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dimanche, 31 juillet 2016

Circus parade franchouillard et bourrage de crânes

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Spécimens de jeunes ayant un souci d'intégration sans doute...

Bernard Plouvier

Il faut s’y habituer : la France aura du mal à se remettre de la bêtise hollando-vallso-cazeneuvienne. Certes, le ridicule n’a jamais tué personne – en dépit d’un proverbe laissant croire le contraire -, mais les actuels clowns qui se pavanent dans les palais de la Ripoublique poussent fort loin la plaisanterie.

Les media aux ordres nous tympanisent avec la grrrrande manifestation œcuménique de Lyon du samedi 30 juillet 2016, visant à combattre le fanatisme religieux… sans trop préciser que le seul fanatisme religieux que l’on connaisse en France depuis près d’un demi-siècle n’est que celui des hôtes musulmans du pays. De bien curieux hôtes en vérité, dont les « jeunes » tuent, pillent, violent, vandalisent, alors même que la Nation n’a jamais été consultée sur l’intérêt qu’il pouvait y avoir à recueillir de tels individus.

Or cette manifestation « monstre » de solidarité interraciale (pardon : le terme correct est « interethnique ») et religieuse a regroupé moins de 400 personnes, ce qui fait assez peu pour la troisième ville de France. On y a beuglé quelques slogans fort bénins et juré de ne plus s’entretuer pour des raisons de monothéismes s’excluant mutuellement… un seul dieu, mais pas le même pour tous, c’est vrai que ça peut poser des problèmes, même dans un pays où existe, de façon constitutionnelle, une stricte séparation de l’État et des religions.

Hélas, la Loi de 1905 n’avait pas prévu qu’un jour l’islam véhiculerait de forts relents de pétrodollars. Car ce bon Vespasien avait tort : l’argent a parfois de l’odeur… celle un peu musquée des roitelets islamo-pétroliers ou celle du haschich, sans compter l’odeur des sueurs froides de nos politiciens quand les maîtres du « lobby qui n’existe pas » menacent de brandir l’accusation rituelle « d’antisémitisme ». Avec ou sans parfum, l’argent et les suffrages sont bons à prendre lorsqu’un parti politique a de forts besoins de l’un et des autres.

Alors, Loi de 1905 ou pas, on ferme opportunément les yeux, même devant certaines évidences et l’on flatte les super-riches dans le sens du poil, tantôt celui de la synagogue, tantôt celui des mosquées, les cathédrales n’intéressant plus guère les politiciens depuis le suicidaire concile Vatican II qui a vidé les églises de France.

Pourtant, la manifestation la plus importante du 30 juillet n’était pas la mini-parade lyonnaise, qui a focalisé l’attention des media domestiqués. C’est près d’une gare parisienne (enfin, il paraît qu’elle est « parisienne »… à dire vrai, la dominante de sa fréquentation évoque plutôt un autre continent), qu’avait lieu une véritable manifestation « à la française », dans sa version actuelle, c’est-à-dire mondialiste.

Là, en effet, un millier d’individus vengeurs ont hurlé leur haine de la police française, parce qu’un Noir était mort quelques heures après avoir été arrêté par des policiers. On sait, grâce à deux autopsies, que ce monsieur est mort d’une maladie non rare chez le Noir africain : une cardiomyopathie hypertrophique (une maladie cardiaque, génétiquement induite, où l’on meurt de troubles du rythme, à l’occasion d’un effort ou d’une forte émotion)… la seule « bavure » dans cette triste histoire est d’ordre médical et non policier. Bien suivi médicalement, cet homme aurait eu sa maladie diagnostiquée à temps et traitée de façon efficace, comme on sait le faire depuis plus de trente ans.

Il est plus simple de fermer les yeux sur le motif de l’interpellation (car, après tout, la police française n’arrête personne sans une bonne raison) et sur la négligence médicale du patient et de sa famille. Il est évidemment plus facile de beugler une fois de plus au « Racisme » des Français, alors que le seul racisme constaté quotidiennement en France depuis une trentaine d’années est le Racisme Anti-Blancs.

Le 30 juillet 2016, il y eut en France, deux manifestations : l’une de soi-disant fraternité, l’autre de haine anti-policière. La seule question à laquelle aucun journaliste ne répondra jamais (d’autant plus qu’il ne se la posera même pas) est celle-ci : où était la sincérité ? Celle de musulmans osant dire que l’islam n’est pas une religion de haine dirigée contre les infidèles ou celle des Africains venus crier vengeance ? Les uns jouaient aux bons apôtres ; les autres exigeaient une bizarre conception de la « justice ».

La seule juste mesure serait de demander aux contribuables français, seuls souverains légitimes de l’État, leur avis sur l’immigration extra-européenne et sur l’opportunité du retour de ces messieurs-dames dans leurs continents d’origine. On en est (hélas !) fort loin.

15:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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