dimanche, 17 janvier 2021
Mineurs Migrants Isolés : Olivier Roudier aborde avec sérénité son procès en appel dans l’affaire du RAIH
Communiqué de la Ligue du Midi :
On se souvient qu’en 2017, le département de l’Hérault avait décidé d’attribuer une subvention, de 116.000 € à l’association RAIH (Réseau d’Accueil des mineurs migrants Isolés de l’Hérault), pour son fonctionnement interne, ces migrants qui, comme le dénonçait Olivier Roudier (porte-parole de la ligue), agressaient, volaient et dépouillaient, à la nuit tombée, la population montpelliéraine.
Depuis quelques mois la rumeur courrait dans les travées, de l’Assemblée Départementale et quelques conseillers courageux n’hésitaient pas à étaler des chiffres astronomiques de 50 à 80 000 euros par tête de migrants et par an, ce qui représentait au final, - pour 600 à 800 bénéficiaires -, la bagatelle de 30 à 60 millions par an pour les contribuables du Clapas
La Ligue du Midi dénonçait évidemment l’attribution de ces subventions, réclamait un audit pour vérifier si l’obligation d’insertion sociale et professionnelle avait été respectée et s’interrogeait sur la pertinence d’accorder à la même association la détermination de l’âge de ces « jeunes » et des subventions qui augmentent en fonction de leur nombre.
Aucune réponse n’étant apportée aux contribuables, la Ligue du Midi en tant que lanceur d’alerte décidait de se rendre sur place afin de demander des éclaircissements à la présidente et au directeur du RAIH. Dans le même temps la Ligue demandait au président Mesquida, s’il était avéré qu’un chef de projet de l’association « un toit pour apprendre » allait être embauché avec un salaire de 7.800 euros/mois. (aucune réponse à ce jour)
Ce happening semblable plus à une farce de potache qu’à une activité politique, aux cris de « coucou c’est la Ligue du Midi » durait une dizaine de minutes, et se déroulait sans violence avec comme slogans « rendez l’argent », « pas de subvention pour financer l’invasion »… Mais c’en était trop pour la gauche fétide (du PS aux anarchistes) qui hurlait à la mort et au resurgissement des heures les plus sombres de notre histoire…
Comme dans une machine bien huilée, le président Mesquida déposait plainte pour « dégradation en réunion », le RAIH, y rajoutait une plainte en « incitation à la haine raciale », puisque on « aurait vu dans les yeux du meneur un regard contenant comme un appel à la haine » (La connerie n’a pas de limite). Quoi qu’il en soit, la Ligue, en tant que personne morale n’était pas poursuivie.
Evidemment on mettait les deux meneurs de la Ligue du Midi en Garde à vue, et un fonctionnaire de police « zélé » en profitait pour broyer le doigt de Richard Roudier (21 jours d’ITT), président de la Ligue dans une lourde porte de fer dans les sous-sol du Palais de justice (Cette affaire dans l’affaire, au bout de plus de trois ans, de « sur place », vient de redémarrer puisqu’un juge d’instruction vient enfin d’être nommé. C’est marrant de savoir que quand Roudier porte plainte les dossiers disparaissent comme par enchantement-.
L’affaire se dégonflait et le boomerang se mettait en route : le président du Conseil départemental retirait sa plainte en douce, l’incitation à la haine raciale n’était pas retenue par le parquet et l’un des deux prévenus était relaxé tandis que l’autre écopait d’un mois de prison ferme (ce qui est quand même cher payé pour 2 tasses à café cachées sous un torchon à carreau et tombées accidentellement).
On apprenait quelques mois plus tard que le RAIH annonçait qu’il devait stopper ses activités : en cause la division par trois des subventions accordées par le département de l’Hérault qui jugeait cette structure « trop partisane ». L’Assemblée Départementale reprochait en effet au RAIH son « manque de neutralité notamment dans sa mission d’évaluation de l’âge des jeunes migrants ». L’association RAIH aurait déclaré comme mineurs 80% des individus testés, un chiffre qui serait largement au-dessus des chiffres nationaux et même d’une autre association similaire dans l’Hérault.
La RAIH a donc déposé son bilan, ce qui a débouché sur une procédure de redressement judiciaire et qui vient d’être transformée il y a quelques mois en liquidation de biens ! Fin du film… Ce qui tend à prouver qu’il ne faut pas réveiller un identitaire qui dort. La partie civile (à l’origine des poursuites judiciaires) devrait donc être absente, ce qui devrait concourir à la fluidité des débats.
Quant au conflit d’intérêt, au détriment du contribuable dans lequel semble être empêtré le RAIH, qu’un magistrat pourrait qualifier d’escroquerie, il semble que le Président du Conseil départemental lui en ait fait grâce. En tout cas il s’est bien gardé de déposer plainte ou même, à notre connaissance, de demander un audit ou une enquête administrative… Le contribuable héraultais est donc bien assuré de demeurer un « cochon de payant ».
C’est donc sereinement et plein d’espoir, que notre camarade Olivier Roudier comparaitra ce mardi 19 janvier à 14h00 devant la Cour d’appel à Montpellier, rue Foch.
D’abord, parce que les juristes de la Ligue avaient relevé un certain nombre d’incohérences de procédure dans l’enquête qui conduisit au procès en première instance et auxquelles il avait été répondu superficiellement à l’époque. Olivier souhaite que tous ces points soient approfondis en appel.
Ensuite, hasard du calendrier et toutes proportions gardées, c’est le télescopage de l’affaire du RAIH avec celle dite de « Wikileaks » qui a porté sur la scène internationale la question des « lanceurs d’alerte ». On sait que Julian Assange vient d’obtenir une première victoire en obtenant des autorités judiciaires britanniques un refus d’extradition vers les Etats-Unis.
Un présage ?
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11:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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