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dimanche, 11 juillet 2021

Le déjeuner champêtre du Parti de la France à Amiens autour de Jean-Marie Le Pen

Thomas Joly, Président du Parti de France, recevait Jean-Marie Le Pen pour une fête champêtre qui a réuni une grosse centaine de convives à Fluy dans la Somme. Les personnes interviewées dans l'ordre de leurs interventions : Éric Pinel, Franck Buleux (directeur de la collection des Cahiers d'Histoire du nationalisme), Benjamin Lematte, Bruno Hirout, Fabrice Lengelé, Alexandre Simonnot, Fiorina Lignier.

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Le site du Parti de la France cliquez ici

18:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette inflation que les banques centrales ne veulent pas voir venir

ROUSSET PIERRE.jpgMarc Rousset

Les craintes d’inflation et le variant Delta sont les deux raisons principales de la volatilité actuelle des Bourses. Après une chute, jeudi, de 2 % du CAC 40 suite aux inquiétudes liées au Covid-19, ce dernier a regagné, vendredi, les 2 % de perte de la veille. Mais cela pourrait bien être les premiers signes d’un été boursier qui s’annonce chaud et animé.

Le ratio moyen cours/bénéfice des Bourses se situe, actuellement, à 21 pour les entreprises du Standard & Poor’s 500 et à 17,5 pour les entreprises européennes, alors que sa moyenne à long terme est de 15, tant aux États-Unis qu’en Europe. De plus, les bonds des bénéfices attendus par les analystes ne seront peut-être pas au rendez-vous si les coûts dérapent, suite aux hausses des salaires, du fret maritime des conteneurs ou aux goulots d’étranglement pour certains produits. Les anticipations fluctuantes d’inflation, de taux d’intérêt, des réductions à venir ou non des achats d’actifs par les banques centrales, jusqu’à la réunion de politique monétaire en septembre prochain à Jackson Hole, peuvent aussi contribuer à la volatilité des Bourses cet été.

L’Autorité des marchés financiers redoute, d’ores et déjà, un nouveau coup de tabac sur les marchés, suite à l’augmentation de l’endettement des États, mais aussi des entreprises ; le gendarme de la Bourse redoute une remontée des taux, ce qui pourrait conduire à de fortes corrections ou à un krach.

Si la France doit connaître effectivement, en 2021, une croissance forte de 6 % du PIB, mais avec une inflation effective de 2 %, la croissance réelle nette du PIB ne sera plus que de 4 % et si la dette réelle doit progresser à nouveau, ne serait-ce que de 8 % à cause du déficit public en 2021, le ratio dette/PIB de la France aura continué de se détériorer schématiquement de 8 % moins 6 %, soit 2 %, malgré une croissance nominale du PIB de 6 % et une croissance réelle nette de 4 %.

Officiellement, l’inflation aux États-Unis est toujours jugée temporaire par la Fed, mais les membres du Comité monétaire ont été surpris par la flambée de l’inflation de 3,6 % en avril et de 3,4 % en mai, selon l’indice PCE. Les principales hausses de taux devraient seulement intervenir en 2023 ou fin 2022, au lieu de 2024, ce qui est toujours une chimère irréaliste et une vue de l’esprit. Quant à la BCE, Christine Lagarde souhaite assouplir les objectifs d’inflation en déclarant qu’il n’y aura pas de réaction sur le « QE » si des hausses de prix sont temporairement supérieures à 2 %, tout en verdissant la politique monétaire contre le changement climatique, ce qui n’est pas le rôle d’une banque centrale.

Le FMI, plus réaliste, estime qu’« une inflation élevée fait partie des risques auxquels est confrontée la reprise économique », avec une croissance de 7 % en 2021 de l’économie américaine, soit son rythme le plus rapide depuis 1984, ce qui pourrait augmenter dangereusement le taux d’inflation et conduire à une hausse nouvelle des taux d’intérêt.

Selon le Wall Street Journal, les supermarchés aux États-Unis augmenteraient déjà leurs stocks, du sucre à la viande congelée, pour se protéger de l’inflation. Le gouverneur de la Banque des Pays-Bas estime, lui aussi, que les risques d’inflation sont sous-estimés. Les pénuries de semi-conducteurs ralentissent toujours l’activité industrielle et le prix du pétrole Brent est remonté à 77 dollars le baril, sur fond de craintes quant à l’avenir de l’OPEP. En France, près de la moitié des entreprises du bâtiment, 41 % du secteur des services et un quart des firmes industrielles peinent à recruter des salariés, ce qui est une source d’augmentation des prix par les coûts.

Une forte inflation et une augmentation substantielle des taux d’intérêt en 2022 avec un krach financier à la clé, sauf en cas de crise sanitaire fin 2021 provoquée par le variant indien et une vaccination insuffisante qui conduirait à un krach immédiat, à la récession et à la déflation, voire à l’explosion du Système, ne relèvent pas de la science-fiction.

16:32 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

70 ans de Fidélité au Maréchal Pétain

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Communiqué de presse ADMP- 9 juillet 2021 

Le 25 juillet prochain, une délégation de l'Association pour défendre la mémoire du Maréchal Pétain (ADMP) sera présente à l'île d'Yeu pour rendre hommage au vainqueur de Verdun dont nous commémorons cette année les 70 ans de la disparition.

Fondée le 6 novembre 1951, trois mois après la mort du Maréchal Pétain, l'ADMP œuvre depuis 70 ans pour sa réhabilitation, la révision de son procès, le transfert de ses cendres à Douaumont auprès de ses soldats.

L'association aujourd'hui présidée par Monsieur Roger Barut, au regard des contraintes sanitaires imposées par le Gouvernement, depuis deux ans, n'a pas pu rendre hommage à cette grande figure qui, en 1940, a fait don de sa personne à la France. Les dernières commémorations ont été organisées en avril et juillet 2019 dans sa maison natale de Cauchy à la Tour, dans le Pas-de-Calais et sur sa tombe en Vendée.

C'est donc avec beaucoup d'émotion que nous serons à nouveau présents à l'île d'Yeu le 25 juillet.

Soixante-dix années ont passé depuis la disparition du Maréchal. Fidèle à son héritage, I'ADMP, association apolitique, n'a jamais baissé les bras.

Ce 70ème anniversaire sera marqué par le lancement de notre site www.marechalpetain.com, par notre présence sur Facebook, par notre nouvelle version de la revue Le Maréchal, et par des stratégies de développement destinée à permettre aux jeunes, respectueux de la figure du vainqueur de Verdun, de nous rejoindre.

Toujours fidèle, toujours présente, l'ADMP tient par ailleurs à rappeler qu'elle n'a aucun lien, ni aucune filiation avec des groupuscules souhaitant s'accaparer la mémoire du Maréchal. Le Maréchal n'appartiendra jamais à des factions, le Maréchal appartient à la France et à tous les Françaises et les Français.

Nous vous donnons rendez-vous le 25 juillet à 11h00 devant l'Hôtel des Voyageurs, 31 quai Carnot, à Port Joinville. Soyez présents, soyez fidèles.

Vive le Maréchal, Vive la France.

Et aussi, à l'appel de Jeune nation :

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16:26 Publié dans Communiqués de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |