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jeudi, 15 octobre 2020

D'un couvre-feu, l'autre.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
 
Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
 
Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
 
Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
 
La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.

16:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès d'un camarade de toujours, Jean-Baptiste Chaumeil

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Jean-Baptiste avait été opéré du coeur il y a quelques jours. Alors qu'il se remettait doucement, il est décédé subitement lundi dernier. 

Très connu et très apprécié dans les milieux nationalistes et bien au-delà, Jean-Baptiste Chaumeil avait été, depuis son engagement alors qu'il était encore lycéen, de tous les combats pour la France française. Militant, il était de ceux qui, sans jamais chercher à en tirer une quelconque gloire, n'hésitent pas à organiser des campagnes pour les causes qui leur semblent justes. Ecrivain, il consacra plusieurs ouvrages à Jacques Perret dont il connaissait parfaitement l'oeuvre. Il avait aussi participé au Choeur Montjoie Saint Denis qui anime avec talent et entrain, depuis des décennies, les réunions patriotiques.

De bonne lignée, Jean-Baptiste était le fils de Pierre Chaumeil, longtemps président des journalistes de la presse catholique et monarchiste.

Pour nous tous qui le connaissions depuis toujours, l'annonce de sa disparition est une nouvelle douloureuse. Nous pensons à sa nombreuse famille. Une cérémonie religieuse se déroulera demain vendredi à Paris et il sera enterré samedi en Auvergne, région qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

11:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |