vendredi, 10 novembre 2023
Concert de Jean-Pax Méfret à Lyon Dimanche 14 janvier 2024
Concert exceptionnel de Jean-Pax Méfret à Lyon !
Dimanche 14 janvier 2024 de 16h00 à 20h00.
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Les Arméniens abandonnés avec Benjamin Blanchard à Lyon le 17 novembre 2023
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Espagne : le socialiste révolutionnaire Pedro Sanchez va être nommé Premier ministre
Michel Festivi
« L’Espagne a perdu, et les séparatistes gagnent grâce à leur chantage », vient de déclarer le chef du Parti populaire Alberto Nuñez Feijoo, et Santiago Abascal, le leader de Vox s’est écrié : « le début de la fin de la démocratie en Espagne ».
Depuis qu’il a été désigné par le Roi Felipe VI, pour aller à l’investiture, Pedro Sanchez a obtenu sans mal l’accord de l’extrême-gauche chaviste Sumar représentée par Yolanda Diaz. Il a ensuite passé des accords avec les séparatistes catalans de gauche, L’ERC. Avec les Basques aucune difficulté non plus, les anciens de l’ETA, Bildu ont donné leur assentiment comme le Parti Nationaliste Basque en totale perdition d’ailleurs. Restait le parti indépendantiste Catalan, Junts (Ensemble), dont les 7 députés sont indispensables pour que Sanchez obtienne cette fameuse majorité absolue de 176 sièges.
C’est fait, cela vient d’être signé ce jeudi. Après des tractations intenses depuis Bruxelles, car le chef, Carles Puigdemont y est exilé avec ses lieutenants pour échapper à la justice espagnole, un accord a été trouvé. La loi d’amnistie qu’exigeait Junts pour soutenir Sanchez a été acceptée par ce dernier. Elle va concerner des milliers de personnes qui avaient attenté à la Constitution espagnole en organisant en 2017, en Catalogne, un référendum totalement illégal.
L’accord prévoit aussi un futur référendum sur l’indépendance de la Catalogne, puisqu’il précise que des négociations portant sur : « la reconnaissance de la Catalogne comme Nation », vont se dérouler. Quand on connait les coups de boutoirs permanent que sait donner Junts en n’ayant de cesse de demander toujours plus, et la faiblesse de Sanchez prêt à toutes les compromissions pour conserver pendant 4 ans encore le pouvoir, on peut penser sans être prophète, que Puigdemont saura rappeler à Sanchez que sans ses 7 députés, il n’a pas la majorité.
Mais aussi, Sanchez a promis d’effacer les dettes de la Catalogne à l’égard de l’Etat central, ce qui représente des sommes considérables, et de donner à cette région des infrastructures comme celles des chemins de fer par exemple.
Le pays est en proie actuellement à des troubles importants. Des manifestations quasi quotidiennes ont lieu dans tout le pays pour s’opposer à ce démantèlement de l’Espagne. Des violences commencent à apparaître, l’Espagne est en voie d’éclatement. Des régions demandent aussi les mêmes faveurs que celles concédées à la Catalogne, et d’autres régions sans aucun doute vont vouloir aussi leur indépendance. Des manifestants, souvent très jeunes scandent des propos hostiles contre Sanchez, mais aussi parfois contre le Roi qui n’a pas su défendre la Constitution.
Plusieurs associations judiciaires, comme celles des Procureurs, sont montées au créneau pour pourfendre cet accord qui va bafouer les décisions de justice rendues, et qui heurtent de plein fouet la séparation des pouvoirs, déjà très ténue en Espagne où les tribunaux, notamment supérieurs sont quasiment aux mains du pouvoir politique.
C’est ce qu’a voulu dire Santiago Abascal par sa déclaration. En tout cas l’encre de l’accord n était pas encore sec que Puigdemont a déjà averti que la stabilité du prochain gouvernement dépendrait de l’avancée des négociations sur le référendum « Sans accords, sans respect de l’accord, la législature n’aura pas d’avenir » a-t-il lancé depuis Bruxelles.
Une fois la loi d’amnistie votée, Puigdemont et sa clique devrait revenir à Barcelone. Le PP et Vox appellent de nouveau à des manifestations dans tout le pays. L’Epagne de plus va mal, elle a le taux de chômage l’un des plus fort de la zone euro, même s’il a baissé grâce à la possibilité de faire des emplois très précaires, notamment dans l’agriculture et le tourisme. L’immigration est en hausse vertigineuse.
Sanchez, qui depuis juillet dernier préside théoriquement l’Europe, n’a strictement rien fait, les institutions européennes sont d’ailleurs totalement taisantes sur les atteintes à la démocratie qui se passent en ce moment en Espagne. De plus coincé par son extrême-gauche Mélenchoniste ou Chaviste, Sanchez a refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Son seul but, son seul objectif c’est de se maintenir au pouvoir par tous les moyens, et tant pis pour l’Espagne et les Espagnols.
10:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les grandes manœuvres outre-Rhin
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Les prochaines élections législatives allemandes se dérouleront à l’automne 2025. Toutefois, depuis la retraite de leur nourrice en chef, la mère Merkel, les Allemands assistent à des bouleversements considérables.
Le chancelier social-démocrate Olaf Scholz a le privilège inédit de diriger une alliance tripartite, la « Coalition tricolore » (rouge pour la sociale-démocratie, vert pour les Grünen et jaune pour les libéraux). Dès le départ, cette entente se montre fragile du fait des profondes divergences entre les Verts et les libéraux. Les premiers, dépensiers, s’opposent aux seconds, tenants de l’austérité, du désendettement et de la « règle d’or » budgétaire. Les tensions internes s’avivent en raison d’une crise socio-économique croissante.
Le recours à la dissolution du Bundestag est rare outre-Rhin. Son dernier usage en 2005 vit la défaite de Gerhard Schröder et la victoire de Merkel. En outre, les politiciens allemands n’y sont guère favorables. La guerre en Ukraine, les sanctions économiques contre la Russie, le problème énergétique dû à la fermeture de toutes les centrales nucléaires et des mesures écologiques coercitives mécontentent l’opinion publique. En recul de 2,3 % en 2021 par rapport à 2017 (12,64 %), l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) connaît maintenant une réelle popularité et pas seulement dans les sondages. Les élections régionales du 8 octobre dernier en Bavière et en Hesse (dont sa principale métropole, Francfort, représente la ville cosmopolite par excellence) confortent son ancrage historique à l’Ouest (18,44 % en Hesse et 14,65 % en Bavière). Ministresse fédérale sociale-démocrate de l’Intérieur qui persécute tout ce qui est national comme, par exemple, en septembre 2023, la perquisition et l’interdiction du mouvement païen odiniste des Artgemeinschaft, de leur association familiale et de leur revue, Nordische Zeitung (« Journal nordique »), Nancy Faeser, ne récolte que 15,09 % aux élections en Hesse, ce qui ne l’empêche pas de conserver son poste.
L’opposition patriotique ne se cantonne plus aux seuls Länder orientaux de l’ancienne République démocratique allemande. Ses succès électoraux se produisent malgré les campagnes massives de dénigrement politico-médiatique et les incroyables violences judiciaires perpétrées contre elle. Les services régionaux de protection de la Constitution de 1949 - comprendre une police des pensées, des opinions et de la parole – la surveillent avec attention. Sa figure de proue en Thuringe, Björn Höcke, se retrouve poursuivi parce qu’au cours d’une réunion électorale, il a lancé : « Tout pour notre patrie, tout pour l’Allemagne », ce qui serait une allusion implicite aux « heures-les-plus-sombres-de-l’histoire »...
02:21 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les complices du Hamas sèment la terreur, mais le Conseil d'Etat confirme la dissolution de l'Alvarium
l'Alvarium (Angers) :
Nous apprenons à l'instant la confirmation de notre dissolution par le Conseil d'Etat, tandis que malgré des violences nombreuses et avérées les Soulèvements de la Terre obtiennent gain de cause. Jusqu'alors discrets sur la procédure qui s'est déroulée depuis 2 ans, nous reviendrons prochainement en détails sur ce simulacre de Justice qui foule aux pieds l'Etat de droit dont se réclame sans cesse le régime.
Lors de la première audience en septembre 2022, le rapporteur public concluait à l'annulation du décret de Gérald Darmanin. Point par point, il réfutait que l'Alvarium était une organisation commettant des provocations incitant à la haine ou à la violence justifiant sa dissolution.
De manière rarissime, une note en délibéré du Gouvernement n'ajoutant rien de nouveau au dossier avait provoqué une seconde instruction. Et là, comme par miracle, le même rapporteur public a conclu en octobre 2023 à la validité du décret de Darmanin, se basant sur une "note des services de renseignement" à laquelle la défense n'a pas eu accès ; en bon français on appelle cela céder à une pression politique.
La décision du Conseil d'Etat publiée ce jour ne vise ni le contenu de la première audience, ni la note en délibéré, ni la note de renseignement : rien. Elle se contente de dire que notre dénonciation de l'immigration "excède les limites de la liberté d'expression politique" alors que lors de son existence aucun communiqué de l'Alvarium ni aucune campagne n'ont donné lieu à une quelconque condamnation. En clair, c'est la dénonciation du lien (fait par Darmanin lui-même !) entre immigration et insécurité qui est ici criminalisée. Décrire le réel est officiellement interdit. Demain la dissolution du RN, de Reconquête, et même du parti présidentiel ?
Cette grave dérive liberticide confirme que le pouvoir macronien ne tolère aucune contestation en dehors des violences caricaturales de l'extrême-gauche et de la mascarade électorale à laquelle 1 français sur 2 refuse désormais de participer.
02:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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