mercredi, 26 octobre 2022
Si les Français étaient moins anesthésiés...
Bernard Plouvier
... d’abord, ils n’auraient pas réélu Emmanuel Macron, après un quinquennat nullissime, une gestion catastrophique de la corona-crise, des scandales répétés du côté de hauts-fonctionnaires, de ministres ou autres élus du peuple – et l’on espère qu’un jour, Macron et ses comiques troupiers répondront de leur bêtise et de leur crimes économiques et sociaux devant une Haute-Cour !
Si les Français étaient plus lucides et au vu de l’énormité des problèmes actuels de la France, ils descendraient massivement dans les rues et sur les places publiques pour exiger :
• le départ des guignols qui font semblant de nous gouverner alors qu’ils ne font qu’appliquer des ordres issus des grands maîtres de l’économie occidentale ;
• un référendum immédiat sur l’immigration d’origine extra-européenne, soit la consultation du seul souverain de l’État – le collège des électeurs – sur un problème de sécurité nationale, de conditions de vie présentes et d’avenir de la Nation ;
• une réforme profonde du secteur judiciaire, avec interdiction faite aux magistrats d’être membres d’un parti politique – ou d’un syndicat politisé – et d’une secte maçonnique ; on rappelle qu’un procureur ou un juge n’ont pas à œuvrer pour leur plan de carrière ou la protection de leur tribu ou de leurs amis : ils ont pour mission de juger en équité... sinon, qu’ils aillent planter des choux (ce qui est utile) ou qu’ils fassent à visage découvert de la politicaille (ce qui est parfaitement inutile pour la Nation, mais fort enrichissant pour les parasites sociaux que sont les politiciens professionnels). On ne doit plus voir le scandale de procès dont l’instruction dure des années ou celui de dénis de justice – des peines dérisoires pour les violeurs d’origine extra-européenne et des peines de prison ferme pour des opposants politiques patriotes n’ayant commis aucun crime ;
• l’application exacte des lois sur l’exclusion des immigrants clandestins et la mise en pratique de la proportionnalité entre peine judiciaire et crimes ou délits commis, ce qui nécessite la réintroduction de la peine de mort : qui a pris volontairement une vie doit payer son crime de la sienne ; c’est l’unique prophylaxie des récidives meurtrières... et on se moque des bêlements d’avocaillons et autres irresponsables ;
• l’arrêt de la participation à des conflits qui ne regardent en RIEN la Nation française (en Afrique, en terres d’islam ou aux confins de l’Ukraine et de la Russie) et la récupération immédiate des armes de haut niveau données ou prêtées à un ou des États étrangers, ce qui diminue considérablement la (déjà très faible) puissance de nos forces armées ; d’une manière générale et sauf attaque-surprise du territoire national, toute intervention guerrière ne doit être débutée qu’après recours au peuple souverain... et non par simple avis demandé à un parlement de godillots ineptes et trop souvent de comportement canaille ou crapuleux.
Mais, tout cela exigerait que les Français soient moins formatés et plus courageux... car, si comme cela est plus que probable notre Génial Grand Timonier s’accrochait à sa place (« même qu’elle est bonne », disait Coluche), il faudrait passer à la phase insurrectionnelle !
Et là, il faudrait des hommes de 1792 ou de 1914, pas les pleurnichards mous et gras actuels.
00:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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