dimanche, 26 décembre 2021
Le virus Ô Micron se répand plus vite que l’éclair !
Pieter Kerstens
A lire les médias et entendre les « experts », les « spécialistes » ou les scientifiques de toutes espèces, la variante du SRAS-Cov-19 envahit la Planète plus rapidement qu’un tsunami.
Beaucoup plus contagieux que ses prédécesseurs anglais, indien, brésilien ou martien, le Ô Micron sud-africain serait moins mortel et ses malades n’encombreraient donc pas les services hospitaliers de réanimation.
Mais si effectivement la contagion est plus importante, le nombre de malades conduira à un nombre élevé d’arrêts maladie dans toute la population y compris le personnel sanitaire. Ce qui aboutira en réalité à une fermeture de lits dans les établissements publics et privés et en conséquence à un réel chaos et encombrement hospitalier.
Couvre-feu pour l’Epiphanie et confinement à la Saint-Valentin ? Si le Docteur Micron et sa clique d’incapables mettent tout en œuvre pour préserver la campagne électorale du 10 avril 2022 et qu’ils en retirent (jusqu’à maintenant) une image positive, ce scénario de « force tranquille » auprès des électeurs les plus âgés (et les plus fragiles) pourrait basculer dans les prochaines semaines.
Plusieurs jours successifs où l’on comptabilisera plus de 100.000 contagieux amèneront le gouvernement français à imposer des mesures restrictives comme en Allemagne, en Grande- Bretagne, en Belgique ou aux Pays-Bas allant d’un couvre-feu jusqu’au confinement total, tel celui de mars à mai 2020, pour ralentir la propagation du virus comme évoqué par certains épidémiologistes, malgré la vaccination totale de 77% de la population et de 25% ayant reçu une 3e dose de rappel.
Comme nous l’avons tous appris à l’école, « un vaccin - substance d’origine microbienne - est inoculé à une personne ou un animal pour les immuniser contre une maladie ». Or, selon les grands discours auxquels nous assistons depuis des mois, les « vaccins » actuels ne protégeraient pas contre le Covid-19 mais éviteraient uniquement la mortalité. Un « ersatz » inventé pour temporiser une pandémie de trouille et de terreur…
En anticipant les effets futurs, nous pourrions vivre un début d’année 2022 absolument formidable avec un taux d’absentéisme très important qui aura des effets négatifs sur la totalité de l’économie et de l’industrie françaises, avec un fort ralentissement des activités diverses. 2022 année de tous les records ?
Partout en Europe l’inflation a fait son retour, conséquence de la hausse des prix des matières premières depuis plusieurs mois, comme le pétrole, l’augmentation du gaz et de l’électricité, mais aussi du blé, du café, du maïs, du cobalt, du lithium, du nickel, du charbon, du cuivre ou du coton par exemple. A cela se rajoute une pénurie de containers qui ralentit les transports maritimes et engorge les grands ports commerciaux dans le monde.
Seule bonne nouvelle pour les spéculateurs, une hausse de 10.000 milliards de dollars de capitalisation des bourses mondiales, soit 13% annuels, issus d’un torrent de mesures de relance des grandes banques centrales : « l’argent magique ».
La dette publique américaine a franchi début décembre le seuil des 29.000 milliards de dollars (soit 88.000 USD par habitant = 78.570 euros) et en France la dette atteint elle 2.840 milliards d’euros (soit 42.400 euros par habitant). Un lourd héritage pour nos enfants et petits-enfants dont personne ne parle en période électorale, mais qu’il faudra payer un jour.
L’An Nouveau annonce une période « complexe »…
18:22 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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