mercredi, 12 février 2020
L’homme d’action face aux femelles et aux capons
Bernard Plouvier
Il y a deux millénaires, un très grand esprit semble avoir enseigné cette profonde vérité : « C’est aux fruits qu’on juge l’arbre ». Et nos paysans répètent depuis des siècles qu’on récolte ce qu’on a semé... du moins en qualité, la quantité dépendant d’une foule d’éléments contingents.
Les pays d’Europe occidentale et scandinave sont gouvernés par des femelles et des capons, et sont donc des proies faciles pour les masses d’immigrés d’origine extra-européenne. Et, en France macronienne, l’on n’a même plus le droit d’énoncer cette évidence : l’immigration à coup de millions de femmes, d’hommes et d’enfants, cela s’appelle une "invasion".
L’"invasion" que nous subissons – sans avoir été consultés, ce qui témoigne du caractère totalitaire des régimes européens, singulièrement du français - n’est pacifique qu’en apparence, parce que dans le lot des aimables réfugiés politiques, économiques, sanitaires, climatiques etc, se sont glissés nombre d’adeptes du Djihâd, comme nul ne l’ignore depuis 2014 sq.
Curieusement, dans les deux grands États de la planète gouvernés par des hommes, des vrais, les immigrés sont fort peu nombreux et sont vite rentrés dans le rang après quelques attentats perpétrés au nom d’une divinité moyen-orientale, révérée en son temps par le crypto-islamique Barak-Hussein Obama.
Poutine et Trump savent que la force dicte le droit, selon les principes bien connus : dieu est du côté des gros bataillons (et si la divinité n’en a cure, du moins le succès est garanti par l’anéantissement de l’ennemi) & force doit toujours rester à la Loi.
En nos États décadents, des esprits évaporés glapissent sur les droits des minorités et inventent des lois loufoques sur l’inexistence des races humaines, sur la repentance pour avoir sorti des peuplades arriérées de la crasse, de la maladie et du travail inefficace, sur le droit au mariage pour tous les « genres » y compris les plus improbables, sur l’abolition de la peine de mort... sauf pour les fœtus, car sur ce point, on assassine par centaines de milliers chaque année en France macronienne – et c’est même remboursé SS !
Pendant que nous nous enfonçons une année après l’autre dans le déshonneur, les vrais hommes agissent... et ça marche fort bien !
La Russie redevient un grand pays industriel, où l’on s’équipe et favorise la consommation intérieure – ça change de l’ignominie communiste où seuls les nomenklaturistes n’étaient pas des pauvres. L’armée russe est redevenue la première de la planète, à égalité d’entraînement et de sophistication matérielle avec celle des USA. Néanmoins, la politique du grand Poutine est résolument pacifique, ce qui ne fait pas plaisir aux fous furieux qui veulent imposer leur impérialisme au nom de leur seul vrai dieu.
Aux USA, après les années Obama où les produits chinois avaient envahi la distribution US, la méthode Trump est un succès comme on ne peut guère en rêver dans la France macronienne... qui ne gagne pas ! Exportations et créations d’entreprises au zénith, chômage au nadir, importations maîtrisées, croissance économique réelle (et non pas soutenue par de grossiers artifices de calcul).
À toute époque, la véritable force a moins reposé sur le nombre des humains (après tout, l’Afrique – le boulet économique de la planète – a un poids démographique égal à 3,7 fois celui des USA : 1,22 milliard vs 330 millions) que sur la puissance de travail et l’inventivité, mais aussi sur la volonté du patron, sur sa détermination dans la prise de décisions et l’énergie avec laquelle il impose sa politique.
Poutine comme Trump agissent et gagnent en dépit des critiques, des crises de nerfs et des larmes (de crocodile) des manipulateurs des media. Le réaliste se reconnaît au fait qu’il n’est pas impressionné par la démagogie, même criarde, ni par les injures. Il agit et il gagne.
L’homme d’État – soit une rareté dans l’histoire humaine – est celui qui règle, au mieux des intérêts de sa Nation, une grave crise, généralement d’ordre mixte : économique et morale. En politique, seul est grand celui qui réussit à surmonter ce type de crise et crée les institutions destinées à éviter de nouvelles épreuves à son peuple.
Le contraste entre ce que nous fûmes, Européens d’Occident, et ce que nous sommes devenus n’est pas à notre honneur.
11:15 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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