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mercredi, 04 novembre 2020

Anne Coffinier : "Macron, ne touchez pas aux écoles hors contrat !"

Dans son discours sur le "séparatisme", Emmanuel Macron a choqué des dizaines de milliers de Français en remettant en cause l'instruction à domicile et en évoquant un contrôle encore plus féroce des écoles hors contrat. Pour mener la riposte à ces décisions radicales, la Fondation Kairos animée par l'ancien ministre Xavier Darcos monte en première ligne. Anne Coffinier qui est par ailleurs présidente de l'association "Créer son école - Educ France" est l'invitée de TVLibertés. Elle fait aussi part de sa réflexion sur l'école face au séparatisme islamiste. Et sur la nécessité de recréer une école qui ne renonce pas au formidable héritage de civilisation européenne.

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Pornographie, dérives du féminisme, contraception, avortement, PMA et GPA : entretien avec Thérèse Hargot

Après une mise en garde des ravages de la pornographie sur les enfants et les couples, Thérèse Hargot dénonce les graves dérives du féminisme radical et prône un respect du corps de la femme fondé sur une véritable écologie humaine. Contraception, avortement, procréation médicalement assistée, féminisme…

Thérèse Hargot, sexologue et thérapeute de couple, qui vient de publier  " Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour  ? "  chez Albin Michel, sur un sujet très éloigné de l’actualité tragique de notre pays ces derniers jours mais tout aussi préoccupant.

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Donald Trump : « Un petit groupe de gens très tristes » essaie de nous voler l'élection

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Menteurs et truqueurs professionnels : les nouveaux faussaires

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Bernard Plouvier

Depuis plus de quarante ans, les résultats des sondages d’opinion portant sur les élections importantes se révèlent erronés de façon si fréquente que même le moins suspicieux des individus, même le plus féroce critique des thèses complotistes en viennent à envisager la possibilité d’une manipulation de l’opinion publique, prenant l’aspect soit d’un matraquage publicitaire, soit d’un « formatage » en douceur, que proposaient dès les années 1920 divers spécialistes en « communication publique », tels messieurs Walter Lippmann ou Eduard-« Edward » Bernays.

En Belgique lors d’une législative où Wilfried Martens fut ré-intronisé « contre toute attente », en France avec le soi-disant raz-de-marée en faveur de Balladur-« Ballamou », aux USA il y a 4 ans, lorsque Hillary Clinton était « assurée » de la victoire – et l’on pourrait multiplier ces « erreurs » des professionnels du pronostic -, le public fut surpris, étonné, stupéfait. Les braves gens se consolèrent avec des banalités du genre : « On ne peut jamais prévoir » ou « Les électeurs sont cachottiers ».

Il est une autre explication, fondée sur la psychologie de masse et la rouerie des manipulateurs d’opinion : le pari de gens très malhonnêtes – mais très bien rétribués – sur le phénomène de « suivisme ». On invente de toutes pièces de faux sondages ou on en truque les résultats pour déclencher un phénomène d’avalanche mentale : on présente un toquard comme un gagnant ou l’on minore le score attendu de qui déplait au lobby payant le sondage... et cela fonctionne parfois.

En 2017, on a vendu à un peuple européen en cours de naufrage un quasi-inconnu, exactement comme l’on aurait fait la promotion d’une nouvelle lessive ou d’une sucrerie. Et ce peuple subit les caprices de son plus jeune chef d’État depuis la chute de la monarchie de droit divin. Si nos actuelles monarchies sont de durée déterminée, elles sont devenues de « droit médiatique » : l’élu est celui qui parvient à regrouper le plus de généreux donateurs pour se payer le plus de battage médiatique.  

Depuis l’été 2020, TOUS les instituts de sondage d’une certaine tendance, dirigés et composés majoritairement d’individus appartenant à un groupe national réputé avoir beaucoup souffert depuis trois mille ans, vendent du Biden, comme ils soutiennent depuis vingt ans les opposants à Vladimir Poutine ou depuis dix ans les ennemis de Bachar el-Hassad.

On annonçait à la planète un tsunami en faveur du vieux ex-colistier d’Obama – qui fut lui-même le pire Président des USA et un crypto-islamiste. Le sieur Joe Biden, aux curieux troubles de la mémoire, est un homme qui aime tâter les fesses des femmes, comme d’autres flattent la croupe d’une vache ou d’une jument. C’est un démagogue qui veut multiplier les dépenses sociales de type parasitaire et, par-dessus tout, le grand homme du soutien au négoce actif entre les USA et la Chine – un État qui est à la fois totalitaire dans son régime politique et libéral dans son économie : soit un exemple de chimère étatique qui laisse cois les trop fameux « politologues ». Ce raz-de-marée n’a pas eu lieu, comme c’est bizarre ! 

Si le mot démocratie a un sens, l’information des citoyens, en n’importe quel État réputé libre, doit être contradictoire, mais également honnête. Il devrait être interdit d’influencer les électeurs incertains, les perpétuels hésitants, par des sondages « bidouillés ». Plus de 50% des adultes formant ce qu’il est convenu d’appeler une opinion publique et un corps électoral sont des gens très influençables, sensibles aux vents dominants des media.

Que les hommes, femmes et individus de sexe-genre indéterminé des media prennent parti, c’est leur droit. Mais qu’ils truquent des sondages, qu’ils mentent délibérément pour aider de façon malhonnête leur candidat, c’est une chose inadmissible. On peut se tromper de bonne foi et aucun tribunal ne devrait condamner un être qui s’est trompé sans intention de nuire. Mais tricher, mentir, calomnier ou truquer des estimations chiffrées devraient tomber sous le coup de la loi, lorsque est engagé l’avenir d’une nation.     

10:39 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La controverse fait rage... Quel texte fallait-il lire lors de l'hommage "national" à Samuel Paty et dans les classes, à la rentrée du lundi 2 novembre ?

dde.jpgFrançois Floc'h

La lettre de Jean Jaurès aux instituteurs (janvier 1888) ? La lettre de Jules Ferry (novembre 1883) ? Beaux textes en l’occurrence mais qui contredisent complètement les excentricités pédagogiques soixantehuitardes mises en œuvre par le ministère de l’Éducation nationale et ses agents syndiqués. Et ce, depuis maintenant plus de 50 ans ! Chez nos têtes de moins en moins blondes, les dégâts sont là pour le prouver !

Comme choix de texte, nous aurions plutôt proposé le texte de la conférence prononcée à la Sorbonne, le 11 mars 1882, par Ernest Renan, sur le thème si important et si actuel : Qu'est-ce qu'une nation ?

En particulier, sa conclusion qui commence ainsi :

« Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs ; l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis. »

Mais là, horresco referens, notre compatriote breton Ernest Renan aurait été traité de "fâchiste" !

En ces temps lointains de la fin du XIXe Siècle, les penseurs pensaient droit...

Depuis, on le voit, la décadence a fait son œuvre...

00:58 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean Messiha, l'un des derniers soutiens médiatiques de Marine Le Pen, quitte le RN

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Entretien publié sur le site Valeurs actuelles cliquez là 

Énarque et médiatique, turbulent, influent parfois au-delà de son camp, Jean Messiha révèle ce soir démissionner de la formation politique présidée par Marine Le Pen. Il tente de le faire sans attaques personnelles, mais sans minimiser de vraies divergences de fond. Sur l’Europe, l’islam, la famille, le rôle de Marion Maréchal, le fonctionnement du parti, mais aussi l’épineuse question de la candidature en 2022. Entretien.

Valeurs actuelles. Quelles sont les raisons qui vous poussent à quitter le Rassemblement national ?

Jean Messiha. C'est le résultat de plusieurs mois de réflexions, influencées par mes nombreuses réunions avec nos militants et sympathisants. Après les élections de 2017, je me suis lancé dans une grande tournée des fédérations départementales pour remonter le moral des troupes et remobiliser des militants complètement sonnés par les résultats de la présidentielle, mais aussi des législatives qui nous ont donné moins de 10 députés. J'ai aussi repris mon bâton de pèlerin pour les européennes et les municipales.

Au cours de ces innombrables weekends passés loin de chez moi, j'ai perçu partout un mélange d'espoir et de scepticisme. Nous faisions tous le même constat : nous avons largement gagné la bataille des idées, mais nous n'arrivons pas à susciter un grand élan populaire qui se traduit par des victoires très franches dans les urnes, à l'exception peut-être des européennes. Pire, nous avons un mal de chien à susciter des vocations pour porter nos couleurs au niveau local. A cet égard les municipales de 2020 ont été une révélation. Marine le Pen avait lancé en 2012 – il y a 8 ans déjà – une grande stratégie d'ancrage local. C’est une excellente stratégie. Mais force est de constater que dans un nombre incalculable de communes, nous n'avons pas pu présenter de listes aux municipales de cette année, faute de candidats crédibles.

La victoire à Perpignan de Louis Aliot a, assurément, été remarquable et doit beaucoup à sa stratégie d’ouverture et bien sûr à ses qualités personnelles. Mais il faut admettre que, dans le même temps, les Verts enregistraient des succès incroyables (Marseille, Lyon, Strasbourg, Poitiers, Tours, Besançon, etc.), pendant que les partis traditionnels résistaient très bien dans la plupart des communes. 
Le RN, c'est un peu comme une équipe de foot qui a beaucoup de supporters et un sélectionneur plein de bonne volonté mais qui ne gagne pas ou très rarement.
Il y a aussi, il faut le dire, des décisions qui laissent un peu rêveur. Comme celle d'investir pour Paris, la capitale de la France, un candidat non-RN, parfaitement inconnu, d'un niveau affligeant et qui a, sans surprise, enregistré un résultat d'une faiblesse historique (1,2%). 

À un moment donné et au vu de ce faisceau d’éléments, vous êtes obligé de vous poser des questions. C'est un peu comme une équipe de foot qui a beaucoup de supporters et un sélectionneur plein de bonne volonté mais qui ne gagne pas ou très rarement. On ne peut pas constamment dire que c'est la faute du terrain, de l'arbitre, du ballon ou des journalistes sportifs. Il y a sans doute d’autres explications et je me sens plus à l'aise et plus libre pour y réfléchir en dehors du RN. 

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00:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |