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jeudi, 02 octobre 2014

Face à la dictature socialiste, Yvan Benedetti intransigeant...

Notre camarade Yvan Benedetti, qui a succédé il y a deux ans à Pierre Sidos à la tête de l'Œuvre française, était convoqué ce matin par la police judiciaire de Lyon. Que reproche-t-on à ce fier défenseur de l'idée nationale (et même nationaliste) ? D'avoir rejeté tout net l'Oukase du héraut du sionisme Valls, alors ministre de l'Intérieur, qui avait – nos lecteurs s'en souviennent – scandaleusement dissout l'Œuvre française et sa branche jeune emmenée par Alexandre Gabriac (ainsi d'ailleurs que les mouvements 3e Voie et JNR dirigés par notre ami Serge Ayoub), à la suite de la mort – lors d'une bagarre qu'il avait provoquée – du petit bourgeois gauchiste Clément Méric.

À cette injonction totalitaire, nos deux compères lyonnais avaient répondu : "Dissolutions, Non !" avec le panache de Cambronne s'adressant aux ennemis de la France. La machine de la répression étatique semble aujourd'hui se mettre en marche, montrant une fois encore que les seules entorses aux lois et règlements réprimées aujourd'hui sont celles commises par les Français de souche et – a fortiori – celles commises par les nationalistes dans le cadre de leur combat pour la défense du pays.

Notre sympathie et tous nos encouragements vont bien entendu à notre camarade qui s'apprête à subir les contraintes financières et peut-être même physiques du système.

14:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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