mercredi, 30 décembre 2015
Quand j’entends le mot : élite, je sors mon browning !
Dr Bernard Plouvier
Entendons-nous bien : je suis un citoyen modèle, ex-travailleur, retraité après 41 années d’exercice médical hospitalier, blanc, payant rubis sur l’ongle factures et impôts, insulté par les immigrés colorés lorsqu’il m’arrive de me promener à mes risques et périls dans certaines rues de Tours, de Paris et de Bordeaux, et respectueux des lois… donc je n’ai pas d’arme, même pas un fusil de chasse.
Je ne fais que paraphraser Hanns Johst, le remarquable tragédien nazi (eh oui, la culture de langue allemande se portait bien durant le IIIe Reich, contrairement à ce qu’enseignent doctes universitaires et gâteux académiciens) : « Lorsque j’entends parler de culture, j’arme mon browning » (in Schlageter)… et comme Johst connaissait son époque, il mettait cette phrase dans la bouche d’un marxiste. Johst n’a jamais tué personne et l’auteur de ces lignes ne souhaite que l’exécution après jugement de ceux qui, volontairement, prennent la vie d’un être humain.
En revanche, il y a de quoi être révolté ou honteux d’ouïr et de regarder agir ou ne pas agir nos « élites » - soit nos élus grassement payés (et souvent de multiples façons), nos sémillants directeurs d’entreprises privées ou publiques, nos hyper-fonctionnaires, nos grands gourous médiatiques, nos gloires d’Université & d’académies, les membres des hauts-clergés (y compris les maîtres des sectes maçonniques), les notables corporatistes et défenseurs des droits communautaires et catégoriels, bref tous les gens qui semblent avoir été désignés – par leurs pairs ou les électeurs, voire qui se sont autoproclamés – pour constituer l’élite du pays.
Or que nous disent les membres de tous sexes et genres composant ce beau monde ? D’abord et avant tout que tout va bien, ou le moins mal possible ; que nous sommes trop repliés sur nous-mêmes, Européens de souche, et pas assez accueillants vis-à-vis de pauvres êtres, fuyant des pays d’Afrique, du Proche- ou du Moyen-Orients… où la politique du curieux Président des USA, relayé par ses caniches occidentaux, a démoli l’existant pour le remplacer partout par une guerre permanente entre sectes rivales islamistes.
Si l’on se plaint de la multitude d’exactions commises par les immigrants extra-européens et leurs rejetons nés sur le sol national, de leur délinquance et leur incivilité quotidiennes, de leurs crimes qui deviennent de plus en plus fréquents par l’effet d’une impunité inédite dans l’histoire des civilisations, de l’immonde barbarie que représente l’islam conquérant et criminel et de la régression médiévale que représente l’application des stipulations non criminelles de la charî’a… l’on devient ipso facto raciste (soit animé d’un complexe de supériorité, face à des Barbares) ou xénophobe (soit animé du complexe inverse, par peur des folies inutilement importées en un continent hautement civilisé, qui eut beaucoup à souffrir par le passé de guerres religieuses ou entre nations composant la race blanche).
L’Européen de souche ni trop sot, ni sourd et aveugle, est pris d’un doute, puis – après quelques années d’observation des sociétés française, belge, allemande, britannique etc. – progressivement envahi d’une certitude : nos « élites » sont soit composées de délirants chroniques soit de traîtres. On ne le répétera jamais assez, délirer, c’est nier l’évidence des faits. Quant à la trahison, c’est travailler à la destruction du Bien commun ou à sa livraison à l’ennemi.
Il y a 25 siècles, Platon a écrit (in Les Lois) : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de la Cité. Quiconque fait la paix de sa propre initiative et sans le consentement commun sera puni de mort »… Cité, État, cela importe peu.
L’avis de « l’élite », délirante ou corrompue (de nos jours, l’on dirait : sensible aux charmes des pétrodollars ou aux subsides pétro-islamiques), est passé de mode. L’on ne voit que trop où cette « élite » nous a menés. C’est l’avis de la Nation qu’il importe de prendre au plus tôt… sinon, la Nation a le droit de s’insurger contre des tyrans incompétents et/ou corrompus. Ce Droit devient un Devoir lorsque l’avenir des enfants et des petits-enfants est directement menacé par des envahisseurs.
10:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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