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lundi, 05 octobre 2020

Hommage de la Russie aux soldats français de Napoléon III tombés en Crimée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique geste d'amitié de la Russie qui, au cours d'une cérémonie religieuse et militaire à Sébastopol, a rendu les honneurs à 150 de nos soldats tombés pendant la guerre de Crimée, inhumés désormais dans la nécropole où reposent déjà 23 000 de leurs camarades parmi les 90 000 morts français de ce conflit.
 
Hymne russe, Marseillaise, drapeaux tricolores et drapeaux russes, cosaques de Crimée, prières orthodoxes et catholiques... Rien ne manquait a ce beau salut rendu, dans le respect de ceux qui se combattirent selon les lois de la guerre mais savent qu'ils appartiennent à une même civilisation. Hommage d'un grand peuple à ceux qui furent des adversaires d'un temps.
 
Rien ne manquait... Sauf la France. La République, figée dans son refus du retour de la péninsule de Crimée à sa patrie de toujours, avait refusé d'envoyer des représentants officiels.
 
Honneur et force d'un côté. Lâcheté et soumission de l'autre.

22:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Martine Wonner à l’Assemblée contre la politique sanitaire aberrante

l'Assemblée Nationale quasi déserte a voté la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 1er avril. Seuls 17 députés s'y sont opposés.  Ecoutons 3 minutes Martine Wonner.

Martine Wonner a été élue député LREM en 2017 dans le Bas-Rhin. Elle a été exclue du mouvement présidentiel en mai 2020.  Elle parle avec courage et lucidité de la politique sanitaire française.

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19:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

QUE VOILÀ DONC DU BEAU MONDE

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Pierre Vial

Selon Le Point, une jeune femme accuse un collaborateur d’Anne Souyris, adjointe d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris et élue écolo (EELV) chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP (hôpitaux), de la santé environnementale et de la réduction des risques, de l’avoir violée dans son bureau de l’hôtel de ville. Une plainte a été déposée et le parquet a confirmé l’ouverture d’une enquête pour viol le 1er octobre. La plaignante est intermittente du spectacle et militante écolo.

Cette affaire rappelle la démission de deux adjoints d’Anne Hidalgo, Christophe Girard, accusé d’abus sexuels et très lié avec Gabriel Matzneff, et Pierre Aidenbaum, accusé de harcèlement sexuel par une de ses collaboratrices. Il y a eu aussi l’affaire de l’ex-député écolo Denis Baupin, un pilier de l’équipe Delanoë quand celui-ci était maire de Paris.

Quant à Alice Coffin, élue écolo du 12e arrondissement de Paris, elle publie chez Grasset Le génie lesbien.

Sans commentaire…

Terre et peuple cliquez là

 

18:51 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

NOUVELLE CALEDONIE : JAMAIS DEUX SANS TROIS !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

Pour la deuxième fois, suite aux accords de Matignon qui le prévoyaient, l’électeur néo-calédonien s’est rendu aux urnes pour se prononcer, OUI ou NON, sur l’indépendance de l’archipel. Sans surprise, le NON l’a emporté, réduisant toutefois son avance par rapport  au  référendum précédent de novembre 2018. Quels enseignements pouvons-nous tirer de ce scrutin qui a déplacé, tout de même, un nombre record d’électeurs,  preuve que la question ne laisse personne indifférent et que, cette fois-ci, le camp indépendantiste a su mieux se mobiliser.

Les accords de Nouméa et de Matignon, ou l’indépendance à marche forcée

On se souvient que suite aux tragiques évènements qui avaient ensanglanté les îles, voir l’épisode de la grotte d’Ouvéa, le gouvernement français avait cherché à apaiser la situation en convoquant en 1988, tous les protagonistes autour de la table. Exercice répété en 1998 sous l’égide de Lionel Jospin, alors premier ministre socialiste. Il ressortait de ces négociations un nouveau statut décentralisé pour la Nouvelle Calédonie, et la promesse de référendum successifs pour peu qu’un tiers des membres du Congrès, l’assemblée territoriale, le demande.

L’indépendance rejetée une première fois ? Qu’à cela ne tienne, rien n’étant trop beau pour le camp séparatiste incarné par le Front de libération national kanak (FLNKS), on a donc revoté dimanche 4 octobre 2020. Mais le NON, une fois de plus, - une fois de trop pour certains beaux esprits « décolonialistes » -, l’a emporté par 53,3 % des suffrages. Il y a tout de même 46,6 % d’électeurs qui veulent quitter la France. Et si le OUI augmente son score par rapport au dernier scrutin, il est vrai aussi, que le nombre de votants a augmenté, passant de 174 000 à 180 640, avec un écart de voix entre les deux choix, se réduisant de 18 000 à 10 446 exprimés.

Qu’en sera-t-il lors de la troisième consultation ? La majorité des Canaques, mais pas seulement, obtiendra-t-elle, cette fois, satisfaction ? À croire que l’on fait revoter  les gens, sans cesse, jusqu’à ce que le résultat espéré sorte du chapeau ! On a déjà vu cela, en Irlande notamment.

Un front de résistance au OUI

M. Santanon, président du gouvernement local, - car, oui, la Nouvelle-Calédonie jouit d’un statut d’autonomie interne -, accompagné de la représentante  des « Loyalistes », Sonia Backès, et de la tête de liste « Calédonie Ensemble » Philippe Michel, essaye avec ses partenaires, de présenter un front commun hostile à l’indépendance, tout en proposant des réformes. Quelles sont-elles ? Une augmentation des compétences en matière d’éducation, de protection de l’environnement, et de relations extérieures, permettant aux îles de participer à la coopération intergouvernementale dans le Pacifique, en association, bien sûr, avec l’État français. Le chef du gouvernement local propose aussi une réforme des institutions, permettant de débloquer la gouvernance de l’archipel, car pas moins de sept partis politiques sont représentés au conseil exécutif, se répartissant les 11 postes « ministériels » !

Une autre question devra être également être soulevée avant le troisième référendum, - qui pourrait avoir lieu dans deux ans -, c’est la composition du corps électoral, dont certains citoyens, qui votent aux élections nationales, sont écartés lors des scrutins locaux, étant des résidents de trop fraiche date. Faut-il être un descendant de bagnard, ou d’un « peuple premier », comme aurait dit Chirac, pour pouvoir voter ? Il y a, outre les « Caldoches », de nombreux Indonésiens et Wallisiens installés là depuis des lustres. On le voit, il y a du pain sur la planche pour les négociateurs. Emmanuel Macron, dans son discours télévisé, a pris acte des résultats, encourageant les partenaires à négocier, et se félicitant, tout  de même,  de l’excellente tenue de cette « votation ». C’était le service minimum. Pas d’appel solennel, ni dans un sens, ni dans l’autre.

Le plus dur reste à faire

Il faut que les protagonistes s’engagent, tout d’abord, à respecter les résultats de cette future consultation. Mais nous avons vu qu’il y a des préalables. Et il  est à craindre qu’aucun des deux camps n’accepte la victoire de l’autre, ce qui signifierait sa propre perte. Irons-nous alors, vers une partition de fait, la province des îles et celle du Nord, choisissant le grand large et la rupture avec la France, et celle du Sud le maintien dans la République ? Difficile de croire que l’État français puisse accepter ce démantèlement. Séparatisme difficile à acter sur le terrain d’ailleurs, tant les résultats de l’actuel référendum ne recoupent pas forcément le découpage des trois provinces. Si les îles sont massivement en faveur du OUI avec 82,2 %, comme la province du  Nord avec 75,8 %, celle du Sud, avec la ville-capitale de Nouméa, est contre par 74,1 %, bien que le OUI y progresse, avec 25,9 % par rapport à 2018.

Des violences sont-elles à craindre, à nouveau ? Il n’y a qu’une alternative à d’éventuels violents affrontements, c’est une solution « mi-chèvre/mi-choux », à laquelle pourraient se rallier et les indépendantistes, et les loyalistes, à défaut d’un très net écart de voix entre les deux camps : la libre association. C’est un statut intermédiaire entre l’indépendance et l’intégration.

C’est celui  justement  des iles Cook et Tokelau, dans le Pacifique, par rapport à la Nouvelle-Zélande, de Porto-Rico dans les Caraïbes par rapport aux États-Unis, ou des Antilles néerlandaises : la libre association. La France ne peut pas abandonner ses fils et, surtout, une position géostratégique lui donnant, avec la Polynésie française et les îles Wallis et Futuna, plus qu’un balcon sur l’océan Pacifique, cette « Méditerranée du troisième millénaire ».

18:37 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bergoglio, agent de la contre-civilisation.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'imprégnation marxiste des murs du Vatican est ancienne et la pestilence des "fumées de Satan" n'a, certes pas, commencé à empoisonner le Saint-Siège en 2013 avec l'élection de Jorge Bergoglio. 
 
Depuis sept ans pourtant, la violence des attaques portées par ce dernier contre les éléments vitaux de l'édifice catholique, les principes et les valeurs qui encadrent la foi chrétienne et lui permettent de se perpétuer a été décuplée. 
 
Aujourd'hui, sans autre masque que celui d'un évêque de Rome faisant office de Pape, le mal se propage par la voix sombre, l'esprit ténébreux et l'action obscure d'un homme qui entend faire de l'Eglise le véhicule politique des forces du bouleversement.
 
Avec l'encyclique "Fratelli Tutti" "Tous frères", François accentue son offensive contre la Tradition, l'ordre naturel et les socles millénaires de la civilisation.
 
Offensive contre les piliers de force de la morale chrétienne et contre les institutions spirituelles et laïques qui nous sont des armatures de vie... Offensive contre les opposants à l'œuvre de déconstruction générale en cours... Offensive contre les mouvements populaires de résistances occidentales.
 
Jamais Bergoglio ne sera aller aussi loin dans sa condamnation des principes nationaux sur lesquels repose tant bien que mal l'ordre civilisationnel. L'objet de ce texte est clair. Il est direct. Il a, dans l'esprit de François, valeur impérative. Il s'agit d'organiser la décomposition européenne par la submersion migratoire et l'avènement d'une nouvelle ère universelle.
 
Pour lui, "les limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un usurpateur. Personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né puisque chaque pays est également celui de l’étranger. Il est donc important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de citoyenneté et de renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités. Les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir".
 
Ainsi parle François, Pape du tohu-bohu.
 
Les catholiques encore loyaux à l'égard de la  Rome inversée qui règne en partie depuis Vatican II n'ont plus d'autres choix que d'entrer en résistance et de refuser de devenir les instruments de la fin de l'Occident. Faute de quoi, ils ne seront plus catholiques.

18:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |