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dimanche, 06 décembre 2020

Les Bourses et Tesla, comme la pensée unique, finiront par s’écrouler !

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Marc Rousset

Wall Street a conclu la semaine sur de nouveaux records, avec un Dow Jones à 30.218, ignorant les 245.000 créations d’emploi en novembre, contre 610.000 en octobre, et des attentes de 650.000 pour les analystes. Près d’un tiers des PME sont en faillite, aux États-Unis, et le pays compte 10 millions de chômeurs, soit davantage qu’en 2008.

Tesla, qui valait 64 dollars le 1er janvier 2018, a aussi inscrit, ce vendredi, un record à 600 dollars, tandis que la Bourse de Paris franchissait les 5.600 points. Depuis son plancher du mois de mars, le CAC 40 a regagné plus de 55 %. Les marchés sont, cependant, dans un entre-deux, avec la fin de l’élan donné par l’optimisme autour des vaccins et les nécessaires stimuli du Congrès américain qui n’avancent pas.

Tesla est le symbole de l’exubérance irrationnelle, de la bulle actuelle. Tesla, qui a vendu 318.980 véhicules au 3 décembre 2020, vaut 560 milliards d’euros, soit plus que tous ses concurrents réunis, qui fabriquent 60 millions de voitures dans le monde ! Renault, avec 2 millions de véhicules, vaut seulement 13 milliards de dollars. Les « vieux constructeurs » vendent pourtant déjà plus de voitures électriques que Tesla, qui n’a pas d’avance technologique particulière. Si Tesla fait des bénéfices depuis seulement 15 mois, c’est en partie grâce à la vente de crédits carbone CO2 aux constructeurs dont les gammes sont trop émettrices (1,18 milliard de dollars à fin septembre 2020). Elon Musk, le président fondateur de Tesla, en est très conscient : « Les investisseurs nous accordent beaucoup de crédit pour notre rentabilité future, mais si à un moment ils changent d’avis, notre action va être écrasée comme un soufflé sous un marteau. »

En France, Castex a mis en place une commission sur l’avenir des finances publiques qui devra rendre ses conclusions fin février en respectant la trajectoire fiscale des baisses d’impôts qui n’existent, jusqu’à ce jour, que dans les belles paroles. La réalité, c’est que la dette française est une bombe à retardement qui va apparaître comme le nez au milieu de la figure, dès la fin de la crise sanitaire. Seul un dictateur ou un leader charismatique pourrait réduire les dépenses publiques, la fraude sociale, le nombre des fonctionnaires et l’immigration qui nous ruine pour un coût annuel de 60 à 80 milliards d’euros ! La banqueroute ou le retour au franc avec dévaluations successives et hyperinflation sont, en fait, le seul moyen de régler le problème de la dette publique française, soit 120 % du PIB à fin 2020. Depuis 2010, la France a perdu le contrôle de la situation et sa dette publique diverge très fortement par rapport à l’Allemagne, qui se rapproche des 60 % du PIB, tout en ayant supporté le coût énorme de la réunification avec l’Allemagne de l’Est.

La moyenne de la zone euro, c’est une dette publique de 101 % du PIB, fin 2020. Notre seule consolation : l’Italie, avec une dette de 161 % du PIB. Quant à l’idée de l’annulation de la dette auprès de la BCE en raison du Covid-19, c’est une douce illusion socialiste et gauchiste ou d’ignorant, un argument fallacieux pour ne rien faire qui conduit tout droit à la banqueroute ou à l’hyperinflation. Bruno Le Maire rêve avec des taux de croissance français de 6 % pour régler le problème de la dette, mais il a entièrement raison pour une réforme drastique des retraites qui s’impose afin d’améliorer un peu le bilan accablant et dramatique de la dette française.

Les États rassurent faussement les peuples en annonçant qu’ils portent, fin 2024, à 120 milliards d’euros le fonds de secours des banques de 42 milliards dans la zone euro. Ce nouveau chiffre représente seulement 8,5 % du montant actuel des créances douteuses des banques, soit 1.400 milliards d’euros.

La création monétaire, les dettes, le chômage et les faibles taux de croissance ont encore de beaux jours devant eux. Ce ne sont pas les vaccins, avec leurs nombreux doutes, qui vont rétablir complètement la situation économique. Un jour ou l’autre, nonobstant l’inflation monétaire, les Bourses devront se mettre en phase avec les réalités ; des krachs ou de violents ajustements, comme pour Tesla, sont à craindre.

Boulevard Voltaire cliquez ici

12:26 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SPARTA, UNE NOUVELLE REVUE ENRACINÉE

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Communiqué de l'éditeur :

Sparta, nom de l’épouse d’un fils de Zeus qui renvoie bien sûr à la célèbre cité grecque, est le titre d’une publication sans périodicité fixe des éditions Aidôs. Sparta n’a aucun équivalent dans l’espace francophone et n’a eu que très peu de devancières dans la culture européenne depuis 1945: la revue romaine Ordine Nuovo, essentiellement évolienne; Nouvelle École (dans une certaine mesure); et Mars Ultor, dirigée en Allemagne par Pierre Krebs. Sparta est une publication ouvertement païenne, racialiste et identitaire, qui naît sous le triple parrainage augural du Rig-Veda, de Nietzsche et de Savitri Devi. Sparta, dès son premier volume, fait le pari de la qualité, tant sur le plan graphique, sobre et soigné, que sur celui du contenu. Grâce à Sparta, vos idées sont enfin défendues et affirmées avec rigueur et érudition ; vous y trouverez une écriture élégante, des références dûment vérifiées et complètes, des traductions (de l’allemand, de l’anglais, de l’italien) vraiment fiables. Sparta reflète le professionnalisme et la compétence de collaborateurs qualifiés, qui ont fait leurs preuves depuis longtemps : Jean Haudry, Philippe Baillet, Pierre Krebs, Jean Plantin, David Rouiller, auxquels viendront bientôt s’ajouter d’autres noms.

Au sommaire du volume 1: un article de J. Haudry sur la notion d’aidôs, « respect, révérence », qualités indispensables aux membres d’une même sodalité. Deux longues études de Ph. Baillet: l’une sur la « généalogie » et l’origine des valeurs dans la philosophie de Nietzsche; l’autre sur « le mythologue du romantisme », le Suisse Johann J. Bachofen, sa réception considérable dans la culture germanique, l’opposition-complémentarité Apollon-Dionysos, avec des aperçus relatifs à Alfred Rosenberg et à des penseurs völkisch comme Alfred Baeumler et Ludwig Klages. Des textes d’Evola sur Bachofen, par qui il fut fortement influencé. Un inédit du théoricien italien : « Soldats, société, État ». Trois textes d’un sociologue des arts visuels, Raimondo Strassoldo, sur l’entrée dans l’art moderne et contemporain non moins que sur la subversion organisée des canons esthétiques européens. Un article de P. Krebs sur le mouvement Der Dritte Weg, véritable « communauté militante identitaire ». Et un index pour vous repérer facilement dans cette matière.

Sparta entend remplir une fonction décisive d’approfondissement doctrinal et de transmission de notre héritage ancestral indo-européen. Mais Sparta ne vivra et ne grandira qu’avec le généreux concours financier de ses lecteurs. Alors, soutenez Sparta !

 N°1, 264 p., 26 euros cliquez ici

    11:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    BRAS CROISÉS

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    Pierre Vial

    Il faut que les policiers se fassent une raison : entre leur parole et celle de racailles, c’est cette dernière qui sera prise en compte par les autorités. Pour éviter les complications… Il est plus facile de virer des policiers que de gérer une insurrection de racailles, toujours défendues, justifiées par les medias, les politiciens, bref la vermine.

    C’est pourquoi je conseille vivement aux policiers d’adopter la politique des bras croisés, de ne plus prendre de risques pour une société qui n’en vaut pas la peine et des gens qui, comme disait De Gaulle, sont des veaux. Vous, les policiers, vous voyez des malfaisants, des auteurs de délits, voire de crimes ? Tournez donc la tête de l’autre côté, regardez ailleurs, vous n’avez rien vu, rien entendu. Des citoyens viennent se plaindre ? Dites-leur de s’adresser à ceux qu’ils ont élus pour les représenter.

    Et puis, tiens, un bon conseil aux « autorités » : les policiers et les gendarmes vous créent des soucis ? Supprimez la police et la gendarmerie. Et ce sera aux citoyens qui ont encore quelque chose dans le ventre de se grouper pour assurer eux-mêmes leur sécurité. J’en connais qui ne demandent que cela. Et alors là les racailles n’auront qu’à bien se tenir.

     

    11:40 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Débat Florian Philippot face à Martin Blachier sur C News :

    11:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |