais, forcément  les défenseurs des classes aisées   et  des piliers d’église. Mais l’histoire espagnole de cette période est un peu plus compliquée, elle n’est pas si manichéenne. Si le soulèvement militaire du 18 juillet  1936 a eu lieu, c’est qu’il avait été précédé de nombreuses violences anticléricales, certes, mais pas seulement, de l’assassinat du leader de droite  Calvo Sotelo et, dès les toutes premières heures du conflit, de l’exécution de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange. La  République espagnole, « bourgeoise » et modérée dans un premier temps, bascula dans l’horreur du communisme, ce qui entraina bien évidemment l’intervention de l’armée, garante de l’ordre public et comptable de l’intégrité nationale. Si les nationalistes,-  Phalange, Carlistes, militaires, Chrétiens engagés-, gagnèrent au bout de trois années de terribles combats, ils le durent à leur courage et, objectivement, à l’aide des forces de l’Axe. Mais, dans le camp « d’en face », Moscou déploya tout son arsenal pour sauver cette « République » à la sauce soviétique et mit à sa disposition ses « brigades internationales » qu’un certain Monsieur Jacques Chirac a voulu faire reconnaitre comme « anciens combattants », tout au moins pour ce qui était des ressortissants français. Cette  terrible guerre civile, comme celle qui divisa au  XIXe siècle les Etats-Unis a fait près de 600 000 morts ! Au lendemain de ce conflit, la répression a été impitoyable, je vous l’accorde. Mais pendant les 36 années de règne du général Franco l’Espagne s’est apaisée, elle s’est reconstruite dans l’ordre et la paix, s’est ouverte au progrès. Ses institutions politiques inspirées de la démocratie organique pouvaient passer pour un Etat totalitaire : rien n’était plus faux. L’Espagne franquiste était un Etat autoritaire mais en aucun cas de « type fasciste » : on ne régentait pas la vie d’un homme de zéro heure à 24 h, on ne le prenait pas en  main du berceau au cercueil comme dans les tyrannies théocratiques ou communistes. Il pouvait y avoir quelques ressemblances à l’occasion des grands rassemblements de foules, place d’Orient, mais personne n’était contraint d’y assister. Le  régime franquiste a  été institué par référendum populaire et le « Caudillo » n’était que le fondé de pouvoir de la monarchie, règne monarchique seulement mis entre-parenthèses pendant les trois années de guerre civile. À la mort de Franco, justement pleuré par une immense partie du peuple, une page s’est tournée et la monarchie constitutionnelle s’est tranquillement mise  en route sur les  rails forgés par le généralissime. Qu’il y  ait eu des massacres, des fusillades arbitraires, des disparitions, nul ne le nie. Mais toutes ces horreurs ont été le fait des DEUX CAMPS. Or, il semble bien que le juge Garzon, par préjugé idéologique, ne se soit occupé que  des victimes  des armées nationalistes.

 

La Grande Croix qui s’élève majestueusement au Val de Los Caïdos veut être justement le symbole, par-delà la mort de tant de valeureux combattants des deux camps enterrés là, d’un certain apaisement, d’une réconciliation, d’une Espagne enfin pacifiée, voulant tourner la page sans oublier ceux des siens qui sont restés dans cette terrible guerre contemporaine.

 

Eh bien, aimant tellement votre émission et appréciant votre talent d’animateur, ce rôle d’arbitre cultivant l’humour, je tenais à vous faire part de ma déception après cette lamentable prestation.

 

En espérant échapper dans l’avenir à ce type d’émission partisane, je vous prie de croire, Monsieur Yves Calvi, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.

 

Jean-Claude Rolinat

Ecrivain

Elu local en Ile-de-France

Membre du Bureau de la NDP

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Le retour de la pasionaria

220px-Beate_Klarsfeld_1986.jpgLa chasseresse de nazis Beate Klarsfeld, 73 piges au compteur, reprendrait du service. Le parti Die Linke l’aurait pressentie pour être sa candidate contre Joachim Glauck lorsque les deux chambres du Parlement fédéral se réuniront pour élire un nouveau Président fédéral allemand. Sacrée famille : à Paris, on est chiraquien enthousiaste, à Jérusalem on est pro-Likoud, à Berlin on est pire que simplement coco : on se porte candidat pour les héritiers du parti de l’érection du mur le long duquel des centaines d’Allemands qui aimaient trop la liberté ont été abattus. Ce n’est pas la 1ère fois que Beate porte les couleurs du parti des assassins : en 1969, toute jeune trentenaire, elle s’est portée candidate depuis la rue de la Boétie à Paris dans la circonscription de Waldshut (pays de Bade) pour le parti communiste allemand qui venait d’être ré-autorisé à l’Ouest.

Source Altermedia cliquez ici

21:59 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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06:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 23 février 2012

Roger Holleindre avec Carl Lang, samedi 3 mars, à Paris...

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18:40 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dijon, Nancy, Nice, Quimper, Valence... partout en France, les Amis de Rivarol se réunissent et ils sont de plus en plus nombreux.

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13:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

American way of Internet

Philippe Randa 4.jpgLa Chronique

de Philippe Randa

 

Il est difficile aujourd’hui d’échapper à Internet, tous les moins de 80 ans le reconnaîtront… Et encore ! Qui ne connaît pas quelques nonagénaires surfant sur la toile ? À leur rythme ? Même pas ! Au même rythme que les millions d’autres internautes… Tout comme on trouvera bien, de-ci, de-là quelques réfractaires sexa ou septuagénaires pour rester étrangers à ce mode de communication. Souvent par posture. Mais il faut de tout pour faire un monde, n’est-ce pas ?

 

Pour le faire, sans doute, mais pas pour le gouverner, selon les États-Unis d’Amérique très sourcilleux sur la question.

 

Car les organismes contrôlant la gestion du réseau internet sont actuellement basés chez l’Oncle Sam…

 

« (La) gouvernance est aujourd’hui l’affaire de plusieurs organisations à but non lucratif, essentiellement américaines, mais indépendantes des États-Unis comme l’Icann, l’IETF ou l’Internet Society. Ces instances régulent notamment les noms de domaine, les adresses IP et déterminent les évolutions techniques du réseau », apprend-on à la lecture du Figaro.(1)

 

Cette indépendance, toutefois, laisse sceptique bien des pays qui, parlant davantage de « gouvernance à domination américaine », entendent remettre en cause cette dernière en proposant que les Nations unies récupèrent la gestion du réseau Internet : « La Russie, la Chine, l’Ouzbékistan et le Tajikistan ont déposé, en septembre dernier, une résolution à l’Assemblée générale de l’ONU afin d’instaurer un "code de conduite (cliquez là)” en matière d’échange d’informations dans le monde. Ils estiment que “l’autorité politique pour les problèmes publics liés à Internet est le droit souverain des États” », lit-on encore dans Le Figaro qui rapporte également les inquiétudes de Vladimir Poutine : « Si nous parlons de la démocratisation des relations internationales, je pense qu’il est essentiel qu’il y ait un contrôle mondial sur les échanges d’informations. C’est certainement une priorité dans l’agenda international. »

 

Depuis, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud ont appalé (cliquez ici), eux aussi, en septembre dernier, à la création d’un organisme mondial pour contrôler Internet.

 

Les USA ne l’entendent évidemment pas ainsi, arguant de la menace d’une remise en cause de la « neutralité » de la Toile.

 

Pour Robert McDowell, membre de la Commission fédérale des communications (FCC), « toute tentative d’étendre les pouvoirs intergouvernementaux à Internet devrait être rejetée (…) le transfert de compétences à l’ONU risque de porter atteinte à la liberté d’Internet (…) le fonctionnement actuel “sans entraves”, né d’un consensus multipartite, a accompagné les révoltes des peuples contre des régimes dictatoriaux. »(2)

 

Qu’en termes choisis les choses sont dites… ou avouées, c’est-à-dire qu’Internet a joué un rôle d’importance dans les révolutions arabes de l’an passé, ce que tout à chacun a pu remarquer, mais le terme de “liberté d’Internet” est semble-t-il des plus mal choisi, puisque celle-ci est exclusivement entre les mains de la Première Puissance militaire mondiale… Imagine-t-on un instant qu’un pouvoir, quel qu’il soit, américain ou autre, hésite à utiliser un tel monopole pour servir ses intérêts et les siens seuls, du moins prioritairement ?

 

Car ces fameuses « révoltes des peuples » – en Égypte, Tunisie et Lybie l’année dernière et en Syrie actuellement – ne se sont produites que contre des « régimes dictatoriaux » hostiles aux États-Unis d’Amérique.(3)

 

On attend encore d’identiques « révoltes des peuples » contre les régimes « hautement démocratiques » dont Washington a initié les systèmes de défense : soit aux Émirats arabes unis, au Qatar, au Koweït et encore au Bahreïn où un chantier, qui prévoit le doublement de la taille d’une base navale, a commencé en 2010(4)… Sans parler de l’Arabie saoudite, monarchie islamique de type absolue contrôlée par la famille Saoud dont les États-Unis sont très officiellement le protecteur armé de cette dynastie.

 

La révolte risque de s’y faire attendre…

 

Notes

 

(1) Le Figaro.fr (cliquez là), 23 février 2012.

(2) Tribune publiée mardi sur le site du Wall Street Journal.

(3) À l’exception peut-être du cas égyptien, mais rien n’est parfait en ce bas monde, pas même les révolutions populaires.

(4) Des révoltes ont bien eu lieu au Bahreïn et semble-t-il en Arabie Saoudite, mais étrangement on en a très peu, voire pas du tout, parlée… surtout après que les forces armées locales aient « tiré dans le tas »…

10:54 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Francis Bergeron nous parle d'Hergé...


Source Nouvelles de France cliquez ici

Sur la biographie d'Hergé de Francis Bergeron cliquez là

Pour se la procurer cliquez ici

10:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Frédéric Nihous abandonne et soutient Nicolas Sarkozy

sans-titre.pngSource Le Salon beige cliquez ici

 

Frédéric Nihous, le président de Chasse, pêche, nature et traditions, a renoncé à se présenter à l’élection présidentielle et annoncé son soutien à Nicolas Sarkozy. Dans un communiqué, le président de CPNT évoque ses «difficultés à réunir les 500 parrainages», ainsi que «le blocage des banques qui privilégient les candidats placés haut dans les sondages». «L’ostracisme des médias et des sondeurs évincent la ruralité dans le débat public».

10:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |