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jeudi, 30 juillet 2015

René Marchand : l'islam est une loi autant qu'une religion

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mercredi, 29 juillet 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Numéro spécial été

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3198 du 23 juillet 2015

 

BRUNO Le Maire a de solides prétentions. Il ambitionne de diriger les Républicains puis de se faire élire président de la République. Rien de plus, rien de moins. J’avais évoqué la semaine dernière la pétition « touche pas à mon église », lancée par Denis Tillinac dans Valeurs actuelles, et signée par nombre de personnalités dites de “droite”, dont Sarkozy qui avait toutefois exigé que son nom ne figurât pas aux côtés de ceux des fascistes supposés du FN, fût-il mariniste. On imagine la douleur de Marine Le Pen de se voir refuser l’imprimatur du système, malgré ses reptations. Bref, parlons de notre oiseau, Bruno Lemaire, que d’aucuns naïfs situent à “droite”.

 

BRUNO LEMAIRE, UN EXCEPTIONNEL ZOZO

 

Il explique, l’air grave, avec un visage sans aucune aspérité, ce qui est hautement suspect, pourquoi il a refusé de signer la pétition « Touche pas à mon église ». Il a déclaré : « Moi, on m’a demandé dix fois de signer cette pétition avec Zemmour, et j’ai refusé. Car c’est une pétition contre le vivre-ensemble, de nature à opposer les communautés les unes contre les autres et à alimenter l’islamophobie. » Devant tant de bêtise et de lâcheté, on ne peut que le saluer respectueusement. Chapeau, l’artiste !

 

BERNARD BOUCAULT FACE À LA JUSTICE IMMANENTE

 

L’affreux Bernard Boucault, l’ancien préfet de Paris qui avait fait gazer, matraquer, embastiller les participants aux Manifs Pour Tous, se trouve aujourd’hui lui-même dans la tourmente judiciaire. Cela concerne une affaire de corruption et de trafic d’influence à laquelle sont mêlés entre autres Christian Prouteau, Christophe Rocancourt et un ancien patron du 36 Quai des Orfèvres. Bernard Boucault, qui est un proche de François Hollande (il avait prolongé son mandat en 2013, alors qu’il était atteint par la limite d’âge), ce qui n’étonnera personne, est dans le viseur du juge Roger Le Loire. Le magistrat instructeur a saisi dans son bureau les preuves de « l’aide à l’entrée et au séjour d’étrangers en situation irrégulière ». Jo Masanet, figure de la gauche policière est, lui aussi, mis en examen dans ce dossier. Pour faire face à des dettes et placer ses hommes, Masanet utilisait son impressionnant réseau, qui va du simple gardien de la paix jusqu’aux préfets, ministres et hauts fonctionnaires à l’Élysée. Il se faisait rémunérer dans la plupart des cas pour ses interventions. C’est ainsi que cela se passe dans leur République. Entre 2013 et 2014, Boucault avait été sollicité une dizaine de fois par Jo pour “aider” à la régularisation de ressortissants étrangers. Le préfet gazeur donnait bien entendu suite avec empressement aux demandes de son ami. Mais il aurait été dommage pour l’histoire des ripoux que la fine équipe s’arrêtât là. Poursuivons. L’ex-préfet de police de Paris est également intervenu pour faire sortir le véhicule d’un ami de Masanet de la fourrière ou pour faciliter le renouvellement de la carte de circulation — habituellement réservée aux fonctionnaires de police — de l’enseigne Chanel. Au fait, savez-vous comment Boucault appelait Jo, si l’on en croit la retranscription des écoutes téléphoniques dont Le Point a pu prendre connaissance ? Il l’appelait « mon frère » ! De quelle loge, ça on ne sait pas…

 

HOLLANDE SE MOQUE VRAIMENT DU MONDE

 

Hollande prend vraiment les gens pour des imbéciles. Lors de son entretien du 14 juillet, évoquant l’accord sur le nucléaire iranien et voulant justifier l’interdiction faite à l’Iran de posséder la bombe nucléaire, il a pointé le risque de prolifération. Il a eu cette phrase absolument stupéfiante : « Si l’Iran a la bombe, l’Arabie Séoudite et Israël voudront la bombe… » Tout le monde sait, et évidemment le Pingouin ne l’ignore pas, qu’Israël dispose de centaines d’ogives nucléaires. C’est ce qui s’appelle se moquer du monde. Et prouver une fois de plus son allégeance servile à l’entité sioniste.

 

RALLIEMENT AU GROUPE FN DU PARLEMENT EUROPÉEN

 

Le FN mariniste avait réussi, il y a un mois, à constituer un groupe au Parlement Européen avec tous les avantages afférents. Il fallait pour cela rassembler 25 députés issus de sept pays différents. Cette dernière contrainte était la plus difficile à surmonter, mais cela fut réalisé. Il n’empêche qu’une épée de Damoclès pesait sur la survie du groupe. A la moindre défection d’un représentant isolé d’un pays membre, le groupe disparaissait. Mais cette menace s’éloigne. Le ralliement de Laurenţiu REBEGA, député roumain, permet au groupe ENL (Europe des Nations et des Libertés) de compter désormais huit nationalités, et donc de pouvoir s’inscrire dans la durée de la mandature 2014-2019. Au fait, le député roumain était, jusqu’à présent, membre du groupe socialiste…

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ÉLECTIONS AMÉRICAINES : DONALD TRUMP FAIT APPEL À LA WAFFEN-SS DANS SA CAMPAGNE ÉLECTORALE

 

Donald Trump est ce multimilliardaire américain qui a fait sa fortune dans l’immobilier. Il a encore frappé. Candidat à l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine de 2016, il est un habitué des polémiques. Homosexuels, Noirs, Mexicains ou Chinois en prennent souvent pour leur grade… Un sondage réalisé le 15 juillet pour le Washington Post et ABC News montre que le magnat de l’immobilier n’est pas un candidat fantaisiste. Il séduit 57 % des Républicains. Les sondés ayant une mauvaise opinion de lui sont passés de 65 % en mai 2015 à 40 % en juillet. Son discours semble donc porter. Dernière polémique. Il est accusé d’avoir rédigé un tweet célébrant la grandeur des Etats-Unis, qui le mettait en scène sur fond de bannière étoilée, avec des silhouettes de trois soldats, portant l’uniforme de la Waffen SS. Devant le tollé qui se profilait, le tweet fut rapidement effacé. Lisons quelques extraits de discours de ce curieux et parfois amusant personnage : « Je serai le plus grand président de l’emploi que Dieu ait créé ; Croyez-moi. Personne ne construit des murs mieux que moi. Je vais construire un grand, grand mur sur notre frontière sud et je ferai payer les Mexicains ; J’ai un patrimoine bien supérieur à dix milliards de dollars. Ce n’est pas pour me vanter, parce que vous savez quoi ? Je n’ai pas à le faire ; Si on veut résoudre le problème de la criminalité, il faut arrêter d’être aussi politiquement correct ; Je pense que la seule différence entre moi et les autres candidats, c’est que je suis plus honnête et que mes femmes sont plus belles ; Je ne suis pas pour le mariage gay. Les gens savent que ce n’est pas mon truc ; Devenir riche est facile, le rester est plus dur »…

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CACHEZ CES ÉGORGEMENTS QUE LES TARTUFFES NE SAURAIENT VOIR

 

C’est Michel Janva, du blog Salon Beige qui le raconte. Le Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence a fait modifier la mise en scène de L’Enlèvement au sérail, proposée par l’Autrichien Martin Kusej. Le sérail était devenu un camp de djihadistes où était retenue prisonnière la jeune fille que son fiancé cherche à libérer. Dans une scène, on voyait des drapeaux de l’Etat islamique et aussi des sacs en plastique supposés renfermer des têtes de prisonniers décapités. Tout cela a disparu. Le directeur du festival, Bernard Foccroulle, s’en est expliqué : « La question de l’image est devenue extrêmement sensible, nous n’avons pas voulu que des images piochées dans la production se retrouvent sur internet hors contexte. Ce n’est pas de la censure, c’est de la maturité. » Ben, voyons, cachez ces égorgements que les Tartuffes ne sauraient voir…

 

ROBERT MÉNARD : “LA GAUCHE A PEUR DE LA RÉVOLUTION QUI VIENT

 

La justice a donné raison à Robert Ménard dans « l’affaire de la crèche de Béziers » : une première fois en référé, une seconde, sur le fond. C’est une belle victoire d’autant que le rapporteur public avait donné raison à la Ligue des droits de l’homme et, très généralement, le tribunal suit ses recommandations. Robert Ménard vient d’accorder une interview à Boulevard Voltaire dans laquelle il revient sur les attendus du jugement. Il note que le tribunal admet qu’il n’est pas nécessaire de justifier d’une tradition locale pour mettre en place une crèche. Ensuite, il reconnaît que son installation en mairie, à partir du moment où elle s’inscrit dans un champ culturel, ne contrevient pas à l’article 28 de la loi de 1905. Le tribunal affirme aussi que la commune avait parfaitement le droit d’acheter des santons, qu’il ne s’agissait nullement du financement d’un projet cultuel. « Bref, dit-il, sur l’essentiel, le tribunal nous a suivis ou, plutôt, a refusé de suivre une argumentation sectaire qui tient davantage de la bigoterie laïque que de la défense de la laïcité. » Ménard conclut par ces mots : « Au fond, la gauche n’est plus que sur la défensive. La réactionnaire, c’est elle. La conservatrice, qui essaye de conserver les « acquis » de Mai 68, c’est elle. Elle a peur de la révolution qui vient. La gauche vit dans le cauchemar de la parole libérée, de l’action libératrice, du retour de la vitalité et de la volonté.» Bien vu ! Sauf que Ménard n’est plus du tout partisan de la « parole libérée » quand il s’agit de Jean-Marie Le Pen et que le président d’honneur du Front national s’exprime dans nos colonnes.

 

“LE POUVOIR JUIF DE WALL STREET : IMPITOYABLE ET SANS MERCI”

 

Deux sociétés sud-coréennes, filiales du groupe Samsung, le plus grand conglomérat familial de la Corée du Sud, ont décidé de fusionner, dans une démarche de consolidation. Si l’on en croit des grands media sud-coréens, les “Juifs” ont tenté de bloquer l’accord. Une publication a écrit que le pouvoir juif de Wall Street « a longtemps été connu pour être impitoyable et sans merci ». Un autre journaliste a écrit que « les Juifs sont connus pour exercer un pouvoir énorme à Wall Street et dans les milieux financiers mondiaux » et que « c’est un fait bien connu que le gouvernement américain est influencé par le capital juif ». Nous l’ignorions…

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Crise au FN : 94 % de 55 %

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Un communiqué de Jean-Marie Le Pen :

La direction du FN a décidé de rendre publics les résultats de la consultation postale (baptisée abusivement Congrès) que la justice a pourtant, par deux fois, jugé illicite.

Cette publication « hors la loi » est une opération de communication politicienne au pire sens du terme.

Rappelons que les opérations de réception et de comptage ont été réalisées de façon totalement opaque sans possibilité de contrôle.

Sur 51 000 inscrits, seuls 28 000 avaient, selon la direction du FN, voté le 10 juillet sur la modification des statuts, suivant largement ma consigne d’abstention.

A l’effondrement du nombre de nos adhérents (de 83 000 en octobre 2014 à 51 000 en mai 2015), les multiples défaites dans les urnes aux partielles depuis mai dernier, ont suivi les camouflets judiciaires sur la pseudo-consultation jugée irrégulière par la justice et dont seule la disparition du statut du Président d’honneur constituait une réelle modification alors que sans aucun débat, je n’avais même pas eu droit de me défendre. Une pseudo-consultation dont j’ai été exclu irrégulièrement de toutes les instances internes décidant des opérations de vote, dans une parfaite opacité, sans contrôle aucun de ma part de leur déroulement et pour laquelle je doute même de la réalité du corps électoral dont l’anonymat n’était même pas garanti.

Une pseudo-consultation dépouillée alors que la justice en avait interrompu le déroulement.

A l’heure du chômage, des dettes et des déficits écrasants, de l’immigration invasive, de l’insécurité insupportable, le Front national n’a-t-il rien d’autre à faire que de dépouiller une consultation irrégulière et inutile?

Ceci serait risible s’il ne s’agissait pas du seul espoir de salut de la France et des Français…

Une dernière fois, je demande aux dirigeants du Front National de retrouver la raison et le chemin de l’union… avant qu’il ne soit trop tard.

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Anniversaire de :

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Le mal français

Le billet de Patrick Parment

baguette.jpgSi l’on voulait synthétiser d’un mot, on dirait que la France est victime d’un jacobinisme excessif grisé de stalinisme libéral.L’Etat surveille tout, encadre tout et impose à tout va. L’Etat tue l’initiative et étouffe une société française qui a besoin de s’ouvrir et de respirer. Notre modèle sociétal,  qui hier encore, passait pour un atout est aujourd’hui un sérieux handicap, d’autant qu’il faut désormais y ajouter les réglementations souvent absurdes de Bruxelles. L’Europe, depuis son ouverture à l’Est, joue contre les Européens et l’Etat français contre une France qui pourrait afficher de bien meilleurs résultats si on « n’emmerdait pas autant » les Français comme le suggérait le président Pompidou, unique grand homme de cette mafieuse Ve république.

 Les éléments les plus criants sont, d’une part, une administration totalitaire, peu rationnelle et quasi autonome, d’autre part, un système fiscal foncièrement injuste et inégalitaire mais qu’aucun gouvernement ne se risque à réformer. En corollaire, viennent s’ajouter une inflation de lois de circonstance, la plupart du temps inutiles, et un excès de réglementations et de normes qui bloquent les initiatives, notamment dans le bâtiment et l’industrie. Ce qui a aussi pour conséquence de figer les entreprises artisanales – premier employeur national – qui ont de plus en plus de mal à assurer la relève de leurs métiers. A cela une raison majeure : un système éducatif lui aussi obsolète et une baisse dramatique du niveau des élèves.

Comme si cela ne suffisait pas, la France, agricole par excellence est en crise : les prix à la production ne permettent plus aux agriculteurs et aux éleveurs de vivre décemment du fruit de leur labeur. Principal responsable, comme le note fort justement Périco Légasse dans Le Figaro (22/07), la grande distribution, autrement dit les Leclerc, Auchan, Casino et consorts, surfant sur la vague d’une Europe désaccordée. Ce qui était au départ une bonne idée, permettre à chacun de se nourrir à des prix raisonnables, s’est muée en une machine à faire du fric, à engraisser les actionnaires et à soudoyer les politiques. L’Europe qui avait réussi à réguler son marché pour éviter les famines quand elle était à Six, s’est mise une balle dans le pied en grossissant à 27 ou 28 mais surtout en permettant à une Europe de l’Est de mettre sur le marché un lumpenprolétariat largement sous-payé.

Du déséquilibre européen naît en partie le désordre français et un Stéphane Le Foll, soi-disant ministre de l’Agriculture – et qui bien son nom – est littéralement dépassé par les événements.

Si l’on ajoute le coût de l’immigration que taisent nos droits de lhommistes gouvernementaux, il est incontestable que nos gouvernants, de droite comme de gauche, appauvrissent la France d’année en année via l’incompétence de ses énarques qui règnent sur l’administration depuis des décennies et l’irresponsabilité de ces élus qui détruisent notre avenir. Comme le disait cet imbécile de Lénine : que faire ? La réponse est : devinez ! 

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Dans le n°40 (été 2015) de Synthèse nationale :

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Libye : allons-nous être contraints de soutenir Al-Qaida contre Daesh ?

b lugan.jpgBernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

En Libye, les interventions de l'Egypte, de l'Algérie et de la France, destinées à limiter les conséquences devenues incontrôlables de la guerre insensée déclenchée contre le colonel Kadhafi, deviennent de plus en plus problématiques. Pour cinq grandes raisons :

1) Cette intervention était subordonnée à la constitution en Libye même d'une force "nationale" susceptible d'être appuyée. Or, le général Haftar a échoué dans sa guerre contre les islamistes. 

2) Plus que jamais, le principal objectif algérien en Libye est la fin du chaos en Tripolitaine afin d'assurer la sécurité de la frontière orientale. Englué en Cyrénaïque, le général Haftar n'a aucun pouvoir en Tripolitaine. Voilà pourquoi Alger traite actuellement avec les islamistes hostiles à Daesh qui contrôlent l'ouest de la Libye.

3) L'Egypte se trouve prise au piège. Dans sa lutte à mort contre les islamistes et les Frères musulmans, elle dépend en effet du financement des monarchies sunnites du Golfe. Or, paniquées par le retour de l'Iran chiite sur la scène politique régionale, ces dernières ont décidé de se rapprocher de tous les mouvements sunnites, dont les Frères musulmans et Al Qaida, comme cela vient de se produire au Yémen. Nous sommes en présence d'une politique de simple survie dont le terme est imprévisible, mais qui bouscule l'échiquier régional. Pour deux raisons majeures :

- Ce rapprochement a affaibli Al Qaida car plusieurs groupes sunnites qui y sont opposés viennent de se rallier à Daesh, notamment en Tunisie et en Algérie.

- L'Arabie saoudite freine l'interventionnisme du général Sissi afin de ne pas affaiblir ses nouveaux alliés en Libye, ce qui favorise indirectement Daesh, nébuleuse sunnite qui ne la menace pas encore.

4) Dans ce jeu d'échecs, la France est sur l'arrière-main, se limitant à éviter au Sahel une contagion venue de Libye. Or, tous les connaisseurs du dossier savent bien que sans une "pacification" de la Libye, l'opération Barkhane est bancale.

5) La solution libyenne qui était tribale n'est plus d'actualité. Dans les zones conquises, Daesh, dont la force de frappe est composée de non Libyens, a en effet  renversé le paradigme tribal en liquidant physiquement les chefs qui ne voulaient pas lui faire allégeance afin de terroriser les autres. En conséquence de quoi, les ralliements se multiplient...

Face à cette situation, l'Egypte et la Tunisie ont décidé de se retrancher derrière  deux lignes électrifiées. Cette illusoire défense va certes permettre à certaines firmes européennes de faire de fructueuses affaires, mais elle ne stoppera pas la gangrène.

Alors, comme je ne cesse de le préconiser depuis des mois, il ne reste qu'une seule solution pour tenter, je dis bien tenter, d'empêcher la coagulation islamiste qui s'opère actuellement dans toute l'Afrique du Nord à partir du foyer libyen. Cette solution a un nom: Saif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi actuellement détenu à Zenten. Lui seul est en effet en mesure de reconstituer les anciennes alliances tribales de Cyrénaïque, de Tripolitaine et du Fezzan détruites par l'intervention franco-otanienne.  Or, cette solution est impossible puisque, dans l'ignorance bétonnée du dossier et aveuglée par ses principes juridiques européocentrés déconnectés des réalités, la Cour pénale internationale l'a inculpé pour "crimes de guerre".

Dans cette évolution vers le pire que connaît la Libye, poussés à la fois par l'Arabie saoudite et par l'Algérie, Frères musulmans, Al Qaida et diverses milices viennent de s' "allier" contre Daesh. 

Dans cette guerre entre islamistes qui menace notre flanc sud, allons-nous donc être contraints de considérer Al Qaida comme un nouvel "ami"... ? Voilà le scénario apocalyptique auquel le sémillant BHL et l'éclairé Nicolas Sarkozy n'avaient pas pensé...

10:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Président Poutine et l'immigration en Europe


 Source Le Point.fr

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mardi, 28 juillet 2015

Les petits profits de l’immigration

P1020933.JPGLa chronique

de Philippe Randa

En 1985, l’ancien ministre Bernard Stasi écrivait que « l’immigration est une chance pour la France » ! En 2015, elle peut aussi être une façon d’améliorer des bilans d’exploitation pourtant déjà largement bénéficiaires !

Ainsi, la société privée Groupe Eurotunnel dont les ventes ont progressé de 9 %, qui enregistre une hausse de chiffre d’affaires pour le onzième semestre consécutif, qui a dégagé un profit avant impôt de 56 millions d’euros en 2014 (contre 20 millions l’année précédente)  et que le quotidien Le Monde estime être « désormais une machine à cash parfaitement huilée » ! D’ailleurs, sa direction se félicite « (de s’être) fixé comme objectif d’atteindre 500 millions d’excédent brut d’exploitation en 2015 (et de réaliser) cet objectif avec un an d’avance. »

Néanmoins, pour son PDG Jacques Gounon, Eurotunnel assure « une forme d’étanchéité du tunnel sous la Manche par rapport au passage des migrants en Grande-Bretagne, puisque le nombre de migrants interceptés par les forces britanniques se compte sur les doigts de la main. L’essentiel est intercepté en France. Ça a un coût »

Et quel coût ! Eurotunnel réclame donc une indemnisation de 9,7 millions d’euros à la Grande-Bretagne et à la France pour « compenser ses dépenses de sécurité et sa perte d’exploitation liées à l’afflux de migrants qui tentent de rallier la Grande-Bretagne via le tunnel sous la Manche… »

S’il n’y a pas de petites économies, il n’y a pas non plus de petites sources de profits à négliger… et on sait bien que les petites rivières font les grands fleuves ! Tout comme les petites filières de la clandestinité, les grandes marées de l’immigration, d’ailleurs !

Publiée dans le quotidien Présent

09:41 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 juillet 2015

Le n°40 (été 2015) de la revue Synthèse nationale est paru

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Au sommaire :

Edito de Roland Hélie : UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE !

Guirec Sèvres : LA CRISE DU FN EST PLUS IDEOLOGIQUE QUE LES PRECEDENTES

Enjeux démographiques, déferlante migratoire, conflits internationaux, récupération des attentats de janvier, atteintes aux libertés, crise au Front national...

UN GRAND ENTRETIEN

AVEC JEAN-MARIE LE PEN

Patrick Parment: LE CAS GREC

Rencontres : HERVE VAN LAETHEM, porte-parole du mouvement identitaire wallon Nation

Jean-Claude Rolinat : EUROPE : QUE FAIRE FACE AU TSUNAMI MIGRATOIRE ?

Gabriele Adinolfi : Les propositions de l'Institut Polaris

Arnaud Guyot-Jeannin : Réponse à Aymeric Chaparde sur "la présence d'une 5e colonne islamiste en France"

Pieter Kerstens : La saga de l'Oncle Sam, chapitre XXX

Francis Bergeron :

De Chard à Konk, en passant par Aramis et Pinatel

DES DESSINATEURS DE PRESSE PAS DU TOUT "CHARLIE"

Robert Spieler : DES REVELATIONS SUR LES ECOLES PRIVEES

Omer de Marmara : Pierre-Antoine Cousteau forçat de la littérature

Georges Feltin-Tracol : Les livres au crible

Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : Les pages du Marquis, PARIS MOSQUEE

Serge Ayoub : "Un Français" PAS SI MAUVAIS

Charles-Henri d'Elloy : Je déteste Roland Garros

Synthèse nationale : LILLE, POITIERS, PARIS activités de l'association...

RENDEZ-VOUS DIMANCHE 11 OCTOBRE A RUNGIS (94)

IXe JOURNEE NATIONALISTE ET IDENTITAIRE

N°40 - ETE 2015 :

120 pages, 12 € (+ 3 € de port)

Abonnement : 6 numéros : 50 € , soutien : 100 €, Europe : 60 €, reste du monde : 70 € - Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

A commander à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)

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dans les bonnes librairies

14:51 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le flop de SOS Racisme à Reims

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Suite à l'agression dont a été victime une jeune femme, qui se faisait bronzer en maillot de bain dans un parc de Reims en fin de semaine dernière, par une bande de "chances pour la France", l'officine anti-nationale SOS Racisme, largement stipendiée par les municipalités grâce à l'argent des contribuables, avait appelé à un rassemblement citoyen sur les lieux du méfait.

SOS Racisme ne doute de rien et on allait voir ce qu'on allait voir. Toute la presse aux ordres, dans un unanimisme touchant, a salué cette initiative qui devait faire prendre conscience que les Français, dans leur immense majorité, ne faisaient "pas d'amalgame"...

Comme l'atteste la photo de ce rassemblement des bonnes consciences venues de toute la région Champagne-Ardennes, SOS Racisme a fait un flop. Une demi-douzaine de laiderons s'est exhibée devant les caméras en tentant de faire croire que c'était au nom de la France entière que cette démonstration pathétique se déroulait.

Décidément, à part les larbins de la presse du Système, SOS Racisme n'intéresse plus personne. Mêmes les mateurs lubriques ne se sont pas déplacés...

Synthèse nationale

Sur SOS Racisme cliquez ici

09:31 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Petit abécédaire d’un Français incorrect nommé Charles-Henri d’Elloy

ch h d' E abc.jpgLa Nouvelle Gazette de France cliquez ici

A l’occasion de la Fête de la Courtoisie, qui se tiendra à l’Espace Champerret dimanche 14 juin, la Nouvelle Gazette Française vous propose de découvrir la nouvelle édition du Petit abécédaire d’un Français incorrect….et quelques joyeuses impertinences ! de Charles-Henri d’Elloy. La nouvelle version de cette somme de billets d’humeur comprend un certain nombre d’extension et se voit embellie d’une gracieuse couverture illustrée par Pacaline Laurentie, jeune artiste formée dans l’atelier de Philippe Lejeune et Christoff Debusschere, de l’Ecole d’Etampes. 

Au détour de cet abécédaire rythmé, l’auteur, allergique au discours baragouineur ambiant, dénonce avec causticisme le babillage des termes plébiscités par la classe politique. De la « discrimination positive », désignée comme « l’apartheid de Tartuffe », aux « heures les plus sombres de notre Histoire », où le chroniqueur soulève la problématique d’une Histoire revue et corrigée par un esprit républicain fallacieux, Charles-Henri d’Elloy propose des traits d’esprits vivaces, enjoignant le lecteur à aborder des sujets licencieux à l’aune de sa grinçante ironie. 

Mû par un véritable amour de la langue française, le chroniqueur fait de sa défense un étendard : « Avez-vous remarqué que des bêtises prononcées en anglais ont une saveur plus intelligentes que dites en français ? « , hèle-t-il le lecteur avant de renchérir : « C’est sans doute pourquoi beaucoup de hâbleurs parsèment leurs discours de mots ou expressions anglaises pour combler les lacunes d’un raisonnement sommaire ». On retrouve là l’humeur moqueuse de l’anecdotier de Radio Courtoisie, prompt à railler la sotte indigence des médiocres (adeptes d’un multiculturalisme préempté par des institutions utopistes et soucieuses d’ériger leur idéologie à la France d’aujourd’hui). 

« Je vibre aux envolées d’un polémiste émérite, je m’exalte à la faveur d’un discours lyrique… mais je suis consterné par le langage plat et convenu d’une classe politique qui n’est plus qu’un théâtre d’ombres », explique Charles-Henri d’Elloy. Du discours médiatique pressé de  ‘’faire France’’, ou du verbiage politico-maçon du ‘’vivre ensemble’’, cet ouvrage délicieux est une apologie de la France enracinée. Lecture rafraîchissante (avec ou sans tongs). 

Du même auteur : 

  • Petit abécédaire d’un Français incorrect et quelques joyeuses impertinences !  (éditions Société des écrivains -2007- réédité en 2015 aux éditions Synthèse nationale.
  •  Chroniques radioactives, éditions Godefroy de Bouillon, 2013. 
  •  Rêve d’enchantement, éditions Godefroy de Bouillon, 2014.

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samedi, 25 juillet 2015

LA DECROISSANCE POUR LES NULS

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Guillaume Le Carbonel

Qu’est-ce que la décroissance ? Ni une insulte, ni un gros mot, ni même une nouvelle variété de légumes transgéniques. Pour reprendre la belle formule de Serge Latouche, il s’agit plus sûrement d’un slogan politique aux implications théoriques. Un drapeau en quelque sorte, une bannière sous laquelle se rassemblent toutes celles et tous ceux qui luttent contre la société de l’illimité et le développement effréné.

« Comme le mot socialisme à ses débuts, celui de décroissance reste incertain, polémique et scandaleux, étirable dans des directions contraires. C’est sa force et sa richesse de ne pas être enfermé dans une doxa sclérosante, tout en offrant un vocabulaire alternatif à la novlangue envahissante du management » écrit fort justement François Jarrige, maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bourgogne (1).

De fait, la décroissance n’est ni de droite ni de gauche, si tant est que ces notions ont encore un sens pour certains. Elle est par contre radicalement anticapitaliste car opposée à la croissance pour la croissance, c’est-à-dire à l’accumulation illimitée du capital, et à l’exploitation des gens ordinaires par des minorités oligarchiques. Elle s’oppose avec force à l’idéologie du progrès et au modernisme, vus par certains comme émancipateurs, mais fabriquant en réalité, à la chaîne, un être abstrait arraché à toutes ses racines, un zombie pousseur de caddie guidé par ses seuls intérêts.

L’idée maîtresse de la décroissance réside dans l’analyse qu’une croissance infinie est incompatible avec un monde fini. D’après l’O.N.G. W.W.F., l’humanité est entrée en situation de dette écologique depuis les années 70. Depuis, le phénomène n’a fait que s’aggraver. Aujourd’hui, notre empreinte écologique excède de 50 % la bio-capacité de la Terre, autrement dit sa faculté à régénérer les ressources naturelles et absorber le C.O.2. La revue Science estime que la planète atteint de nos jours ses limites dans quatre domaines : changement climatique, érosion de la biodiversité, changement rapide d’usage des sols et perturbation des cycles de l’azote et du phosphore (2).

La décroissance appelle donc à une remise en cause de notre mode vie et à la construction d’un société conviviale, autonome et économe. La simplicité volontaire doit remplacer la servitude volontaire. Pour ce faire, un simple changement de cap ne saurait suffire. Décoloniser notre imaginaire nécessitera une véritable révolution culturelle et anthropologique. Une subversion totale.

Comme le rappelait André Gorz, la critique de la croissance n’a de sens, et de portée révolutionnaire, qu’en référence à un changement social total.

Certains s’imaginent que décroissance rime avec archaïsme, retour à la bougie ou au primitivisme. D’autres fantasment sur une croissance négative, expression absurde. Décroître pour décroître est aussi ridicule que croître pour croître.

Il s’agit en réalité de sortir de la logique de l’accumulation illimitée et du toujours plus. Il nous faut retrouver des limites pour donner un sens à notre vie étriquée, malmenée par l’hyper-technologie et l’obsession du changement. Serge Latouche parle de réaliser l’abondance frugale, autrement dit la prospérité sans croissance.

À l’origine de la décroissance, on trouve deux sources quasi simultanées et convergentes : la remise en question de la société de consommation, animée dans les années 60 par des hommes comme André Gorz, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau ou encore Ivan Illitch, et la prise de conscience de la crise de l’environnement sur laquelle travaillera notamment Nicholas Georgescu-Roegen au cours des années 70.

En 2002, le slogan sera repris par Vincent Cheney et Bruno Clémentin au travers de la revue Silence.

Toutes ces études montrent à quel point nous vivons dans une véritable addiction à la croissance et comment l’homme s’est transformé en consommateur illimité. François Hollande affirmait encore le 5 janvier 2015 sur France Inter : « Ce que je veux, c’est que la France crée durablement des emplois. Or elle ne le fera que si la croissance dépasse 1 % ». Le moins que l’on puisse dire c’est que nous sommes loin de les atteindre. Malgré l’action de la Banque centrale européenne, l’estimation pour le mois d’avril signale un ralentissement de l’activité globale dans la zone euro par rapport au plus haut de onze mois enregistré en mars (3).

Serge Latouche est parmi les objecteurs de croissance celui qui a le mieux définit ce que peut être une société de décroissance. Pour lui, la société moderne est basée sur une triple illimitation : dans la production de marchandises (avec destruction des ressources), dans la consommation (besoins artificiels, obsolescence programmée) et dans la production de déchets. Il appelle donc à sortir de ce piège mortifère au travers d’étapes indispensables. Ce sont ce qu’il nomme les « 8 R » : réévaluer, reconceptualiser, redistribuer, relocaliser, réduire, restructurer, réutiliser et recycler.

Le but étant de retrouver une empreinte écologique égale ou inférieure à une planète, de relocaliser les activités, de restaurer l’agriculture paysanne et de lancer la production de biens relationnels, c’est à dire réinventer le bien commun en retrouvant une autonomie économique locale.

L’ancrage anthropologique de l’homo œconomicus doit disparaître au profit d’une société plus humaine. Il n’est plus question de « sauver des emplois » mais de sortir de la société travailliste et productiviste. André Gorz parle de bâtir la civilisation du temps libéré. Il faut changer les valeurs sur lesquelles repose la société, réduire l’incitation à la consommation ostentatoire, définir un projet collectif enraciné, encourager le commerce local, réduire le tourisme de masse, lutter contre le bougisme obsessionnel et la marchandisation du vivant, contre l’isolement engendré par le numérique et contre les grands projets inutiles.

On le voit, la décroissance est un projet révolutionnaire infiniment plus dense que ses détracteurs veulent bien le laisser croire. Il est surtout le seul paradigme véritablement nouveau qui offre un contre-projet de société viable et sans cesse en évolution. C’est la nouvelle utopie du XXIe siècle, un art de vivre, une vocation à reprendre la main et à façonner littéralement son mode de vie (4).

Notes

1 : cf. La Décroissance, n° 118, avril 2015.

2 : cf. Le Monde, le 15 janvier 2015.

3 : cf. Challenge.fr, mis en ligne le 23 avril 2015.

4 : cf. Clara Breteau, La Décroissance, n° 114, novembre 2014.

• D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 25 mai 2015 et sur Europe maxima le 21 juillet 2015.

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Le Mémorial des Rois communique :

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vendredi, 24 juillet 2015

Gabriele Adinolfi, auteur du remarquable "Années de plomb et semelles de vent" (éditions Synthèse nationale) reçu par le Président Le Pen

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Gabriele Adinolfi, Jean-Marie Le Pen, Roberto Salvarini

Jean-Marie Le Pen parle du livre de Gabriele Adinolfi "Années de plomb et semelles de vent" cliquez ici

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ATHENES, SON ACROPOLE, SON METRO ET SON GOUFFRE FINANCIER.

Korbo.E.U-banksters.-18.11.2013-ww.jpgPieter Kerstens

La Grèce s’est mise en faillite toute seule et l’UE n’y est pour rien. Syriza pose la Grèce en victime, alors qu’elle est coupable et Alexis Tsipras ferait bien de ne pas attribuer aux autres les manquements et les défauts des gouvernements successifs et les reconnaître pour se corriger et s’en sortir. Les Grecs (population, oligarques et politicards) sont responsables de ce qui leur arrive en accusant le FMI, la BCE et l’Union Européenne d’ultra-libéralisme et d’une austérité « criminelle »… C’est un peu rapidement oublier que le pays a vécu très largement au-dessus de ses moyens et ce, depuis très longtemps, parce que les différents gouvernements ont mis en place une politique collectiviste et clientéliste, connue des tous les eurocrates, en utilisant des embauches massives de fonctionnaires, des allocations sociales excessives et des fraudes fiscales pour tous et tolérées par tous. A cela, il faut quand même rajouter que pour entrer dans l’UE et faire partie ensuite de la zone euro, la Grèce a truqué ses comptes publics et a essayé de vivre aux crochets de ses partenaires, complices parce que les coquins socialistes se retrouvaient aussi dans les instances de la Commission Européenne et de l’Internationale Socialiste !

On peut être ou non d’accord avec le principe de l’Euro, monnaie unique pour une zone regroupant 19 pays, et si oui en rejoignant ce « club » il faut alors en accepter les règles, ce que les Grecs n’ont pas fait. Par contre, les Anglais, les Tchèques, les Irlandais, les Suédois ou les Danois n’en font pas partie : en sont-ils plus malheureux ? Fort de son élection fin janvier et renforcé par 61% des électeurs le 5 juillet dernier, Tsipras bénéficie de la légitimité et de la souveraineté populaire pour exiger des autres membres du « club » qu’ils renoncent à revoir un jour la couleur de l’argent qui a été prêté à la Grèce depuis 2010, en échange de mesures illusoires qui seraient mises en place pour sortir le pays du marasme et de pouvoir équilibrer les recettes et les dépenses. Mais pourquoi donc les Grecs feraient-ils demain ce qu’ils ont été incapables de faire depuis 50 ans ?

C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.

La réelle question qui se pose à chacun de ceux qui utilisent l’euro est celle-ci : « Acceptez-vous de payer la note à la place des grecs ? »  Au 30 juin, les montants par habitant étaient de 105€ à 531€ pour les Portugais, les Slovaques et les Espagnols ; de 623€ à 646€ pour les Italiens, les Français et les Belges ; et de 683€ à 708€ pour les Hollandais, les Autrichiens, les Allemands et les Finlandais. Aujourd’hui, ce ne sont pas les horribles spéculateurs, les immondes banksters ou les « marchés honnis » qui détiennent la dette grecque. Dès 2010, les banquiers privés ont abandonné 107 milliards d’euros au gouvernement grec, magnifique cadeau de la finance internationale. Si effectivement la Grèce a connu 8 plans d’austérité depuis 2009 pour un montant total de 92 milliards d’euros, en contrepartie, le FMI, la BCE et l’Union Européenne ont octroyé 337 milliards d’euros de prêts à long terme, (outre l’effacement de 150 milliards d’euros). Ce ne sont pas  les méchants capitalistes qui sont maintenant les créanciers de la Grèce, NON, c’est vous et moi ! Et là, se trouve le problème du pouvoir des eurocrates qui, à l’inverse des traités de Maastricht et de Lisbonne, ont outrepassé leurs droits et obligé la BCE à contrevenir à ses statuts. La même BCE qui injecte TOUS LES MOIS plus de 60 milliards d’euros dans le système bancaire européen pour racheter des obligations pourries que possèdent les banques afin d’inciter celles-ci à accorder de nouveaux crédits aux sociétés et aux particuliers en espérant qu’avec ces euros « propres », l’économie repartirait…. on croit rêver.

Avec un peu de recul, en connaissant le montant des dégâts en Grèce et au vu des capacités financières de la BCE, du FMI et de l’Union Européenne on pourrait effectivement parler de « solidarité » avec les Grecs dans le besoin, et oublier leurs turpitudes. Les 337 milliards actuels pourraient être « effacés » et imposés individuellement aux autres habitants de la Zone Euro, en étalant cette charge sur les 10 prochaines années (soit environ 6€ par mois pour chaque français) ou pris en compte par la BCE sur les 1.000  milliards qu’ils vont octroyer au système bancaire européen dans les 15 prochains mois, tels que déjà actés. Mais si les Grecs bénéficient d’un tel cadeau, pourquoi pas les Portugais, les Irlandais, les Belges ou encore les Espagnols ? La zone euro n’existerait tout simplement plus et l’Europe non plus ! Et  l’Euro, monnaie d’escrocs,  aura disparu…

Un  Euro  tabou… HELLAS !

Et c’est bien ce que redoutent les eurocrates ; un « Grexit ferait jurisprudence » : l’Italie, l’Espagne voire la France pourraient purement et simplement, non seulement sortir de l’euro, mais surtout ne pas rembourser leurs dettes. La Grèce pèse moins de 2% dans le PNB Européen alors que l’Italie approche les 10% ! Les conséquences d’un éclatement de la zone euro serait certainement un drame financier et économique mais également une crise politique sans précédent : les bases des institutions démocratiques vacilleraient face à la colère et l’incompréhension des citoyens subissant le chaos comme c’est le cas actuellement en Grèce. En ce début de mois de juillet, après la victoire du non au référendum grec, la souveraineté populaire défie les oligarques de la Commission. Ce fait inédit a la faculté de mettre les décisions difficiles entre les mains du peuple, même si ces décisions s’avèrent mauvaises. N‘oublions pas que la Grèce peut trouver des financements hors de l’Europe que ce soit en Chine, en Russie ou encore chez les Rois du Pétrole. En effet, face à une situation où la Grèce est acculée et n’a plus rien à perdre, un prêt russe serait bienvenu. Les deux parties confirmeraient ainsi leur indépendance envers l’UE.

Ce qui est pour le moins étonnant, est la volte-face de Tsipras qui, porté au pouvoir en janvier, et confirmé par les urnes le 5 juillet - afin de s’opposer aux diktats des eurocrates et des mondialistes - s’incline désormais devant les ukases de la mafia bruxelloise en reniant ses engagements vis-à-vis de son peuple. Le Parlement grec a donc approuvé ce 15 juillet un 9e plan d’austérité, pire que les mesures prévues en mai. En échange, la BCE a envoyé à Athènes un petit milliard € en cash, par avion, pour remplir les distributeurs de billets. Les « prêteurs » (vous et moi) apporteront d’abord un prêt relais urgent de 7 milliards d’euros pour payer les fonctionnaires et les retraités grecs et rembourser les échéances de juin, juillet et août au FMI et à la BCE. Ensuite un 3e plan d’aide à la Grèce, d’un montant de 83 milliards d’euros, étalé sur 3 ans, sera octroyé à 80% par le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) et 20% par le Fond Monétaire International (FMI), pour recapitaliser en priorité les banques grecques, puis rembourser des intérêts, et  payer la BCE et les prêts des banques centrales des 19 pays de l’euro. Enfin, s’ajoutent encore 35 milliards € accordés par des Fonds européens.

D’ores et déjà, de nombreuses voix s’élèvent pour clamer que cette rallonge financière ne servira à rien et que les grecs ne respecteront pas les accords signés ; Tsipras le premier, qui a déclaré « J’ai signé, mais je n’y crois pas ! » Christine Lagarde (directrice du FMI) demande de son côté un « allègement » de la dette grecque, ou une « restructuration », ce qui en bon français signifie une annulation ! La situation est donc la suivante : avant les accords signés à Bruxelles, la Grèce devait 337 milliards d’euros. Maintenant on va y ajouter 8 milliards € en urgence, puis 83 milliards sur 3 ans et encore 35 milliards des fonds européens, sur ordres de Jean-Claude Juncker, soit un global de 463 milliards, dont les bonnes âmes vont rapidement demander une annulation, car les intérêts et les remboursements (même avec des échéances à 60 ans) sont insoutenables pour le pays. Bien évidemment, ce sont les contribuables européens qui paieront l’addition et non les banksters. Et il est certain que l’on reparlera du problème grec à la rentrée… Quelle gabegie ! Quel ridicule ! L’Europe est vraiment gangrénée par des utopistes incompétents !

10:27 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3197 du 16 juillet 2015

CERTAINS Rivaroliens avaient quelque espérance quant à Marion Maréchal-Le Pen, supposée être d’une autre classe, d’une autre vertu que Ganelone. Eh bien, ils ont tout simplement eu tort. Ganelone bis s’oppose au retour de son grand-père, déclarant sur le plateau de BFM TV le 9 juillet que Jean-Marie Le Pen, après le procès pourtant gagné, ne devait « plus être président d’honneur » du Front national. Humaniste, elle précise : « Pas tant pour le titre, mais pour les conséquences de ce titre : être membre de droit de toutes les instances du Front national. Et, vu les circonstances, la cohabitation avec Marine Le Pen devient compliquée et beaucoup de militants sont las ». Odieuse, celle qui a été “créée” par son grand-père, ajoute : « Je connais le personnage (le personnage, évoquant son grand-père !) et il fallait s’attendre à ce que ce soit compliqué, long et fastidieux (pour le tuer ?). Mais je crois que Jean-Marie Le Pen n’a rien gagné d’autre que du temps, je doute qu’il puisse se maintenir au poste de président d’honneur », a-t-elle précisé. D’où la réponse pleine d’esprit et du tac au tac du Menhir sur Twitter : « Proverbe provençal : fais du bien à Bertrand, il te le rendra en caguant.

 

MARION C’EST GANELONE BIS !

 

Sur une affiche, lorsqu’il était candidat aux régionales en PACA en 1992, on voyait le Menhir porter tendrement dans ses bras sa petite-fille, Marion, alors âgée de 2 ans. Vingt-trois ans plus tard celle-là lui vole sa place aux régionales en PACA, lui indique sèchement le chemin de la sortie, entend qu’il finisse ses jours à l’hospice et qu’il fiche la paix à sa descendance. Alors que le Menhir a fait toute la carrière politique de Marion, comme de Marine avant elle, qu’il lui a choisi une circonscription en or dans le Vaucluse, à Carpentras, pour qu’elle soit élue en 2012 (ce qui fut le cas), qu’il l’a couvée, lui a dispensé ses judicieux conseils, est venu la soutenir, l’encourager lors de toutes les soirées électorales, et encore fin mars lors des départementales, l’applaudissant, la félicitant, l’embrassant, voilà comme elle le traite alors qu’elle n’a que 24 ans ! La tante et la nièce ne valent décidément pas mieux l’une que l’autre. Ecœurant ! Tout en le dézinguant, la petite-fille sait toutefois utiliser à des fins électorales l’affection des militants envers le fondateur du FN puisque, pour sa campagne, elle a fait distribuer une photo où on la voit avec son aïeul lors de la soirée électorale du second tour des départementales. Difficile d’aller plus loin dans la perversité !

 

Sur le plateau de Jean-Jacques Bourdin, Marion Maréchal-Le Pen a aussi révélé que ses relations avec Jean-Marie Le Pen ne sont pas au beau fixe. « Manifestement, il m’en veut d’avoir été mis à l’écart de cette campagne des élections régionales, même si c’était le deal de départ (sic !). Je le regrette, j’en suis attristée, mais je n’y peux rien », a déclaré le député FN. Quelle hypocrisie, quelle honte ! C’est tout simplement dégueulasse, comme le dirait notre ami Roger Holeindre. JMLP, quant à lui, a rajeuni de vingt ans depuis sa victoire judiciaire.

 

MARINE LE PEN FUME LA MOQUETTE

 

Décidément, Marine Le Pen devient de plus en plus excitée. Tout à sa haine contre son père sans lequel elle ne serait rien, voici qu’elle accuse Elkabbach d’avoir téléphoné à son géniteur pour le soutenir ! Rien que cela. Le 5 juillet, invitée du « Brunch Politique » de Sud Radio, Marine Le Pen est revenue sur une allégation de Valeurs Actuelles selon laquelle Jean-Pierre Elkabbach aurait téléphoné à son père pour lui apporter son soutien. « C’est incroyable et c’est vrai. Jean-Pierre Elkabbach a téléphoné à Jean-Marie Le Pen pour lui exprimer toute sa considération, tout son soutien », a alors répondu la présidente du Front national. Mais comment est-elle supposée avoir cette supposée info ? A-t-elle placé le téléphone de Jean-Marie Le Pen sur écoute alors qu’elle n’a plus aucun contact avec son père depuis des mois ? Et d’ajouter : « Ça peut paraître étonnant mais c’est une réalité. Peut-être qu’il se projette dans la situation de Jean-Marie Le Pen. Je ne sais pas ce qui peut justifier cet amour soudain de Jean-Pierre Elkabbach. ». Lequel déclare qu’il s’agit de « fantasmes et fariboles », ajoutant : « Je l’invitais (JMLP) à ma matinale. MLP n’a pas honte de mentir ».

 

JEAN-MARIE LE PEN COGNE

 

Triomphant suite à ses victoires judiciaires, Jean-Marie Le Pen s’est félicité sur iTélé de voir la justice remettre « les choses en ordre », mais a aussi dénoncé la démarche « tout à fait totalitaire » de Marine Le Pen. De son côté, Marine Le Pen a fustigé sur BFM TV une « saga judiciaire organisée » visant à « nuire au Front national », qui a prévu de faire appel. Extrait de l’entretien accordé par Jean-Marie Le Pen à Marianne daté du 10 juillet :

 

« La ligne développée par Philippot et Marine est un gauchissement du FN. Justifié par eux par le fait qu’il y a beaucoup de gens de gauche qui passent au vote FN. C’est vrai, mais ce n’est pas là que se situe le gisement de voix dans un pays où il y a une très grande proportion d’abstentionnistes. J’ai la conviction qu’une partie de ces abstentionnistes va se mobiliser à partir d’événements prévisibles à venir très prochainement. Or, l’événement le plus probable, c’est le déferlement migratoire consécutif à l’explosion démographique du monde, à son appauvrissement et au déficit démographique de l’Europe. Ces événements pousseront les abstentionnistes vers la droite.

 

Or, le gauchissement du Front national laisse libre l’accès à l’aile droite de l’électorat des Républicains. Or, en temps normal, le Front National flanc-garde l’UMP sur la droite. S’il se déplace sur la gauche, il libère cette frontière. Et ceux qui, portés par les événements en cherchant des issues, les classes moyennes en réalité, se porteront sur l’ex-UMP au lieu du Front National […] Il est bon que le FN s’ouvre à des clientèles nouvelles, mais à condition de ne pas perdre les plus anciennes […].

 

A supposer que le FN poursuive son évolution actuelle, l’interroge Marianne, imaginez-vous que le courant de la droite nationale que vous représentez ne soit pas présent à l’élection présidentielle ?

 

Si mon courant n’est pas représenté, il n’y aura pas de victoire. Moi, je crois représenter la majorité silencieuse du mouvement. Compte tenu de mon âge, j’ai transmis le flambeau, je ne me présenterai pas, évidemment. Mais quelqu’un le pourra peut-être… D’ailleurs, si ce courant n’est pas représenté, Sarkozy aura tout le loisir de renouveler sa stratégie de 2007 et de siphonner les voix du FN. Je crois qu’il a compris pourquoi il avait perdu en 2012 et rien ne l’arrêtera sur ce terrain. Et Marine Le Pen, si elle s’écarte de la ligne classique du FN, sera débordée […] »

 

FN EN PACA : LA RÉVOLTE GRONDE…

 

On sait que Marion Maréchal-Le Pen vient de lancer sa campagne pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA). On ne peut pas dire que l’ambiance soit au beau fixe. La guerre totale de Marine Le Pen à l’encontre de son père fait des dégâts. Sur vingt conseillers régionaux sortants, quinze soutiennent Jean-Marie Le Pen. Les soutiens de Marine Le Pen et de Phillipot sont le patron de la fédération du Var, Frédéric Boccaletti, devenu directeur de campagne de Mme Maréchal-Le Pen, la Marseillaise Hélène Bez, proche du sénateur Stéphane Ravier, le Toulonnais Jean-Yves Waquet, Valérie Laupies et Thibault de La Tocnaye, membres du bureau politique du FN. Jean-Louis Bouguereau, premier vice-président du groupe FN au conseil régional PACA, qui siège depuis 1986, a rendu les dissensions publiques, jeudi 9 juillet. Dans un communiqué, l’élu varois demande la démission de Florian Philippot, « en raison de ses actes commis à l’encontre du président d’honneur du Front national, qui constituent des fautes politiques et juridiques de nature à compromettre l’unité du parti ». « La grande majorité des autres élus FN à la région soutient cette démarche », dit-il. Le Menhir, qui entend répliquer coup après coup, a nommé un nouveau secrétaire général du groupe des élus, Laurent Comas, un fidèle, en remplacement de Boccaletti qui avait choisi le camp de Philippot. Le ton monte. Comas a dénoncé la façon dont certains cadres, et notamment Stéphane Ravier, ont « assassiné le menhir. Je lui ai demandé qui il était pour faire la morale au président fondateur », assure-t-il. Depuis, je suis à l’écart. »

 

Laurent Comas a été immédiatement suspendu du parti, tout comme Jean-Louis Bouguereau par Marine Le Pen. Le fonctionnement du parti est stalinien. Comas avait, il est vrai, tout fait pour se faire bien voir par Ganelone et son entourage: celui-ci avait comparé Florian Philippot au « gourou d’une secte vaudou », qui « mène le FN dans une voie mortifère ». Dans les Alpes-Maritimes, la révolte gronde aussi. L’investiture d’Olivier Bettati, ancien adjoint de M. Estrosi à la mairie de Nice, suscite le mécontentement de nombreux cadres locaux, dans ce département où les soutiens de Jean-Marie Le Pen restent nombreux.

 

YONNE : LE FN MARINISTE ÉLIMINÉ

 

Une élection départementale partielle s’est déroulée dimanche 5 juillet à Villeneuve-sur-Yonne. Le candidat mariniste l’avait emporté aux récentes élections départementales mais le scrutin avait été entaché de fraudes. Un cas des plus curieux : un binôme FN, Claude Thion et Erika Roset, avait été élu au second tour. Moins de trois semaines après avoir été élu, Claude Thion avait démissionné de son mandat, invoquant des raisons professionnelles. Son remplaçant, André Fisher, avait refusé de prendre sa suite, d’où l’organisation de nouvelles élections. Mais ce n’est pas fini. La seconde du binôme, Erika Roset, a déclaré dans une interview sur France Bleu Auxerre avoir quitté le parti après avoir été candidate « à son insu » et avoir subi des “pressions”. Elle a toutefois décidé “d’assumer” son rôle de conseillère départementale. Compliqué tout cela… Toujours est-il que le candidat du FN mariniste est arrivé troisième et se retrouve éliminé.

 

CATHOLIQUE, ANCIEN PARACHUTISTE, ANCIEN GUDARD : LE FN MARINISTE LE CONDAMNE À MORT !

 

Minute le raconte : Gaëtan Dirand n’est plus secrétaire départemental du FN pour le Maine-et-Loire. Il a remis, le 4 juillet, sa démission du poste qu’il occupait depuis avril 2011, expliquant qu’il ne se sentait plus en phase avec « la ligne politique du FN » ni avec « la stratégie de ses dirigeants ». En fait la colère de Gaëtan Dirand s’explique par la décision du FN mariniste d’investir comme tête de liste aux régionales pour le Maine-et-Loire, le jeune Aymeric Merlaud, un mignon tout mignon, protégé de l’homosexualiste Sebastien Chenu, le cofondateur de GayLib. Il est vrai que Gaëtan Dirand n’a que des défauts. Ce pilier historique du FN n’est pas homosexuel, est marié, père de quatre enfants, ancien para et catholique. De plus, il fut dans ses jeunes années le responsable du GUD. Autant de bonnes raisons pour l’exterminer. La « madone à pédés » s’y est donc employée.

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.

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jeudi, 23 juillet 2015

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 22 juillet 2015

Le trotsko-lambertisme à l'agonie ?

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Patrick Gofman*

Oui. C'est ce que proclament – avec une jubilation craintive et avide – les boutiquiers d'en-face : NPA de Besancenot, Médiapart et compagnie. « Crise sans précédent du lambertisme : l'explosion du POI [Parti ouvrier indépendant] est en cours », titre "Nina Pradier" le 9 juillet 2015 sur le site Tendance claire (NPA) cliquez ici.

…Avec cette comparaison : « Même l'exclusion [en 1984] de Stéphane Just, le n° 2 de l'OCI [Organisation communiste internationaliste], (…) avait frappé "seulement" 150 militant-e-s (sic)…»

"Nina" oublie qu'en 1986 Monsieur le Camarade Jean-Christophe Cambadélis avait embarqué environ 500 militants au Parti "socialiste" ; anéantissant les "fractions" jeunes et étudiants de la secte Lambert. Qui ne s'en est jamais remise : une réunion du POI, héritier dégénéré du lambertisme, c'est désormais le goûter des cheveux blancs.

Mais quel est donc l'événement "sans précédent" qui soulève l'enthousiasme au NPA, avec l'espoir non dissimulé de ramasser les morceaux ?

Il est vrai qu'il n'est pas mince : Monsieur le Camarade Daniel Gluckstein, président à vie débauché de la LCR de Krivine et promu par Boussel dit Lambert il y a 35 ans (à la fureur muette des vétérans soumis), vient d'être mis en minorité ! Un tiers seulement de ses quelque 4 000 adeptes soutient son opposition au virage "trade-unioniste" voulu par la majorité – c'est-à-dire l'adaptation étroite à la seule réussite du lambertisme, le noyautage, "l'entrisme" dans les syndicats, Force ouvrière en particulier.

Le conflit bureaucratique est violent, comme toujours dans la secte. Et il pourrait bien déboucher sur une scission massive… à l'échelle sectaire.

Mais au NPA on ne peut pas, ne veut pas comprendre que le trotskisme "à l'agonie" est en fait déjà mort ; qu'il n'était qu'un appendice du stalinisme, et qu'il l'a suivi dans la tombe.

Le plus probable est donc que nous ayons bientôt un groupuscule de plus, et plus encore d'impuissance et de dégénérescence dans le tout petit monde du marxisme dogmatique et opportuniste.

« Tout ce qui naît est digne de périr », écrivait déjà l'ancêtre Hegel. Alors c'est Georges Brassens qui montre le sentier lumineux : « Il creusa lui-même sa tombe, En faisant vite, en se cachant, Pour ne pas déranger les gens. »

(*) L'auteur de cet article – trotsko-lambertiste de 1967 à 1979 – est aussi celui d'un livre, "Le Trotskisme dégénéré". 18 € (3 € de port) sur papier aux éditions Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

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Cet ouvrage est aussi en vente 3,92 € en e-book "Kindle" @amazon.fr.

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mardi, 21 juillet 2015

EPIDÉMIE ? CE N’EST QU’UN DÉBUT

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Pierre Vial Président de Terre et peuple

Il m’a été reproché, par des représentants de la sacro-sainte légalité républicaine, d’avoir écrit que nous étions en guerre. Il paraît que cela constitue même une « incitation à la haine raciale » (sic). Ce qui soulève un léger problème – et va compliquer la tâche de mes éventuels persécuteurs – c’est que l’illustre Manuel Valls n’a pas dit autre chose, ainsi que l’ont répercuté les media, ce que tout un chacun peut vérifier. A vrai dire, il ne s’alignait pas sur les élucubrations d’un méchant fasciste mais n’exprimait là, tout bonnement, qu’une évidence.

En effet l’actualité apporte régulièrement un lot d’informations qui sont autant de confirmations de nos analyses. Prenons quelques exemples :

les trois individus arrêtés le 13 juillet (tiens ! La veille du 14… ça tombait bien pour le plan com du locataire de l’Elysée…) ont un « profil » qui « a de quoi interpeller » (Le Monde, 17 juillet). Agés de 17, 19 et 23 ans ils ont avoué préparer l’assassinat, filmé, des militaires présents sur le site de Port-Vendres (Pyrénées Orientales), en décapitant (c’est une manie chez les djihadistes) un officier du Centre national d’entraînement de l’armée de terre (CNEC). La tête pensante du groupe (un type de 17 ans, prénommé Ismaël) s’est dit « hypnotisé » par les vidéos djihadistes diffusées sur le Net. L’un de ses voisins a déclaré à la télévision qu’il « avait l’air d’un bon garçon » (ben voyons…). Quant à l’individu de 23 ans, un certain Djebril, c’est un ancien matelot de la marine française. Il illustre un phénomène capital dans le recrutement des djihadistes : ceux-ci peuvent facilement trouver des adeptes dans les rangs de l’armée compte tenu de la politique officielle de recrutement des militaires, qui privilégie les candidats « issus de la diversité » au nom de l’idéologie du « vivre ensemble ». C’est tout bénéfice pour les djihadistes que de trouver de nouveaux combattants bien formés sur le plan militaire, qui savent où il faut aller pour se procurer armes, munitions, tout en ayant repéré des cibles symboliques. Fait caractéristique : faute de pouvoir partir faire le djihad en Syrie ou ailleurs (car l’un d’eux était repéré par les services de renseignement) les trois terroristes ont voulu frapper sur le sol français, en application des consignes de l’Etat islamique adressées à ses partisans.

Etats-Unis : quatre militaires américains ont été tués, le 16 juillet, dans une base située à Chatanooga (Tennessee). Le tireur s’appelle Mohammad Youssef Abdulazeez. C’est « un Américain d’origine koweitienne » de 24 ans. Les autorités américaines se sont dépêchées d’affirmer qu’il serait « prématuré » de spéculer sur les raisons de la fusillade… Aux Etats-Unis comme en France et en Europe règne la même lâche hypocrisie : il ne faut surtout pas « stigmatiser » une certaine population.

11 juillet : le premier ministre serbe, qui cherche à tout prix à être bien vu des Eurocrates, a voulu faire acte de repentance en se rendant à Srebenica. Il a été lapidé par les musulmans de Bosnie au cri de « Allah Akbar ! ». Le ministre de l’intérieur serbe a parlé d’une « tentative de meurtre ». Certes. On aimerait apprendre à ces repentants la chanson « Ah il fallait pas, il fallait pas qu’il y aille, ah il fallait pas, il fallait pas y aller ».

- nuit du 5 au 6 juillet : vol de nombreux détonateurs et pains de plastic sur le site militaire de Miramas (Bouches du Rhône). A quelques kilomètres de là, à Berre-l’Etang, le 14 juillet, trois cuves d’hydrocarbures du site pétrochimique étaient visées par des dispositifs explosifs, dont deux ont provoqué un énorme incendie. Le ministre de l’intérieur Cazeneuve a affirmé devant l’Assemblée nationale qu’il s’agissait, certes, d’un « acte criminel » mais dont « la motivation n’est pas établie ». S’il le dit…

14 juillet : cette fête bien française et franchement républicaine a été agrémentée d’incendies et de destructions multiples et variées. Bien entendu, silence des media, qui préfèrent parler du tour de France.

NDLR : 17 commissariats ou gendarmeries attaqués en moins de 15 jours cliquez ici

PS : Le psychodrame grec est lourd de signification. Tsipras a dû passer sous les fourches caudines : « Le leader de la gauche radicale, épuisé, humilié, a dû accepter une liste de réformes d’une dureté qui heurte même les fonctionnaires européens – ils évoquent une mise sous tutelle de la Grèce. « C’est le catalogue des horreurs » écrit le magazine Der Spiegel. Le tout imposé à un chef de gouvernement élu sur un programme anti-austérité, anti- « troïka » - Commission de Bruxelles, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international -, anti-« diktat de Bruxelles » (Le Monde, 14 juillet). Une photo vaut parfois mieux que tous les discours : sur celle publiée par le quotidien que je viens de citer (page 6), on voit Christine Lagarde, patronne du FMI, passer derrière Euclide Tsakalatos, le ministre grec des finances, lors d’une séance à Bruxelles, et lui jeter un regard de haine. Mais la Grèce n’a peut-être pas fini de gâcher les nuits des Eurocrates de Bruxelles…

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Le prix de la bêtise

2589545471.jpgLe billet de

Patrick Parment

Les agriculteurs français sont furieux, et pour cause, leur train de vie ne cesse de fondre comme neige au soleil et certains sont même en mode survie. Hier encore, grâce aux aides européennes, ils arrivaient à s’en sortir. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. 

Et, il est vrai qu’il n’est pas normal qu’un éleveur ou un producteur ne gagne pas décemment sa vie quand les branleurs qui tapotent sur un ordinateur branché sur les marchés financiers se goinfrent de bénéfices exorbitants. 

Le problème est que l’Europe, comme nous venons de le voir avec la Grèce, est une construction financière, monétaire et non charnelle qui n’en a rien à foutre des peuples et des économies locales. 

Comble de la bêtise, c’est cette même Europe, la France de Hollande en particulier,  qui a décidé un embargo contre la Russie pour complaire à Washington. Comble de l’ironie, cet embargo se retourne contre les européens et pénalise nos paysans qui voient débarquer, par exemple, du porc allemand destiné à l’origine à la Russie, à prix cassés, sur le marché français, pour la plus grande joie de la grande distribution française. Nos paysans sont pénalisés de tous les côtés de la chaîne. En un mot, on a ajouté de la crise à la crise. 

On aimerait savoir si, un jour, nous aurons, pauvres de nous, des politiques à la hauteur, moins stupides, pour rester poli, que les branquignols qui, du haut de leur incompétence, nous gouvernent. Et c’est ainsi qu’Allah est grand !

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lundi, 20 juillet 2015

Mort de Jean Lacouture : nécessaire rappel !

medium_communismepoubelle.jpgUn communiqué de Bernard Antony
Président de Chrétienté solidarité
 
« Manuel Valls en premier, toute la nomenklatura politico-médiatique bobo-gaucharde a rendu hommage au « journaliste » Jean Lacouture qui, à l’âge de 94 ans, a enfin rejoint dans leur au-delà Ho-Chi-Monh et Pol-Pot.
 
Jean Lacouture fut un habile collabo propagandiste qui, lorsque cela devenait trop énorme et même grotesque d’encenser de pareils criminels, sut juste à temps se raviser et émettre de judicieux salmigondis d’auto-critique « progressiste » et de repentance pseudo-catholique. Alors, la tartufferie régnante non seulement pardonnait à ce collabo-là mais l’honorait d’autant plus.
 
Après avoir aussi tranquillement passé les années de l’occupation allemande que son modèle Jean-Paul Sartre, Lacouture se débrouilla comme ce dernier, à la 11° heure et demi, pour s’auto-décerner les palmes d’une résistance… intellectuelle.
 
On sait combien ce résistancialisme était à vomir pour les véritables résistants de la première heure, pour la plupart sinon tous issus des rangs des droites nationales, cependant que le parti communiste célébrait l’alliance hitléro-stalinienne.
 
C’est ensuite dans la plus abjecte des collaborations propagandistes avec les abominations du communisme sous les masques de l’anticolonialisme que ce « chrétien de gauche » s’illustra durablement : dans Le Monde, le nouvel Observateur et autres médias audio-visuels de même facture.
 
Lacouture n’était pas de ces hommes de gauche anti-totalitaires qui avaient approuvé les propos et l’action libératrice décisive de l’héroïque Jules Moch, le grand ministre de l’Intérieur socialiste. Ce dernier, le 16 novembre 1948, devant faire face aux menées insurrectionnelles du parti communiste moscoutaire et de sa CGT, avait lancé dans son célèbre discours devant l’Assemblée Nationale : « Le bolchévisme est la plus gigantesque entreprise de dépravation de l’homme qui ait jamais existé ».   
 
Lacouture, lui, ne s’en était pas aperçu et au mépris donc de tout ce que l’on savait déjà des abominations du communisme et de ses relais subversifs, participait en très utile compagnon de route « chrétien » au système de désinformation marxiste-léniniste. Ce spécialiste parisien de l’Indochine encensa d’abord Ho-Chi-Minh autant qu’un Aragon glorifiant les crimes de son maître Staline.
 
Il devint bien sûr ensuite et simultanément un ardent prosélyte du FLN algérien dans le déni de réalité de ses attentats terroristes, de ses massacres de masse et cruautés sans limites.
 
Mais là où ce journaliste « chrétien » se hissa à un niveau d’abjection mensongère quasiment indépassable, ce fut dans la collaboration propagandiste avec les génocideurs communistes maoïstes du Cambodge.
 
Au mépris total de tout ce qui parvenait d’informations fiables sur leur entreprise de « régénération révolutionnaire » par les tortures aussi monstrueusement sadiques que celles des Jeunes-Turcs, et des charniers sans cesse ouverts, Lacouture louangeait les Khmers rouges comme Aragon la Tchéka et le Guépeou.
 
Il faut rappeler ce qui suit.
 
Le 14 avril 1975, le grand Soljenitsyne, dûment informé, lui, avait pu s’exprimer dans l’émission télévisée « Apostrophes » et annoncer les immenses abominations qui, dans la continuité des exterminations de masse lénino-trotskystes et stalino-maoïstes, allaient s’abattre sur le Vietnam et le Cambodge. Il suscita le scepticisme condescendant et ironique de Jean Daniel, le patron du nouvel Observateur, dégoulinant de sa suffisance de grand bourgeois de gauche.
 
Jean Lacouture, son éditorialiste, le dépassa très vite  dans le déni de réalité.  Quelques jours plus tard en effet, le 17 mai, les Khmers rouges s’emparaient de Pnom-Penh et en vidaient la population en de longues colonnes ne relevant pas d’un tourisme de masse… Le 30, le Viêt-Cong entrait dans Saïgon. On connaît la suite.
 
Peu après, au mois de mai, dans le nouvel Observateur, le « chrétien » Lacouture, si admiré par une grande partie de l’épiscopat français et de la cléricature « progressiste », osait se vautrer dans l’infâme ironie que voici : « Un observateur étranger est libre de juger inutilement expéditifs ou abusivement contraignants les procédés appliqués par les Khmers rouges au Cambodge ».
 
Il n’hésitait donc pas à commenter sans vergogne la déportation de la population comme « une audacieuse transfusion de peuple, le retour à la terre d’une masse citadine inorganisée, foisonnante et rapace ».     
 
Comment pouvait-il écrire une telle phrase sans peser que de très semblables propos avaient été émis pour justifier la déportation des Juifs !
 
Et deux ans plus tard, sous sa garantie morale, on pouvait encore lire dans Le Monde les propos de Pol Pot : « La situation du Cambodge est excellente, tant sur le plan du ravitaillement que sur celui de la sécurité ».
 
Comme, tout de même, l’énormité désinformatrice de ses assertions était de moins en moins tenable, et de plus en plus impossible le négationnisme du génocide, Lacouture s’avisa qu’il était temps pour lui, une fois de plus, de changer de positionnement. Avec trois ans de retard, sur les premières indéniables révélations de l‘atrocité, il découvrit enfin la réalité du génocide.
 
Il ne lésina pas alors à émettre un salmigondis d’auto-critique à la façon marxiste et de repentance à la manière catholique. Tant qu’à faire, il n’hésita pas à écrire : « Hitler et Staline étaient des timides comparés aux Pol Pot, Yen Sary et autres gribouilles sanglantes qui transforment le Cambodge en cimetière ». Dieu, qu’il avait fallu du temps à ce grand journaliste, à ce spécialiste très informé pour apprendre la réalité et dire la vérité ! Sur pareille chose et tant d’autres encore, on peut juger de la fiabilité informative du journal Le Monde.
 
Lacouture ayant héroïquement fait sa contrition pénitentielle et comme il était avant tout un grand humaniste de gauche, il put continuer d’autant mieux une belle carrière de grand journaliste. Il méritait bien l’hommage de ce grand défenseur de la vertu républicaine qu’est Manuel Valls.   

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Carl Lang nous parle de la crise grecque....

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dimanche, 19 juillet 2015

30 juillet - 2 août : université d'été de Civitas

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Pour en savoir plus cliquez ici

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Le député Jean-Frédéric Poisson revient de Syrie où il a rencontré le Président Bachar al-Assad

RAPPEL : un nouveau voyage organisé en Syrie début août

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 Pour en savoir plus sur le voyage du mois d'avril cliquez ici

Pour s'inscrire au voyage du mois d'août 06 05 60 56 79

ou écrire à : rcsfrance@gmail.com 

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Parution du nouveau numéro d'Eléments

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N°156 - 5,50 €

00:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 18 juillet 2015

Une conséquence de l'islamisation : la psychose se développe en région lyonnaise

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Le 4 juillet dernier, les convives d'un mariage à Anse (Rhône) se sont offert une bonne frayeur. Ils ont pris peur en voyant l'accoutrement de visiteurs qui n'étaient manifestement pas sur la liste des invités. Ces trois intrus étaient tranquillement installés dans l'église avec leurs djellabas...Il faut dire qu'il s'agissait en fait de trois pèlerins, en chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle et vêtus de toges blanches que les convives n'avaient pas identifiées. Ils avaient décidé de faire escale dans l'église de la commune, pour une halte spirituelle, malgré le déroulement de la cérémonie. Un passage qui n'a pas été du goût de tous. Certains invités, inquiets de cette présence inhabituelle, ont contacté le service de gendarmerie qui a débarqué sur les lieux pour interroger ces étranges visiteurs.

La gendarmerie appelée à la rescousse

« Les individus ne se sont pas du tout montrés agressifs, bien au contraire. Ils ont dit être habillés en apôtre et faire le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle », a précisé la gendarmerie du village de la banlieue lyonnaise sur Lyoncapitale.fr. Il faut dire que, le 26 juin dernier, la commune de Saint-Quentin-Fallavier, située à une cinquantaine de kilomètres, avait été l'objet d'un attentat. Le mariage a finalement pu se terminer sans aucun souci et les époux se sont dit « oui », au cours d'une cérémonie dont ils se souviendront longtemps.Chaque année, des milliers de fidèles prennent les routes de France et se rendent, à pied, jusqu'à la ville sainte pour les chrétiens, se situant en Galice, dans le nord de l'Espagne.

Source Le Point.fr cliquez là

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Lucien Rebatet invité de Jacques Chancel (10 décembre 1969)

16:11 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |