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mercredi, 17 mars 2021

POLICE PARTOUT, JUSTICE NULLE PART !

Pieter Kerstens

Vu le rythme auquel se déroulent les fusillades et les émeutes aux quatre coins du pays, ce ne sont pas les CRS qu’il faut déployer, mais plutôt les gardes-mobiles ou les parachutistes !

Il y a maintenant plus de 30 ans que le « politiquement correct », le laxisme, la culture de l’excuse ou encore l’angélisme ont occulté les causes de l’insécurité et toléré les criminels dans plus de 600 zones de non-droit.

Un lecteur assidu de la rubrique « faits divers » a pu constater que la plupart des délits et des crimes sont perpétrés par des Mohammed, des Souleymane, des Abdallah ou des Fayçal depuis fort longtemps.

Les rôles des tribunaux confirme lui aussi ce constat, établi année après année, et les condamnés d’origine immigrée peuplent en grande majorité les cellules de nos prisons.

Et que fait le gouvernement ?  Englués par les dogmes, aveuglés par les utopies et obnubilés par les chimères de l’intégration, ces princes qui nous gouvernent nient les faits et braquent le projecteur dans une direction diamétralement opposée à la réalité en bernant la population, malade d’intoxications multiples. Ce sont quand même quatre énarques qui, en 1972, ont créé le Groupe d’Information et de Soutien des Immigrés (GISTI). Ce réel lobby pro-immigration soutiendra toutes les dérives et la désinformation qui impliqueront des faits criminels.

Que l’on se souvienne de l’attentat de la rue Copernic en 1980 : c’était soi-disant l’œuvre de nazis, de la FANE, de l’extrême-droite. Mais bien plus tard en réalité, il s’agissait de terroristes palestiniens.

Que l’on se rappelle aussi l’attentat de la rue des Rosiers : ici encore, les pourriticards et les médias ont désigné les prétendus nazis et l’extrême-droite comme coupables ! Mais l’enquête aboutira aux palestiniens du FATAH.

Et le devoir de mémoire nous parle encore de l’affaire de Carpentras en 1990 : tous les partis et les syndicats ont organisé le lynchage du FN et de J-M LE PEN, lors d’un immense défilé derrière François Mitterrand, le président de la République. Après instruction du dossier, les coupables n’avaient aucun lien avec l’extrême-droite ou le FN !

Au mois de mars 2012, après la tuerie de Toulouse, la manipulation a atteint un point culminant en désignant immédiatement à la vindicte populaire un assassin qui ne pouvait être autrement que « blanc, nationaliste et nazi » !

Mais toute la mafia politico-médiatique dut étouffer sa haine envers les franchouillards en constatant que le coupable - Mohammed MEHRA - décrit comme « calme », « respectueux », « gentil garçon » et « amateur de foot », était un délinquant multirécidiviste pas si « normal » en réalité et titulaire d’un casier judiciaire lourd de condamnations.

Après les meurtres de Toulouse, on a connu de multiples assassinats et attentats commis par des mahométans contre des centaines de victimes innocentes.

Depuis quelques mois, des ministres français, des élus, les médias, la secte des socialauds-écolos-bobos-marxistes piaillent en apprenant, jour après jour, un déferlement de rixes entre bandes rivales ou des violences suite à des calomnies véhiculées par Internet. Et si à ces faits on y ajoute les nombreuses attaques quotidiennes contre la gendarmerie et la police, les incendies divers, les bris de mobilier urbain, les pillages de magasins, les fusillades et les émeutes, comme à Bron, à Blois ou à Rennes, on pourrait penser à la guérilla urbaine.

Alors bien sûr, les gens honnêtes et les travailleurs peuvent légitimement se demander « comment » le Pouvoir peut encore tolérer de tels faits, « pourquoi » le gouvernement n’agit pas avec plus d’efficacité, « qui » au sein de la Justice fait preuve d’autant de complaisance et « quand » finalement va-t-on rétablir l’Ordre et la Loi ?

Car la famille Bidochon, elle, se trouve confrontée chaque jour aux maux qui gangrènent notre société : une immigration-invasion, un chômage structurel, un tsunami de drogues, des impôts à la hausse, une insécurité généralisée et une impunité accordée à la crapule, à la racaille et à la chienlit. Plus de 6.000 récidivistes, tous condamnés au moins 15 fois, courent en liberté dans nos rues et nos campagnes : est-ce normal ?

Systématiquement, on nous sert les arguments de la misère et de la pauvreté, d’un milieu familial défavorable, d’un environnement social inapproprié et autres excuses farfelues.

NON, la misère ne génère pas le crime, car dans les départements les plus pauvres de France comme le Cantal, la Creuse, la Lozère ou la Corrèze, il y a proportionnellement beaucoup moins de faits délictueux qu’à Marseille, Lyon, Reims, Beauvais, Corbeil, Roubaix ou Champigny, selon les analyses que criminologue Xavier Raufer a déjà publié de longue date.

NON, en Seine-Saint-Denis, dans les Bouches du Rhône ou le Val de Marne, l’explosion des violences n’est pas la conséquence de la pauvreté, mais des erreurs de diagnostic et d’une lâcheté affirmée par peur de contrarier une communauté étrangère.

Hormis les déclarations matamoresques des ministres de l’Intérieur comme Charles Pasqua ou Nicolas Sarközy, les gouvernements successifs n’ont rien fait pour restaurer l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires définies précisément en 2013.

Michel Rocard en 1990 avait dit « Je pense que nous ne pouvons pas héberger toute la misère du monde, que la France doit rester ce qu’elle est, une terre d’asile politique…mais pas plus. »

Fin 2020, un million de clandestins se trouvaient toujours dans l’Hexagone !

Et entre 1995 et 2020, ce sont 3,45 millions d’immigrés qui ont été naturalisés.

Et c’est là tout le problème, sans cesse nié par la haute administration qui refuse l’évidence : rapatrier dans le pays de leurs aïeux tous les hors-la-loi et les indésirables islamistes qui crachent sur nos us et coutumes, ainsi que les délinquants et les criminels multirécidivistes après déchéance de la nationalité française. Il faut en finir avec les dogmes droits de l’hommiste et l’idéologie égalitariste et indigéniste n’en déplaise aux Eurocrates de Bruxelles.

Dans les banlieues et les quartiers, ils sont forts parce que tu es à genoux !

Doit-on nous-mêmes organiser des milices d’auto-défense afin de protéger nos familles et nos biens, face à la défaillance de l’Etat ? Pour déjouer les attentats l’Etat Français a mis en place le plan Vigipirate, actuellement Sentinelle, et pourquoi pas en urgence un plan « Vigicrapules »… 

23:05 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SORTIE LE 26 MARS DU NOUVEAU CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME (N°21) CONSACRÉ À JUAN ET EVA PERON ET AU JUSTICIALISME

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19:43 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lidl : la face sombre du hard-discount

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Arnaud Raffard de Brienne

Les récentes bousculades et piétinements dans les magasins Lidl prouvent, contre toute évidence, la pugnacité de nos concitoyens dès lors qu’il s’agit de lutter pour de nobles causes. En l’occurrence, pour bénéficier de prix particulièrement bas sur un robot de cuisine, le Monsieur Cuisine Connect que la chaîne de supermarchés Lidl avait décidé de déstocker avant une possible interdiction de vente imposée par voie judiciaire au motif d’une contrefaçon présumée au détriment d’un robot aux fonctions identiques de la société Vorwerk mais vendu près de quatre fois plus cher.

Bousculades donc dans un certain nombre de magasins et même, dans celui de Vendin-le-Viel, près de Lens dans le Pas-de-Calais, piétinement par des ménagères en furie d’une cliente qui dut être évacuée et transférée par les pompiers aux urgences. L’enseigne de hard-discount préférée des Français, nous dit-on, mais coutumière de ces débordements, tire son succès croissant d’une politique offensive de prix particulièrement bas l’ayant propulsée au troisième rang de la distribution en France.

Le président de Lidl première fortune d’Allemagne

Avec Kaufland, l’enseigne Lidl appartient au groupe allemand de hard-discount Schwarz dont le président Dieter Schwarz, l’homme le plus riche d’Allemagne, a doublé sa fortune en sept ans, passant de 21 milliards d’euros en 2014 à près de 42 en 2020. C’est la démonstration, s’il en manquait encore une, que rien n’est plus lucratif finalement que de vendre des produits très peu chers à d’innombrables cohortes de pauvres. L’envers du décor, dévoilé en partie dans une émission Cash investigation en 2019, révèle des méthodes managériales intolérables, des pressions excessives sur le personnel, des conditions de travail déplorables, un dialogue social au point mort et des modalités inadmissibles de licenciement. 

Scandales et pensée unique

Sans parler des scandales à répétition comme une infection de la viande par la redoutable bactérie E.coli, signature incontestable de l’abattage halal ou l’affaire révélée en 2019 du micro caché dans le robot de cuisine Monsieur Cuisine Connect ou encore les publicités sexistes du meilleur goût comme celle pour des beignets dont le slogan suggestif  « un trou c’est un trou » fit scandale. En 2017, des consommateurs attentifs avaient remarqué sur les emballages d’une gamme de produits grecs la disparition de la croix chrétienne surmontant les dômes de la célèbre église Anastasis sur l’île de Santorin. Cette retouche stalinienne de photo répondait, selon la direction, à une volonté de respecter la diversité. De mauvais esprits pourraient rétorquer qu’aucune censure n’affecte pour autant la représentation des minarets sur le conditionnement des produits halal de l’enseigne. 

Question diversité, Dieter Schwarz, semble d’ailleurs nettement moins frileux dès lors qu’il s’agit de définir les objectifs du fonds d’investissement Zukunftsfonds Heilbronn (ZFHN) qu’il préside. Dont, notamment, celui d’investir dans les entreprises technologiques israéliennes et d’aider les startups de l’État hébreu pour lequel il semble avoir les yeux de Chimène. « J’ai appris l’écosystème des startups à Tel-Aviv pour la numérisation et la robotique » confie ce magnat de la distribution, précisant quand même «Nous voulons consolider une entreprise en Israël, l’amener au marché européen mais nous voulons que le cœur de l’entreprise soit ici, en Israël ». Nous voici rassuré.

Source Présent cliquez ici

18:30 Publié dans Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le décolonialisme est un projet utopique global

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L’historien et politologue Pierre-André Taguieff qui a forgé le concept d’islamo-gauchime, répond ici aux critiques qui lui sont adressées. L’universitaire explique la rhétorique et les objectifs concrets du mouvement dit « décolonial ». Il vient de publier un livre sur le sujet, Liaisons dangereuses : islamo-nazisme, islamo-gauchisme chez l’éditeur Hermann.

A lire ICI

14:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La nef des fous*

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Jean-Michel Salvator

Après un an de pandémie, les réseaux sociaux sont devenus les maîtres des horloges. C’est la première crise majeure dans laquelle ce nouveau média a eu tant d’influence sur l’opinion et les gouvernants. Twitter a profité de la période grâce à Donald Trump qui a comparé le Covid à une grippe saisonnière. Les complotistes étaient aux anges.

En France, les antimasques se sont déchaînés sur Facebook jusqu’à la fin de l’été pour moquer les gestes barrière et crier à la dictature sanitaire. Il y a eu aussi les campagnes anticonfinement menées contre les «enfermistes », qui accusaient le pouvoir de vouloir mettre le pays sous cloche. Puis les antivax ont mis en garde contre l’ARN messager des vaccins Pfizer et Moderna. Ils soutenaient mordicus que cette nouvelle technique menacerait gravement notre génome et nous transformerait en OGM.

Conséquence, l’Union européenne et le gouvernement français ont multiplié les précautions dans les commandes, le calendrier et la politique vaccinale. Depuis janvier, ces mêmes réseaux sociaux tournent casaque et relaient sans discernement que l’AstraZeneca a des effets secondaires comme les thromboses, même si aucun lien de causalité n’a été établi. Et tant pis si 11 millions de Britanniques ont été vaccinés avec ce sérum-là !

Sur les réseaux sociaux, le principe de précaution (par ailleurs légitime) est brandi sans nuance, comme si le vaccin était plus dangereux que le variant. Cette pression relayée par les sites Internet et les chaînes d’info finit par influencer les élus. Les pays du Nord puis l’Allemagne et la France ont suspendu lundi l’AstraZeneca. Il n’est pas certain que cette tyrannie des réseaux sociaux facilite la prise de décision de nos gouvernants, qui s’adaptent. Jean Castex se retrouve sur Twitch et Emmanuel Macron lance un défi à deux youtubeurs, McFly et Carlito, pour faire la com des gestes barrière. Une consécration !

(*) le titre est de notre rédaction

Source : Le Parisien 17/03/2021

11:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |