Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 10 novembre 2023

Les complices du Hamas sèment la terreur, mais le Conseil d'Etat confirme la dissolution de l'Alvarium

alvarium-angers-7f25b1-0@1x.jpgUn communiqué de

l'Alvarium (Angers) :

Nous apprenons à l'instant la confirmation de notre dissolution par le Conseil d'Etat, tandis que malgré des violences nombreuses et avérées les Soulèvements de la Terre obtiennent gain de cause. Jusqu'alors discrets sur la procédure qui s'est déroulée depuis 2 ans, nous reviendrons prochainement en détails sur ce simulacre de Justice qui foule aux pieds l'Etat de droit dont se réclame sans cesse le régime.

Lors de la première audience en septembre 2022, le rapporteur public concluait à l'annulation du décret de Gérald Darmanin. Point par point, il réfutait que l'Alvarium était une organisation commettant des provocations incitant à la haine ou à la violence justifiant sa dissolution.

De manière rarissime, une note en délibéré du Gouvernement n'ajoutant rien de nouveau au dossier avait provoqué une seconde instruction. Et là, comme par miracle, le même rapporteur public a conclu en octobre 2023 à la validité du décret de Darmanin, se basant sur une "note des services de renseignement" à laquelle la défense n'a pas eu accès ; en bon français on appelle cela céder à une pression politique.

La décision du Conseil d'Etat publiée ce jour ne vise ni le contenu de la première audience, ni la note en délibéré, ni la note de renseignement : rien. Elle se contente de dire que notre dénonciation de l'immigration "excède les limites de la liberté d'expression politique" alors que lors de son existence aucun communiqué de l'Alvarium ni aucune campagne n'ont donné lieu à une quelconque condamnation. En clair, c'est la dénonciation du lien (fait par Darmanin lui-même !) entre immigration et insécurité qui est ici criminalisée. Décrire le réel est officiellement interdit. Demain la dissolution du RN, de Reconquête, et même du parti présidentiel ?

Cette grave dérive liberticide confirme que le pouvoir macronien ne tolère aucune contestation en dehors des violences caricaturales de l'extrême-gauche et de la mascarade électorale à laquelle 1 français sur 2 refuse désormais de participer.

02:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.