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mardi, 04 novembre 2014

Les diffamateurs de Carl Lang condamnés !

7142070-10949065.jpgCarl LANG tient à faire savoir que, mis en cause par des imputations malveillantes et mensongères par M. Jean-Baptiste MALET, auteur d’un livre publié par les éditions GOLIAS, s’intitulant « Derrière les lignes du Front » sous-titré « immersions et reportage en terre d’extrême droite » à la suite d’une enquête menée par celui-ci auprès du groupe d’élus du Front National au Conseil Régional de la Région Nord/Pas de Calais, il avait déposé une plainte, par son avocat Me Yves de COATGOUREDEN, pour diffamation publique à l’encontre de l’auteur de ce livre et du Directeur des Editions GOLIAS.
Qu’un jugement rendu le 10 octobre 2014 par la 17e Chambre Correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris :
a déclaré M. Luc TERRAS, ès qualités de directeur des Ed. GOLIAS, ainsi que M. Jean-Baptiste MALET coupables à son égard des faits qui leur étaient reprochés de, respectivement, diffamation publique et complicité de diffamation publique.
Et
les a condamnés chacun à une peine d’amende et solidairement au paiement de la somme de 1.500 €uros, à titre de dommages et intérêts et de 1.500 €uros également, à titre d’indemnité en application de l’article 475-1 du Code de Procédure Pénale.
Et, ayant pris date du retrait de l’ouvrage incriminé de la vente, a ordonné la suppression des propos jugés diffamatoires dans toute nouvelle édition de l’ouvrage.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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Dimanche 23 novembre : salon du livre de l'AGRIF

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Casapound au congrès européen du samedi 22 novembre à Paris organisé par le GUD

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Entretien avec Renaud Camus Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !

0b0a57389a7e9f784d1e5cb8a814f086.jpegEntretien avec Renaud Camus

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Marine Le Pen, dans une interview au JDD parue ce dimanche, estime que « le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste ». Fait-elle, selon vous, une interprétation erronée de votre analyse ?

Totalement erronée, en l’occurrence ; et ce n’est pas « selon moi », parce que mon analyse, je la connais, et il n’y est nulle part question du moindre complot. J’ai beaucoup de respect pour Marine Le Pen, j’admire son courage, sa détermination, son patriotisme et son sens politique mais, sur ce point particulier, c’est son sens politique qui lui joue des tours. Elle aura voulu, j’imagine, par prudence, ne pas paraître assumer un syntagme, Grand Remplacement, dont elle a craint qu’il ne parût trop radical. Hélas, ce n’est pas l’expression Grand Remplacement qui est radicale, c’est la sinistre réalité de ce qu’elle désigne. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, ce n’est pas un concept, à peine une notion, moins encore un fantasme, comme dit la presse remplaciste, ou une « vision complotiste ». Plût au ciel que ce fût tout cela, et rien d’autre ! C’est ce que nos yeux constatent tous les jours et que les sociologues de cour s’acharnent à nier : le simple fait que dans nos rues, nos rames de métro, nos écoles, nos écoles maternelles et nos maternités surtout, sur des pans entiers du territoire, il y avait un peuple et que, à sa place, il y en a un ou plusieurs autres.

Accuser tel ou tel d’entretenir une « théorie du complot » ou une « vision complotiste », c’est un vieux procédé rhétorique de journalistes qui ne connaissent pas leur dossier pour déconsidérer des thèses qu’ils veulent étouffer. Je regrette de voir Marine Le Pen y avoir recours, comme si elle voulait se concilier les remplacistes : une tâche impossible. Je n’ai jamais parlé de complot. On me reproche au contraire, en général, d’être flou sur les causes du Grand Remplacement. Et là c’est moi qui suis prudent, car j’essaie d’unir, pas de diviser. En fait je crois à un faisceau convergent d’intérêts et d’interdits qui, tous, tendent à la fabrique de l’homme remplaçable, interchangeable à merci. Mais si je ne devais nommer qu’une seule cause elle me vaudrait un point Godwin, car je dirais : Hitler. À force d’opérer et de réopérer l’Europe du cancer hitlérien, on lui a enlevé la plupart des organes indispensables à sa survie.

Son directeur de cabinet, Philippe Martel, répondant à Aymeric Caron, a tweeté que « le grand remplacement n’est pas une théorie, c’est un phénomène démographique ». Cela ne peut pas être les deux choses en même temps ?

Je suis, comme d’habitude, entièrement d’accord avec mon vieil ami Philippe Martel, ou lui avec moi. Parler de « théorie » ne sert qu’à se rassurer. La conquête coloniale de l’Afrique au XIXe siècle, le Grand Dérangement des Acadiens au XVIIIe, l’Occupation de la France par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, ce ne sont pas des théories : ce sont des phénomènes historiques.

Pour contester vos propos, ou ceux qui déplorent les conséquences d’une immigration massive, on cite toujours les statistiques de l’INSEE. Christophe Dumont, chef de la division des migrations internationales à l’OCDE, estime qu’en terme de « flux récents d’immigration », la France est parmi « les pays occidentaux où les niveaux sont les plus bas ». Qui a tort, qui a raison ?

J’ai eu souvent l’occasion de le dire : sociologie et statistiques sont au remplacisme ce que la biologie lyssenkiste était au stalinisme. Il faudra un jour se demander pourquoi l’expression sociologue de cour est devenue un pléonasme, pourquoi il n’y a pratiquement plus de sociologie qu’au service du pouvoir et non seulement du mensonge mais de la négation acharnée de la réalité, qu’il s’agisse de l’École ou de l’État : le niveau monte et il y de moins en moins d’immigrés. Au citoyen hébété, aveuglé par la glu statistico-sociologique, il faut hurler, comme Féofar-Khan à Michel Strogoff :

« Regarde de tous tes yeux ! regarde ! »

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DES CHANSONS CONTRE LA PENSEE UNIQUE La chanson comme élément de l’identité des peuples

Thierry_bouzard_Des_chansons_contre_la_pensée_unique.jpgSilvestrik

Metamag cliquez ici

L'objet de ce livre déborde largement du cadre des répertoires militaires et plus précisément de la chanson de soldat. Néanmoins, il les aborde par bien des domaines, la pensée unique, mondialisée et totalitaire, entrant inévitablement en conflit avec notre identité ancestrale dans son expression actuelle.

La musique joue sur nos émotions, nous faisant privilégier les styles connectés à notre sensibilité et notre culture. Du fait du morcellement des répertoires, nos choix ignorent des courants musicaux nombreux et créatifs, d'autant plus que le totalitarisme culturel ambiant les occulte et les combat.


Grégorien, chanson traditionnelle, chanson de soldat, oi!, rock identitaire, RAC, rock metal et indus… Venance Fortunat, Botrel, le Père Doncœur, Méfret, Gavino, Barbelivien, Fraction, Vae Victis, In Memoriam… l'inventaire serait incohérent si les compositions qui en émanent n'étaient l'expression d'une identité commune, en butte à la pensée dominante. L'abondante diversité de ces courants musicaux alternatifs soigneusement tenus à l'écart des médias devait être présentée, car elle témoigne d'une vitalité et d'une richesse insoupçonnées. Il vous est proposé ici un tour d'horizon jamais tenté et pourtant indispensable, qui ne manquera pas d'étonner, comme a déjà été remarqué l'entretien exclusif avec Jean-Marie Le Pen paru dans le quotidien Présent du 24/09/2014.

Du fait qu'il n'existe pas actuellement de travaux sur ces courants musicaux alternatifs, l'auteur a dû procéder à une véritable enquête auprès de ses acteurs (musiciens, éditeurs, témoins…). Acteur et observateur de ces courants musicaux du fait de son parcours personnel, il était le mieux à même de rendre compte de leur diversité.

La chanson est un des éléments de l'identité profonde des peuples et s'inscrit dans leur mémoire longue. Les répertoires transmis de générations en générations forment une identité musicale collective inscrite dans la mémoire du peuple et qu'il doit entretenir. Le Vexilla Regis a été composé en 569 et s'est transmis oralement pendant des siècles, il est entonné par les Vendéens contre les Bleus et repris par les pèlerins sur les routes de Chartres au XXIe siècle. Cet exemple parmi de nombreux autres montre qu'à l'époque de la mondialisation où les individus doivent se fondre dans une culture métissée où chacun pourrait picorer suivant ses inclinations pour se constituer une identité musicale personnelle idéale et utopique, la chanson constitue un enjeu identitaire majeur. 

En effet, un individu ne vient pas de nulle part pour aller se fondre dans le néant indifférencié, il est né dans une famille qui appartient à une communauté, elle-même située dans un pays différent des autres par son histoire, sa langue et sa culture. L'être humain a besoin de repères, les chansons sont un de ces outils de convivialité lui permettant de construire et d'entretenir sa personnalité dans ses cercles relationnels en matérialisant les liens qui l'unissent à ceux qui partagent les mêmes repères. La réduction de l'individu mondialisé à un simple sujet économique, veut le couper de ces liens, de cette solidarité transgénérationnelle. A l'heure du virtuel où il est possible d'écouter le meilleur interprète de la plus belle chanson, être capable de chanter à plusieurs les anciens répertoires est un acte éminemment contre-révolutionnaire, indispensable à la survie de nos peuples.

Des Chansons contre la pensée unique, Thierry Bouzard, éditions des cîmes, 2014, 332 pages, 22 €.

Thierry Bouzard, historien de la musique et de la chanson, a publié plusieurs ouvrages et recueils de chants. Il a animé plus de cinq ans une émission musicale sur Radio Courtoisie et a participé à la réalisation de nombreux CD.

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