jeudi, 23 février 2012
LA FRANCE QUI BOUGE...
Par Jean-Yves Métayer-Robbes
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La campagne des présidentielles change de ton depuis l’entrée officielle de Nicolas SARKOZY. Hervé MORIN et Christine BOUTIN ont rejoint le président de la république, avec des circonscriptions réservées pour les législatives, un scénario bien connu qui n’étonne plus personne. Marine LE PEN n’a pas obtenu gain de cause avec le Conseil Constitutionnel et doit compter sur ses troupes pour trouver ses 500 signatures. Nicolas DUPONT-AIGNAN dit les avoir et veut faire entendre la voie du Gaullisme social dans cette campagne, alors que Carl LANG progresse dans sa recherche des signatures, ce qui pose sans doute aussi un problème pour Marine LE PEN qui ne peut plus compter sur d’anciens maires, qui signaient hier pour son père, mais qui soutiennent Carl LANG aujourd’hui.
Le clivage gauche-droite existe toujours mais le paysage politique français connait néanmoins plusieurs évolutions. La presse de gauche parle de la droitisation de la vie politique française, avec un Nicolas SARKOZY plus à droite qu’en 2007. Face à François HOLLANDE qui se démarque d’une gauche trop à gauche et de ce fait du Parti Communiste et du Front de Gauche de Jean-Luc MELENCHON, il est inévitable que Nicolas SARKOZY se rapproche de certains thèmes propres à la droite et même à la droite de la droite.Par exemple celui des civilisations, jadis réservés à la droite nationale. Même si Claude GUEANT est resté très mesuré sur ce sujet, n’en déplaise à la caste de la pensée unique, le fait de parler des valeurs des civilisations donne une certaine orientation. En revanche, Marine LE PEN laisse le terrain de la droite nationale à Carl LANG qui semble vouloir occuper cet espace pleinement. Marine LE PEN préfère se dire proche du peuple, ni droite-ni gauche. Nicolas DUPONT-AIGNAN revendique l’héritage gaulliste. Est-il de droite ou de gauche aujourd’hui ? Les deux mon capitaine. Pour qui voteront les gaullistes de gauche ? et les gaullistes de droite ? NDA aura-t-il la capacité de les rassembler ? Tout dépend si Dominique DE VILLEPIN obtient ses signatures. La droite française devrait connaitre encore une évolution dans les mois à venir. Nous suivrons par exemple la candidature de Jacques PEYRAT à Nice qui devrait réussir à rassembler autour de lui plusieurs courants. Il y a ceux qui font bouger les lignes et ceux qui suivent derrière eux. Jacques PEYRAT compte bien les faire bouger. Nous verrons aussi ce que va faire Christian VANNESTE pour les prochaines législatives. Reste françois BAYROU que nous n’arrivons plus à situer à droite, bien qu’il ne soit pas “encore” passé à gauche. Il est du Centre François BAYROU me direz-vous, ah oui, du centre, mais pas du même centre que Monsieur MORIN. Le MODEM peut-il rassembler au centre comme Giscard l’avait fait ? C’est le pari de François BAYROU.
Nous aurions donc une Gauche avec les communistes menée par Jean-Luc MELENCHON, la gauche socialiste de François HOLLANDE puis le centre de François BAYROU. Ensuite commencerait la droite avec le Nouveau Centre d’hervé MORIN, les Radicaux de Jean-Louis BORLOO, l’UMP, Debout la République de Nicolas DUPONT-AIGNAN puis le Front National de Marine LE PEN et enfin Le Parti de la France de Carl LANG regroupé dans l’Union de la Droite Nationale avec le MNR et la NDP.
Où se trouve aujourd’hui l’électorat de Nicolas SARKOZY de 2007 ? est-il toujours derrière l’UMP ? est-il aussi chez Marine LE PEN et Nicolas DUPONT-AIGNAN ?
Marine LE PEN a-t-elle gardé tout l’électorat de Jean-Marie LE PEN ? Carl LANG réussira-t-il à refonder un grand courant de la droite nationale ?
François BAYROU sera-t-il ouvert à travailler avec le PS ou l’UMP en cas de victoire de l’un des deux grands partis ?
Voila une série de questions que les Français se posent et qui devraient trouver des réponses dans les semaines et mois à venir.
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Suisse, net et sans bavure...
09:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce jeudi soir, conférence sur Céline au Local...
07:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 22 février 2012
Comment survivre en République islamique française ?
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12:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le MNR avec Carl Lang, samedi 3 mars à Paris...
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mardi, 21 février 2012
CARTON ROUGE POUR... MARINE LE PEN !
Source La Flamme cliquez ici
Dans son discours à Lille ce week-end, Marine le Pen a déclaré « Il n’y a, mes chers compatriotes, pas de différences entre un Français immigré et un Français de souche. »
Cette phrase de la présidente du Front National est triplement scandaleuse.
Le premier scandale est qu’en mettant à égalité les Français dits « de souche » et les Français d’origine étrangère, elle nie que la construction de la France fut une longue et parfois douloureuse Histoire pour laquelle les Français – dont on qualifie aujourd’hui les descendants de « de souche » – ont donné leur génie et leur sang. Ainsi, la vérité veut qu’objectivement, il y aura toujours au moins cette différence fondamentale entre les Français de longue souche et les autres.
Le second scandale est qu’en mettant dans le même sac « immigré » les Français d’origine extra-européenne et les Français d’origine européenne, Marine le Pen nie que la France c’est avant tout une terre de chrétiens, de blancs, qui ont en commun une même culture et les mêmes valeurs de civilisation.
Le troisième scandale est que depuis plusieurs décennies, devenir Français n’est qu’une formalité administrative, nombre d’enfants d’étrangers recevant même la nationalité française sans l’avoir demandée, et ces Français de papier sont bien souvent hostiles à la France et à ses valeurs ancestrales. Les mettre ainsi sur le même plan que les « autres » Français est non seulement une erreur intellectuelle mais une stupidité sas nom.
La sortie politiquement correcte de Marine le Pen est finalement révélatrice de tout ce que la « dédiabolisation » peut engendrer comme reniements et comme destruction des principes les plus élémentaires sur lesquels a toujours reposé et reposera toujours la droite nationale, aujourd’hui définitivement représentée par le seul Parti de la France de Carl Lang.
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Cette Hongrie qui fait tomber les masques démocratiques...
Par Olrik
La Droite strasbourgeoise
Depuis quelques mois, l’Union européenne révèle enfin son vrai visage. Il ne s’agit pas de la face lugubre et inexpressive d’alias Von Rompuy, parfait spécimen technocratique à sang froid et accessoirement président du Conseil européen. Non ! Ici nous évoquerons plutôt la façon avec laquelle le cas hongrois a été traité. Viktor Orban, ministre-président de Hongrie, a entrepris l’idée folle de réformer une constitution obsolète, décrétée en 1949 dans le fracas des bruits de bottes et le cliquetis menaçant des blindés soviétiques. 20 ans après la chute du communisme, l’initiative pouvait somme toute paraître opportune. Eh bien, il semblerait que non !
Les révisions apportées sont pourtant mineures et, pour beaucoup, symboliques. La « République de Hongrie », vestige suranné de la ronflante « République populaire de Hongrie », redevient simplement « Hongrie » avec en épigraphe : « Dieu bénisse les Hongrois ». En aparté, il est fait mention que l’embryon est un être humain dès le début de la grossesse et que le mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme. C’en est trop ! Toute la gauche journalistique trésaille et, Cohn Bendit en tête, bat le rappel pour déclencher un pilonnage médiatique intensif, reléguant en comparaison les bombardements de Dresde au rang du joyeux feu de Bengale !
On nous annonce alors que le parlement hongrois a commis la folie de voter des impôts exceptionnels, dits « de crise », visant les multinationales à capitaux étrangers des secteurs de l’agroalimentaire, des télécommunications et de la grande distribution. Les compagnies Véolia ou Suez pourraient en pâtir, Alain Juppé sursaute et invoque pêle-mêle la démocratie, les Droits de l’homme, la liberté et moult autres grands principes ! Puis on nous apprend qu’une loi qui fixe la retraite des juges à 62 ans a été adoptée ! Là, ce sont les Commissaires de Bruxelles qui s’énervent. Ils hurlent que cette disposition est discriminatoire et contraire au principe d’indépendance des juges, pas moins ! Enfin, on nous dit que d’autres dispositions légales créent en Hongrie une instance qui ressemble à notre CSA français et regroupent les télés et radios publiques sous une même structure, à l’instar de ce qui existe déjà en France. Cette fois, c’est Hyllary Clinton en personne qui monte au créneau. La liberté de la presse est gravement menacée, nous dit-elle en fronçant les sourcils et en insistant lourdement, mâchoire serrée, sur le « gravement » ! En bonne chienne de garde, elle veille attentivement à ce que les médias œuvrent au formatage consumériste des populations, et à rien d’autres.
Mais tout ceci n’aurait pas eu lieu si Orban n’avait franchi la ligne jaune, celle qui délimite la loi d’airain de la finance planétaire. Car le cœur du problème est ailleurs et toute cette agitation n’est qu’une préparation à l’offensive finale, celle qui vise la seule réforme qui dérange. En limitant l’indépendance de la Banque centrale hongroise par des dispositions qui revenaient grosso-modo à augmenter le nombre de ses conseillers, Orban commet la faute impardonnable, l’erreur suprême. En punition, il essuiera un feu nucléaire nourri ! La guerre totale est décrétée ! L’attaque sera groupée, croisée, massive et concentrée. De face, le FMI menace de ne plus verser un prêt vital pour le pays. Sur les flancs, l’agence Fitch dégrade d’un nouveau cran la note souveraine de la Hongrie en catégorie spéculative. Sur les arrières, l’ancien maoïste et président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, par une missive adressée au président démocratiquement élu de la Hongrie « recommande instamment de retirer les deux projets de loi fondamentale qui pourraient être en contradiction avec le traité de l’Union ». Vous noterez le « instamment », fortement impératif, immédiatement suivi du conditionnel « pourraient être ». Ce mélange de fermeté dans l’injonction et d’incertitude quant aux motifs laisse songeur…
De leur côté, les marchés s’affolent et attaquent le florint, les banquiers s’emballent et augmentent le taux des obligations hongroises, les journalistes s’étranglent de furie et saoulent l’Occident de bobards ! Olli Rehn, le commissaire aux affaires économiques, enfonce le clou en rappelant que les fonds de cohésion pourraient être gelés. Même les stars godiches de la chanson pop et les acteurs de seconde zone des sitcoms pour ados analphabètes seront mis à contribution au nom de l’effort de guerre ; avec en fond sonore et monocorde toujours ces éternelles autorités morales qui déroulent, inlassablement, leur lancinant catéchisme des Droits de l’homme… La Hongrie sera assommée à coup de marteau pilon, lynchée rageusement, piétinée par des troupeaux de zébus jusqu’à ce qu’elle cède !
Dans cette affaire, on a vu se liguer ensemble dans une cordiale ingérence des instances supranationales, des institutions internationales, des grandes puissances ainsi que les incontournables marchés. Lois, décrets, ordonnances ont été épluchés sans vergogne… et surtout sans se poser la question de savoir sur quelle légitimité était fondée cette ingérence ? Tous ces traités qu’on nous jette à la figure, ont-ils été dûment ratifiés par référendum ? Faut-il rappeler dans quelle circonstance le traité de Lisbonne, dont l’article 123 est invoqué contre la Hongrie, fut voté ? Au nom de quel mandat Hillary Clinton commande-t-elle à Orban ? Qu’importe ! Après cela, les lyncheurs en chef viendront nous expliquer doctement qu’ils ont évité à la Hongrie une dictature et que la démocratie a, une nouvelle fois, été sauvée in-extremis.
Il nous sera pourtant permis d’en douter… Les réformes entreprises par Victor Orban, légitime élu d’une démocratie parlementaire, ne sont en rien en contradiction avec les principes démocratiques ! En cherchant à reprendre le contrôle de sa monnaie, Viktor Orban accomplit au contraire l’acte démocratique absolu, celui qui consiste à restaurer la souveraineté monétaire en calant sur les intérêts du peuple, et non plus sur celui des banquiers et financiers, les orientations stratégiques de la Banque centrale hongroise. La Hongrie vient d’annoncer qu’elle répondra favorablement aux injonctions de Bruxelles. La Hongrie s’apprête donc à reculer et avec elle, la démocratie en Europe !
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Carl Lang sera en Picardie le mardi 6 mars...
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Revue de presse : Carl Lang cherche des signatures sur les terres du FN
Source Le Figaro.fr cliquez ici
L'arrivée de l'ancien cadre du Front National dans la course à la présidentielle serait en partie à l'origine des problèmes de signatures de Marine Le Pen.
Carl Lang, ancien secrétaire général du Front National, parti en 2009 fondé le Parti de la France, est certain d'avoir ses 500 signatures le vendredi 16 mars afin d'être candidat à la présidentielle. Au nom du PdF, il démarche des centaines d'élus. Le PdF, formé principalement d'anciens piliers du Front National qui ont quitté le navire après que Marine Le Pen en soit devenue vice-présidente, chasse les signatures sur les mêmes terres que le FN. Carl Lang sait y faire: c'est lui qui était responsable de la centralisation des signatures en 2007 pour Jean-Marie Le Pen. À ses côtés se trouve un vieux routier de la collecte des parrainages. Fernand Le Rachinel, imprimeur, est un ancien soutien de Jean-Marie Le Pen. Il se targue d'avoir déjà fait «cinq campagnes électorales»?
La présence de ses spécialistes permet au PdF d'avoir déjà «300 promesses»,affirme la porte-parole Martine Lehideux. Cette ancienne figure historique du FN ne cache pas néanmoins les «grandes difficultés» que représente le démarchage d'élus pour Carl Lang. «Mais nous sommes en pleine action», explique-t-elle. Elle confirme rencontrer les mêmes élus que le FN : «On voit les maires qu'on estime devoir contacter, nous avons bien sûr des listes. En 2002, et aussi en 2007, je me suis occupée de récupérer les signatures pour le FN.» Autre point commun avec Marine Le Pen : elle aussi est favorable à l'anonymat, «qui changerait tout», dit-elle.
Dupont-Aignan chasse aussi sur les terres du FN
Au FN, on reste mesuré sur le poids de Carl Lang dans les difficultés de Marine Le Pen : «C'est logique qu'il cherche sur les mêmes terres», explique Michel Guiniot, responsable des parrainages de la candidate, «mais j'ai eu peu d'écho ou de retour sur le terrain». La concurrence pour Marine Le Pen ne vient pas que de sa droite. Selon Michel Guiniot, «Nicolas Dupont-Aignan aussi va voir les maires qui ont déjà signé pour le Front National». Il reste confiant dans la capacité à recueillir les formulaires, même si cela ne va pas assez vite à son goût: «Cela avance à un train de sénateur. On ne fait que ça toute la journée».
Les déclarations de François Bayrou, qui proposait d'aider le FN à obtenir ses parrainages, est un coup de pouce, reconnaît-il : «Tout contribue à ce qu'un certain nombre de maires s'occupent de la situation», confie Michel Guiniot. Ce mardi, le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur la question prioritaire de constitutionnalité déposée par Marine Le Pen et qui réclame l'anonymat des parrainages.
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Samedi 3 mars, à Paris, Fernand Le Rachinel avec Carl Lang...
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L'ASSASSINAT DU PEUPLE GREC...
Par Michel de Poncins
C'est à un véritable assassinat auquel le monde entier assiste médusé, accompagné d’une véritable humiliation pour ce peuple, la police anti-émeute le matraquant sans pitié. Le meurtre est organisé et, même, célébré par un groupe de gens hétéroclites, sous le vocable imprécis et abusif de « communauté internationale ». Ses membres ont toutefois des points communs, le plus important étant leur adhésion à la démocratie, ce qui ne les gêne pas du tout pour bafouer la démocratie grecque à l'occasion de ces terribles évènements.
Il s’ensuit qu'une fois encore, une rallonge, peut-être pas la dernière, va être accordée par l'Europe qui a déjà déversé beaucoup de milliards dans ce trou sans fond. Personne ne connaît exactement les chiffres qui bougent tous les jours au hasard des négociations. Il est question, pourtant, de 130 milliards s’ajoutant à bien d'autres qui ont déjà été prêtés. C’est en fait une inondation d'argent qui n'existe pas et est créé ex nihilo pour les besoins de la cause.
Ces milliards quels qu'ils soient sont des prêts ; le pays exsangue se ficelle donc par des intérêts condamnant tout effort de redressement. Les prêteurs, États ou Europe, auront de faux bilans avec à leur actif des créances pourries aussitôt que nées
.
Les coupables
En premier lieu se trouvent les politiques grecs qui au sommet appartiennent à quelques familles ennemies-amies se partageant le pouvoir depuis des lustres et exploitant le pays au profit de leur clan. Les privilégiés qui bénéficient de leur soutien échappent à l'impôt et placent leurs actifs dans des paradis administratifs et fiscaux. Le résultat est que l'État n'obtient pas d'impôts des riches et doit frapper les classes moyennes. Le pays est, simultanément, soumis à un socialisme extrêmement tatillon quelle que soit la couleur apparente des gouvernements. Le produit de ces deux facteurs est que l'économie grecque se traîne depuis longtemps alors que l'ingéniosité des Grecs est célèbre dans le monde entier et ne peut s'épanouir normalement. Il en est résulté l'océan de dettes qui justement conduit au drame actuel.
Le FMI est largement responsable. Ce FMI, sous la direction de DSK, a bâti une méthode d'intervention qui a eu des effets médiocres et parfois désastreux dans beaucoup de pays faisant appel à lui. Christine Lagarde a suivi sans barguigner les mauvaises pratiques de DSK !
L'Europe avec, à sa tête, le couple franco-allemand porte une lourde responsabilité. N'oublions pas que les acteurs principaux de cette Europe ont l'œil rivé sur leurs échéances électorales, le sort cruel du peuple grec ne leur important guère.
Les prétextes
Les prétextes invoqués n'ont pas manqué. Le principal était que l'Europe ne puisse admettre qu'un pays de la zone euro et membre de la CEE fasse défaut, quelque soit l'immensité des dettes créés par les prédateurs locaux. Se trouvait aussi affiché le souci de protéger les banques européennes. Ces banques, qui ont accordé des prêts d'une façon aventureuse, ont, d'ailleurs, reconnu leur faute, ayant provisionné les mauvaises créances grecques. Ce raisonnement ne pourrait qu'encourager les mêmes à prêter avec légèreté à d'autres pays en danger.
Autre prétexte, la fausse idéologie européenne. La doctrine officielle est qu'il faut sauver l'euro, lequel n'est qu'un appendice de l'édifice européen ; lors de la création de cette monnaie unique maints analystes avaient prévu qu'elle était vouée à l'éclatement et nous n'en sommes pas loin.
Derrière l'euro se profile l'objectif fondamental de sauver l'Europe. Selon la propagande, l'édifice européen, qui n'en finit pas de se bâtir, serait l'horizon indépassable d'un continent de 500 millions d'habitants. C'est vraiment de la propagande, car maints signe, s'exprimant parfois dans les urnes, montrent que les peuples sont très réticents.
Nous avons souvent montré que l'hydre européenne et son extension permanente ne s'expliquent que par la voracité financière des eurocrates, leur nombre est si grand qu'il est impossible de les dénombrer vraiment. Le prix à payer pour cette cupidité est la ruine pour le continent par les impôts nécessaires et le déluge de lois imposées par l'Europe. Cette ruine se manifeste par la panne de croissance, même si de temps à autre une amélioration survient, ce qui est le cas pour l'année 2011 en France.
Un autre prétexte invoqué est le jugement des marchés. Ceux-ci ne supporteraient pas que la Grèce fasse défaut. Le plus surprenant dans ces péripéties est que les marchés saluent en général favorablement les actions engagées pour sauver la Grèce, comme les « hauts » et les « bas » quotidiens le montrent. Les politiques du sommet ne s'aperçoivent pas ou ne veulent pas voir que les marchés commencent toujours par porter un jugement hâtif. Plus tard vient le jugement définitif et il risque d'être dramatique au vu du champ de ruines qui va en résulter.
Des effets dévastateurs
Les effets dévastateurs ne vont pas tarder à émerger.
Indépendamment de l'assassinat programmé du peuple grec, se trouve la destruction de sa propre richesse : or, industrieux comme il est, il n'y a aucune raison que l'économie de l'Europe se prive de ses potentialités.
Derrière se profile le risque que d'autres pays comme le Portugal et l'Espagne soient à leur tour emportés dans la tourmente. Quant à la France, le premier ministre, François Fillon, a dit qu'elle était en faillite ; la charge insupportable de la Grèce ne peut qu'aggraver sa situation.
Pour prétendument l'aider, les politiques creusent la ruine de l'Europe par les impôts ou l'endettement qui en résulteront.
L'Europe est jugée dans la planète économique mondiale comme un « homme malade », sans d'ailleurs que les analystes en perçoivent bien les raisons profondes. Or, dans des marchés de plus en plus élargis, la pauvreté relative des uns nuit à la richesse des autres. Le capitalisme veut que la richesse ne soit nullement un gâteau fini que l'on se dispute pour avoir une plus grande part : la richesse globale est une construction et la richesse des uns rejaillit sur celle des autres ; la pauvreté fait de même dans l'autre sens.
Enfin, la Grèce affectant surtout l'Europe, nous observons avec tristesse que la Chine, pourtant encore communiste, vient à notre secours.
La conclusion est qu'il ne fallait surtout pas aider la Grèce. En l'aidant les politiques européens ont enfoncé et la Grèce et l'Europe. Si elle n'avait pas été aidée, elle aurait fait défaut depuis longtemps. C'est arrivé à d'autres pays lesquels ont brillamment rejaillit de leurs cendres.
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lundi, 20 février 2012
Perpignan, samedi 25 février, soirée irlandaise à la Casal Europa...
+ d'infos : Terraipoble@yahoo.fr
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NDP INFORMATIONS n°23 (février - mars 2012) est sorti :
NDP INFORMATIONS
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Chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
publiée dans Rivarol
(n°3034 du 17 février 2012)
« Le peuple juif ne se définit pas par la haine des autres. Il se définit par ses valeurs. Nous sommes le peuple qui a apporté au monde deux choses : l’idée de Dieu et l’idée de l’argent. »
Si c’est Attali qui le dit…
L’ancien conseiller de François Mitterrand poursuit de façon grandiose: « L’antisémitisme, c’est l’ingratitude. La grandeur du peuple juif, c’est d’avoir apporté aux autres, même à ceux qui ne veulent pas entendre. C’est un altruisme, non pas intéressé (apparemment il y a des altruismes intéressés… Passons…) mais désintéressé… C’est cette mission qui fait que l’apport de la Loi, de cette générosité, créera une humanité qui survivra, dont le peuple juif sera toujours l’avant-garde. » Atchoum !
Dieu merci, Soljenitsyne est mort
Il est mort, sinon il aurait fini comme Dieudonné. « Il était clairement antisémite et nostalgique de la monarchie tsariste », déclare Alain Corbière, maire adjoint (PG) du XIIème arrondissement, durant la délibération du Conseil de Paris qui vient de décider d’attribuer le nom d’Alexandre Soljenitsyne à une place du XVIe arrondissement. Crime abominable, il est vrai, Soljenitsyne avait écrit un livre « Deux siècles ensemble », qui narre la difficile cohabitation entre le peuple russe et la communauté juive. A lire en Pdf sur le site www.barruel.com. Curieusement, ce livre n’a jamais paru aux Etats-Unis.
Lire la suite de cette chronique
sur le site de Robert Spieler cliquez ici
18:41 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 19 février 2012
Ainsi parlait Europe-Action n°31-32...
“Nous nous révoltons contre la falsification du réel, contre la castration de l’Occident. Nous en appelons à l’esprit total de l’Europe, symbolisé par le mythe de Prométhée, le titan qui déroba aux dieux le feu du ciel, pour donner aux hommes la connaissance et la domination du monde”.
Dominique Venner, Europe-Action, juin-juillet 1965, n°31-32.
“Pour nous, l’Europe est un coeur dont le sang bat à Johannesburg et à Québec, à Sidney et à Budapest, à bord des blanches caravelles et des vaisseaux spatiaux, sur toutes les mers et dans tous les déserts du globe”.
Jean Mabire, Europe-Action, juin-juillet 1965, n°31-32.
Source Terre et peuple Provence cliquez ici
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Au-delà de la Présidentielle : la bataille finale…
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°26 de Synthèse nationale (janvier - février 2012)
Dans l’éditorial de la précédente livraison de Synthèse nationale (n°25 - novembre décembre 2011), j’évoquais l’éventualité de l’arrivée à l’Elysée du candidat socialiste François Hollande et les conséquences catastrophiques pour notre identité et notre liberté qu’auraient l’application de son programme en particulier sur l’attribution du droit de vote aux étrangers. En effet Hollande s’est ouvertement prononcé en faveur de cette mesure suicidaire qui donnerait, dans un premier temps lors des élections locales et régionales mais aussi très rapidement, n’en doutons pas, lors des élections nationales, la possibilité aux partis islamistes qui commencent à s’organiser sur le territoire français de rentrer dans les conseils municipaux, régionaux ou territoriaux et à terme, à l’Assemblée nationale. Quelle aubaine pour ces partis, qui au mieux méprisent et au pire haïssent notre civilisation, que celle de voir la gauche revenir aux affaires.
Si la gauche socialiste et son candidat ont au moins le mérite d’annoncer clairement leurs intentions dans ce domaine, nous ne pouvons que rester dubitatifs sur celles du président sortant. Certes, la perspective de la non candidature (essentiellement faute de militants suffisamment déterminés pour aller à la chasse aux parrainages en sa faveur) de Marine Le Pen, semble redonner des ailes à Nicolas Sarkozy. Son équipe de campagne, Claude Guéant en tête, multiplie les petites phrases afin de draguer l’électorat droitier qui, depuis quelques mois, se donne des frayeurs en lorgnant du côté de l’héritière du Front national. Mais, ne soyons pas dupes, tout cela n’est que mascarade pour endormir les naïfs qui se laissent encore bercer par l’illusion démocratique… N’oublions pas qu’en 2007 Sarkozy promettait à qui voulait l’entendre qu’il allait utiliser le Kärcher pour nettoyer la France de la racaille majoritairement issue de l’immigration, se donnant ainsi l’image du chantre de l’identité nationale. Finalement, ce sont des ministères qu’il octroya à quelques représentants des minorités issues de cette même immigration qu’il comptait ainsi amadouer à son profit. On voit les résultats : en cinq ans l’islam s’est imposée partout en France comme une force conquérante. Merci qui ? Merci M. Sarkozy…
En réalité Hollande et Sarkozy sont tout les deux des représentants des mêmes intérêts dans cette pseudo compétition électorale. Ils préconisent la même politique, à savoir celle que leur dicte l’hyper classe mondialiste dont le seul objectif est l’instauration d’une gouvernance planétaire. Une gouvernance qui dirigerait un monde devenu unicolore, sans ses nations ni ses civilisations, sans ses races et sans ses particularismes, un monde terne et sans saveur dans lequel chaque humain serait réduit à l’état de simple consommateur bien dressé dont la seule raison d’être serait de se laisser gaver afin d’enrichir les comptes des multinationales apatrides. Pour couronner le tout, certains, comme le ministricule UMP Luc Chatel (de l’Education encore appelée « nationale »), vont encore plus loin puisqu’ils remettent en cause l’existence des sexes (fallait y penser…) en faisant la promotion de la théorie dite du gender qui s’attaque à l’identité biologique et sociologique des individus. Bref, le PS comme l’UMP, et leurs candidats interchangeables, n’ont qu’un seul objectif, celui de détruire les fondements de notre civilisation au profit de l’avènement d’une société uniformisée et mondialisée. L’enfer quoi… La première étape vers la réalisation de ce projet funeste étant d’intensifier les mouvements migratoires afin d’accélérer le métissage généralisé.
Cette élection présidentielle est donc une péripétie sans intérêts puisque les antagonismes entre les candidats qui caracolent en tête des sondages n’existent pas. Quant à Marine Le Pen, qu’elle soit candidate ou pas ne change pas grand-chose à la donne puisque son mouvement, à force de rechercher une illusoire respectabilité en édulcorant totalement son programme, a totalement rompu avec sa vocation « révolutionnaire » (si toutefois il en a eu un jour une… cf. l’entretien entre Anne Kling et Robert Spieler réalisé pour Rivarol et repris dans ce numéro de Synthèse nationale), qui faisait jusque là sa force et son originalité.
Face à cette imposture, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. La tâche sera rude, mais elle en vaut la peine. Le choix est simple : soit la France se laisse embobiner dans le projet mondialiste décrit ci-dessus et elle disparaîtra définitivement, soit une force déterminée et conséquente se lève afin de s’opposer réellement et sans concession à cette aventure génocidaire en redonnant à notre nation et à notre civilisation leur grandeur et leur splendeur passées… Vous l’avez deviné, pour notre part, nous optons pour la seconde solution. C’est pour cela que Synthèse nationale et la Nouvelle Droite Populaire, avec nos amis du Parti de la France et du MNR au sein de l’Union de la Droite nationale, et aussi avec l’ensemble des mouvements, journaux et associations qui partagent avec nous cette volonté inébranlable de combattre l’hydre mondialiste nous nous mobilisons dès maintenant pour la grande bataille finale !
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samedi, 18 février 2012
Ainsi parlait Europe-Action n°30...
“Le véritable sens de notre lutte apparaît de plus en plus clairement : c’est la défense de l’individu contre les robots et, par conséquent, celle des patries contre l’universalisme. Pour nous, chaque homme et chaque nation possèdent une personnalité irréductible (…) Le nationalisme, c’est d’abord reconnaître ce caractère sacré que possède chaque homme et chaque femme de notre pays et de notre sang. Notre amitié doit préfigurer cette unanimité populaire qui reste le but final de notre action, une prise de conscience de notre solidarité héréditaire et inaliénable. C’est cela notre socialisme”.
Jean Mabire, Europe-Action, juin 1965, n°30.
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Dimanche soir, sur Méridien zéro...
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jeudi, 16 février 2012
SALAZAR LE REGRETTE... Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat publié par Les Bouquins de Synthèse nationale...
Antonio de Oliveira Salazar, chef du Portugal nationaliste, l’Etat nouveau, de 1926 à 1968. Peu connu des nationalistes français il transforma ce petit pays, fort d’un empire gigantesque que beaucoup trouvaient anachronique et que certains convoitaient, en une nation moderne. Et, 40 ans après sa mort, 41% des Portugais le considèrent comme le plus grand de leurs compatriotes, devant le navigateur Vasco de Gama… Loin des clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique, cette biographie que nous propose Jean-Claude Rolinat remet les choses à leur place.
SALAZAR, le regretté… Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 €
Préfacé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et postfacé par Duarte Branquinho, directeur de l'hebdomadaire nationaliste portugais O Diablo.
Bulletin de commande cliquez ici
Vous pouvez aussi le commander à La Librairie française (rubrique biographies) cliquez là
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mercredi, 15 février 2012
Les Blancs et les Rouges, livre indispensable de Dominique Venner, est en vente à la Librairie française...
La seule histoire complète de la révolution et de la guerre civile russe.
C'est là, entre 1917 et 1921, que tout a commencé.
Dominique Venner fait commencer cette histoire à ses origines : la Première Guerre mondiale. Puis, après les improbables révolutions de Février et Octobre 1917, il retrace ce que fut la plus délirante et sanglante des guerres civiles. Pendant trente mois, jusqu'en 1921, elle opposa les Blancs et les Rouges du Caucase à la Sibérie, dans le pays le plus grand de la Terre, sillonné par les trains blindés, les sinistres commissaires bolcheviques et les cosaques ivres de sang. Plusieurs fois, les Blancs auraient pu l'emporter. À lire Dominique Venner, tout devient limpide. Et là encore, les inattendus de l'histoire nous prennent à la gorge.
Certes, le régime communiste né entre 1917 et 1921 n'existe plus, englouti par son propre échec. Mais on ne peut rien comprendre à la Russie d'aujourd'hui si l'on ne sait pas d'où elle a procédé.
Les Blancs et les Rouges, Dominique Venner, Histoire de la guerre civile russe 1917 1921, Editions du Rocher, 520 pages, 2007, 26,50 €, pour l'acheter, cliquez ici
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mardi, 14 février 2012
Dimanche prochain, 17 février, Anne Kling sera l'invitée du Libre TeamSpeak...
Le dimanche 19 février à 21h nous recevrons Anne Kling, auteure de plusieurs livres traitant des lobbys communautaires, notamment La France LICRAtisée, préfacé par Alain Soral, dans lequel elle démonte complètement cette organisation crée de toutes pièces par des militants communistes dans les années 1920.
Elle viendra nous présenter son nouvel ouvrage à travers une conférence éponyme intitulée FN... Tout ça pour ça ! cliquez ici
Vous pouvez découvrir le travail d'Anne Kling en écoutant son intervention lors de la dernière Table ronde de Terre et peuple cliquez ici
Plus d'informations : cliquez là
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lundi, 13 février 2012
CARL LANG EN MEETING A MARSEILLE SAMEDI DERNIER...
18:36 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 12 février 2012
"Ma vie pour la Patrie" le nouveau livre de Lajos Marton...
Lajos Marton est connu en France pour avoir été l’un des trois hongrois ayant participé à l’attentat du Petit-Clamart, qui manqua de peu le 22 août 1962 d’ôter la vie au Général De Gaulle, alors président d’une France secouée par le drame de la guerre d’Algérie finissante. Pour cela, Lajos Marton sera condamné à mort.
Il livre dans cet ouvrage richemment illustré le récit haut en couleurs de son existence mouvementée qui le mènera de l’insurrection de Budapest jusqu’au Tchad, toujours au service de son idéal et de ses principes.
Une vie qui le lit comme un roman d’aventures… Un appel au courage, à l’insoumission et à la fidélité.
Ma vie pour la Patrie, Lajos Marton, Les Amis du livre européen, 376 pages, 23,00 €
En vente à la Librairie française cliquez ici
Regarder aussi sur La Flamme cliquez là
Lire, ou relire, l'entretien accordé par Lajos Marton à Synthèse nationale (n°6 - hiver 2007 2008) cliquez ici
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Conférence de Synthèse nationale à Paris samedi dernier : vers la reconstruction du mouvement national...
Samedi 11 février, tout au long de l’après-midi, Synthèse nationale organisait à l’Espace Dubail à Paris une conférence sur l’évolution de la droite nationale entre 1968 et 2012. Sujet qui tombe en plein dans l’actualité à quelques mois de la présidentielle et des législatives. Plus de 150 personnes ont assisté à cette conférence.
Pourquoi avoir décidé de prendre 1968 comme année de départ de cette conférence ? Tout simplement parce que, en 1968, la Droite nationaliste était au fond du gouffre, sans structures ni mouvements capables de récupérer « les évènements » qui marquèrent les mois de mai et juin de cette année-là.
Thomas Joly, Robert Spieler, Roland Hélie et Jérôme Bourbon
(Photo Altermedia)
Tout d’abord, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, a fait un historique du mouvement national depuis cette date. Il expliqua comment la Droite nationale, après bien des péripéties, a fini, au début des années 80 à sortir de la marginalité. Cette sortie de la marginalité étant l’aboutissement d’années de travail des militants des différentes organisations qui avaient maintenu le flambeau pendant cette période
Deuxième intervenants, Jérôme Bourbon, le directeur de Rivarol, se livra à une brillante analyse de la situation politique actuelle. Mettant en garde les nationaux sur l’éventualité de l’arrivée de François Hollande à l’Elysée, arrivée au pouvoir qui se traduirait par l’attribution du droit de vote aux étrangers, la légalisation des mariages homos, l’augmentation de la fiscalité… Notre refus de Sarkozy ne doit pas nous conduire à une admiration subite pour Hollande a indiqué l’éditorialiste de l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne. Pour lui, la Droite nationale ne doit pas non plus se laisser abuser par les problèmes que rencontre la candidate Marine Le Pen pour rassembler ses signatures. La situation dans laquelle se trouve le FN n’est que la résultante de l’incapacité et des erreurs accumulées de sa direction actuelle. Celle-ci porte une large part de responsabilité en ayant cru que la dédiabolisation et la quête effrénée de la respectabilité auraient suffit pour faire de Mme Le Pen une candidate crédible. A la trahison du FN, il est temps de proposer aux nationaux, aux nationalistes et aux identitaires, une alternative. Celle-ci est en train de s’organiser autour de l’Union de la Droite Nationale. S’il y a un exemple à suivre en Europe aujourd’hui, c’est vers la Hongrie qu’il faut tourner les yeux : Jobbik, le parti nationaliste magyar, qui refuse toutes compromissions avec le Système et la dictature de la pensée unique, nous montre la voie à suivre…
Cette nouvelle espérance que représente désormais l’Union de la Droite Nationale, c’est Thomas Joly, le jeune et dynamique secrétaire général du Parti de la France, qui l’incarnait à la tribune. Au cours de son discours chargé d’espoirs, il enflamma l’assistance en annonçant que Carl Lang venait de passer la barre des 250 promesses de signatures. Il faut redoubler notre effort et bientôt nous pourrons peut être ainsi relever le défis. Et, quoiqu’il en soit, au-delà de la Présidentielle, c’est sur le long terme que nous devons inscrire notre action. Le combat électoral, indispensable certes, ne peut être victorieux que s’il est accompagné par le combat culturel et le combat social. Tout est à refaire, c’est à cette tâche indispensable, si l’on veut que la France et l’Europe continuent à exister en tant que telles, que nous allons nous atteler. Après la partie historique de cette conférence de Synthèse nationale faite par Roland Hélie et après l’analyse politique de Jérôme Bourbon, Thomas Joly a démontré pourquoi le combat pour rendre la France aux Français était plus nécessaire que jamais.
Une pose d’une demi-heure au cours de laquelle les participants purent visiter les stands présents (celui de Synthèse nationale et la Nouvelle Droite Populaire, efficacement tenu par Phillip Graf, bien sûr, mais aussi Terre et peuple, Troisième voie qui présentait son nouveau mensuel Salut public, les journaux Rivarol et Militant), acheter et se faire dédicacer le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat, Salazar le regretté… consacré à la vie du chef du Portugal nationaliste (Les Bouquins de Synthèse nationale, 156 pages, 18,00 €) ainsi que le livre que vient de consacrer Anne Kling à la curieuse évolution du Front national (FN : tout ça pour ça… Editions Mithra, 250 pages, 18,00 €). Parmi le public, notons la présence de Pierre Sidos, fondateur de l’œuvre française, Gabriele Adinolfi, directeur de l’institut romain Polaris, François Ferrier, membre de la direction nationale de la NDP, de Pierre Descaves, ancien député, de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, le Marquis écrivain et journaliste…
Pierre Vial, Robert Spieler, Anne Kling et Roland Hélie.
(Photo Altermedia)
La seconde partie de la conférence débuta par l’intervention de Pierre Vial, Président de Terre et peuple. Celui-ci rappela le rôle déterminant joué, au cours des années 70 et 80, dans la reconquête culturelle par ce qui fut alors appelé la Nouvelle Droite. Pierre Vial sait de quoi il parle puisqu’il était secrétaire général du GRECE, la formation centrale de cette Nouvelle Droite. Il insista, non sans raisons, sur la nécessité de doter l’Union de la droite nationale d’un laboratoire d’idées digne de ce nom qui regrouperait toutes les compétences issues des différentes composantes de l’UDN, ainsi que, éventuellement, des spécialistes venus d’ailleurs afin de constituer le socle idéologique de ce que sera la Droite nationale de demain. Cette idée suscita l’enthousiasme de l’auditoire et Pierre Vial s’est proposé de la présenter, dans les semaines qui viennent, aux dirigeants des différents mouvements membres de l’Union. Voilà un projet concret qui mérite d’être réalisé. Cela évitera peut être dans l’avenir toutes les dérives du type de celles auxquelles on assiste actuellement au FN.
Le FN justement… Il était difficile d’envisager une telle réunion sans en parler. Pour cela, nous avons invité Anne Kling, écrivain qui a déjà écrit plusieurs ouvrages qui font références, en particulier sa remarquable France licratisée, publiée en 2007 (Editions Mithra, 251 pages, 18 €), qui démonte complètement le système de l’officine antiraciste à la solde du communisme international. Lors de la sortie de ce livre, Synthèse nationale avait organisé une conférence à paris et Anne Kling est intervenue à plusieurs de nos journées nationales et identitaires annuelles. Interrogée par Robert Spieler, chroniqueur à Rivarol et Délégué national de la NDP, Anne Kling démontra point par point comment les différentes étapes de la dédiabolisation orchestrée par Marine Le Pen depuis 2002 ont conduit le FN à rompre avec ce qui était sa raison d’être : incarner politiquement la Droite nationale française. Aujourd’hui, n’en déplaise à certains, le FN n’a plus aucune légitimité au sein de notre famille politique. Son discours et ses mœurs le place aux antipodes de notre conception des choses. La lecture du livre d’Anne Kling est indispensable à quiconque veut comprendre cette funeste évolution...
Plus que jamais l’émergence d’une force nouvelle capable de redonner sa place et toute sa place à la Droite nationale est indispensable pour notre pays. C’est dans cette perspective que, depuis sa création en 2006, Synthèse nationale œuvre quotidiennement.
Pour vous procurer le livre d'Anne Kling, ou celui de Jean-Claude Rolinat, cliquez ici
17:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une journée réussie pour Carl Lang dans les Bouches-du-Rhône...
Samedi 11 février 2012 Carl LANG était présent dans les Bouches du Rhône.
Le matin, notre candidat à l'élection Présidentielle, pour l'Union de la Droite Nationale, a participé à une distribution de tracts sur le marché de Marignane accompagné de Alde Vinci candidats aux élections législatives dans la douzième circonscription des Bouches du Rhône où l'accueil fut très chaleureux surtout avec une température de -5°.
Le marché terminé, notre Président a pu donner une interview d'une heure au journal La Provence autour d'un café en présence des militants de l'UDN.
Vers 12h00 Carl Lang a été reçu au Cercle National des Combattants à Marseille où de nombreux militants l'ont attendu pour partager un repas et un discours en compagnie de Michèle Carayon, Ronald Perdomo, Françoise Guardia et Hubert Savon.
Carl Lang a réaffirmé que nous devons combattre tous ceux qui ont participé au déclin de la France et que nous sommes le dernier rempart à l'islamisation de notre Pays.
Source Richard Bonacase cliquez ici
17:42 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Belgique : Tintin au Congo restera en vente !
Par Yves Darchicourt
Pâle de rage Bienvenu Mbutu Mondondo ! Cela faisait près de 5 ans que ce citoyen de la République Démocratique du Congo pérégrinait en Belgique pour tenter de faire juridiquement interdire "toute exploitation commerciale, diffusion, distribution et impression de Tintin au Congo" par les Editions Casterman et la S.A Moulinsart au motif que cet album du génialissime Hergé - par ailleurs le plus vendu des aventures de Tintin - véhiculerait des clichés racistes de l'époque coloniale fort préjudiciables aux "personnes à la peau noire"
Rejoint dans sa croisade tintinophobe par l'association française du CRAN (Conseil Représentatif des Institutions Noires) Bienvenu espérait beaucoup du Tribunal de Première Instance de Bruxelles qui... vient de le débouter: " La demande du ressortissant congolais a été jugée non fondée " a arrêté le Tribunal qui précise que la loi belge contre le racisme ne peut s'appliquer que s'il y a "intention discriminatoire" et que " vu le contexte de l'époque Hergé ne pouvait pas être animé d'une telle volonté". Et vlan ! Bienvenu broie du noir, il va devoir se chercher une autre tête de turc pour passer le temps !
00:14 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 10 février 2012
TINTIN N'EST PAS RACISTE... QU'ON SE LE DISE.
La justice belge a refusé, vendredi 10 février, d’interdire la commercialisation de la bande dessinée Tintin au Congo, estimant non fondée l’action intentée par un ressortissant congolais qui jugeait l’oeuvre d’Hergé raciste.
Source cliquez ici
23:55 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi 11 février, Marseille a rendez-vous avec Carl Lang :
09:02 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 09 février 2012
Carl Lang : « L’étatisme n’est rien d’autre qu’une des facettes du collectivisme et du socialisme »
Un entretien avec Carl Lang
publié dans Nouvelles de France cliquez là
Élection présidentielle. En 2012, les électeurs nationalistes et protestataires pourraient avoir le choix entre Marine Le Pen et… Carl Lang. Le président du Parti de la France (1), qui forme, avec deux autres petits mouvements (2), l’Union de la droite nationale (site), est candidat à l’élection présidentielle. Mardi, Carl Lang affirmait avoir « déjà recueilli plus de 300 promesses de parrainages de maires ». Entretien.
Carl Lang, pourquoi vous présenter en 2012 ? Pourquoi ne pas avoir choisi de faire front commun avec le Front national de Marine Le Pen ? Ne croyez-vous pas que votre candidature puisse être instrumentalisée par l’Élysée contre le FN ?
La quasi censure médiatique dont je suis l’objet, entre autre dans le quotidien sarkozyste Le Figaro, est la démonstration que je ne suis l’instrument de personne et désormais le seul candidat totalement exclu par le système médiatico-politique en place. Des concessions médiatiques ont été accordées de fait aux partis du système, et personne n’est en droit de contester les monopoles acquis. Le régime en place est certainement républicain, mais en aucun cas démocratique.
Je fais acte de candidature à cette élection présidentielle afin de porter notre projet de droite nationale et européenne qui n’est aujourd’hui défendu par aucun autre candidat. N’étant ni étatiste, ni laïciste, ni porté à la démagogie socialisante, mes idées ne sont évidemment pas représentées par Madame Le Pen. Je n’ai par ailleurs aucune confiance, ni en son entourage, ni en ses méthodes.
Définissez-vous votre candidature comme nationaliste ? Comment expliquez-vous que beaucoup de Français aient peur du nationalisme et l’assimilent à une doctrine violente ? Comment définiriez-vous le nationalisme ?
Je suis le candidat de la droite nationale et européenne et je considère que le grand enjeu de ce siècle sera un enjeu de civilisation. En conséquence, je souhaite tout à la fois défendre notre héritage historique et culturel national et nos valeurs de civilisation, européennes et chrétiennes. Le principe national du XXIe siècle doit s’inscrire, selon moi, dans une volonté affichée d’affirmer nos identités, provinciales, nationales et européenne sans les opposer les unes aux autres. Les défis à relever sont communs à tous les patriotes des nations d’Europe. C’est la raison pour laquelle je continue à défendre un modèle à reconstruire d’une Europe des nations souveraines et des peuples libres, d’une Europe européenne et indépendante instaurant de surcroît un lien privilégié avec la fédération de Russie.
Je définis l’identité nationale comme la communion naturelle, historique, culturelle et spirituelle entre le peuple de France et la terre de France. Je considère que le peuple français, au même titre que les autres peuples du monde, a le droit et le devoir de rester lui-même et de refuser la colonisation migratoire dont il est victime. Le principe national est aujourd’hui le garant de l’identité nationale, de l’unité nationale et donc de la paix civile. C’est la destruction organisée de la France française qui porte les germes de la guerre civile et des affrontements ethniques.
Où en est votre collecte de signature ? Quel score espérez-vous ?
Je reste confiant quant à la possibilité d’être candidat. Le jour où les Français découvriront qu’existent le Parti de la France et l’Union de la Droite Nationale, alors tout sera différent et les perspectives électorales apparaîtront. C’est d’ailleurs la raison principale de l’exclusion médiatique dont nous sommes victimes. Lorsqu’on affronte les partis du système, ils défendent leurs privilèges et leurs avantages acquis.
Votre revendication n°1 porte sur l’immigration. Sur quoi se base votre opposition à l’immigration ? Est-il réaliste aujourd’hui de prôner l’immigration zéro ? Même Marine Le Pen semble reconnaître que ce n’est pas le cas…
En effet, la candidate Le Pen propose de réduire en 5 ans l’immigration nouvelle de 200 000 entrées à 10 000, ce qui revient à laisser entrer en 5 ans 420 000 nouveaux immigrés. Je considère quant à moi que les politiques d’immigration sont depuis 35 ans contraires à l’intérêt national et sont la cause principale de la ruine de la France et de l’insécurité des Français. Il faut donc immédiatement mettre un terme à l’immigration extra-européenne et mettre en place une politique de retour au pays ainsi qu’une réforme du code de la nationalité mettant fin à l’acquisition automatique de la nationalité pour les étrangers nés en France. La question qui se pose n’est d’ailleurs plus celle de l’immigration, mais celle de la colonisation migratoire, culturelle et islamique de la France et de l’Europe occidentale. Le problème a changé de dimension et de nature après trois décennies de politiques antinationales. Au rythme migratoire et démographique actuel, le peuple français sera minoritaire chez lui avant la moitié du siècle et le remplacement de population sera accompagné par un remplacement culturel et un changement de civilisation. Vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation et la charia !
« Je souhaite remplacer la loi Veil
par une loi d’accueil de la vie »
Comment proposez-vous de réduire le déficit français ? Proposez-vous plus d’État ou moins d’État ?
La dette publique française, qui est aujourd’hui colossale, n’est rien d’autre que l’addition de tous nos déficits budgétaires cumulés depuis les années 80 et ce, à tous les échelons administratifs et sociaux ; Les démagogues et irresponsables qui ont dirigé l’État mais aussi les communes, les conseils régionaux et généraux et les caisses de sécurité sociale ont fait vivre la France à crédit. Le crédit facile au service de la démagogie sociale et électoraliste a fait les beaux jours de la caste dirigeante. Aujourd’hui, la fête est finie et les Français vont devoir payer la note. Il est vrai, cependant, que les peuples ont les gouvernements qu’ils élisent et que personne n’a obligé les Français à voter pour les fossoyeurs de la France.
La règle d’or à mettre en œuvre est de réduire les dépenses publiques aux seules dépenses ayant un effet économique et un effet sur l’emploi ; Il faut en finir avec tous les gaspillages, les dépenses de prestige, de communication et de copinage. Il faut d’abord que ce soient les collectivités et l’État qui se serrent la ceinture et qui montrent l’exemple plutôt que d’organiser la persécution fiscale des Français qui travaillent et qui épargnent.
La deuxième règle d’or est la mise en place du patriotisme social, c’est-à-dire une politique sociale et familiale qui bénéficie exclusivement aux Français.
La troisième règle d’or est le rétablissement de la préférence communautaire dans les traites et les politiques européennes ainsi que l’établissement de la préférence nationale, puis européenne à l’embauche. Il faut produire français, en France avec des Français !
La quatrième règle d’or est la pratique de la régulation commerciale en réponse à la dictature du libre-échange et du marché ouvert. La concurrence commerciale ne se conçoit que si elle est loyale et protégée de toutes les formes de dumping (social, fiscal, monétaire…) La régulation commerciale est la mise en pratique de règles d’échanges équilibrés et contrôlés qui nous mettrons à l’abri des prédateurs commerciaux. Il ne suffit pas de réguler la finance internationale, il faut réguler le commerce international.
Dans ce contexte l’État doit assumer ses fonctions régaliennes et de contrôle. Mais l’étatisme n’est rien d’autre qu’une des facettes du collectivisme et du socialisme. Nous voulons restaurer l’autorité de l’État, mais nous voulons que l’État reste à sa place et cesse de voler les français de leurs revenus et de leur épargne.
Quelle est votre opinion sur les problématiques suivantes : « mariage » homosexuel, ISF, écoles hors contrat ?
Le principe de l’ISF est une stupidité économique ; Taxer les revenus du capital ou du patrimoine est une chose normale, taxer le patrimoine, même s’il ne produit pas de revenus est une aberration.
La liberté de l’école est un droit familial fondamental. Il n’y a que dans les systèmes étatistes et totalitaires que l’enfant appartient à l’État. L’éducation des enfants est d’abord de la responsabilité des familles.
Je suis hostile au mariage homosexuel, à l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, au PaCS et à la polygamie. Je considère que le mariage est l’union d’un homme et d’une femme. Je souhaite remplacer la loi Veil par une loi d’accueil de la vie, par un statut de la mère de famille et par une loi d’adoption prénatale. Il existe des valeurs qui ne sont pas négociables. C’est aussi cela l’enjeu de civilisation…
(1) La direction du Parti de la France est composée d’anciens cadres du Front national déçus par ses nouvelles orientations.
(2) le Mouvement national républicain et la Nouvelle droite populaire.
23:24 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 07 février 2012
Ils sont morts un 6 février, c'était en 1934...
Le 6 février 1934, à l'appel des mouvements nationalistes des dizaines de milliers de parisiens ulcérés par les scandales successifs qui finissent de salir la IIIe République agonisante sont réunis Place de la Concorde. Soudain, la démocratie parlementaire prend peur. La police tire dans la foule :
On compta vingt-deux morts chez les manifestants (sur le coup ou des suites des blessures dans les jours qui suivirent), un du côté de la police, deux cent cinquante-huit blessés graves chez les manifestants, quatre-vingt-douze dans la police.
Six d'entre eux étaient liés à l'Action française, il s'agit de : Alphonse Aufschneider, vingt-sept ans, valet de chambre, ligueur d'Action Française, tué d'une balle au coeur ; Costa Cambo, quarante-deux ans, allié d'Action Française, chômeur ; Raymond Lalande, 24 ans ; Jules Lecomte, trente-cinq ans, ouvrier chez Renault, mort d'une balle dans le ventre, ligueur et Camelot du roi ; Charles Liévin, 34 ans ; Georges Roubaudi, trente-six ans, industriel, ligueur et membre de l'Association Marius Plateau.
Pour les autres, on ne dispose pas de leur appartenance politique : Raymond Coudreau 49 ans, Louis Ethevenaux 26 ans, Jean-Eloi Fabre 21 ans, Lucien Garniel 16 ans, Corentin Gourland 34 ans, André Javey 39 ans, Marius Labouchaix 42 ans, Henri Lammert 31 ans, Ali Mezziane 28 ans, Jean Mopin 24 ans, Albert Munnier 27 ans, Gratien de Noblens 55 ans, René-Alain Peuzier 29 ans, Raymond Rossignol 37 ans, Alfred Soucary 30 ans, Henri Vaury 29 ans.
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