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mardi, 16 mars 2021

De l'Etat profond au gouvernement mondial : avec Valérie Bugault

Le gouvernement mondial est sur de bons rails. Depuis le XVIIIème siècle, nous sommes entrés dans une ère interdisant le libre arbitre au profit de puissances financières qui se sont emparées du pouvoir et de la technologie. Aujourd'hui, la machine s'emballe. L'Etat profond, outil de l'oligarchie, a installé une dictature sanitaire dont le port du masque est le symbole de sa toute-puissance... le Grand Test de la soumission avant le Grand Reset, sorte de nouveau contrat social et environnemental permettant l'avènement d'un gouvernement mondial d'essence totalitaire. Pour empêcher un tel plan, Valérie Bugault, ancienne avocate fiscaliste reconvertie dans la géopolitique juridique et économique, propose de réformer le droit, moyen essentiel qui véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Réformer notre droit, soumis au droit anglo-saxon utilisé comme arme de destruction des peuples. Valérie Bugault est l'invitée de "Politique &Eco".

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Tous vaccinés ?

Le «vaccin» à ARN messager contre la Covid-19… Pour ou contre ? Doit-on forcer les Français à se vacciner ? Voici les questions que l’enquête Tous Vaccinés ? pose à des spécialistes dans leur domaine, donnant la parole de manière équitable aux « pour » et aux « contre », afin que chaque internaute puisse se forger un avis éclairé.

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Source : tousvaccines.fr

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L'oeil de l'expert : L'islamo-gauchisme "gangrène"-t-il l'université française ? Malika Sorel-Sutter

Malika Sorel-Sutter, essayiste et ancien membre du Haut Conseil à l’Intégration (auteur de « Décomposition française » (Fayard)) était l'invitée de Valérie Expert sur Sud Radio.

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Désarroi !

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Le billet de Patrick Parment

Depuis la fin du XIXe siècle, la science n’a cessé de démontrer sa capacité à déchiffrer les mystères de la nature et de donner à l’homme les moyens d’agir sur elle, afin, bien souvent, d’en corriger les excès. On pense à Pasteur et son vaccin contre la rage, la découverte de la pénicilline en passant par le nucléaire et la conquête de l’espace. La science est cette nouvelle religion qui, à l’image des dieux antiques, nous livre une autre explication du monde.

Cependant la science a aussi permis à l’homme une meilleure compréhension et une meilleure maîtrise de son corps en soignant de nombreuses maladies et en éradiquant de nombreux fléaux comme la variole, la tuberculose, etc. On en est même arrivé à parler d’anthropocène, c’est-à-dire à ce point où l’homme dicte sa propre loi à la nature. Il n’en reste pas moins, malgré tous ces beaux « progrès » que la nature nous réserve ses zones d’ombre et se montre, au final, toujours la plus forte. Notamment face à ces diables de virus qu’il s’agisse, en l’espèce, du sida, de la grippe et aujourd’hui du covid-19 et ses variants.

A cela une raison simple, la nature réagit toujours aux défis que lui lance l’homme à chaque fois qu’il modifie son environnement. Or, la bonne écologie n’est rien d’autre que d’établir un juste équilibre entre l’homme et son environnement. A partir du moment où celui-ci modifie, sans en mesurer les conséquences, ses écosystèmes « naturels » dirons-nous, la nature apporte une réponse qui n’a que peu à voir avec la morale. Une analyse des grandes pandémies auxquelles a dû faire face l’humanité en apporte la preuve. La peste par exemple, liée en grande partie aux conditions d’hygiène dans lesquelles vivaient nos concitoyens et transmise par les rats. On pense également à Céline et à sa thèse de médecine sur le médecin autrichien Ignace Semmelweis. Les exemples sont nombreux.

Et aujourd’hui, nous voici confrontés à une nouvelle pandémie, baptisée covid-19, qui a la particularité de toucher la terre entière à l’image de cette mondialisation qui régit désormais les rapports des hommes entre eux, tout à la fois économiques mais aussi touristiques. Et à l’image du transport aérien, les virus voyagent eux aussi. N’a-t-on pas soupçonné, à tort ou à raison, les Chinois d’être à l’origine de cette pandémie ? Et pour cause, la Chine d’aujourd’hui est certainement le pays qui a le plus modifié, transformé, maltraité son environnement au point qu’une pollution sévère règne sur nombre de ses grandes métropoles, Pékin en tête. On ne connaît pas encore les effets produits par la destruction des grandes forêts primaires comme l’Amazonie et tant d’autres en Afrique comme en Asie, où l’on voit des espèces animales, voire végétales, disparaître.

Toujours est-il que face à cette pandémie du covid, on paraît bien démuni. En peu de temps, on a vu surgir des vaccins dont au final on ne connaît pas vraiment l’efficacité. C’est peu dire que l’on « pédale dans la semoule ». Mais surtout, l’homme a fait preuve de son incapacité à mettre en œuvre une stratégie commune susceptible d’endiguer la progression du virus. En France, par exemple, nos gouvernants ont dit tout et le contraire de tout. De confinement en couvre-feu, nous sommes désorientés et cela ne sera pas sans conséquence quand nous sortirons la tête de l’eau. Entre réchauffement climatique et une mondialisation dont nous ne cessons de mesurer les effets pervers, l’homme de ce XXIe siècle est incontestablement confronté à des processus qui mettent en jeu sa propre survie. La première des nuisances, ne serait-elle pas cette mondialisation qui non contente d’épuiser la terre, nie profondément ce que l’homme a mis des siècles à ériger : son identité et sa culture.

Article de Synthèse nationale libre de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

11:34 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ridicules et dégradants

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Paul Vermeulen

La France sans cinémas, c'est une si­tuation désagréable qui n'est pourtant rien à côté du spectacle ridicule, pathétique et dé­ gradant que le« cinéma français» a donné de lui-même vendredi 12 mars lors de la 46ème cé­rmonie des César. Une soirée inénarrable où ce milieu, qui confond art et militantisme sur fond de parisianisme bobo, a montré toute sa mesure culturelle et politique.

Les spectateurs pensaient sans doute avoir déjà vu le pire de l'idéologie régnant dans les milieux du « cinéma français» l'année passée, après la fracas­ sante sortie, digne d'une adolescente attardée, de l'actrice Adle Haenel contre le sacre de Polanski faisant face à des accusations de viol. Elle avait ainsi gagné a place à Hollywood. Après des mois de fermeture des cinémas, les Français pouvaient espérer entendre et voir de quoi reprendre goût pour le grand cran, avoir envie de défendre les acteurs, les actrices, les techniciens ou les intermittents, revoir enfin les salles se remplir. Comment cela pourrait-il être le cas maintenant que la cérémonie est passée?

Présentée par Marina Foïs, niveau adolescente aussi, la soirée s'est transformée en un meeting politique. La cible était, entre autres, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, à laquelle il était demandé par tous les moyens ou presque, y compris scatologiques, d'agir. Les nantis du cinéma, et plus généralement du monde de la culture, dont l'existence n'est pos­ sible, depuis des années, que par la perfusion étatique provenant des impôts de la collectivité nationale, ont multiplié les« performances» et autres sketchs tendance pétomaniaques, avec grossièretés et injures à la clé. La cérémonie des César 2021 fut celle de la honte et de la vulgarité du Paris de la« culture ». Des exemples? La« maîtresse de cérémonie» n'ar­rêtait pas de demander si« la taille, ça compte?». Il y a des cours de récréation où le niveau intellectuel est plus élevé. Sans compter l'irruption de Corinne Masiero, alias Capitaine Marleau à la télévision, nue et ensanglantée pour« soutenir» les intermittents du spectacle, pourtant bénéficiaires d'une seconde « année blanche» qui en fait des personnes en vacances prolongées.

Outre la vulgarité, le gratin du « cinéma français» s'est cru un soir de fête de l'Humanité, les slogans et diatribes fusant au sujet de l'islarno-gauchisme, de la sécurité globale ou du fait de savoir si la culture, la leur, est ou non essentielle dans un pays où une pandémie a déjà tué plus de 80 000 personnes. Mais de cela, ce gratin n'a cure : il vit dans un autre monde, celui où l'argent ruisselle. A aussi été récompensée la « diversité», surtout noire. Reste que le ridicule, lui, semble ne pas payer : l'audience de la cérémonie 2021, bien que retransmise en clair, a été l'une des pires de l'histoire des César. Le film récompensé s'appelle Adieu les cons et c'est en effet ce que le spectateur a envie de dire aux personnes qui ont occupé le petit écran vendredi dernier.

Source : Présent 16/03/2021

11:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |