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lundi, 08 octobre 2018

TV LIBERTÉS AURA UN STAND DIMANCHE PROCHAIN À RUNGIS À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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RÉINFO, LE MAGAZINE TV DU PARTI DE LA FRANCE DE CETTE SEMAINE

21:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le quotidien Présent d'aujourd'hui, un grand entretien avec Roland Hélie sur la 12e Journée de Synthèse nationale, dimanche prochain à Rungis.

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Entretien avec Roland Hélie.

« Les lecteurs de Présent

sont les bienvenus ! ».

La 12e journée nationaliste et identitaire se tiendra sur ce thème : Ne laissons pas mourir la France. A qui adressez-vous ce souhait qui est aussi un mot d’ordre ?

A celles et ceux qui ne veulent pas voir notre pays, et notre civilisation, sombrer dans le magma mondialiste que veulent nous imposer les tenants du Système. Aujourd’hui, le choix est simple. Soit on se soumet à la volonté ultralibérale de détruire les identités au profit d’un monde globalisé dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs formattés, dociles et interchangeables, soit on le refuse. Si c’est le cas, si on ne veut donc pas laisser mourir la France, avec tout ce que cela représente, il faut venir nombreux le dimanche 14 octobre à la 12e Journée de Synthèse nationale.

Quels intervenants prendront la parole cette année, et sur quels sujets précisément ?

Le moment fort sera bien sûr le meeting politique en milieu d’après-midi au cours duquel prendront la parole des personnalités aussi différentes que Pierre Vial, de Terre et peuple, Alain Escada, de Civitas, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, Massimo Magliaro, ancien responsable du Mouvement social italien, Roger Holeindre que l’on ne présente plus, Carl Lang, président du Parti de la France, et Jean-Marie Le Pen qui devrait, à cette occasion, prononcer un discours important sur l’avenir de la droite nationale dans la perspective des élections européennes de l’an prochain.

Auparavant, la journée se divisera en plusieurs parties. Le matin, elle débutera par un forum consacré aux initiatives nationalistes et identitaires, au cours duquel interviendront des responsables de mouvements militants comme la Dissidence française de Vincent Vauclin, le Bastion social, le Projet Lansquenet de Gabriele Adinolfi, ainsi que des militants syndicalistes comme Gérard Orget, Président du CIDUNATI francilien. Nous recevrons aussi à ce forum Juan Antonio Lopez Larrea, responsable phalangiste de Barcelone, qui s’est engagé pour défendre, l’an passé, l’unité de l’Espagne menacée par le séparatisme catalan.

En début d’après-midi, un second forum portera sur la réinformation avec Arnaud Raffard de Brienne et Philippe Randa, que les lecteurs de Présent connaissent bien, Jean-François Touzé, directeur de la revue Confrontation, Arnaud Menu, ancien directeur de Radio Libertés. Une partie de ce forum sera aussi consacrée à « l’affaire Méric » où, avec Serge Ayoub et Aristide Leucate qui a couvert le procès pour Présent, nous essayerons de remettre les pendules à l’heure…

Vous-même avez publié un texte fort (NDLR SN cliquez là) après le verdict qui a condamné à la prison ferme Esteban Morillo et Samuel Dufour.

Lorsque, début juin 2013, cette affaire éclata, je me suis engagé aux côtés de Serge Ayoub, alors mis en cause en tant que responsable de Troisième voie, pour défendre Esteban et ceux qui étaient accusés d’avoir tué le gauchiste Méric. Il y avait deux versions, celle imposée par les médias et par la classe politique, d’Alexis Corbière à Nathalie Kosciusko-Morizet, d’une part, et celle relatée par ceux qui ont assisté de visu, et pas seulement les jeunes nationalistes, à cette altercation malheureuse d’autre part. La partialité, l’injustice et le mensonge étaient flagrants.

Rappelez-vous qu’à cette époque le pouvoir socialiste était au plus mal face aux gigantesques manifestations contre le « mariage » gay. Un an à peine après son arrivée à l’Elysée, Hollande se retrouvait confronté à une situation dramatique pour lui. Il fallait donc discréditer l’opposition radicale et l’affaire Méric est tombée à point nommé pour cela. Il ne restait plus pour les socialistes qu’à faire l’amalgame entre ce « fait divers » et les manifestations, afin de dissuader les « modérés » d’y participer. Du grand classique… En attendant, des jeunes patriotes sont en prison aujourd’hui alors que ce sont eux qui ont été agressés par les idiots utiles du Système que sont les antifas. Il s’agit là d’une affaire politique et je regrette que la défense ne se soit pas placée sur ce terrain là. De tout cela, nous parlerons le 14 octobre…

Quel accueil réservez-vous aux lecteurs de Présent, habitués ou qui viendraient pour la première fois à une journée de Synthèse nationale ?

Les lecteurs de Présent, vous le savez bien cher Samuel, ne veulent pas laisser mourir la France. Ils sont donc les bienvenus et ils pourront en profiter pour visiter le stand de leur quotidien préféré…

Propos recueillis par Samuel Martin

  • 12e Journée nationaliste et identitaire organisée par la revue Synthèse nationale, dimanche 14 octobre 2018, Espace Jean-Monnet 47 rue des Solets à Rungis (Val de Marne), station RER et Tramway Rungis-La Fraternelle, vaste parking, restauration sur place, bar, concerts et animations, près de 80 stands, de 11 heures à 18 h 30, entrée 10 euros.
  • Présent participe ! Retrouvez Caroline Parmentier et Samuel Martin au stand de Présent.

Le site de Présent cliquez ici

Présent est en vente chez les marchands de journaux.

Consulter le n° d'aujourd'hui cliquez là

Tapis Franc Productions, auteur du film sur les persécutions de Chrétiens dans le monde, a un stand à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche 14 octobre à Rungis

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18:49 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

60 ans de la Ve République : 60 ans d'imposture et d'illusions entretenues

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Jean-François Touzé
Secrétaire national du Parti de la France
 
La célébration obligée, incontournable et nécessairement déférente des soixante ans de la Ve République par Emmanuel Macron (à Colombey-les-Deux-Églises comme il se doit pour un Président qui vient de faire ajouter au blason de l'Élysée une croix de Lorraine à vocation syncrétique) nous donne l'occasion de nous pencher sur des Institutions qu'il est de bon ton de louer pieusement pour ne pas avoir à en pleurer l'indicibilité.
 
Une Constitution se juge sur la durée et se légitimise par sa capacité à résister au temps et aux péripéties, mais aussi par son efficacité à unir, entraîner et faire vivre un pays.
 
À l’aune du premier critère, les Institutions voulues par Charles De Gaulle, en traversant crises et cohabitations et malgré vingt-quatre révisions constitutionnelles, ont sans doute fait la démonstration de leur solidité systémique. Non pas en tant que pilier de force de la Nation – nous sommes là dans le domaine de la légende et de l’illusion gaulliste - non pas au service de la France et des Français, mais à celui exclusif des hommes et des clans qui se sont succédé à la tête de l’État. C’était leur raison d’être. Elles ont accompli leur mission en étant pour les hommes de l'Établissement le rempart indispensable à leur survie.
 
Au regard du deuxième critère, la Cinquième République est un mensonge, une imposture, une confiscation et un détournement.
  • Mensonge d'un État fort et d'un pouvoir d'autorité. Perdu dans ses rêves donquichottesques de grandeur, De Gaulle à prétendu restituer à l’exécutif toute sa place sans pour autant léser les droits du Parlement… Subterfuge institutionnel dans un décor Potemkine de fausse reconstruction nationale. Résultat : un pouvoir bancal où le Président entre inévitablement en conflit avec son Premier ministre, un gouvernement coupé du peuple, un Parlement croupion, une domination des puissances d’argent sur la vie publique, des médias aux ordres, une Justice disciplinée et une impuissance programmée.
  • Imposture d'un régime fondé dans l'ambiguïté et la manipulation, forgé dans la félonie, pérennisé dans la commodité réglementaire et la satisfaction des ambitions personnelles. La Ve République c’est l’État égotiste de De Gaulle, l’État affairiste de Pompidou, l’État libéral avancé de Giscard, l’État cynique de Mitterrand, l'État immobile de Chirac, l'État agité et bling-bling de Sarkozy, le non-État de Hollande et l'État boite de nuit glauque de Macron.
  • Confiscation des droits du peuple français à disposer de lui-même par le totalitarisme architectural d’une démocratie de façade et la soumission aux règles du mondialisme.
  • Détournement des aspirations nationales à l'identité, à la sécurité, à la prospérité et aux libertés par un tour de passe-passe permanent digne des plus grands prestidigitateurs qui savent tromper la vigilance des spectateurs en détournant leurs regards de l'essentiel.
Avec Emmanuel Macron, la Ve République est entrée dans la phase ultime de la décomposition publique. Par son inaptitude criante à la fonction qu'il exerce depuis seize mois, par son arrogance de classe et sa morgue postadolescente (dernier exemple en date, l'effarante attaque à Colombey toujours, contre une retraitée touchant une pension de 500 euros mensuels sommée de ne pas se plaindre), par son attachement à la finance reine, par son immigrationnisme de substance et de fondement, par son incapacité à porter une vision et incarner une ligne de destin collectif, par sa pratique aussi solitaire que brouillonne du pouvoir, par son attirance marquée vers le vil et le douteux (Benalla, la « party » du 21 juin à l'Élysée, l’exotique séquence avec le braqueur à moitié nu de Saint Martin), par la médiocrité de sa représentation à l'internationale, l’actuel Président de l'agonisante Ve République pourrait bien en être le dernier.
 
Pour le Parti de la France, seul mouvement politique qui ne soit pas dans la connivence, le relèvement du Pays ne se fera ni dans la continuité ni dans la facilité mais dans un changement réel de régime basé sur un exécutif authentiquement fort en même temps que sur une émanation populaire capable de faire entendre la voix des Français.
 
Ce régime nouveau pourra alors, enfin, répondre aux attentes de nos compatriotes du retour de la France à l'identité, à la sécurité, au travail, à la prospérité, à l'équité sociale, à l'unité, à la puissance, aux libertés et au respect des valeurs civilisationnelles européennes.
 
Ce sera l’État national.

18:02 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lundi 15 octobre à Paris : un diner avec Arthur Grabé qui revient de Syrie où il a travaillé avec "Chrétiens d'Orient" et Maître Elie Hatem

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13:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PERIG KERYS, LE SCULPTEUR D'EXTREME OCCIDENT, EXPOSERA DIMANCHE 14 OCTOBRE À RUNGIS LORS DE LA 12 e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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09:03 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parachutage sur Barcelone !

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Georges Feltin-Tracol

Dans la soirée du 25 septembre dernier, l’ancien Premier ministre hexagonal Manuel Valls aofficiellement présenté sa candidature à la mairie de Barcelone, sa ville natale. Cette annonce originale incite à trois commentaires différents.

Le premier concerne le personnage hautement antipathique. Après avoir espéré de l’Élysée en 2012 et en 2017 et subi un échec cuisant de la part des électeurs de gauche à la primaire de décembre 2016, celui qui, à l’instar de François de Rugy, renia sa promesse initiale de soutenir le vainqueur de la primaire pour mieux se rallier au candidat bancaire Macron chercha d’abord, en intrigant à la petite semaine, à se rapprocher du nouveau pouvoir. Ainsi au terme d’une réélection plus que contestable,s’affilia-t-il au groupe LREM en tant qu’apparenté. Il comprit vite qu’Emmanuel Macron ne lui pardonnerait jamais ses remontrances parfois publiques. L’ancien rocardien sut dès lors que sa carrière politique se fossiliserait dans sa circonscription de l’Essonne. Cela n’aurait été que justice pour ce déplorable chef de gouvernement et cet exécrable ministre de l’Intérieur, auteur de la dissolution honteuse et inacceptable de l’Œuvre française, de Troisième Voie pour une avant-garde solidariste et des Jeunesses nationalistes-révolutionnaires. N’ayant jamais connu le monde réel dans lequel il faut se lever tôt pour gagner sa croûte, Valls lorgna alors de l’autre côté des Pyrénées.

Sa candidature confirme l’émergence planétaire des « villes-monde » ou des « métropoles globalisées ». À la suite de New York du milliardaire Michael Bloomberg et du libéral-gauchiste Bill de Blasio, de Londres du national-mondialiste Boris Johnson et du progressiste multiculturel Sadiq Khan, et de Paris du volubile Bertrand Delanoë et de l’exquise Anne Hidalgo, Manuel Valls aimerait faire de Barcelone une place internationale majeure qui s’écarterait non seulement de l’hypothèse sécessionniste catalane, mais aussi des pesanteurs historiques et territoriales espagnole et européenne. Au nom de ce cosmopolitisme si prisé par la super-classe oligarchique occidentale, il tente d’une manière très macronienne de s’opposer en même temps aux indépendantistes catalans et à l’actuelle mairesse proche de la gauche radicale Podemos, Ada Colau. Or Barcelone est moins séparatiste que son arrière-pays si bien qu’en cas d’indépendance de la Catalogne, certains Barcelonais exigeraient à leur tour la sécession…

Enfin, quand bien même Manuel Valls reste le rejeton idéal du mondialisme, sa candidature aurait été saluée par Jean Thiriart. Celui-ci rêvait qu’un originaire de Copenhague suive des études à Rome, fasse son service militaire à Bucarest, épouse une Bretonne à Varsovie et soit maire de Séville. Cette candidature novatrice fait bouger les lignes et interloque des journalistes jusqu’à présent blasés. Ces béotiens oublient que le cas Valls était assez courant dans l’Europe d’avant 1789. Régente de France pendant la minorité de son fils, le roi Louis XIV, Anne d’Autriche était une princesse espagnole et son Principal ministre et parrain du jeune roi, Mazarin, italien. L’ancien maire d’Évry renoue sans le vouloir avec la pratique médiévale du « capitaine du peuple », un étranger qui administrait avec le podestat les affaires publiques des républiques urbaines italiennes.

Par-delà une évidente ambition politicienne, l’acte de Manuel Valls valorise une appartenance prioritaire européenne. Son exemple devrait se généraliser pour qu’en 2022, les Français puissent enfin choisir entre de médiocres politiciens hexagonaux (les Macron, Wauquiez, Sarközy, Hollande, etc.) et de véritables hommes d’État tels Viktor Orban, Vladimir Poutine ou Alexandre Loukachenko.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°93, diffusée sur Radio-Libertés, le 5 octobre2018.

Commandez le nouveau livre de Georges Feltin-Tracol, "Pour la troisième voie solidariste" :

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08:32 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang invité de Michel de Rostolan aujourd'hui lundi à 12 h 30 sur Radio Courtoisie

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Ecoutez Radio Courtoisie cliquez ici

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08:22 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liège (Belgique) : attentat gauchiste contre le mouvement Nation

43379691_518217735271804_2364296646528860160_n.jpgCommuniqué de Nation :

Ce dimanche 7 octobre, des militants liégeois du Mouvement NATION ont été la cible d’une attaque au cocktail Molotov.

Alors que les militants revenaient d’une manifestation en soutien du pompiste de Comblain-au-Pont, ils se sont attablés dans un établissement liégeois où le public est assez sensible aux thèses patriotes.

Aux alentours de 15 h deux hommes cagoulés et vêtus de noir surgissent et lancent une bombe incendiaire sur la vitrine de l’établissement. Si l’engin incendiaire fut heureusement mal préparé et n’a pas fait de gros dégâts, l’attaque semble, elle, avoir été préparée bien à l’avance. Pour rappel, le président de NATION avait annoncé sa venue dans le centre de Liège voici quelques jours déjà.

Rappelons qu’il y a quelques jours, des appels à la violence issues de groupuscules gauchises circulaient sur la toile et ceci sans que les auteurs ne semblent avoir été inquiété (voir capture d’écran ci-dessous).

Il est indéniable que nous sommes face ici à un acte terroriste avec tentative d’incendie volontaire car prémédité ainsi que tentative de meurtre envers des militants identitaires et les clients de l’établissement.

Aucune violence d’extrême gauche ne fera reculer NATION !

Source cliquez ici

08:16 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |