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dimanche, 09 février 2014

FemHaine : les mantes religieuses...

Synthe-se nationale_33_couv.jpgGeorges Feltin-Tracol

Article publié dans

le n°33 (sept. oct. 2013)

de la revue Synthèse nationale

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Les mantes religieuses sont ces insectes diurnes de 5 à 8 centimètres de long. Leur réputation repose sur l’élimination des mâles lors de l’accouplement. Depuis quelques mois, cette espèce a pris une forme humaine : les Femen.

L’analogie entomologique n’est pas fortuite. Le 12 mai 2013, à l’occasion du défilé en l’honneur de Jeanne d’Arc à Paris, le cortège le plus imposant regroupant Troisième Voie, Synthèse nationale, la N.D.P., Europe Identité, France nationaliste, etc., fut perturbé par l’irruption depuis un balcon d’un appartement loué en permanence par le ministère de la Culture d’une banderole de ces FemHaine sur laquelle était écrite en anglais « Sextermination pour le nazisme ». Cette expression incite à penser que ces femmes seraient prêtes à user de tous leurs charmes pour éradiquer tous les suppôts de la « Bête immonde » (qu’elles ignorent être à l’origine sociale-démocrate…).

Femen désigne en latin la cuisse. Les FemHaine - ainsi convient-il d’écrire de cette façon ces auxiliaires du Système - apparaissent en Ukraine en 2008. Lancé par quelques militantes libertaires et féministes, le mouvement prend acte de l’échec patent de la « Révolution Orange » pro-occidentale. Le président ukrainien pro-atlantiste, Viktor Iouchtchenko, combat son Premier ministre, Ioula Tymochenko, sous les yeux du « pro-russe » Parti des régions de Viktor Ianoukovytch. Les premières FemHaine dénoncent la corruption généralisée et radicalisent leurs actions médiagogiques en exhibant leurs seins nus. L’élection à la présidence de Viktor Ianoukovytch cristallise leur notoriété médiatique.

C’est probablement au cours de cette période que le noyau dirigeant autour de l’idéologue Anna Hutsol, d’Oksana Chatchko et d’Alexandra « Sacha » Chevchtchenko est approché par quelques officines para-atlantistes désireuses de les aider. L’origine de leur financement reste toujours obscure et suppose, malgré des leurres et de nombreux démentis, un appui extérieur (1). Après quelques années d’« incubation idéologique et pratique » en Ukraine, les FemHaine investissent l’Occident où elles versent dans la russophobie.


Elles acquièrent une célébrité rapide grâce à des actions abjectes, particulièrement en France et en Belgique (attaque contre les manifestants de Civitas, le 18 novembre 2012, profanation des cloches à Notre-Dame de Paris le 12 février 2013, singerie grotesque et indécente du geste de Dominique Venner le lendemain de sa mort volontaire sur le lieu même…). Leur présence dans l’Hexagone n’est pas un hasard. C’est en effet en France que les mentalités résistent le plus au Diktat du libéralisme total. Certes, les FemHaine clament leur esprit libertaire, anti-capitaliste et révolutionnaire : elles se sont manifestées à Davos pour garder une certaine image contestataire. Mais ce n’est qu’illusion. Leurs cibles habituelles dénotent d’une conception assez proche du choc néo-conservateur yankee des civilisations.

Si on se penche sur leur dessein final, on remarque que cette organisation stipendiée par le Capital apatride et le gouvernement de Flamby entend supplanter les relations humaines actuelles par un nouveau matriarcat - ou pis - par une clitocratie totalitaire digne des mantes religieuses.

Principale figure médiatique du groupe installé en France, Inna Chevchtchenko (les indications sont contradictoires concernant une éventuelle parenté avec Sacha) assume un extrême féminisme, véritable sexisme inversé. Elle proclame « la suprématie des femmes. Parce que les discriminations et les inégalités qui frappent les femmes sont si importantes par rapport aux hommes que, pour atteindre l’égalité, il faut nous donner plus. […] Il faut une société où les femmes ont plus de pouvoirs que les hommes ! (2) » Ce discours anti-masculin puise chez l’Allemand August Bebel, auteur en 1883 de La femme et le socialisme, condamne le patriarcat dont l’influence irradierait toute la société occidentale depuis des millénaires. La féminisation en cours de la société magistralement décrite par Éric Zemmour et Alain Soral (3) ne serait qu’un machiavélique rideau de fumée.

À l’initiative de Galia Ackerman, très hostile aux présidents Vladimir Poutine et Alexandre Loukachenko, un manifeste des FemHaine a été publié en   français (4). Dans ce bouquin à la logorrhée indigeste, il est clairement précisé que « l’objectif [est] la victoire totale sur le patriarcat ». Les FemHaine croient en effet vivre « dans une société d’occupation masculine économique, culturelle et idéologique. Dans ce monde, la femme est une esclave privée de tout droit de propriété et, en particulier, du droit de propriété sur son propre corps ». Remarquons qu’elles ne se prononcent pas sur la P.M.A. et la G.P.A. alors qu’il est raisonnable de supposer qu’elles y sont favorables. Contre la domination mâle particulièrement représentée par les religions, en premier lieu par les Églises catholique et orthodoxe, ces demoiselles aux seins nus, farouches matérialistes athées, revendiquent un « sextrémisme ». Sous ce vocable abscons se cache une « sexualité féminine qui s’est insurgée contre le patriarcat en s’incarnant dans des actes politiques extrêmes d’action politique (5) ».

Dans l’Hexagone de Flamby, le « sextrémisme » est facile pour leurs autrices (mot datant du XVIIe siècle) puisqu’il existe une incroyable complicité entre elles et les organes du pouvoir en place. Iseul, une étudiante en droit de 21 ans, s’est infiltrée plusieurs mois parmi elles. Elle y a découvert des connivences étroites avec le Régime. « Sur le terrain, l’intervention de la police est un moment-clé. Les militantes ont ordre de demeurer sur le “ théâtre d’opération ” jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre. “ Inna [Chevtchenko, la fondatrice] le répète sans cesse : la police n’est pas notre ennemi mais un partenaire, un moyen de faire des images, du bruit médiatique ” (6). »

La complicité entre ces « mantes (anti-)religieuses et les autorités hexagonales du désordre établi est donc avérée. Certes, le 4 juillet 2013, des FemHaine manifestant trop près de l’Élysée ont enfin été mises en garde à vue pendant 24 h. La veille du défilé militaire, le 14 juillet 2013, la police allait les voir pour leur demander de ne pas perturber le défilé militaire. Mais ces interventions timides n’effacent pas le laxisme qui leur est accordé. Inna Chevchtchenko, arrivée en France fin août 2012 avec un visa de tourisme juste après avoir tronçonné une croix en bois géante sur la place d’Indépendance à Kiev, le 17 août, a bénéficié du statut de réfugié politique, le 9 avril 2013. Bien entendu, Edward Snowden est ignoré par le gouvernement de fait de l’Hexagone qui préfère soutenir la responsable d’un acte de vandalisme. « France, terre d’asile politique ou psychiatrique ? (7) » C’est une bonne question.

Interdites officieusement de manif le 14 juillet, les FemHaine n’ont quand même pas perdu leur journée puisque sortait ce jour-là un nouveau timbre postal à leur effigie. « Femen est devenu le nouveau prototype d'un symbole officiel de la France. Le timbre-poste représentant Marianne en Femen a gagné la compétition nationale et est devenu l'un des symboles de la République Française. 

La lutte intransigeante de Femen contre le patriarcat, l'esthétique du Sextrémisme, la beauté et le charme d'Inna Chevtchenko ont inspiré l'artiste et militant français Olivier Ciappa pour créer une nouvelle interprétation du personnage de lutte de la Révolution française - la grande Marianne aux seins nus. 

À chaque nouveau quinquennat, le jour de la fête nationale, un concours est organisé dans les lycées pour désigner la nouvelle Marianne, et parmi des centaines de participants, trois finalistes sont sélectionnés. Ensuite le jour de la fête nationale, chaque nouveau président français choisit une représentation de Marianne, et l'image officielle le reste pendant 5 ans. 

Hier, le président François Hollande a choisi la Marianne réalisée par l'artiste Olivier Ciappa. 

Les commentaires d'Olivier : “ Pour moi, c'est un mélange plusieurs femmes connues, mais en grande partie c'est Inna Chevtchenko, la fondatrice des Femen. Elle représente parfaitement mes valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité que doit avoir Marianne ” (8). »

Cette étonnante tolérance de la part des autorités se retrouve à l’échelle européenne. Un dénommé Nils Mviznieks, commissaire (néo-soviétique ?) aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, a rendu le 16 avril dernier, un rapport dans lequel il suggère l’interdiction du mouvement nationaliste radical hellène Aube dorée. « Il faut comprendre, écrit-il, que la violence raciste (sic !) d’Aube dorée n’est pas comparable à celle d’un parti anarchiste par exemple. Elle s’attaque au fondement démocratique en refusant la notion d’égalité (9). » Amazones décaties de l’égalité perverse, les FemHaine sont intouchables comme le sont les hordes d’anti-fa, nouveaux sicaires du politiquement correct.

Ailleurs, une telle prévenance institutionnelle est plus rare. En septembre 2011, des FemHaine ukrainiennes osèrent brocarder à Minsk l’excellent président biélorusse Loukachenko. Elles furent immédiatement arrêtées. Si elles avaient été au Pakistan ou en Afghanistan, il est plus que probable qu’elles auraient été violées et exécutées. Fut-ce le cas en Biélorussie ? Nullement ! Après plusieurs heures d’interrogatoires, on expulsa ces extrémistes. Un bien bel exemple de respect par les forces d’un authentique ordre public de l’État de loi.

Constatant que leur activisme se trouve contré en France par des réactions vigoureuses multiples (occupation de leur local subventionné par la mairie de Paris par des militantes du Renouveau français, formation des Antigones qui défendent la complémentarité des sexes et non leur mortelle égalité (10), les FemHaine s’exportent et se tournent maintenant vers le monde arabo-musulman. Après avoir posé seins nus sur Internet, une certaine Amina Sbouï de nationalité tunisienne a taggué, le 19 mai, sur les murs de la mosquée de Kairouan les lettres de son mouvement semi-nudiste. Cette provocation l’a conduite en prison. Onze jours plus tard, trois FemHaine, deux Françaises et une Allemande, déboulèrent à Tunis et exigèrent en petite tenue sa libération immédiate. Elles se firent immédiatement interpeller. Après un report, leur procès se termine par une condamnation à quatre mois de prison. Mais elles sont libérées après un étonnant repentir. « “ Je regrette cet acte et je m'en excuse ”, a dit l'Allemande Josephine Markmann au juge Moez Ben Frej, qui lui faisait remarquer en français que “ le droit musulman interdit de tels actes ”. “ On ne pensait pas choquer les Tunisiens à ce point, il est hors de question pour nous de recommencer ”, a répondu à son tour l'une des deux Françaises, Pauline Hillier (11). » Déjà avant ces contritions formelles, afin de pouvoir comparaître, elles avaient été obligées de porter des vêtements traditionnels maghrébins.

L’anti-islamisme des FemHaine est tout aussi virulent que leur homophilie, ce qui les rapproche de certaines officines occidentalistes. Ainsi, le 3 avril 2013, brûlèrent-elles un drapeau salafiste devant la Grande Mosquée de Paris. Au début du ramadan 2013, Inna Chevtchenko écrit sur Twitter : « Qu’est-ce qui peut être plus stupide que le ramadan ? Qu’est-ce qui peut être plus laid que cette religion ? (12). » Quand l’écrivain Michel Houellebecq déclara dans un entretien en 2001 que « la religion la plus con, c'est quand même l'islam. Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré ! (13) », il suscita une invraisemblable tempête médiatique et s’attira les foudres des ligues de petite vertu anti-islamophobes. Pour l’heure, notons que les propos de notre nouvelle timbrée venue de l’Est n’ont pas provoqué la moindre réaction de leur part, ce qui prouve leur alliance objective anti-française de souche européenne.

Cette hostilité envers l’islam ne doit pas cependant attirer notre sympathie. Le penseur grand-européen d’origine croate Tomislav Sunic mentionne avec raison une donnée polémologique souvent ignorée. « Qui dit que l’ennemi de mon ennemi doit être mon ami ? Souvent, il arrive que l’ennemi de mon ennemi soit même mon pire ennemi (14). » C’est ici le cas.

Le combat supposé du féminisme contre l’« obscurantisme  musulman » ne doit pas occulter que ce groupe ukrainien aux ramifications internationales travaille à la déstabilisation de la Tunisie dans la perspective de plonger ensuite l’Algérie dans un nouveau « printemps arabe ». Gardons aussi en tête que l’Oligarchie mondialiste ne forme pas un bloc monolithique homogène. Elle est elle-même traversée par des rivalités internes d’ordre privé, professionnel, politique, économique, etc. Il ne serait pas étonnant que ces femmes activistes soient manipulées par un clan de l’hyper-classe contre un autre tout aussi oligarchique…

Suite à leur démonstration pitoyable du 12 mai dernier, de nombreux commentateurs les ont qualifiées de « prostituées ». Ce qualificatif leur est en fait inapproprié. Les FemHaine  militent en faveur de l’« éradication totale de la prostitution, la forme la plus brutale d’exploitation de la femme, par la criminalisation des clients, des investisseurs et des organisateurs de ce commerce d’esclaves ». Ces libertaires souhaitent donc pénaliser les prostitueurs (les clients de ces dames en novlangue extrême féministe). Or les anarchistes et les libertaires hexagonaux ne cessent, eux, de vilipender le système carcéral. Opposés à la peine de mort, ils récusent toute peine d’enfermement et contestent l’idée même de l’emprisonnement. La contradiction est là flagrante et démontre le fond puritain des FemHaine. Si le client des amours tarifés criminalisé ne peut plus purger en prison, il faudra qu’il expie sa faute existentielle soit par une élimination définitive, soit par une castration chimique ou physique. Une fois encore, la comparaison avec les mantes religieuses se révèle juste.

Leur engagement sextrémiste suscite enfin pas mal de remous au sein du petit milieu grégaire du féminisme officiel bien-pensant. Les journalistes Quentin Girard et Willy Le Devin rapportent que, d’abord proches des Pussy Riot, les FemHaine les ont finalement délaissées car certaines de leurs consœurs russes ne dissimulaient pas leur foi religieuse. En France, après un accueil chaleureux, les vestales du féminisme hexagonal éprouvent maintenant de la réticence à les évoquer. Proche du P.S., Oser le féminisme « s’interroge sur la forme » et « ne veut plus [en] parler, on a trop de demandes ». À La Barbe, « il n’y a absolument pas, sur les Femen comme sur d’autres sujets, de consensus ». Si certaines « Barbes » témoignent de leur enthousiasme, « d’autres sont nettement plus réservées, pas tant sur le fond que sur la forme et sur les prises de paroles pas très subtiles des Femen dans les médias. En plus, elles ne sont pas très solidaires envers les autres militantes de la cause (15) ». Mieux encore, l’association Ni putes ni soumises (N.P.N.S.) a aidé ces mégères à se loger dans la capitale et leur a trouvées Le Lavoir moderne, leur Q.G. L’intitulé de leur local laisse songeur quand on y pense. Ignorent-elles que le lavoir fut jadis le territoire exclusif des femmes qui lavaient les vêtements et le linge de maison ? Le lavoir, fût-il moderne, devrait incarner à leurs yeux le symbole de l’hégémonie phallique. Aujourd’hui, N.P.N.S. a pris ses distances et a quasiment rompu tout contact avec elles. À quand un crêpage de chignons sous l’œil goguenard des patriotes identitaires français et européens ?

En filigrane, les féministes hexagonales sont mal à l’aise avec leur attitude sectaire. Iseul décrit « une ambiance où le narcissisme, amplifié par la nécessité d’exposer son corps et le désir d’être à l’affiche, les querelles d’ego et l’autoritarisme presque militaire des meneuses supplantent largement tout débat ». Il en ressort que « l’organisation du mouvement repose plus sur l’affect, le don de soi (“ On demande aux militantes les plus actives d’emménager au Lavoir, de tout quitter ”) que sur une organisation rationnelle (16) », prévient-elle.

Dans la nuit du 21 juillet 2013, le fameux Lavoir a brûlé. Si, d’après la police et les pompiers, l’incendie serait accidentel, les FemHaine, en plein délire conspirationniste, n’hésitent pas à y voir un attentat, « étant donné que les menaces permanentes reçues par les fascistes, nationalistes et islamistes étaient plus importantes que d'habitude au cours de ces dernières semaines (15) ». Bien entendu, elles demandent « ouvertement au gouvernement et à la ville de Paris de se soucier de notre situation et de contribuer à maintenir en vie ce lieu historique et féministe (16) ». À nous les subventions, fruits du prélèvement légal sur ces sales cochons de contribuables phallocrates et machistes franchouillards…

Les FemHaine rêvent d’imposer à toute l’Europe le sordide, nuisible et infect modèle égalitariste suédois. Si celui-ci ne suscite que trop peu de refus de la part de populations culturellement protestantes, sa diffusion en terres latines et orthodoxes semble moins fluide et par conséquent plus aléatoire. L’âme des vieux peuples conserve encore de belles facultés de résistance aux agressions subversives anti-traditionnelles. Il importe donc de s’en féliciter.

Notes

(1) Alexandre Latsa, un Français vivant en Russie, a bien su dégonfler la baudruche « FemHaine » par quelques brillants articles. Cf. son site Dissonances et ses contributions à l’agence de presse Ria Novosti.

(2) Dans Charlie Hebdo, 6 mars 2013.

(3) cf. Éric Zemmour, Le Premier Sexe, Denoël, coll. « Indigne », Paris, 2006; d’Alain Soral, Sociologie du dragueur, Éditions Blanche, Paris, 1996; Vers la féminisation ? Démontage d’un complot antidémocratique (1999) (puis, en 2007, Pour comprendre l’arrivée des femmes au pouvoir), Éditions Blanche, Paris, 2007; Misères du désir, Éditions Blanche, Paris, 2004. 

(4) Galia Ackerman, Femen, Calmann-Lévy, Paris, 2013.

(5) « Manifeste des Femen », Charlie Hebdo, 6 mars 2013.

(6) Fabrice Madouas et Mickaël Fonton, « Une infiltrée chez les Femen », Valeurs actuelles, 27 mai 2013.

(7) cf. Maurice, pour le Cercle des Volontaires, « France, terre d’asile politique ou psychiatrique ? », mis en ligne sur Agora Vox, le 9 juillet 2013.

(8) Texte mis en ligne sur le site officiel des FemHaine le 15 juillet 2013, http://femen.org/fr/gallery/id/223#post-content. Face à des protestations légitimes, Inna Chevtchenko répliqua par une provocation digne d’elle en déclarant que « Femen est sur le timbre français. Maintenant les homophobes, les extrémistes et les fascistes devront lécher mon cul quand ils voudront envoyer une lettre », phrase remaniée sur leur site officiel : « Chers fascistes, nationalistes, homophobes et extrémistes, maintenant quand vous voudrez envoyer une lettre, il vous faudra lécher mes fesses ! », 15 juillet 2013, http://femen.org/fr/news/id/491#post-content. Il va de soi qu’il est indispensable de ne pas acquérir ces timbres-là au profit des timbres vendues par les machines. Reconnaissons néanmoins que la similitude n’est pas évidente entre le visage du timbre et Inna Chevtchenko…

(9) Cité par Emmanuel Ratier, Faits & Documents, n° 356, 1er - 15 mai 2013, p. 8.

(10) Cf. leur site, http://antigones.fr/ Signalons aussi que la réaction anti-FemHaine existe à l’échelle européenne. L’excellent blogue de Lionel Baland (http://lionelbaland.hautetfort.com/) rapporte l’existence d’un réseau « Christian Women Against Femen » (Femmes chrétiennes contre les Femen) animée par la militante nationaliste polonaise, Maria Piasecka-Lopuszanska, principalement implanté en Europe centrale et orientale.

(11) dans Le Monde, 26 juin 2013.

(12) Cité par Le Point, 25 juillet 2013.

(13) Entretien avec Didier Sénécal, Lire, septembre 2001.

(14) Tomislav Sunic, Homo americanus. Rejeton de l’ère postmoderne, Éditions Akribeia, Saint-Genis-Laval, 2010, p. 112.

(15) Dans Libération, 7 mars 2013,

(16) Dans Valeurs actuelles, art. cit.

(17) cf. http://femen.org/fr/gallery/id/230#post-content, le 23 juillet 2013.

(18) Idem.

NDLR :

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