Hollande vs Trierweiler : les portes auraient claqué à l'Elysée !

Yves Darchicourt

C'était trop beau pour être vrai ! La rupture bête et brutale du couple élyséen censée s'être déroulée dans une dignité pontificale ne serait finalement qu'une version très édulcorée de la scène qui aurait fait trembler les murs du bureau présidentiel le 10 janvier dernier. On sait que, fait aux pattes par un paparazzi, Pépère s'est vu contraint d'avouer ses escapades libidineuses à la maîtresse en titre dont le moins que l'on puisse dire est qu'elle a un caractère difficile. Muée en un instant en énergumène, la dame aurait chargé l'infidèle avant de briser meubles et bibelots (3 millions€ de mobilier national), d'être piquée au calmant et envoyée en clinique.

C'est du moins la rumeur qui court et enfle sur Internet. En attendant une éventuelle réaction de l'Elysée, on ne peut que supposer qu'il n'est pas après tout impossible que, d'un seul coup publiquement reléguée au rôle de la ridicule d'un trio vaudevillesque, Valérie Trierweiler ait pu en un éclair réaliser qu'elle risquait de perdre une position laborieusement acquise à la force du coup de reins et de voir passer l'image insupportable d'une plus jeune gourgandine qu'elle nimbée de l'auréole de "première dame de France".

La Trierweiler vociférant style harpie et donnant dans le vandalisme ne ressort peut-être pas de la fiction pure quand on se remémore avec quelle ardeur possessive et quelle hargne revancharde la dame avait cru bon de se manifester lors de l'annonce des résultats de l'élection présidentielle (photo).

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