dimanche, 17 janvier 2021
MERCREDI 20 JANVIER : MICHEL VIAL, AUTEUR DE "LA CHUTE DE L'EMPIRE OCCIDENTAL", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS
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Samedi 30 janvier : le Parti de la France rendra hommage à Roger Holeindre décédé il y a un an
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Censure des réseaux sociaux : réaction de Franck Abed
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Le temps du renoncement
Franck BULEUX
Avec un couvre-feu qui partage la journée en deux parties, la première étant consacrée au travail ou à l’oisiveté due à l’âge ou au statut social et la seconde, aux activités intérieures. Le confinement dure 12 heures, partout en France. Cela évite aux Marseillais de se considérer discriminés et on n’entend déjà plus leurs élus. C’est si simple, dans la France de 2021, d’éteindre une « révolte ».
Hier, sur les réseaux sociaux, j’ai vu huit (deux fois quatre) personnes courageuses refuser les contraintes sanitaires, à Caen, devant la préfecture normande. L’exécutif tremble. Du sud au nord de la France, chacun, consciencieusement, met son masque et rentre à son domicile avant 18h. La crainte de la maréchaussée mais aussi de froisser son voisin.
Cela n’a rien à voir, mais j’ai lu que les plaques d’immatriculation des véhicules automobiles ne pouvaient plus arborer des autocollants régionaux : le cœur sacré vendéen, les léopards normands, l’hermine bretonne… Ainsi, pour « circulation d’un véhicule à moteur avec une plaque d’immatriculation non conforme », l’amende est fixée à 135 euros, majorée jusqu’à 750 euros en cas de non-régularisation de la situation. Concrètement, si vous avez apposé un autocollant sur le rectangle à droite de votre plaque d’immatriculation, il vous faut le décoller dès aujourd’hui, sous peine d’une amende. C’est la Cour de cassation qui ne veut plus que l’on dénature la plaque d’immatriculation. Si le judiciaire s’y met aussi, nos libertés risquent de s’amenuiser encore. Peut-être pour remplir les caisses ? Surtout pour déshumaniser un peu plus nos différences territoriales.
Heureux, les confinés chez eux, peut-être…
Je lisais le compte-rendu de jeunesse de Camille Kouchner, « La familia grande », paru au Seuil il y a quelques semaines et qui est à l’origine de la démission d’Olivier Duhamel, ancien député européen PS, de toutes ses fonctions (il a 70 ans et a très bien vécu, merci…). Une espèce de peinture des mœurs d’une famille décomposée et confinée dans une belle villa du sud de la France dans les années 1980. Une espèce de confinement voulu (ou pas), une bourgeoisie intellectuelle (de gauche, « forcément de gauche », aurait dit Marguerite Duras) qui se laisse aller à des jeux avec des enfants mélangeant rapports sociaux, nudité (beaucoup) et obscénités (parfois). Mais « tout est pardonné », aurait clamé Charlie Hebdo, chantre de la liberté sexuelle dans les années 1970, car l’auteur des faits les plus ignobles est « brillant » d’intelligence, de réparties, d’ouverture d’esprit. C’est l’époque de la poussée du Front national de Le Pen, là voilà l’horreur absolue, la vraie, la seule. Il faut la combattre sur les plateaux médiatiques et prouver, chez soi, qu’il a tort en ouvrant la liberté à tous les pores du corps et les neurones de l’esprit. L’auteure du livre devait « rigoler », c’est elle qui l’écrit. À tout. Rire aux actes d’un beau-père « survolté ». « Survolté » à quoi ? Entre Sanary, dans le Var, et Saint-Germain-des-Prés, le spectacle est permanent, une espèce de « double confinement ». Il y a, en effet, des libertés qui ne sont plus que des confinements. Souvent, le coucher du soleil est propre à toutes ces dérives.
La plupart d’entre nous ne liront pas les aventures de cette « familia grande » et ne partageront pas ce confinement sans couvre-feu, car chez ces gens-là, le coucher du soleil n’entraîne pas, loin de là, la fin des activités. Le diurne laisse place au nocturne.
La France de 2021 semble renoncer. Il y a dans cette société ce sens du repli, repli sur les GAFAM (l’élection enfin validée du couple Biden-Harris va – enfin – nous permettre de saluer les qualités du modèle américain après quatre années de détestation obligatoire) et les plaisirs du quotidien, ceux-là éloignés des principes (sic) des familles Duhamel-Kouchner-Pisier.
Le temps du renoncement est peut-être, qui sait ? celui qui précède le retour de celui de la volonté. Le carcan sanitaire organisé et imposé, dont la plupart d‘entre nous se satisfont, n’est guère opportun à cette riposte sociale.
D’ici la restauration des libertés primaires (celles de circuler, de se réunir mais aussi d’opinion et d’expression via la possibilité de critiquer le système ou, tout simplement, de voter…), il ne reste à fourbir nos armes intellectuelles. Dénoncer le pourrissement des élites (voir plus haut), les mêmes qui nous donnent des ordres, pour pouvoir réagir et sortir de ces temps d’enfermement mental et physique.
Notre média, Métainfos, essaie, modestement mais clairement et obstinément, de participer à la fin de ce… « grand renoncement ».
18:23 Publié dans Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Vers l’inflation et l’éclatement de la bulle boursière avec Biden
Marc Rousset
Wall Street vient de conclure dans le rouge (-0,91 %) une semaine volatile au cours de laquelle le Dow Jones a connu trois séances de baisse d’affilée pour la première fois depuis plus de deux mois, tandis que le NASDAQ et le S&P 500 ont lâché 1,50 %. Quant au CAC 40, il a reculé, vendredi, de 1,22 %. Sous Trump, du 3 janvier 2017 au 15 janvier 2021, le Dow Jones et le NASDAQ sont passés, respectivement, de 19.881 à 30.991 (+56 %) et de 5.429 à 13.113 (+142 %) ! Il n’est pas normal que, malgré les très nombreuses incertitudes de la crise sanitaire, une économie américaine ravagée par le Covid-19 et une activité qui se contracte, le S&P 500 soit 10 % plus élevé qu’avant la crise. Début 2020, les marchés restèrent aussi sereins pendant des semaines après les premières infections à Wuhan alors que la pandémie se propageait partout dans le monde.
Durant le mandat de Trump, la capitalisation de Facebook a augmenté de 150 %, celle d’Amazon de 450 %, celle de Microsoft de plus de 300 %. Quant à Tesla, valorisé à 800 milliards de dollars, il vaut plus cher, en Bourse, que tous les constructeurs du monde réunis alors qu’ils vendent 50 fois plus de voitures. De son côté, le Bitcoin a connu une première descente vertigineuse de 10.000 dollars en deux jours. Il faut donc s’attendre soit à un krach soit à une très forte correction sur les Bourses mondiales.
Alors que Biden annonce un plan d’aide (« American Rescue Plan ») de 1.900 milliards de dollars tous azimuts et un second programme de 2.000 milliards de dollars d’investissements en février, la Fed, très craintive, annonce qu’elle n’a pas l’intention de relever de sitôt les taux d’intérêt ou de réduire le montant du « QE ». La question « tapering » (réduction des achats d’actifs) n’est pas à l’ordre du jour de la Fed car, en 2013, les restrictions du célèbre « taper tantrum » avaient fait tanguer les marchés. La Fed va donc continuer, en plus des dépenses de Biden, à racheter, tous les mois, 80 milliards dollars du Trésor et 40 milliards de dollars d’obligations gagées sur des créances immobilières.
Les États-Unis connaissent, aujourd’hui, des inscriptions hebdomadaires au chômage en hausse (965.000), un chômage de 6,7 %, soit 19 millions de chômeurs, au lieu de 3,5 % avant la crise du Covid-19, une dette publique qui représente 127 % du PIB, un bilan de la Fed qui vient d’augmenter, en un an, de 74 % à 7.300 milliards de dollars. L’inflation, en absence de réaction de la Fed pour éviter un krach boursier, pourrait déjà dépasser les 2 %, d’ici mars-avril, avec un risque d’hyperinflation d’ici deux ou trois ans.
Le Blitz de Biden pour une reprise fiscale et keynésienne devrait, cependant, forcer la Fed à être moins accommodante. Un grand nombre d’Américains sentent l’inflation venir. La masse monétaire M2 a augmenté de 24 %, en 2020. Les stimulations budgétaires devraient donc être compensées par un resserrement monétaire plus tôt que ne l’ont supposé les marchés. Les taux obligataires des bons du Trésor sur dix ans ont doublé, depuis octobre 2020, pour atteindre 1,18 %. La Fed sera peut-être donc obligée d’intervenir, ce qui entraînera une très forte correction à Wall Street, les riches payant les pots cassés avec Biden en 2021, alors qu’en 2020, ce sont les pauvres avec Trump qui ont été matraqués.
L’indice Wilshire 5.000 de Warren Buffett, qui rassemble 3.500 entreprises, soit sept fois plus que le S&P 500, est formel. En augmentation constante depuis 1970, après une pointe passagère à 130 % du PIB pendant le pic de la bulle Internet en 2000, il vient d’atteindre le taux record de 153 % du PIB. Il ne doit pas dépasser 100 % du PIB, selon Warren Buffett, sinon les actions sont trop chères ; il était de 80 % en 2019 ; il est également supérieur à l’indice de 1929. Le célèbre économiste américain Irving Fisher, qui croyait aussi, comme les boursiers de nos jours, à la pérennité de la bulle en 1929, ce qu’il appelait « un plateau permanent », a été ruiné.
Nonobstant le raisonnement ci-dessus, strictement économique, les investisseurs font aussi l’impasse sur les effets incertains des vaccins de la thérapie génique, sur les doutes au sujet de la contagiosité après injection, sur l’immunité à venir ou non des populations si l’on en croit l’OMS, sur les mutations probables du virus (variant anglais, etc.). Pourquoi le PDG de Pfizer a-t-il vendu des millions de dollars d’actions le jour même où son entreprise annonçait les résultats à plus de 90 % des tests décisifs ?
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11:47 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Mineurs Migrants Isolés : Olivier Roudier aborde avec sérénité son procès en appel dans l’affaire du RAIH
Communiqué de la Ligue du Midi :
On se souvient qu’en 2017, le département de l’Hérault avait décidé d’attribuer une subvention, de 116.000 € à l’association RAIH (Réseau d’Accueil des mineurs migrants Isolés de l’Hérault), pour son fonctionnement interne, ces migrants qui, comme le dénonçait Olivier Roudier (porte-parole de la ligue), agressaient, volaient et dépouillaient, à la nuit tombée, la population montpelliéraine.
Depuis quelques mois la rumeur courrait dans les travées, de l’Assemblée Départementale et quelques conseillers courageux n’hésitaient pas à étaler des chiffres astronomiques de 50 à 80 000 euros par tête de migrants et par an, ce qui représentait au final, - pour 600 à 800 bénéficiaires -, la bagatelle de 30 à 60 millions par an pour les contribuables du Clapas
La Ligue du Midi dénonçait évidemment l’attribution de ces subventions, réclamait un audit pour vérifier si l’obligation d’insertion sociale et professionnelle avait été respectée et s’interrogeait sur la pertinence d’accorder à la même association la détermination de l’âge de ces « jeunes » et des subventions qui augmentent en fonction de leur nombre.
Aucune réponse n’étant apportée aux contribuables, la Ligue du Midi en tant que lanceur d’alerte décidait de se rendre sur place afin de demander des éclaircissements à la présidente et au directeur du RAIH. Dans le même temps la Ligue demandait au président Mesquida, s’il était avéré qu’un chef de projet de l’association « un toit pour apprendre » allait être embauché avec un salaire de 7.800 euros/mois. (aucune réponse à ce jour)
Ce happening semblable plus à une farce de potache qu’à une activité politique, aux cris de « coucou c’est la Ligue du Midi » durait une dizaine de minutes, et se déroulait sans violence avec comme slogans « rendez l’argent », « pas de subvention pour financer l’invasion »… Mais c’en était trop pour la gauche fétide (du PS aux anarchistes) qui hurlait à la mort et au resurgissement des heures les plus sombres de notre histoire…
Comme dans une machine bien huilée, le président Mesquida déposait plainte pour « dégradation en réunion », le RAIH, y rajoutait une plainte en « incitation à la haine raciale », puisque on « aurait vu dans les yeux du meneur un regard contenant comme un appel à la haine » (La connerie n’a pas de limite). Quoi qu’il en soit, la Ligue, en tant que personne morale n’était pas poursuivie.
Evidemment on mettait les deux meneurs de la Ligue du Midi en Garde à vue, et un fonctionnaire de police « zélé » en profitait pour broyer le doigt de Richard Roudier (21 jours d’ITT), président de la Ligue dans une lourde porte de fer dans les sous-sol du Palais de justice (Cette affaire dans l’affaire, au bout de plus de trois ans, de « sur place », vient de redémarrer puisqu’un juge d’instruction vient enfin d’être nommé. C’est marrant de savoir que quand Roudier porte plainte les dossiers disparaissent comme par enchantement-.
L’affaire se dégonflait et le boomerang se mettait en route : le président du Conseil départemental retirait sa plainte en douce, l’incitation à la haine raciale n’était pas retenue par le parquet et l’un des deux prévenus était relaxé tandis que l’autre écopait d’un mois de prison ferme (ce qui est quand même cher payé pour 2 tasses à café cachées sous un torchon à carreau et tombées accidentellement).
On apprenait quelques mois plus tard que le RAIH annonçait qu’il devait stopper ses activités : en cause la division par trois des subventions accordées par le département de l’Hérault qui jugeait cette structure « trop partisane ». L’Assemblée Départementale reprochait en effet au RAIH son « manque de neutralité notamment dans sa mission d’évaluation de l’âge des jeunes migrants ». L’association RAIH aurait déclaré comme mineurs 80% des individus testés, un chiffre qui serait largement au-dessus des chiffres nationaux et même d’une autre association similaire dans l’Hérault.
La RAIH a donc déposé son bilan, ce qui a débouché sur une procédure de redressement judiciaire et qui vient d’être transformée il y a quelques mois en liquidation de biens ! Fin du film… Ce qui tend à prouver qu’il ne faut pas réveiller un identitaire qui dort. La partie civile (à l’origine des poursuites judiciaires) devrait donc être absente, ce qui devrait concourir à la fluidité des débats.
Quant au conflit d’intérêt, au détriment du contribuable dans lequel semble être empêtré le RAIH, qu’un magistrat pourrait qualifier d’escroquerie, il semble que le Président du Conseil départemental lui en ait fait grâce. En tout cas il s’est bien gardé de déposer plainte ou même, à notre connaissance, de demander un audit ou une enquête administrative… Le contribuable héraultais est donc bien assuré de demeurer un « cochon de payant ».
C’est donc sereinement et plein d’espoir, que notre camarade Olivier Roudier comparaitra ce mardi 19 janvier à 14h00 devant la Cour d’appel à Montpellier, rue Foch.
D’abord, parce que les juristes de la Ligue avaient relevé un certain nombre d’incohérences de procédure dans l’enquête qui conduisit au procès en première instance et auxquelles il avait été répondu superficiellement à l’époque. Olivier souhaite que tous ces points soient approfondis en appel.
Ensuite, hasard du calendrier et toutes proportions gardées, c’est le télescopage de l’affaire du RAIH avec celle dite de « Wikileaks » qui a porté sur la scène internationale la question des « lanceurs d’alerte ». On sait que Julian Assange vient d’obtenir une première victoire en obtenant des autorités judiciaires britanniques un refus d’extradition vers les Etats-Unis.
Un présage ?
Ligue du Midi cliquez ici
11:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Marche pour la vie : 14h au Trocadéro
10:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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