mardi, 19 février 2019
Le véritable « cancer social qui ronge la France »
Bernard Plouvier
Ce serait, pour les Juifs de France, ce qu’ils nomment, de façon totalement erronée, « l’Antisémitisme ». C’est, en réalité, une affaire bien plus complexe et surtout infiniment plus grave pour l’avenir de notre Nation.
D’abord, il faut une bonne fois pour toutes abandonner les termes de sémitisme et d’antisémitisme tels qu’ils sont employés usuellement et pour d’excellentes raisons.
Après des millénaires de brassages des quatre races fondamentales et de leurs sous-variétés, il est évident qu’il n’existe plus de rameau sémitique pur de tout métissage, même chez les Juifs. Les études génétiques ont démontré de façon indubitable l’existence de croisements entre populations de tout le Proche-Orient (populations caucasiennes et touraniennes inclues), sauf peut-être chez les Yézidis du Kurdistan et les Samaritains.
En outre, pour le cas français, seuls les mahométans font quotidiennement usage d’une langue sémitique, au moins pour leurs prières : celle de leur prophète, l’arabe. Et c’est de ce bord que proviennent la quasi-totalité des attentats contre les personnes juives et la très grande majorité des insultes, pour des raisons de haines religieuses et en représailles des mesures politiques de l’État d’Israël, ce qui est généralement appelé de « l’antisionisme ».
Effectivement, depuis plusieurs décennies, les politiciens israéliens pratiquent des actions que l’on peut objectivement qualifier d’impérialistes, usant parfois de méthodes terroristes, que leurs partisans justifient par l’expression : « contre-terrorisme ».
Ce jeu pervers et auto-entretenu, opposant sionistes et antisionistes, gâche la vie de millions de citoyens plus ou moins passifs d’Israël et des États voisins, mais il ne devrait en aucun cas perturber la vie quotidienne de la Nation française, installée en Europe occidentale, donc loin de cette zone de haine hyperactive, dépourvue de tout bon sens.
Que ces Proche Orientaux s’étripent mutuellement est une triste réalité qui démontre la persistance de tout ce qu’il y a de destructif dans les comportements de l’être humain : le fanatisme, la violence aveugle, la haine, le mépris d’autrui et de ses droits les plus élémentaires. Mais cela ne concerne en aucun cas les Français.
Le cancer social français est bien différent et beaucoup plus complexe, protéiforme. Il se nomme : dénatalité autochtone, aggravée par une loi ignoble favorisant l’avortement de complaisance ; désertification industrielle du pays ; chômage de masse et de longue durée ; inadaptation de l’enseignement général et professionnel ; immigration-invasion inassimilable de millions d’individus d’origine extra-européenne ; islam djihadiste ; corruption politico-administrative ; déni de la notion démocratique par excellence, celle de l’égalité de tous devant la Loi – par la multiplication des passe-droits d’origine familiale, ethnique ou tribale, maçonnique et politique, ou encore par l’effet de la pure prostitution.
Cessons d’accepter passivement les écrans de fumée répandus par les membres très agités de lobbies antidémocratiques et les glapissements des politiciens en difficulté, oublions cette mousse médiatique et d’une manière générale tout ce qui nous cache les vrais problèmes, qui sont d’autant plus angoissants qu’ils obèrent l’avenir de nos descendants.
10:18 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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