mardi, 28 novembre 2023
Libération immédiate de tous nos jeunes arrêtés à Romans !
COMMUNIQUE DE LA COORDINATION PARTOUT CALLAC
Samedi 25 et dimanche 26 novembre 2023, deux manifestations ont eu lieu à Romans-sur-Isère organisées par ce que les médias et les bien-pensants appellent « l’ultra-droite », qui sont en réalité de jeunes patriotes.
La première a réuni une centaine de personnes, la seconde - le dimanche - une trentaine. Leur objet était simple : protester contre l’odieux assassinat raciste de Thomas, à coups de couteau, par des racailles de cité.
De très nombreux hommes politiques, la totalité de la « gauche », la plupart des médias et des bien pensants ont eu toutes les peines du monde à reconnaître la réalité des faits. Certains continuent à la nier.
Les uns ont parlé de « rixe ». Les autres de « bagarre » alors qu’il s’agissait pourtant très clairement d’un assassinat raciste. Les auteurs étant arrivés en criant « on va planter des blancs » ! Et c’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait. Bilan : 1 mort et 17 blessés.
Leur forfaiture faite, les auteurs ont pris la fuite. Qualifiés de « Français, vivant en centre ville » par les autorités, ils ont été arrêtés à côté de Toulouse avec l’aide de 50 hommes du GIGN. Quel déploiement de force pour… des « Français » ordinaires.
En fait ces « Français de papier » étaient en route pour l’Espagne, direction le bled au Maghreb afin de s’y cacher.
Pendant des jours, le procureur et les autorités ont refusé de donner les prénoms et les noms des auteurs.
Peine perdue, tout le monde avait compris.
L’indignation est immense en France. La population est révulsée par cet acte odieux et barbare.
Pourquoi aucune star du show-biz n’a-t-elle jugé utile de s’indigner et de le dire ?
Pourquoi M’Bappé n’a-t-il pas dit qu’un « petit ange nous a quittés » ?
Pour Antoine Dupont et la FFR ont mis plus d’une semaine à réagir alors que Thomas était un rugbyman, capitaine de son équipe ?
Pourquoi n’y a-t-il pas eu une minute de silence à l’assemblée nationale, alors que la racaille Nahel y a eu droit ?
Pourquoi cette insupportable volonté des autorités de cacher les faits, les auteurs et les raisons de cette ignominie ?
C’est contre tout cela que des jeunes patriotes ont décidé de manifester à Romans-sur-Isère les 25 et 26 novembre.
Ils n’ont rien cassé. Ils n’ont blessé personne. Ils ont simplement exprimé leur colère et leur dégoût devant ces faits.
En réponse, le pouvoir leur a envoyé l’élite des forces anti-émeutes : la CRS 8. Et comme si cela ne suffisait pas, de manière absolument symbolique, les racailles locales qui ont tué Thomas, ont également agressé les jeunes manifestants.
L’un d’eux a été gravement blessé, après avoir été humilié - obligé de se dénuder - avant d’être passé à tabac. Sa voiture a été incendiée. Il est à l’hôpital.
Mais pour les autorités, la plupart des médias et toute la gauche, ce sont ces jeunes patriotes qui doivent être dénoncés comme étant des « bandes ultra-violentes d’extrême droite ».
Il ne semble être venu à l’idée d’aucun de leurs accusateurs que ceux qui avaient tué, ce n’était pas eux, mais les racailles locales.
Il ne semble être venu à l’idée de personne que leur manifestation s’est faite sans aucun dégât, contrairement à toutes celles durant lesquelles les black-blocs en ont fait tant (Réforme des retraites) tout en blessant des policiers... en toute impunité.
Il ne semble être venu à l’esprit d’aucun de leurs dénonciateurs que défendre son pays et sa population n’est ni crime ni un délit.
Pourtant, une vingtaine ont été arrêtés. Et 17 mis en garde à vue. Le lendemain, 6 d’entre eux sont passés au tribunal.
Une avalanche d’injures s’est abattue sur eux en provenance d’hommes politiques, de médias bien pensants et de la « gauche ».
La mansuétude coupable des juges lorsqu’il s’agit de « migrants », même auteurs de coups de couteaux, ne s’est pas exprimée.
C’est l’inverse qu’on a constaté : une justice impitoyable. Condamnation de 6 à 10 mois de prison avec incarcération immédiate.
En totale contradiction, ce jour s’est ouvert à Niort le procès des organisateurs de la manifestation contre « les bassines » qui a fait d’innombrables dégâts et plus de 50 blessés parmi les forces de l’ordre. Pour cela, ils risquent au maximum... 6 mois de prison.
Un « deux poids – deux mesures » insupportable qui discrédite totalement les juges qui ont prononcé ces sanctions et le pouvoir.
La Coordination Partout Callac condamne totalement cette justice partiale et à l’évidence totalement politique.
Ces jeunes patriotes avaient parfaitement le droit de manifester contre le crime raciste commis à Crépol par les racailles de la cité de « La Monnaie », d’autant qu’ils ont manifesté sans violence ni dégât.
Leur condamnation et leur emprisonnement est une décision honteusement arbitraire et totalement injuste.
La Coordination Partout Callac exige leur libération immédiate et sans condition !
Le 28 novembre 2023
Bernard Germain
Porte-parole de la Coordination Partout Callac (www.partoutcallac.fr)
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23:32 Publié dans Bernard Germain, Callac 22, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le lycée musulman Averroès de Lille devrait enfin perdre ses financements publics
Michel Festivi
Il y a quelques mois, j’avais tenu informé les lecteurs des financements étrangers dont bénéficiait cet établissement sous contrat avec l’état. Or le Préfet du Nord, Georges-François Leclerc vient de rédiger un rapport sur ce lycée privé musulman sous contrat. Ce document de 12 pages est daté du 27 octobre 2023.
Au terme de ses investigations, le représentant de l’État sollicite la résiliation du contrat d’association avec l’état. Déjà en juin 2023, la Chambre régionale des comptes s’inquiétait grandement du contenu d’un « cours d’éthique », à connotation clairement salafiste. Si le contrat devait être résilié, le lycée ne recevrait plus de fonds publics, et notamment la prise en charge du salaire des enseignants. La CRC avait aussi relevé un manque certain de transparence dans les dons, et des irrégularités de gouvernance.
On vit une situation totalement ubuesque. En effet, depuis 2019 la région des Hauts-de-France refusait à juste titre de verser une subvention de 300 000 euros, prévu au contrat d’association, et chaque année, la justice la contraignait, car obligatoirement tout lycée sous contrat doit être subventionné par la région chargée de par la loi de la gestion des lycées de sa circonscription. Pourtant en 2014, il avait été prouvé que ce lycée avait perçu des versements provenant de fonds qatari de 950 000 euros.
Présent à la commission, mais sans droit de vote, Xavier Bertrand, Président de la Région des Hauts de France a déclaré à l’issue des débats et du vote : « Enfin ! J’ai un sentiment de soulagement teinté d’amertume. Cela fait depuis 2017 que la Région demande le retrait du contrat d’association. J’aurais aimé que cela se fasse plus rapidement, mais la situation ne pouvait plus durer. »
Les élèves étudient ou ont étudié l’ouvrage « quarante hadiths de l’imam An-Nawawi » qui approuve l’interdiction d’une femme malade de se faire ausculter par un homme, la séparation des femmes et des hommes sur les lieux de travail, qui considère normal la peine de mort appliquée à un apostat, et que seule la loi de dieu doit régler les litiges.
Il a été constaté que les filles et les garçons ne se mélangeaient pas en classe etc...Le préfet a rappelé le livre de Christian Chesnot et Georges Malbruno de mai 2019, Qatar Papers, sur les financements de l’ONG Qatar Charity et aujourd’hui encore, le préfet souligne « une part non négligeable de son financement provient d’espèces, donc d’argent non traçable ».
Car, ce lundi 27 novembre, la commission consultative de concertation présidée par le Préfet de région, Georges-François Leclerc et composée de la Rectrice Valérie Cabuil, de quatre représentants des services académiques et de trois personnalités compétentes dans le domaine économique et social, ainsi que d’élus soit trois conseillers régionaux, trois conseillers départementaux, de trois maires, outre six directeurs d’établissements privés et trois parents d’élèves de l’enseignement privé ont voté par 16 voix pour, 0 contre et 9 abstentions, un avis favorable pour le retrait du contrat d’association.
Il appartient désormais au Préfet de région de prendre sa décision, le Préfet n’étant pas lié par cet avis obligatoire.
Ce lycée a eu depuis toujours des liens avec les Musulmans de France, l’ex UOIF, organisation issue des Frères musulmans, ce que reconnaît Éric Dufour, le chef d’établissement tout en jurant que ces liens anciens n’interviendraient jamais dans le fonctionnement de l’établissement.
Mais pouvait-il en être autrement pour ce lycée, créé en 2001, parce qu’en 1995 une vingtaine d’adolescentes avaient été expulsées de leurs établissements pour avoir porté le voile en cours ? Alors pourquoi les pouvoirs publics ont accepté en 2008 ce contrat d’association ? C’est le fond du problème. En 2012, l’établissement avait ouvert un collège, mais ce collège n’obtiendra pas de contrat d’association lui. Aujourd’hui lycée et collège totalise plus de 800 élèves. Le projet éducatif fait d’ailleurs références « aux valeurs universelles musulmanes », même si à tout bout de champ, les promoteurs répètent en boucle la défense des sacro-saintes valeurs de la « république ».
En tout cas, dès que la décision va être rendue, de nombreux recours vont être exercés comme l’ont déjà annoncé les responsables de l’association Averroès. Affaire à suivre.
10:58 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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