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mardi, 09 octobre 2018

Vous avez dit réchauffement ?

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Le billet de Patrick Parment

Le GIEC (Groupe d’experts sur l’évolution des climats) vient de publier un nouveau rapport qui nous promet, une fois de plus, bien des catastrophes naturelles. Cet organisme qui œuvre à l’ombre de l’ONU a été contesté par bien des scientifiques des plus sérieux. Toutefois, il est incontestable que la terre est entrée dans un nouveau cycle climatique, comme elle en a connu beaucoup tout au long de son histoire, et qui se manifeste sous nos yeux par la fonte des banquises, l’accumulation de violents cyclones, des modifications de température sous tous les climats. Et il est certain qu’une augmentation de la température de la terre de 1,5 à 2°C aurait des conséquences écologiques qu’il est difficile d’évaluer.

Mais, rendre responsable de ce réchauffement l’activité humaine, tant industrielle qu’agricole, relève en grande partie de la fantaisie.

En revanche, ce qui est vrai c’est que l’accès aux ressource énergétiques non renouvelables (gaz, pétrole, charbon, uranium) pour satisfaire une société de consommation qui est en train de s’étendre à la terre entière, est un authentique fléau. Car, cet épuisement des ressources de la terre, modifie gravement nos écosystèmes et réduit de manière dramatique la faune et la flore, c’est-à-dire le vivant. Tout cela au nom d’un capitalisme effréné qui entraîne l’humanité sur la voie du suicide. Le réchauffement climatique comparé à la destruction de nos environnements n’est somme toute que marginal. Le vrai combat, ce n’est pas de vouloir s’en prendre au réchauffement climatique contre lequel l’homme est impuissant, mais bien de préserver et protéger nos environnements. En privilégiant par exemple les énergies renouvelables et surtout en limitant nos besoins en matière d’énergies non renouvelables. Ce qui revient à mettre en cause la société de consommation et son modèle frénétique, le capitalisme en général et financier en particulier. Ce qui reviendrait à penser que l’homme peut être un animal raisonnable. Ce dont nous doutons fortement. Nos sociétés se sont construites sur la rareté, elles risquent de disparaître sous l’abondance.

19:16 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Venez retrouver le journal "Présent" et ses journalistes sur leur stand dimanche prochain à la 12e Journée de Synthèse nationale à Rungis

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09:32 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vincent Vauclin donne le statut de parti à son mouvement, la Dissidence française. Il explique pourquoi :

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Entretien avec Vincent Vauclin sur Fréquence Europa, émission enregistrée le lendemain de l’annonce de la transformation de la Dissidence Française en parti politique.

Source cliquez ici

Vous avez annoncé hier la transformation de la Dissidence Française en parti politique. Quelles en sont les raisons ?

Depuis plusieurs années, nous avons travaillé activement à faire entendre nos idées, nos propositions. Nous avons multiplié les actions, les déplacements, les manifestations partout en France, en partant du principe que notre rôle était de faire évoluer les mentalités, de réveiller la jeunesse, de rassembler autour d’un programme de rupture ceux qui ne se reconnaissent pas dans la pensée unique, mais aussi de « brusquer » le milieu nationaliste français pour le renouveler, pour rompre avec des méthodes et des discours dépassés qui n’avaient plus d’efficacité concrète depuis des décennies.

Bref, nous avons accompli un travail métapolitique d’émulation, de refondation, et nous pensons qu’il est temps aujourd’hui de franchir un cap, de travailler à une autre échelle. Alors que jamais les circonstances n’ont été plus favorables à nos idées, les errances du Front National et l’effondrement des partis d’hier nous obligent à revoir notre stratégie. On ne peut pas faire comme si rien n’avait changé. Partout en Europe les choses bougent, et nous ne pouvons pas nous faire à l’idée que les nationalistes et patriotes français soient orphelins d’un parti à la hauteur des enjeux. Il est temps de construire un parti véritablement de Droite, qui ne cède rien à la pensée unique, qui ne recule plus face aux lobbies, et qui ose porter des propositions radicales pour répondre aux défis de notre époque. C’est ce défi que nous avons décidé de relever.

Est-ce que cela implique un changement de la ligne politique du mouvement ?

En aucun cas. Nous ne changerons pas une virgule au programme de la Dissidence Française. Nous ne cèderons rien au politiquement correct, nous ne tomberons pas dans le panneau de la « dédiabolisation ». Car je pense que le temps de la radicalité est venu, et c’est justement aujourd’hui qu’il faut faire entendre une ligne claire, un programme de rupture véritable. À l’heure où le discours politique se résume à des slogans creux et aseptisés, notre rôle est justement de renverser la table et de brusquer le conformisme ambiant. Les enjeux sont trop grands pour qu’on se contente de petites réformes et de quelques compromis, et ça de plus en plus de français le comprennent. Nous portons un projet de révolution conservatrice qui représente la seule alternative au mondialisme libéral, et c’est aussi ce qui fait notre différence avec les fausses « oppositions » téléguidées par le Système.

Quelles sont les prochaines étapes ?

Dans les semaines et les mois qui viennent, je vais enchaîner les réunions publiques un peu partout en France pour présenter notre démarche, nos actions, notre projet. Bien sur, je serais aussi présent à l’occasion de la Journée de Synthèse Nationale qui se déroulera le 14 octobre à Rungis, à l’initiative de notre ami Roland Hélie. Le 1er décembre, la DF organise la troisième édition de son assemblée annuelle ReVolt, et d’ici-là nous organiserons d’autres rendez-vous et d’autres actions dans le cadre de notre campagne « Pour la France et les Français d’abord ».

09:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 27 octobre à Paris : conférence de Philippe Conrad, Président de l'Institut Iliade

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09:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On a toujours raison à un moment ou a un autre... mais le mieux, c'est d'avoir raison au bon moment.

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Giscard confie ses regrets au sujet du regroupement familial... Il est temps !

Lu dur f.desouche.com cliquez ici :

Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.

« Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit. »

Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : « L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents. »

Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500.000 Algériens en cinq ans.

 

09:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |