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lundi, 23 décembre 2019

La Nouvelle réalité : répression & laxisme

de_monzie_anatole0605r3.jpgBernard Plouvier

En 1943, au pire moment d’incertitude, un politicien écarté de toute fonction publique, le député-affairiste Anatole de Monzie (en médaillon) a écrit (in La saison des juges) : « La répression ne saurait se manifester que par crises : l’alternance de la poigne et du pardon constitue la norme des sociétés ».

Quelle sublime stupidité, à la mesure du personnage vénal et ambigu, qui, durant sa période de gloire, dans les années trente, flirtait avec Mussolini et avec des agents du PCF stalinien ! Car il peut coexister répression et laxisme aussi abjects l’une que l’autre. Et cette dualité définit les périodes de décadence.

Notre société libérale faisandée – celle de France, de Belgique, des Pays-Bas, de l’Allemagne et des pays scandinaves – a instauré une « Justice » schizophrène où coexiste le laxisme le plus effarant et la répression la plus étonnante de la simple observation des réalités sociales.

On n’en est même plus au stade de la négation de la liberté d’expression de la pensée non-conformiste. On en est arrivé à condamner ceux qui observent les faits réels et en déduisent la moins improbable évolution de notre société !

D’un côté, règne le plus total laxisme envers les criminels et les délinquants issus de l’immigration extra-européenne, ni punis pour leurs encouragements à la haine meurtrière envers les Blancs ou pour leurs innombrables vols et dégradations de biens privés et publics, ni même punis pour leurs viols. Et cela peut s’expliquer de trois façons.

La quantité phénoménale de crimes et de délits commis par les envahisseurs pourrait décourager nos merveilleux magistrats. D’autant que certains d’entre eux ne jugent pas selon leur conscience éthique, mais sur des critères politiques... chacun connaît cette merveille appelée « Syndicat de la magistrature » et son fameux Mur !

La seconde explication serait celle de la démagogie électoraliste. Les politiciens de gouvernement, qui dirigent notre « Justice », ne peuvent fâcher leurs sponsors, qui profitent des bénéfices du détournement d’énormes sommes tirées des impôts et des taxes vers la consommation de masse favorisée par les subventions de tous ordres en faveur des immigrés inutilement importés.

La troisième serait celle – impensable dans nos démocraties où les politiciens sont sélectionnés pour leur scrupuleuse honnêteté, cela va sans dire – de la pure trahison, soit le financement des partis de la démagogie par l’argent étranger : l’islamo-pétrodollar et / ou celui du trafic d’armes ou des stupéfiants.     

Quelle qu’en soit la raison, du côté des envahisseurs, on observe un effarant laxisme judiciaire. Nantes, Brest et Rennes sont en train de rejoindre Marseille, Villeurbanne ou Roubaix au palmarès des villes insalubres, malades de l’immigration extra-européenne et tout le monde s’en moque !  

C’est d’ailleurs la même quasi-impunité pour les politiciens qui ont (Oh ! à peine) fauté contre la probité dans l’exercice de leurs charges électives. Pourvu qu’ils ne crachent pas dans la soupe en dénonçant leurs petits camarades et qu’ils hurlent haut et fort leur attachement aux valeurs du brassage des races, des droits de toutes les minorités même les plus improbables et qu’ils respectent le veau d’or, ils sont assurés de peines ultralégères, vite « oubliées » des media aux ordres. On ne compte plus les pourris inéligibles qui font leur rentrée dans les sinécures de la Ripoublique !

En revanche, la répression écrase les odieux réfractaires aux bizarreries sexuelles ou aux charmes du métissage généralisé, conséquence inéluctable, à terme, de l’immigration-invasion. Les condamnations pleuvent un peu partout en Europe occidentale sur ces thèmes.

Notre société va mal, par l’effet du matraquage médiatique et surtout de l’irréflexion de la masse à qui ne suffit plus seulement « du pain et des jeux », mais qui réclame les promesses les plus absurdes et obtient les reculs les plus ahurissants de gouvernants apeurés.

Le parlementarisme a toujours démontré sa totale inefficacité en cas de grave crise de société. Il est temps de remodeler les institutions.    

19:00 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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