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lundi, 11 octobre 2021

La littérature de bonne femme nous emmerde

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Marc Obregon

Parmi les impostures les plus grossières de la littérature contemporaine, la place toujours plus délirante qu’occupent les romans pour ménagéres arrive sans doute en premiére position. Chaque année, les lamentations de nos quadragénaires pasteurisées caracolent en tête de gondole; chaque année on les maquille pour leur redonner du lustre, mais il s’agit au fond de la même chose, encore et toujours: d’une bonne femme qui pleurniche sur son extraction bourgeoise dans une langue qui se veut « nerveuse », « brutale » ou simplement « organique ». Vous en aviez marre de |’autofiction? Voici venir la métafiction et ses sordides compendiums de névroses et de fantasmes geignards. Car elles ne savent pas parler d’autre chose, nos néo-diaristes un peu salopes, un peu retraitées de leurs entrailles, un peu revenues du systéme — forcément patriarcal, violent et briseur d’ovaires. Chez Angot, bien sûr, qui organise roman aprés roman le bégaiement constant de son traumatisme originel. A force de tourner en rond dans son inconscient brûlé par vingt ans d’exposition médiatique, on se demande si elle n’aurait pas du suivre le conseil de son père et décrire son viol façon Robbe-Grillet plutôt que sous cette forme psittaciste toujours plus emmerdante chaque année (d’autant qu’elle n’a toujours pas appris à faire autre chose que du sujet-verbe-complément).

Culte de la stérilité et mépris de classe

De |’autre cété de la Seine, on a les petites grues pomponnées du genre Claire Castillon, dont le retour cyclique sur les portants des libraires est toujours aussi mystérieux : qui s’intéresse vraiment à ses historiettes mal fagotées, aussi désagréables et chichiteuses que le laisse supposer son statut d’hyperbourgeoise parisienne jamais confrontée à rien de plus grave qu’a une panne dépilateur ? On passera également rapidement sur les grandes ébahies, pamées constamment sur un éternel féminin rétréci au lavage, sororal fantasme qu’elles ne cessent de suçoter sur la couenne douceâtre des abats de Beauvoir et consorts... Mais cette année, la palme revient à Maria Pourchet, unanimement célébrée par la presse qui voit en elle une voix nouvelle. On s’est penché dessus et même si le style est un peu moins médiocre que la moyenne, on est toujours stupéfait par cette méprise qui consiste à confondre littérature et miasmes autobiographiques ramassés à la truelle. Il leur faudrait probablement un nouveau rayon FNAC, quelque part entre les guides de sexologie et les livres de cuisine, et qu’on appellerait témoignages-fictions : Maria Pourchet en serait la Papesse, avec son Feu madré, constitué essentiellement de phrases chocs se voulant sûrement délicieusement cyniques, alors qu’elles ne font jamais que rappeler à quel point cette littérature féminine contemporaine est une littérature de la pilule du lendemain, de l’adultére poissarde, d’un bovarysme éculé, acariâtre, frigide, mais qui continue d’enflammer les critiques, enthousiasmés par la féminité à rebours de ces « autrices » pour qui rien n’est plus transcendant que le culte de la stérilité et le mépris de classe.

Parce que les femmes sont les premières ennemies des femmes

A la limite on aurait presque envie de sauver Aurélie Valognes ou Virginie Grimaldi, qui ont le mérite d’assumer franchement leur littérature de gare et de construire au minimum leurs intrigues sans passer leur temps a se planquer derriére un tubéreux nombril. En somme, et comme sur de nombreux plans, les femmes de talent sont moins menacées par un prétendu patriarcat que par la médiocrité de leurs collègues et la complaisance des féministes.

Source : L’Incorrect, octobre 2021

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La radicalité du Pacte vert européen

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Olivier Bault

La hausse actuelle des prix de l’énergie inquiète à Bruxelles car elle pourrait dresser les citoyens européens contre le Pacte vert censé nous conduire à la neutralité carbone d’ici à 2050, avec l’ ambition d’ avoir déjà réduit nos émissions de CO2 de 55 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 1990. Il ne nous reste donc que huit ans pour opérer cette transformation radicale, et la Commission, sous l’influence de plusieurs pays, au premier rang desquels l’ Allemagne, refuse encore d’étendre au nucléaire le soutien de l’ UE devant accompagner cette transformation. Pourtant, sans le nucléaire, l’objectif sera impossible à atteindre, et un pays comme la Pologne, dont les trois quarts de l’électricité proviennent encore du charbon, l’a bien compris puisque Varsovie est en négociation pour la construction de ses premières centrales nucléaires.

La hausse actuelle n’est pas liée qu’aux objectifs environnementaux de l’UE, puisqu’elle tient en grande partie à l’explosion des prix du gaz (problèmes de maintenance des capacités de production en Norvège, refus de la Russie de profiter à plein des anciens gazoducs terrestres pour obtenir des concessions sur les conditions d’exploitation du nouveau gazoduc Nord Stream 2, concurrence de la Chine et de l’Asie sur le marché du GNL alors que les USA tournent le dos au gaz de schiste...). Mais l’explosion des prix du gaz tient aussi, d’une part, à la décision allemande d’arrêter le nucléaire au profit du gaz et des énergies renouvelables dont la production est instable (le vent, par exemple, a moins soufflé cette année en Europe) et encore au fait que l’élec- tricité produite au charbon devient trop chère à cause de l’envolée du prix des droits d’émission sur le marché européen (ce qui incite à remplacer le charbon par le gaz).

La consommation de gaz compte aujourd’hui pour environ un cinquième de la production d’ électricité dans l’UE. La France produisant 70 % de son électricité au moyen de centrales nucléaires, le prix de l’électricité reste inférieur à celui en vigueur chez nos voisins, mais il est aussi impacté par l’envolée des prix du gaz par le biais du marché européen de l’électricité. Cinq pays de l’UE, dont la France, plaident donc pour une réponse commune à la crise de l’énergie. La France en particulier, par la voix de Bruno Le Maire, a demandé à la rencontre des ministres des Finances, qui se te- nait à Luxembourg le 4 octobre, une réforme du marché européen de l’électricité pour faire en sorte que les prix payés par le consommateur correspondent mieux aux coûts de production de chaque pays. En somme, il s’agirait de revenir à un marché plus régulé et donc moins dépendant de la volatilité des cours du gaz.

Cette question a encore été discutée au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement qui s’est tenu le 5 octobre en Slovénie, et la France est soutenue dans sa demande d’une réponse européenne à la crise actuelle par quatre autres pays : l’Espagne, qui demande en outre une européanisation des stocks de gaz, la Grèce, la Roumanie et la Tchéquie. Ces pays ne sont tou- tefois pas d’accord sur tout. Ainsi, par exemple, au contraire de la France, la Tchéquie est, comme la Pologne et la Hongrie, très critique du fonction- nement du marché des droits d’émis- sion de CO2 et de la radicalité du Pacte vert européen. Une critique que le vice-président de la Commission européenne en charge du Pacte vert, le travailliste néerlandais Frans Timmermans, ne veut pas entendre, pas plus que la majorité écolo-progressiste au Parlement européen où l’on dé- battait de la question le 6 octobre.

Source : Présent 9/10/2021

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Les Polonais ont raison !

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Jarente de Senac

La plus haute juridiction du pays, la Cour polonaise, proche de la majorité conservatrice du PiS (Droit et justice), a déclaré que certains articles du traité de l’UE étaient « incompatibles » avec la Constitution du pays. La présidente du tribunal, Julia Przylebska, a expliqué qu’en se pliant aux « tentatives d’ingérences » de la Cour de justice de l’UE (CJUE) « la Pologne ne peut fonctionner comme un État souverain et démocratique ».

Julia Przylelska,  a en effet estimé que « la tentative d’ingérence de la CJUE dans le système judiciaire polonais remet en cause les principes de l’État de droit, de la primauté de la Constitution polonaise ainsi que le principe de sauvegarde de la souveraineté dans le processus d’intégration européenne.

De son côté, le président du Conseil des ministres, Jaroslaw Kaczynski l’a bien répété le 15 septembre dernier : Nous voyons résolument notre avenir dans l’Union européenne (...) mais nous voyons les tendances à l’instrumentalisation de l’UE pas les pays les plus puissants, notamment l’Allemagne (...) et nous voulons rester un état souverain.»

Inutile de dire que les Polonais posent une vraie question. La soi-disant Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) n’a pas plus de légitimité que n’en avait le tribunal de Nuremberg. Car cela revient à imposer le droit du vainqueur sur celui du vaincu. Et ici, le vainqueur serait Bruxelles et sa Commission dirigée par l’incompétente Ursula von der Leyden, aux ordres de Washington, et le vaincu les nations européennes et les peuples qu’elles représentent.

Si l’Union européenne est avant tout un bazar économique, on ne voit pas au nom de quel principe elle serait amenée à régenter les droits nationaux qui sont par essence différent d’un pays à l’autre. Mieux encore, au nom de quoi les Etats européens devraient se départir de leur souveraineté ? Il n’y a pas de droit universel pour la bonne raison que tout droit est d’abord l’émanation d’un peuple qui en dicte les règles. Ce qui vaut pour un Français ne le sera pas forcément pour un Allemand, un Anglais ou un Italien.  Le droit est aussi le reflet des mœurs et des coutuemes du pays.

Enfin, la maîtrise de notre souveraineté, c’est aussi celle qui permet à un pays d’affirmer ses choix et d’assumer son destin. Dans son Analyse spectrale de l’Europe, Hermann von Keyserling a bien dressé la typologe autant que la psychologie de chaque nation européenne. Or, les Polonais le disent bien, ils ne veulent pas sortir de l’Europe, ils suggèrent simplement ce que tous les Européens pensent et espèrent : qu’il faut réformer de fond en comble cette Union européenne et faire une Europe des patries.

Or, en l’état actuel des choses, Bruxelles, pour faire court, est aux ordres du Système, c’est-à-dire de ce libéralisme libertaire américain qui veut dicter sa loi au monde. Les Européens sont méfiants depuis belle lurette envers cette institution, voire leurs chefs d’Etat, emboucanés pour la plupart, comme l’a bien montré l’affaire du traité de Lisbonne qui nous a été imposé alors qu’il avait été refusé en première main lors du référendum de mai 2005 sur une Constitution européenne dont personne ne voulait.

Autre exemple et non des moindres, Bruxelles est aux mains d‘un lobby écolo qui voudrait à terme mettre fin au nucléaire alors que se pose de graves questions concernant nos ressources énergétiques.  Notamment la mis en cause d’un nucléaire qui a largement fait ses preuves en terme d’efficacité et de lutte contre le réchauffement climatique.. Doit-on pour autant, nous autres Français, suivre le suicidaire exemple allemand dans l’abandon du nucléaire. Bruxelles ne saurait en rien se substituer au national. Pas même pour concevoir la taille de boulons et des boutons de culotte.

 

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Trois mousquetaires avaient sonné le tocsin…

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François Floc'h

… mais ils n'ont pas été entendus !

Les politiciens d'aujourd'hui, les chroniqueurs ont la mémoire courte. Cela leur permet de fuir leurs propres responsabilités. Les plus roublards nous disent : "Il y a 20 ans, nos dirigeants auraient dû faire ceci, auraient dû faire cela…" Les un peu moins malhonnêtes reconnaissent que "depuis 30 ans, on (?) a refusé les nécessaires décisions". Et bla et blabla…

Tous ces gens-là nous racontent des billevesées car il y a plus de 50 ans – un demi siècle ! Deux générations ! – que les plus lucides avaient commencé à sonner le tocsin. Trois d'entre eux, tels des mousquetaires courageux, méritent de ne pas être oubliés.

Le premier s'appelle Enoch Powell. En 1950, il est député du Parti conservateur anglais. Il sera même ministre de la Santé dans le gouvernement MacMillan. Le 20 avril 1968, Enoch Powell prononce un discours sous le titre "Rivières de sang", un discours qui fera date : "Si je regarde vers l’avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d’un sang abondant." Et il rappelle que "La fonction suprême de l’homme d’État est de protéger la société de malheurs prévisibles. […] Seule une action résolue et immédiate peut encore l’empêcher. Je ne sais si la volonté populaire exigera ou obtiendra de telles mesures. Mais ce que je sais, c’est que se taire devant cette situation serait une trahison majeure."

Enoch Powell fut exclu de son parti, sa carrière politique brisée à jamais !

En 1973, Jean Raspail publie un roman d'anticipation, une fiction, Le Camp des Saints. Un roman qui devient réalité sous nos yeux : des populations faméliques débarquent sur les côtes de la Méditerranée et s'installent chez nous. Un État et son président qui retournent l'armée contre les résistants à l'invasion. Les Identitaires de ce temps-là !

Ce roman devenu reportage sera republié en France en 1978, 1985 et 2011, sans compter de nombreuses éditions à l'étranger. Dans sa dernière édition, Jean Raspail ajoutera une longue et percutante préface titrée Big Other – Le Grand Autre – en référence à son petit jumeau Big Brother.

Tout y est dit sur la lâcheté de nos dirigeants, sur le verrouillage des libertés, sur la détestation de soi, sur la puissance des faibles quand ils sont foule. Et Jean Raspail note : "Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez des amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l'européenne et française incurie et qu'il lui faudra affronterdans son âge d'homme…"

Et puis, en 1972, il y a Jean-Marie Le Pen qui, poussé par quelques militants nationalistes, reprend en main le Front national pour en faire la force de résistance que nous avons connue. Il sera rejoint par une pléiade de jeunes militants. N'en citons que deux : Jean-Pierre Stirbois et Bruno Gollnisch.

Très tôt, Jean-Marie Le Pen met les Français en garde : l'expansion démographique du Tiers-Monde provoquera une immigration massive. Ses conséquences seront dramatiques dans'tous les domaines : l'Education, la Défense, l'Emploi, la Sécurité, nos modes de vie… Pour ce crime de clairvoyance, Jean-Marie Le Pen sera rejeté par la Bande des 4 et tous les médias, traité en paria, attaqué en justice, victime de montages dignes du KGB … Mais jamais il ne quittera le ring politique. Il faudra qu'il en soit chassé… par sa fille ! "Tu quoque mea filia" a-t-il dû penser. Le temps a passé…

Comme dans le roman d'Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, ces visionnaires sont quatre ! Ce petit dernier ne s'appelle pas D'Artagnan mais Éric avec un Z ! Il ne vient pas de Gascogne mais de Drancy, car ses parents étaient passés d'une rive à l'autre de la Méditerranée.

Cette jeune et courageuse recrue, non pas avec une rapière mais avec sa plume, nous met en garde contre les dangers qui grandissent autour de nous. Et ce depuis plus de deux décennies. Que ne l'avons nous écouté plus tôt !

Dans son tout dernier livre, La France n'a pas dit son dernier mot, il décrit des souvenirs, des émissions de télévision, des déjeuners, des rencontres, s'étalant sur une quinzaine d'années. Ceux qui savent lire entre les lignes perçoivent déjà l'ébauche d'un programme de salut public. Mais, c'est aussi une sorte de jeu de massacre chez les "puissants", les "sachants", qui sont mis à nu sans complaisance. Pas brillants ces messieurs-dames ! Mais, par là-même, Éric Zemmour se protège. Il ferme les portes derrière lui à tous ces intrigants qui retourneraient prestement leur veste comme ils en ont l'habitude !

Décidément, ce Éric a un côté mousquetaire affirmé. Et même un esprit à la Cyrano de Bergerac ! Dieu veuille qu'il garde toujours cette impertinence si rare en politique.

Nous le savons, Éric Zemmour raffole des citations. Et son répertoire est foisonnant. Proposons-lui donc une parodie d'une envolée bien connue : "Du panache, encore du panache, toujours du panache, et la France est sauvée !"

00:09 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Romain Guérin invité par Epona aux Entretiens du Parti de la France

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L’explosion boursière arrive à la vitesse grand V !

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Marc Rousset

La BCE est déjà en train de préparer un programme d’urgence d’un QE illimité pour sauver l’Italie, voire la France.

Ce nouveau programme permettra d’aider l’Italie avec un bazooka monétaire car il n’y aura plus de limitation maximale de la création monétaire par pays, selon des quotas maximaux prévus par les règles actuelles, en fonction du PIB, c’est-à-dire du poids de l’économie de chaque pays.

Pour la galerie – parce que tout est censé s’arranger alors qu’en fait, tout se détériore -, on va donc en réalité accroître la création monétaire actuelle, par la BCE, de 20 milliards d’euros par mois et du maximum autorisé de 1.800 milliards d’euros du plan PEPP qui doit s’achever fin mars 2022.

Les médias bien-pensants nous expliquent que la BCE va diminuer la création monétaire ; dans la réalité, la BCE va sans doute l’accélérer sans limite aucune, selon des décisions qui seront prises probablement fin décembre 2021 par Christine Lagarde, avec l’approbation des gouverneurs. La crainte est de voir les taux italiens s’envoler ; il s’agira de pouvoir éviter de nouveau, quoi qu’il en coûte, un crash obligataire et boursier italien. Le risque d’incendie et d’explosion en Europe, voire dans le monde, si l’on observe aussi ce qui se passe aux États-Unis et en Chine, approche sans bruit !

Il suffit d’observer également en Bourse les premiers soubresauts. Les taux italiens sont actuellement de 0,89 %, au plus haut, avec une augmentation de 0,25 % depuis juin 2021. En Espagne, ils ne sont que de 0,49 %.

L’or, qui végète actuellement, va s’envoler un de ces jours, comme le Bitcoin, mais sans redégringoler peu après. Le Président Macron, alors que la dette française approche les 2.800 milliards d’euros, se moque du monde sur l’état réel catastrophique de l’économie française car la faillite est d’ores et déjà inévitable à terme. L’explosion à venir de la zone euro est tout aussi inévitable, tandis que le fondateur d’« En marche vers la catastrophe » nous prêche les vertus de l’Union européenne et de la monnaie unique.

00:09 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |