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lundi, 27 novembre 2023

Dernière minute : Romans, nos jeunes jetés en prison ! Mobilisation pour les faire sortir !

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Bernard Germain
 
Pour avoir manifesté à Romans-sur-Isère, contre l'assassinat de Thomas, plusieurs jeunes identitaires ont été arrêtés et mis en garde à vue. Ils sont passés aujourd'hui au tribunal.
 
Six des interpellés écopent de six à dix mois de prison. Tous restent en prison. Cinq des six condamnés avaient un casier judiciaire vierge.
 
C'est un scandale absolu. Une volonté délibérée de l’État et du gouvernement de terroriser ceux qui auraient l'idée de protester contre l'invasion migratoire et ses conséquences.
 
Le message des autorités est clair : Faites-vous tuer, mais en silence. Si vous protestez ou manifestez, vous irez en prison.
 
Quand on voit la mansuétude des juges vis à vis de tous les migrants qui commettent une multitude de délits, on ne peut qu'être révulsé par ce jugement.
 
C'est un évident déni de justice. Thomas vient d'être assassiné une seconde fois.
 
Mobilisons-nous pour exiger la libération immédiate de ces jeunes patriotes !

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Les « petits gars en noir » ont raison… honte aux autres !

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Bernard Germain

Samedi soir et dimanche, à Romans-sur-Isère, il y a eu deux manifestations « d’identitaires » comme disent les bien pensants.

Les bougres avaient des fumigènes, des drapeaux bleu blanc rouge et criaient des slogans : « Justice pour Thomas », « Islam hors d’Europe » ou encore « Vive la France ». Un vrai scandale ma bonne dame, ces slogans.

Ils étaient là pour faire savoir aux racailles de la cité de « La Monnaie », et d’ailleurs, que c’était fini et que maintenant les français n’allaient plus se laisser tuer à coup de couteau sans réagir.

En clair une manifestation comme on en vit en Irlande récemment suite aux coups de couteau donnés par un Algérien à deux personnes et trois enfants à la sortie d’une école.

En face, le pouvoir avait envoyé l’élite de la police anti-émeute, la CRS 8. Qui n’a eu aucun état d’âme pour taper durement sur ces jeunes patriotes et à en mettre une vingtaine (sur 100 manifestants) en garde à vue.

Je ne sais pas si vous avez noté ce détail, mais lorsqu’il s’agit des black blocs ou des écolos, on n’envoie pas la CRS 8 et il y a beaucoup moins de mises en garde à vue. Et si comme cela ne suffisait pas, non contentes d’avoir « planté du blanc » (provoquant la mort de Thomas) les racailles locales sont venues donner un coup de main à la police pour « casser du blanc » et du « patriote ». Ils ont d’ailleurs réussi en expédiant à l’hôpital un jeune, gravement blessé, après l’avoir humilié en le forçant à se dénuder avant de le passer sauvagement à tabac. Sa voiture a également été incendiée.

Face à cela, le rouleau compresseur bien pensant s’est mis en route cherchant à tout écraser sur son passage. Et effectivement on a eu droit à la totale. Pas pour condamner les exploits des hommes de Darmanin alliés aux racailles. Non c’est à l’inverse qu’on a eu droit.

Il y eut l’indignation générale contre Ciotti qui a refusé de condamner ces deux manifestations (ainsi que les autres, ailleurs en France ce week-end). Il a fort justement déclaré : « N’inversons pas les problématiques. Moi ce qui me choque c’est l’assassinat de Thomas. Point final ». On ne peut être plus clair. C’est dommage que Ciotti n’ait pas toujours un discours de ce type.

La presse s’est déchaînée contre les manifestants. De Libération au journal Le Monde, ce fut unanime. Quant aux partis de gauche, on assista au concours de celui qui sortirait la plus grosse énormité. Il fut ainsi question de « ratonnade » pour qualifier la manifestation des « petits gars en noir ». Mais, sauf erreur de ma part, aucune racaille n’a été blessée. Seul un identitaire a été gravement blessé et sa voiture incendiée.

Encore une fois, une splendide inversion des rôles et des responsabilités. Les « petits gars en noir » se sont contenté de défiler en lançant leurs slogans. Ceux qui ont utilisé la violence, après avoir tué, ce sont les racailles locales et la police. Mais une fois de plus la gauche n’avait pas la bonne paire de lunette. Elle a vu l’inverse. Thomas n’est pas mort sous les coups de couteau. Au fait, c’est qui ce Thomas ? Qui en a entendu parler ? Non, le vrai danger c’est « l’agression de l’extrême droite en bande organisée contre un quartier populaire ». Dixit Mélenchon.

Quartier populaire ?… tu parles. « Quartier populaire » cela veut dire que c’est là où habite le peuple. Dans ce quartier ce n’est pas le peuple qui y habite. D’abord parce que ce sont des logements sociaux et tout le monde sait qu’on y place en priorité des immigrés. Et s’il se trouvaient quelques « Français », ils seraient vite invités à déguerpir pour incompatibilité de conception de vie en société. Non, ce type de quartier fait partie de ce qu’on appelait les « quartiers perdus de la républiques » qui sont en fait les quartiers conquis par les marchands de drogue et les islamistes qui s’entendent d’ailleurs très bien.

Le fait que Mélenchon qualifie ces quartiers de « populaires » confirme simplement qu’il a changé de peuple ! Et cette cécité de la gauche et sa faculté à voir le contraire de la réalité n’est pas une nouveauté.

C’est exactement comme le 7 octobre en Israël, la gauche n’a pas vu les épouvantables exactions et massacres du Hamas contre le peuple israélien. Elle n’a vu que des « combattants » palestiniens, pas des terroristes.

Et quand il a été question de participer à Paris à la manifestation contre l’antisémitisme, la France Insoumise de Mélenchon a refusé d’y venir et a appelé à un rassemblement, tout seuls, devant le cirque d’hiver.

Manifestation perturbée par des jeunes juifs en colère qui sont venus leur faire savoir qu’ils n’appréciaient pas du tout la politique des « insoumis » qui sont en réalité totalement « soumis »… à l’islam et sont des antisémites de plus en plus assumés.

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Les nouvelles formes de la guerre Nord - Sud par Loïk Le Floch-Prigent et François Martin

Comprendre la crise énergétique : Loïk Le Floch-Prigent et François Martin (Russie, Israël, Afrique, Europe).

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17:06 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Didier Lecerf invité de Martial Bild demain mardi sur TV Libertés

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Regardez TV Libertés cliquez là

Didier Lecerf présentera le numéro hors-série de Synthèse nationale cliquez ici

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Guide touristique et géopolitique des pays imaginaires de la bande dessinée

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Un entretien avec Jean-Claude Rolinat

Vous venez de publier le Guide touristique et géopolitique des pays imaginaires de la bande dessinée, c’est original d’entreprendre pareilles recherches…

Dans tout adulte sommeille un cœur d’enfant. Vous pouvez dire que je suis un enfant qui n’aurait pas grandi… Oui, je reste encore attaché à mes héros de jeunesse, une époque où les Mangas n’avaient pas encore envahi le monde de la bande dessinée. Un univers de rêve, avec des personnages bien typés : Tintin, Haddock, Tournesol, Spirou et Fantasio – je me reconnais un peu dans celui-ci ! – Blake le Gallois et Mortimer l’Écossais, Lucky Luke et sa « sibiche » remplacée par un brin d’herbe – au fou ! – les « Ricains » de Buck Danny, sortis de la guerre du Pacifique, qui ne prennent pas une ride au fur et à mesure que l’actualité les balade dans les conflits du XXe siècle. Pensons aussi à leurs collègues – rivaux ? – Tanguy et Laverdure, qui font briller nos cocardes sous tous les cieux et n’oublions pas non plus Pom et Teddy, une histoire « d’enfants de la balle » projetés aux Indes, dans la mystérieuse Principauté du Yanagar, Michel Vaillant et ses bolides… Astérix a un concurrent dans le monde antique avec Alix, qui voyage d’un bout à l’autre de l’Empire romain jusqu’à ses confins, ou encore le journaliste Lefranc, ces  deux derniers personnages créés par Jacques Martin, un autre grand dessinateur de la célèbre « ligne claire belge », avec Edgar P. Jacobs. Nous devons beaucoup à ce pays pour la BD. Et puis, tous ces personnages voyagent. Ils m’ont invité à parcourir le monde, à vérifier si la fiction rejoignait la réalité. Oui, j’ai parcouru le Sud aux côtés du petit peau-rouge Kidoklahoma, j’ai chevauché dans l’Ouest mythique en compagnie de Jerry Spring, j’ai débarqué dans les îles du Pacifique avec le GI Garry, visité l’Amérique latine avec le général Alcazar et le général Zantas…

Avec ce livre, vous avez entrepris une recherche systématique des pays inventés de toute pièce par les scénaristes et les dessinateurs ; à quels mobiles répondent-ils ?

Il faut de l’humour et de la fantaisie, mais il faut aussi du réel, du crédible. Si les auteurs doivent avoir la plus totale liberté de faire évoluer leur personnage dans des mondes imaginaires, il faut que ces mondes – en dehors de la science-fiction – aient une certaine matérialité. Quand Hergé propulse son héros à la houppette accompagné de Milou, dans une Syldavie menacée par la Bordurie, nous sommes à deux doigts de la IIe Guerre mondiale. En fait, Il utilise un faux nez pour parler d’un contexte très précis, les allusions y sont très nombreuses. La petite Syldavie, une copie du Monténégro ou de l’Albanie balkaniques dans Le Sceptre d’Ottokar, est menacée d’un Anschluss, comme l’était l’Autriche face au totalitarisme de l’Allemagne hitlérienne. Le « bon », c’est le Roi Muskar XII, portrait craché du Roi Zog 1er d’Albanie, avec quasiment le même uniforme. Le méchant, c’est la Bordurie qui veut l’annexer. Bien des années plus tard, Hergé réutilisera ces deux pays dans L’Affaire Tournesol, d’un réalisme saisissant, mais dans un tout autre contexte géopolitique. Là, la Bordurie est le cache-sexe de… l’URSS, avec son maréchal Plekszy-Gladz et ses moustaches emblématiques, qui font immédiatement penser à celles de Staline « Le petit père des peuples ».  Et nous voyons dans ce pays qui cherche à obtenir l’arme suprême inventée par le professeur Tournesol, un double de l’Union soviétique impérialiste, menaçant le monde pendant la guerre froide. Même les agents de la ZEP, en imperméable, aussi ridiculisés qu’ils soient par l’auteur, nous font immanquablement songer à ceux du KGB ou de la GESTAPO des « années noires » !

Votre guide multiplie les comparaisons et vous faites même visiter ces « pays de papier » à vos lecteurs…

Absolument. Si l’on regarde attentivement les détails que nous fournissent les scénaristes et les dessinateurs, on peut très bien les reconstituer, savoir quoi et où  manger –  je vous recommande « un gigot de chien », un szlaszeck (Hergé a même poussé le « vice » jusqu’à inventer une langue syldave et bordure, en s’inspirant du patois wallon !) aux champignons – dans un restaurant syldave, que l’on découvre dans Le Sceptre d’Ottokar… quel opéra aller voir en Bordurie… quoi faire… que visite… quelle compagnie d’aviation emprunter (la Syldair, la Palombian World Airways, la Santaéro)… quelle monnaie utiliser… quel drapeau respecter… quel personnage historique a marqué ces États « bidon », lesquels ont pourtant une certaine épaisseur pour ne pas dire une épaisseur certaine, celle que leur donnent les auteurs. Dans l’album, Le Sceptre d’Ottokar, Hergé a même poussé très loin l’évocation du « Royaume du pélican noir », en faisant lire à Tintin dans l’avion qui l’emmène vers Klow, une brochure touristique sur la Syldavie ! Mais les auteurs sont parfois en mal d’imagination pour trouver des noms d’États. C’est ainsi que l’on recense plusieurs Managua – réelle capitale du Nicaragua ! – ou encore un « Bamago », pour Bamako, Mali, dans les aventures de Wayne Shelton. Mais, bon, il faut séparer le bon grain de l’ivraie, et le lecteur attentif comme moi, s’y retrouvera. Il ira visiter le Wurtenheim en pensant à la principauté du Liechtenstein, et le San Larco en pensant à Monaco…

Pour distrayantes que soient ces bandes dessinées, y voyez-vous comme des clins d’œil à la politique internationale ?

Redisons-le, ces mondes imaginaires sont souvent une transposition tirée du monde réel : en deux mots, « fiction » et « réalité ». Mutation d’un contexte idéologique, et adaptation à l’époque lors de la parution des albums. Tintin au pays des Soviets est sorti dans l’entre-deux guerres. Si Hergé était encore de ce monde, il ne dépeindrait pas l’ex-URSS ou la Russie de Poutine, de cette façon-là. Tintin au pays de l’or noir, première version, se situe en plein milieu de la guerre qui oppose Arabes et Juifs en Palestine – déjà ! – contrôlée par les Britanniques. La deuxième version, complètement redessinée, se déroule dans un Khemed qui pourrait aussi bien être l’Arabie saoudite, le Koweit ou le Qatar, au moment de l’émergence de la production pétrolière. Dans Coke en stock, les grottes où sont réfugiés l’émir Ben Kalish Ezab et sa suite – comme jadis l’Imam El Badr du Yémen ? – évoquent celles de Pétra en Jordanie.  

La fiction, ce peut être parfois, une immersion dans le passé, ou dans d’improbables contrées qu’il est difficile de situer dans l’espace et le temps avec, par exemple, les aventures de Blake et Mortimer. Pour conclure, au-delà des apparences souvent humoristiques ou palpitantes que vivent les héros de papier, il y a dans les États imaginaires, une géopolitique de la bande dessinée, comme s’en est accaparée aussi, le monde du roman et du cinéma. Et les auteurs ne se privent pas d’inventer des symboles pour donner du corps et de l’épaisseur à leurs pays inventés de toute pièce…

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul pour le site EuroLibertés et Le Nouveau Présent)

Guide touristique et géopolitique des pays imaginaires de la bande dessinée, Jean-Claude Rolinat, éditions Dualpha, 300 pages, 35 euros, planche couleurs des drapeaux. Pour commander ce livre, cliquer ici.

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La nouvelle production de FRACTION "Restons soudés !" enfin disponible !

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Après être retourné en studio en juin 2023, FRACTION est fier d'annoncer la sortie de "Restons soudés !".

Disponible au format mini-CD, cette nouvelle production propose 3 titres : "Restons soudés !" ainsi que deux reprises : "Une Voix" (Tribal Zone) et "Terroristes" (L88). Ces morceaux emblématiques ont été revisités par FRACTION qui a pu également compter sur la présence d'Alain, venu poser sa voix en duo avec celle de Skual. Tous les ingrédients sont ainsi réunis pour proposer un cocktail historique et explosif !

À noter que les paroles de "Terroristes" ont été légèrement remaniées pour coller aux réalités de notre époque. Aujourd'hui, en Europe, nous devons faire face au terrorisme islamiste qui a encore frappé, ces derniers jours, à Arras et Bruxelles.

Digifile 2 volets imprimés quadri - CD imprimé - Livret 4 faces quadri recto/verso.

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