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lundi, 08 février 2016

Affaire Piquemal : les chacals craignent pour leur peau

Les chacals craignent pour leur peau – par Marc NOÉ.jpg

Marc Noé - Le Gaulois cliquez là

Par leurs actes répétés de trahison, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ». Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement criminelle, comme le souligne Philippe de Villiers.

À Calais, le gang anti-Français qui tente de ressembler à un « gouvernement » a, une nouvelle fois prouvé sa capacité de nuisance. Ainsi, un lamentable ramassis de traitres et d’incapables se permet-il de faire arrêter et juger le Général PIQUEMAL représentant  reconnu, lui, de l’Élite de l’Armée Française.

Il faut vraiment relever d’une engeance minable pour s’autoriser pareille forfaiture !...

Tous ces bipèdes boursoufflés de suffisance qui se pavanent aujourd’hui prétentieusement sous les lambris de notre République n’ont décidément pas compris que ce n’est pas le titre qui honore l’homme mais que c’est l’homme qui se doit d’honorer le titre.

Ce faisant, ils ont eux-mêmes révélé aux yeux de tous ce qu’ils sont profondément : des individus sans relief et sans Honneur. Et s’il est normal d’avoir de la considération pour les fonctions, force est de constater que ceux qui les occupent si mal ne méritent pas la moindre once de respect.

Pas plus qu’eux-mêmes n’en ont témoigné au Général PIQUEMAL.

La prochaine fois, feront-ils tirer sur les manifestants comme certains l’ont déjà fait auparavant sur les Pieds-Noirs rue d’Isly, à Alger, le 26 Mars 1962 ?... Tout le monde n’a pas la mémoire courte.

Désormais, tout le monde en a conscience : pendant qu’ils saccagent, agressent et manifestent armés de barres de fer (Voir), les clandestins hors-la-loi ont des droits. Pendant qu’il manifeste pacifiquement en faveur de la France, un Général a des menottes. Telles sont les valeurs de la racaille au Pouvoir qui confond « état de droit » avec « tous les droits à l’État »..

Quoi qu’il en soit, par leurs actes répétés de trahison, en ne défendant pas leur propre population, ils ont désormais perdu toute légitimité et ne sont plus dignes d’être qualifiés de « gouvernement ». Tout au plus s’agit-il d’une bande organisée ayant fait main basse sur les rouages de l’État. Un gang anti-Français qui s’attache à la désintégration du Pays. Leur attitude est tout simplement « criminelle », comme le souligne Philippe de Villiers.

Le « Tartarin de l’Élysée », alias « Capitaine de pédalo » selon Mélenchon (74% d’opinions défavorables), pourra bien continuer de se croire « Chef de guerre », que pèsera-t-il objectivement face à la renommée d’un VRAI « Chef de guerre » auquel il n’arrive pas à la cheville, malgré tous les propos laudatifs des médias dégoulinant de servilité. Des médias pour lesquels fayotage et copinage sont les deux gamelles inséparables.

Le « Don Quichotte de Matignon », alias « l’électrocuté » selon Gilbert Collard (66% d’opinions défavorables), pourra bien se draper dans ce qu’il est bien le seul à considérer comme étant « SES propres Valeurs de la République », tout son verbiage n’est rien d’autre qu’un fatras de préjugés et de rancœurs personnels assaisonnés d’une sauce idéologique nauséabonde qui n’a rien à envier à la soupe servie par les régimes totalitaires. Lui se croit toujours au temps de la guerre civile d’Espagne.

Le « Sancho Pansa de la Place Beauvau », quant à lui, pourra bien continuer de s’évertuer à se faire passer pour quelqu’un de responsable, sachant prendre des décisions et donner des leçons à tout le monde, il n’en sera pas moins regardé comme étant un personnage insignifiant qui ne brille que par les pâles lueurs de sa fonction.

Ainsi va la France d’aujourd’hui : plus quelque-chose est bas, plus « on » nous le montre en exemple. Et plus les chevilles sont enflées, plus les têtes sont vides.

Et ce sont ces gens-là qui, confortablement juchés sur leur éphémère perchoir à serins –la seule hauteur qu’il faille leur reconnaitre-, se permettent d’insulter tous ceux qui ne pensent pas comme eux, les traitant de « racistes », de « fascistes », de « nazis ». Le tout arbitrairement ficelé sous l’appellation fumeuse d’« extrême droite ». Chez eux, la malhonnêteté n’a pas de limite… si ce n’est celle de leur étroitesse d’esprit qui leur fait prendre leur propre lâcheté pour de la tolérance et leur faux humanisme pour de la grandeur d’âme.

En cela, ces « tristes sires » ne font que surfer sur la peur de choses supposées qu’ils ont eux-mêmes inventées pour mieux enfumer l’opinion publique et jouer aux « grands courageux ». On offre sa poitrine à des fusils qui n’existent pas. Ça fait toujours bien et ça donne bonne conscience…

Dans les faits, ces individus ne sont que des chacals qui se repaissent des malheurs de la France tout en la détruisant un peu plus chaque jour. Pendant la Révolution, sous la houlette de l’accusateur public Fouquier-Tinville, ils eussent été jugés puis condamnés pour trahison envers la Patrie et leurs biens saisis puis revendus comme « Biens Nationaux ».

C’est bien pour ça que « les chacals craignent pour leur peau ! »… car ils subodorent que « l’heure des comptes viendra bientôt ! »

17:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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