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mercredi, 08 juin 2022

Axelle Le Gal de Kerangal invitée de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

À quelques jours du premier tour des élections législatives, Roland Hélie et Pierre de Laubier (Philippe Randa étant exceptionnellement absent) reçoivent aujourd’hui Axelle Le Gal de Kerangal, candidate du parti Reconquête ! dans la 18e circonscription de Paris (parties du IXe et du XVIIIe arrondissement) ainsi que son suppléant. Axelle Le Gal de Kerangal incarne cette nouvelle génération de candidats qui s’engagent en politique. C’est l’occasion de parler de la campagne que mène à travers toute la France le jeune parti d’Eric Zemmour et de porter un regard critique sur la situation politique quelques semaines après la réélection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République.

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17:21 Publié dans Législatives 2022, Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vive les profs tous de gauche ! Oui, oui…

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Philippe Randa

La mésaventure de cette jeune stagiaire de Valeurs actuelles recalée lors d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de ses supposées vilaines idées de droite dite extrême, me pousse cette semaine à une confession : j’avoue avoir obtenu mon baccalauréat grâce à mes idées politiques et aux professeurs tous de gauche. Étonnant ? Incroyable ? Miraculeux ? Chanceux ? Je vous laisse juge…

Nous sommes en 1978, j’ai passé les épreuves du baccalauréat et suis parvenu à brillamment me qualifier pour le « rattrapage ». Je dois donc repasser à l’oral l’épreuve de philosophie où j’ai obtenu à l’écrit 4/20, soit quand même le double de mes scores habituels. Sincèrement, je pensais la partie perdue, d’autant qu’il me fallait venir avec mon bulletin maculé des très élogieux commentaires qu’on devine de mes professeurs.

Arrive donc le jour fatidique… Je tombe sur la présentation d’un texte de Friedrich Nietzsche (il n’y a pas de hasard) et commence à commenter par-delà le Bien et le Mal, comme le disait fort justement Zarathoustra, n’est-ce pas, et que… mais je suis quasi-immédiatement stoppé dans mes surhumaines envolées explicatives par l’examinateur : il vient de lire les appréciations portées par mes professeurs sur mon cas.

— Dites-moi, jeune homme, je lis en philosophie ce commentaire vous concernant : « Pourrais réussir s’il se débarrassait d’idées pour le moins inacceptables » et en histoire (le même en terme similaire)… Pourriez-vous m’expliquer ?

— Euh…

— Mais si, dîtes-moi… Vous avez mis une chemise noire, vous êtes mussolinien ?

Je me retiens à temps de lui dire que j’ignore absolument qui est ce monsieur Mussolini et quelle idée aussi d’avoir mis une chemise noire ce jour-là, c’est vrai ! Quel c… !

Acculé, sentant déjà le boulet de la mise à mort, je me persuade que tous les professeurs (et donc les examinateurs) sont de gauche et je tente le tout pour le tout, tel un Stavisky, un Madoff ou un Cahuzac en herbe (qui, eux, n’auraient quand même peut-être pas osés mentir à ce point) :

— C’est que, voilà ! mes parents m’ont mis dans un collège de curés et je n’aime pas les curés… Ils me le rendent bien !

L’examinateur a hoché la tête et m’a dit : « Ah !… Bon… (quelques lourdes secondes passent)  Au revoir, Monsieur ! »

Et au final, bingo ! Ma note est passée de 4 à l’écrit à 11 à l’oral !

Cet examinateur était-il vraiment de gauche et haïssait-il les curés ? Avait-il crû ou non mon « lapsus vestimentaire » (Révélateur ? Mais non ! Mais non ! M’enfin !) ? Le plus cocasse était que mes curés-professeurs étaient, eux, plutôt de gauche (plus que moi en tout cas, ce qui n’est pas bien difficile !).

Et j’ai donc eu mon Bac… qui ne m’a jamais servi à rien dans la vie, sinon à faire le bonheur de ma maman… et ça tombe bien, j’écris ces lignes justement un dimanche de fêtes des mamans.

Et puis, Benito Mussolini, avant de faire Duce, n’avait-il pas été instituteur ? Alors ? Hein ?

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17:18 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi soir à Tréguier (22) : une réunion de soutien à la candidature de Bernard Germain, candidat de Reconquête, présidée par Roland Hélie

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À la tribune, Margaret Studler, Philippe Milliau et Roland Hélie.

Au micro, Bernard Germain, candidat de Reconquête !.

75 personnes étaient présentes mardi soir à Minihy-Tréguier pour assister à la réunion locale de soutien à la candidature de Bernard Germain (auteur du livre que nous avons récemment publié "Méthanisation, la nouvelle escroquerie écologiste" cliquez ici), candidat de Reconquête ! dans la 5e circonscription des Côtes d'Armor. 

Cette réunion, présidée par Roland Hélie directeur de la revue Synthèse nationale, se déroula dans une ambiance sympathique. Se succédèrent les intervenants suivants : tout d'abord Margaret Studler, candidate suppléante, qui nous parla avec la  conviction qui la caractérise de la nécessaire politique de défense des femmes françaises face aux multiples agressions dont elles sont les victimes. Ce fut ensuite Bernard Germain, le candidat, qui développa les principaux points de son programme, en particulier sur  l'écologie qui lui tient à coeur. Il dénonça aussi avec vigueur les différentes politiques menées jusqu'à présent par les gouvernements successifs, qu'ils soient socialistes ou libéraux, qui ont transformé la France en un véritable désert médical entre autres.

Philippe Milliau, l'homme fort de Reconquête ! en Bretagne, invité d'honneur de cette réunion, fit, comme toujours, une intervention de grande qualité qui reçue un accueil enthousiaste de l'assistance. Il dénonça les uns après les autres les fléaux qui ravagent notre pays et présenta les réponses du jeune parti d'Eric Zemmour à chacun d'entre eux.

Après avoir entonné l'Hymne à Saint Yves, saint patron du Trégor né à Minihy-Tréguier, puis la Marseillaise, les participants purent continuer à discuter avec les candidats au cours du pot de l'amitié offert par Reconquête ! pour conclure cette belle réunion..

S.N.

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16:58 Publié dans Bernard Germain, Législatives 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le livre "Jean Picollec l'atypique" : la presse bretonne en parle...

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Lu dans Le Télégramme de Brest cliquez ici

De la première à la dernière ligne, on est à rebours de ce qu’il est convenu d’appeler le « politiquement correct », Pico - pour ses proches - ayant toujours été « cash » - et n’ayant jamais dérogé à cette règle. Il a édité tous les « mal pensants » comme disait Bernanos, tous les journalistes ou essayistes ostracisés par la plupart des « grands éditeurs ». C’est aussi un bel exemple de la fameuse « méritocratie », morte, hélas, depuis deux ou trois décennies. Son père modeste marin, sur son bateau de six-huit places, assurait la navette du « passage Lanriec » connu des vieux Concarnois.

Brillant élève, Pico rêve de prolonger la tradition maritime familiale, « par le haut », et vise l’École navale. Or en terminale, son lycée le présente au Concours générale d’histoire, et il en sort premier ! On lui offre une bourse et une chambre à la cité universitaire d’Antony, à condition qu’il s’oriente vers des études d’histoire… Il fait ce choix pour des raisons, évidemment, financières. C’est à Antony qu’il va prendre ses premières marques en politique. Elles ne seront jamais de « gauche »… Mais, comme le confie son ami Jean-Clément Texier, il manifestera « un exceptionnel esprit d’ouverture, sans la moindre exclusive idéologique. »

Une synthèse d’une étonnante palette d’écrivains

Il commence, en 1966, sa carrière à la direction du Larousse ; cofonde, en 1972, avec Alain Moreau, les éditions éponymes ; enfin, il crée sa propre maison en décembre 1978, tout en étant conjointement directeur de La Table Ronde. Durant son long parcours d’éditeur, si Pico publie de nombreux romanciers, il va surtout affirmer son anti- conformisme à travers des auteurs qui feront du bruit, sinon scandale, dans le pot de chambre parisien.

De Jean Montaldo à Pierre Péan, d’Ollier Mordrel à Roland Dumas, de Jacques Vergès à Roland Jacquard… Sans parler de « Une enquête de police sur le Canard Enchaîné ». C’était une première qui valut à Pico d’être blacklisté par l’hebdomadaire satirique.

Une des qualités de l’ouvrage, « Jean Picollec l’atypique ! » richement illustré et documenté, est justement d’offrir une synthèse de cette étonnante palette d’écrivains, de comparses, d’amis qui l’accompagnent depuis des lustres.

Reste une énigme. Comment a-t-il pu travailler de façon si efficace, si rigoureuse dans le gigantesque « bordel » qui lui tenait lieu de bureau ? Il y naviguait très à son aise, au fond comme Charles Péguy dans sa célèbre « boutique » que Bernard Grasset qualifiait de foutoir.

couv j picollec site.jpgJean Picollec l'atypique

Philippe Randa

Nombreuses contributions

Préface de Roland Hélie

270 pages

29,00 €

Pour commander ce livre cliquez ici

11:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ukraine : les conséquences d’un conflit qui échappe aux Européens

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Le billet de Patrick Parment

Si gouverner c’est prévoir, alors on est mal parti. Qu’il s’agisse des différents gouvernements européens jusqu’aux instances irresponsables de Bruxelles, on se demande à quoi sert tout ce personnel politique qui entend gérer notre avenir au mépris du plus élémentaire bon sens. Il n’était pourtant pas difficile d’évaluer les dégâts que ne manquerait pas de causer la guerre en Ukraine quand on sait que la seule Russie dispose de toutes les ressources sont l’Europe, démunie, a besoin. Et ce d’autant que nos économies sont imbriquées les unes dans les autres au regard des entreprises françaises – et pas des moindres – qui officient en Russie. Tout cela révèle la grande faiblesse d’une Europe qui, au fond, n’existe pas ou qui est, plutôt, à la traine des Américains dont, en effet, on dépend aussi dans de nombreux secteurs économiques. Et ce pour une raison première : la monnaie universelle est le dollar. L’Europe ne s’est au fond jamais remise du plan Marshall qui fut la première marche de notre vassalisation. Et l’autre imbécile de Jean Monnet que l’on encense était déjà à la botte des Ricains. Sic transit gloria mundi.

Et pourtant, ce conflit ukrainien était l’occasion rêvé pour les Européens de faire preuve d’indépendance mais surtout de préserver leurs intérêts. Il était loisible de forcer cette marionnette aux mains des Américains qu’est Volodymyr Zelensky à négocier avec Vladimir Poutine et faire de l’Ukraine un espace aussi neutre que la Finlande. Et ce d’autant que l’Ukraine avait, elle aussi, tout à y gagner, en raison d’une économie plutôt florissante. Et qu’elle n'avait aucune raison majeure de vouloir s’arrimer à une Union européenne qui est un désastre pour les Européens. Mais voilà, pour se faire, il fallait aussi remettre à la raison la haine qui anime les Polonais et les Baltes à l’égard d’une Russie hier encore soviétique. D’autant qu’on ne voit mal l’intérêt de Poutine de les envahir. Il a trop à gagner d’une négociation avec les Européens.

Mais ne soyons pas dupes. C’est bel et bien dans l’arrière -cour que se joue la partie. Sur fond de conflit entre puissances maritimes et puissances continentales. Les puissances anglo-saxonnes (Amérique, Angleterre, Canada, Australie) ont toujours lutté contre l’émergence d’une puissance continentale susceptible de contrarier leur hégémonie sur le commerce mondial. Et l’ennemi tout désigné, c’est bel et bien le conglomérat continental que forment la Russie et la Chine contre lesquelles l’Amérique est entrée en guerre. Raison pour laquelle il était d’une impérieuse nécessité de vassaliser l’Europe. C’est aussi l’une des raisons pour laquelle l’Allemagne d’Hitler est tombée. L’Europe n’existera que si un jour, les peuples européens finissent par se mettre d’accord entre eux. Utopique ? Voire.

En attendant les Européens doivent s’attendre à payer la facture de cette guerre que les Américains mènent contre la Russie via l’Ukraine interposée.

Après les fortes hausses de prix amorcées avec la reprise post-Covid, l’invasion russe provoque, en effet, un véritable séisme. Gaz, pétrole, métaux et céréales, les prix s’envolent. Et ça pourrait durer. Armelle Bohineust pour Le Figaro nous dresse un état des lieux. Pas vraiment réjouissant.

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09:47 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir : Roland Hélie invité au Forum du Parti de la France

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Dans le prochain Forum du PdF, Alexandre Hinger reçoit Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France, Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, Bernard Germain, candidat Reconquête dans la 5e circonscription des Côtes-d'Armor.

L'émission sera consacrée aux élections législatives dont le 1er tour aura lieu dimanche 12 juin.

C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

08:54 Publié dans Législatives 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 21 juin au Centre Charlier à Paris : un hommage à Béchir Gemayel

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08:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |