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lundi, 19 juin 2023

Samedi 24 juin, en Sologne : fête de la Violette organisée par Reconquête !

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10:54 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Politicaillerie

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Le billet de Patrick Parment

Voici une bonne quinzaine de jours qu’on nous casse les pieds avec un soi-disant possible, éventuel… remaniement ministériel et le départ d’Elisabeth Borne. Bien évidemment, tout ce cirque médiatique nous fait franchement rigoler, car on ne voit vraiment pas en quoi le remplacement de la mère Borne changerait quelque chose au bordel ambiant. La France est placée aujourd’hui - elle n’est pas la seule – devant un no man’s land politique rarement atteint, une absence totale de perspective, même à moyen terme. Nous sommes face à un vide politique sidéral. Je regarde à gauche et cherche en vain un programme quelconque de défense du travailleur ? Rien. Je ne trouve rien si ce n’est les chamailleries de boutiquiers entre un mâle qui se veut dominant, Mélenchon, et ses concurrents les Roussel, Faure, Cazeneuve, Ruffin, j’en passe et des meilleurs, quand ce n’est pas de la pure concurrence interne, avec la pétroleuse Clémentine Autain. Donc, de ce côté-ci de la barrière, pas de souci réel à se faire pour un pouvoir qui n’en peut mais.

A droite – quelle droite ? – on a trois tendances tout aussi mollassonnes les unes que les autres. Passons rapidement sur toutes les nuances de gris que représente le Centre pour se diriger vers les Républicains qui se disent de droite. Paraît qu’il y a en son sein, les tenants d’un gaullisme social qui se voudrait de gauche et ceux qui se réclament d’un gaullisme de droite, version plus Pasqua que le désormais collabo Nicolas Sarkozy. Cette tendance véhiculée par Eric Ciotti et Olivier Marlex, et qui joue au poker, a balancé dans le Landerneau son projet de loi sur l’immigration un tantinet plus musclé que ce que l’on entend d’habitude. Sauf qu’une fois de plus, les factieux de gauche vont annuler ceux de droite.  C’est sur ces divisions que compte le gouvernement pour sauver les meubles et continuer de gouverner à vue.

A droite de la droite, on trouve évidemment le Rassemblement national qui est au Front national  ce que le MacDo est à la grande gastronomie. Un ersatz ! Mais qui jouit d’un petit monopole avec son rejet de l’immigration. Jusqu’à quel point ? Nonobstant, le RN a le vent en poupe parce qu’il fait figure d’unique parti réellement d’opposition. Que les Français en ont ras-le-bol de leur classe politique dans son entier qui ne cesse de les baratiner sur tout, les finances, le covid, l’immigration et qui ne font que constater que l’école, la justice et la police se barrent en sucette. Que la rue, à n’importe quelle heure de la journée, est un coupe gorge. Que la notion même de république et de laïcité est foulée au pied. Que la France n’est plus une et indivisible mais fractionnée en communautés. Et comme si cela ne suffisait pas, Bruxelles et sa soi-disant Union européenne en remet une louche dans la perte de notre souveraineté. Alors, côté moral, les Français l’ont plutôt dans les godasses. Et comme le rassemblement national est l’unique option jamais tentée… Voyez ce que je veux dire.

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Manif du samedi 24 juin pour la Liberté : un entretien avec Thomas Joly sur Riposte laïque

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Notre ami Thomas Joly, président du Parti de la France, organise une manifestation samedi prochain, sous les fenêtre de Darmanin, dont il exige la démission…
 
Riposte Laïque : Vous avez été reconduit à la tête du Parti de la France, lors du dernier congrès de votre parti. Quelles seront les principales actions menées par votre parti, dans l’année qui vient ?
 
Thomas Joly : Le Parti de la France a l’intention de poursuivre son action politique tant sur le terrain que sur internet mais aussi lors des différentes élections si nous en avons la possibilité. Nous ne sommes pas un parti éphémère, nous existons depuis 2009. Même si nous sommes boycottés par les médias depuis notre création, un certain nombre de Français lucides et politisés connaissent notre existence et notre ligne de droite nationale non-reniée. Nous agirons en fonction des événements et n’hésiterons pas à pratiquer le compromis politique dans l’intérêt de la France et des Français ; comme nous avons pu le faire lors de l’élection présidentielle de 2022 en soutenant activement la candidature d’Éric Zemmour au 1er tour et en appelant à faire battre Emmanuel Macron au 2e tour. La situation est trop grave pour jouer aux perfectionnistes qui recherchent le point de détail qui les séparent de tel ou tel candidat ou formation pour justifier leur marginalité.
 
Riposte Laïque : Comment expliquez-vous les réticences à votre égard de la part d’importantes composantes du camp patriotique ? Avez-vous l’intention de lisser votre image, voire de vous dédiaboliser ?
 
Thomas Joly : Les pudeurs de chaisières, ce n’est pas notre tasse de thé. Nous nous présentons comme le Front National canal historique mais également comme la droite radicale et décomplexée. Nous nous foutons complètement de déplaire aux journalistes de gauche qui, quoi que l’on fasse ou dise, nous traiterons toujours de nazis. La dédiabolisation est une ineptie politique. D’une part, nos idées ne sont pas diaboliques, d’autre part, ce n’est pas à l’ennemi de dicter les règles de bienséance du débat public. Quant aux réticences d’un parti comme Reconquête à notre égard – ne parlons même pas du RN – elle est tout à fait déplorable mais émane surtout de cadres mous du genou qui viennent du RN, de DLF ou encore de LR et qui s’imaginent qu’ils sont aux portes du pouvoir. Je leur rappellerai que lorsqu’on n’a que « l’union des droites » à la bouche, on ne commence pas à faire la fine bouche avec ses partenaires naturels ; en particulier quand on fait 3 % aux législatives, soit un score à peu près similaire à celui que faisait le Parti de la France il y a quelques années avec des moyens et une médiatisation bien moindre.
 
Riposte Laïque : Qu’avez-vous pensé des récentes injonctions de Darmanin à ses préfets, les sommant d’interdire toute initiative d’extrême droite ou d’ultra-droite ?
 
Thomas Joly : De la répression politique, nous sommes entrés dans une phase d’oppression politique. Suite à la manifestation très réussie du C9M en hommage à Sébastien Deyzieu, Gérald « Moussa » Darmanin a littéralement baissé son froc devant les parlementaires d’extrême-gauche en intimant, au mépris des libertés publiques, à ses serviles larbins appelés préfets l’ordre d’interdire de manière arbitraire toutes les manifestations et réunions considérées comme d’« extrême-droite ». Ce qu’ils se sont empressés de faire, au mépris du droit et de la liberté de manifester garantie par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen que les mêmes chérissent tant habituellement.
 
Riposte Laïque : Est-ce pour cela que vous organisez, le samedi 24 juin, un rassemblement devant la place Beauvau, demandant, entre autres, la démission de Darmanin ?
 
Thomas Joly : Tout à fait. Il n’est pas question de se laisser faire par ce nabot arrogant et ses sbires dans les préfectures. C’est pourquoi le Parti de la France invite, sans exclusive, tous ceux qui sont attachés à la liberté d’expression et de manifester librement sur le territoire français à venir samedi 14 juin à 14h, sous les fenêtres de Darmanin, Place Beauvau à Paris, réclamer sa démission et l’arrêt de l’oppression politique mise en place par notre gouvernement à l’encontre des Français qui ne souhaitent pas voir leur pays transformé en coupe-gorge afro-islamique.
 
Riposte Laïque : Et vous pensez avoir une chance de passer au travers les gouttes ?
 
Thomas Joly : Le Parti de la France est un parti politique qui respecte les règles de la République et se présente régulièrement aux élections. Pour quelle raison n’aurions-nous pas le droit de manifester notre mécontentement à Paris, place Beauvau, ce 24 juin ? Aucune manifestation ou réunion du Parti de la France depuis près de 15 ans n’a entraîné de troubles à l’ordre public, de violences ou de dégradations. Nous ne sommes pas des voyous d’extrême-gauche qui eux, curieusement, bénéficient d’une quasi-impunité politico-judiciaire. Enfin, qui ne tente rien n’a rien. Geindre sur les réseaux sociaux ne fera pas avancer la cause nationale.
 
Riposte Laïque : Comment nos lecteurs pourront-ils savoir si ce rassemblement aura vraiment lieu, et qui y interviendra ?
 
Thomas Joly : Nous communiquerons bien sûr dans l’éventualité d’une interdiction. Pour ce qui est des intervenants, nous les annonçons chaque jour. Pour l’instant, Roland Hélie (Synthèse nationale) et moi-même sommes annoncés mais d’autres bien sûr seront dévoilés dans les jours qui viennent.
 
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Thomas ?
 
Thomas Joly : Ne restez pas spectateurs de l’invasion, de la décadence et de l’oppression. Montrez-vous dignes de vos aïeuls qui ont su prendre leurs responsabilités au cours de l’Histoire lorsqu’il a fallu sauver la France ! Courage, on les aura !
 
Propos recueillis par Pierre Cassen cliquez ici

09:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les flux d’immigration selon l’Insee comparés à ceux du ministère de l’Intérieur.

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André Posokhow

L’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes économiques) a fait paraitre le 30 mars 2023 une étude sur les « immigrés et les descendants d’immigrés ». Il a consacré un des six chapitres thématiques de sa parution aux « flux d’immigration et trajectoires migratoires ». ( N°2 ). La première fiche (n°2-1), particulièrement importante, est dédiée aux « flux migratoires en France et dans les pays européens » (p. 96).

D’entrée, l’institut annonce que 385 000 personnes sont entrées en France en 2019. Notons que le titre se réfère aux flux migratoires et le texte, tout simplement, aux entrées en France ce qui pourrait introduire une confusion. C’est pourquoi il distingue les personnes nées en France qui reviennent de l’étranger  : 90 000, et les 23 000 qui sont nées françaises à l’étranger.

Par conséquent, seules 272 000 personnes peuvent être considérées comme immigrées. Parmi elles 112 000 viennent d’Afrique, 41 000 d’Asie et 30 000 d’Amérique ou d’Océanie. Un chiffre important est celui des arrivées d’Europe : 90 000 qui, visiblement regroupe les étrangers en provenance de l’UE et les non UE. Or ce ne sont pas les mêmes statuts car les UE ont des droits et les procédures ne sont pas les mêmes ; d’autant plus que depuis le Brexit, se pose la question délicate des Britanniques.

Le niveau de ces chiffres de flux migratoires apparaît étonnant car inférieur aux réalités si l’on tient compte de toutes les différentes rivières humaines qui forment le tsunami migratoire actuel.

Contrairement à l’Insee qui se réfère principalement aux données du recensement du nombre des immigrés en France qu’il effectue, le ministère de l’Intérieur produit les statistiques annuelles des titres de séjour qu’il délivre. Il communique également les chiffres des demandes d’asile et des protections accordées, les données des documents provisoires de séjour (DPS), un tableau des interpellations des étrangers en situation irrégulière (ESI), les chiffres, faibles, des éloignements, etc…C’est à ces informations chiffrées que nous allions nous référer.

Le premier de ces flots et le plus important est celui de l’immigration régulière qui prend la forme des 277 000 titres de séjour accordés aux ressortissants des pays tiers en 2019. Ce nombre se détaille ainsi :

  • l’immigration de travail dont les effectifs sont réduits ;
  • l’immigration familiale : environ 90 000 personnes, la plus importante ;
  • le flux estudiantin qui arrive presque à égalité avec immigration familiale et dont la nature présente une différence considérable puisque les étudiants sont appelés, en principe, à rentrer chez eux à la fin de leurs études ; ce que beaucoup d’entre eux ne font d’ailleurs pas.
  • l’immigration humanitaire et les arrivées pour motifs divers.

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09:03 Publié dans André Posokhow | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |