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mardi, 11 avril 2023

Les immigrationnistes en appellent à la répression

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Bernard Germain

Ces derniers jours, les prises de position se multiplient dénonçant l’opposition constatée dans plusieurs communes de France contre l’installation forcée de migrants, notamment au travers de projets de CADA. 

Le journal « Le Monde », a publié le 7 avril 2023 un article intitulé : « Face aux réactions hostiles à des projets d’accueil de migrants, élus et associations demandent plus de soutien de l’État ».

Du côté des politiques, un certain Damien Carême (Europe Écologie Les Verts), député européen et coprésident de l’Association nationale des villes et territoires accueillants, pleurniche reprochant aussi à L’État de ne pas soutenir les élus complices de cette politique de répartition des migrants sur tout le territoire, qui s’impose sans demander l’avis de la population avant de passer en force ces projets. Il déclare : « Il faut une parole pour ces élus locaux qui s’engagent au nom des besoins de l’État ».

Au motif que la plupart des projets contestés relèvent de marchés publics, dans le cadre du parc d’hébergement des demandeurs d’asile, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, qui regroupe plus de 870 associations de lutte contre l’exclusion, parmi lesquelles des opérateurs de CADA, s’élève contre les manifestations de refus de la population concernée par ces projets.

En clair, ce brave homme déclare benoîtement que puisque c’est légal, il n’y a pas à prendre en compte l’avis de la population et surtout ne pas accepter les actes d’opposition.

Et de déclarer : « L’État doit prendre la pleine mesure de la multiplication des actes d’intimidation ».

On notera à ce sujet que les « actes d’intimidation », invariablement invoqués, ne semblent pas si évidents que cela. Curieusement, à ma connaissance, aucune plainte déposée pour ces motifs n’a été suivie de poursuites judiciaires à ce jour. On en viendrait à se demander si ces plaintes ne sont tout simplement pas bidons et ont pour fonction de cacher le vrai problème : ces élus complices n’assument pas leur trahison de la population et tentent de se faire passer pour des victimes de la prétendue « extrême-droite » qui n’existe pas, mais qu’il est bien pratique d’invoquer pour cacher le refus massif de la population de cette politique que ces élus soutiennent.

Toujours est-il que comme dirait l’autre, selon ces bons élus, dans ces conditions un peu de « violence policière » ne ferait pas de mal.

Quand c’est l’extrême-gauche et les antifas qui sont visés, c’est insupportable, car leur violence est légitime puisqu’elle est pour une « bonne cause ». Mais lorsque ce sont de simples citoyens qui protestent et s’opposent à des projets immigrationnistes, là ce serait une bonne idée de les réprimer un peu. Et même beaucoup, histoire de faire revenir le silence dans les rangs.

Pour sa part, Chloé Freoa, la directrice de la fondation Merci, qui pilotait le projet Horizon de Callac, analyse : « On était novice mais on sait aujourd’hui qu’il y a des enjeux de communication énormes autour de ces projets ». A sa manière, cette dame confirme ce que nous écrivons.

Il n’y a pas eu de communication autour du projet Horizon, notamment vis à vis de la population, ce qui a provoqué sa colère et le rejet du projet Horizon qui a été abandonné en janvier 2023.

Ces braves gens pensaient qu’il suffisait de communiquer avec le conseil municipal et que les crétins d’habitants ne diraient rien.

Mauvaise pioche…

Cette dame oublie aussi une chose essentielle. Ce n’est pas simplement une affaire de « com ».

Ce que les français ne comprennent pas et surtout n’acceptent pas dans cette stratégie d’implantation de migrants, c’est qu’autant d’argent soit dépensé pour des gens venant de l’autre bout de la terre mais … qu’il n’y ait pas un euro pour les français qui souffrent ou qui sont dans le besoin.

Oui, c’est aussi simple que cela.

Donc, quand on essaye de culpabiliser les français en leur disant qu’ils ne sont pas assez solidaires, ils répondent à juste titre : « Commençons par être solidaires avec nos compatriotes qui en ont besoin. Quand il n’y aura plus de misère en France, il sera toujours temps de s’occuper de celle des autres ».

Tous les bien-pensants et autres immigrationnistes peuvent faire tous les plans com qu’ils veulent, même les mieux léchés, ils ne répondront jamais à cette remarque de bon sens de la population. Donc ils n’auront jamais l’assentiment de la population.

Au ministère de l’Intérieur, ils semblent avoir bien compris ce problème et ne veulent surtout pas que ces questions ne deviennent l’objet d’un débat national.

A juste titre, ils pensent que cela contribuerait à « mettre le feu » au pays, dans une période où ils n’ont surtout pas besoin de cela.

D’ailleurs, l’un des responsable de ce ministère a déclaré : « On n’a pas intérêt à en faire un sujet national ». Il y a au moins quelques personnes encore lucides…

Quant à nous, nous pensons exactement le contraire.

Il faut en faire un sujet national, car il faut que toute la population -notamment celle des campagnes- sache de quoi elle est menacée et comment réagir si un CADA doit s’installer chez elle.

C’est pour cela que nous avons créé la « Coordination Partout Callac » afin d’aider tous ceux qui sont confrontés à ces problèmes et leur faire profiter de notre expérience. Connectez-vous sur notre site cliquez ici. Faites-le connaître autour de vous !

Et si vous avez un problème de CADA chez vous, ou que vous connaissez des gens confrontés à ces questions, indiquez-leur notre existence afin qu’ils prennent contact avec nous. Nous les aiderons à mener le combat. 

Il ne faut surtout pas rester isolés, chacun dans son village. La résistance doit s’organiser partout à travers le pays. Les immigrationnistes n’ont pas encore gagné.

02:16 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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