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vendredi, 01 mars 2024

Eric Zemmour rencontre des agriculteurs au Salon...

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18:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le badintérisme plus que jamais vivant

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La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol

Fidèle à sa nécrophilie habituelle, la République hexagonale célèbre, loue, commémore Robert Badinter récemment décédé alors qu’à l’aune de la longue durée le bilan de ce dernier se révèle déjà catastrophique.

Le 9 octobre 1981, l’Assemblée nationale supprime la peine capitale et bouleverse par conséquent la hiérarchie des sanctions. Sans châtiment suprême, toutes les peines judiciaires se dévaluent. Ce déclin s’amplifie avec la sotte révision constitutionnelle du 23 février 2007. Quelques semaines avant la fin de son second mandat présidentiel, Jacques Chirac fait inscrire dans la Constitution l’impossibilité de restaurer la peine de mort. Il est cependant étrange que les exécutés ne soient jamais réhabilités. Si l’exécution finale est inacceptable, pourquoi n’y aurait-il pas une ou des cérémonies officielles de réparation envers l’ensemble des condamnés parmi lesquels Louis XVI et Marie-Antoinette, Georges Cadoudal et Louis-Antoine-Henri de Bourbon-Condé, duc d'Enghien, Louis Rossel et Auguste Vaillant, Robert Brasillach et Joseph Darnand, Roger Degueldre et Jean Bastien-Thiry ?

À l’occasion de la disparition de l’ancien sénateur des Hauts-de-Seine (1995 – 2011), le Système médiatique d’occupation mentale n’a pas hésité à tremper dans la désinformation. Le garde des Sceaux de 1981 à 1986 aurait dépénalisé l’homosexualité. Certes, il était âgé, mais pas au point d’être à l’origine de cette abolition acquise en… 1791 ! En 1982, il fait voter la dépénalisation des relations homosexuelles avec les mineurs de plus de quinze ans, y compris avec un adulte, et les met au même niveau que les relations hétérosexuelles dont l’âge avait déjà été repoussé de treize à quinze ans. Or, depuis plusieurs mois, des révélations souvent scabreuses secouent la scène médiatico-artistico-musicale (soit le microcosme bobo gauchiste germano-pratin du Lubéron). L’actrice Judith Godrèche dénonce sa liaison avec le réalisateur Benoît Jacquot quand il avait 39 - 40 ans et elle 14 – 15 ans. En janvier 2021, Camille Kouchner révèle dans La familia grande que son beau-père, le très grand donneur de leçon politiquement correct et ancien collaborateur socialiste de Robert Badinter, Olivier Duhamel, abusait de son frère jumeau. En 2018, d’anciennes militantes de l’UNEF (Union nationale des étudiants de France), satellite du Parti socialiste, dénoncent des agressions sexuelles commises par les caciques syndicaux. D’autres agressions et harcèlements sexuels surgissent ensuite au Mouvement Jeunes communistes de France (MJCF) et à l'Union des étudiants communistes (UEC). Un an auparavant, un scandale similaire éclatait au sein du MJS (Mouvement Jeunes Socialistes).

Le cas Gérard Miller tourmente aujourd’hui les belles consciences festives et inclusives. L’histrion psychanalyste, proche de La France insoumise, se voit accusé par une quarantaine de femmes de viols ou d’attouchements sexuels sous hypnose. Présumé innocent pour l’heure, ce saltimbanque pathétique n’est jamais en reste dans la dénonciation automatique de l’« extrêêêêêêêêêêêême droite ». Ce gauchiste réside dans un hôtel particulier parisien gagné grâce à la redevance télé des contribuables. Cette gauche-là cumule la nullité, l’indécence et l’hypocrisie. Ses vices sont incommensurables. Elle se disqualifie d’elle-même. Ce systémisme coupable devrait interroger.

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18:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La constitutionnalisation peut mener à des avortements de fin de grossesse, eugénistes, en fonction du sexe ou de critères génétiques

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Le sénateur Reconquête Stéphane Ravier déclare dans Valeurs Actuelles :

Tout ce que nous avions annoncé avec la Manif pour tous lors des débats sur la légalisation du mariage homosexuel tend à se produire. On nous avait promis, à l’époque, que le mariage pour tous ne serait absolument pas une porte d’entrée vers l’adoption pour les couples du même sexe, la PMA ou la GPA. C’est exactement ce qu’il s’est passé.

Les mêmes conséquences se produiront avec la constitutionnalisation de l’IVG. À terme, cette décision peut mener à des avortements de fin de grossesse, voire à des IVG dites « sélectives », en fonction du sexe ou de critères génétiques dans une démarche purement eugéniste. Cette décision permettra, dans les années et décennies à venir, de soutenir juridiquement les projets les plus extrêmes des militants acharnés de la destruction de la famille traditionnelle. […]

Comment jugez-vous la position du Rassemblement national sur la question ?

Je ne suis pas surpris par le vote des sénateurs RN (cliquez ici). Je m’interroge en revanche sur leur refus de soutenir l’amendement porté par le sénateur LR Alain Milon, qui souhaitait voir inscrit dans la Constitution le respect de la clause de conscience des professionnels de santé.

Le Rassemblement national franchit une étape de plus, non pas dans sa dédiabolisation, mais dans sa normalisation. Le RN est entré dans une course effrénée à la séduction électorale, en arrondissant encore un peu plus le peu d’angles qu’il leur reste. Marine Le Pen a capitulé.

Source Le Salon Beige cliquez là

18:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Sénat a adopté jeudi soir le projet de loi constitutionnelle : 50 sénateurs ont voté contre

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Voici les sénateurs qui ont voté contre :

LR : MM. Jean Bacci, Arnaud Bazin, Mme Catherine Belrhiti, M. Étienne Blanc, Mmes Christine Bonfanti-Dossat, Valérie Boyer, Anne Chain-Larché, MM. Alain Chatillon, Guillaume Chevrollier, Pierre Cuypers, Mmes Chantal Deseyne, Catherine Di Folco, Françoise Dumont, M. Laurent Duplomb, Mme Jacqueline Eustache-Brinio, M. Christophe-André Frassa, Mmes Laurence Garnier, Pascale Gruny, M. Daniel Gueret, Mmes Corinne Imbert, Micheline Jacques, Muriel Jourda, MM. Khalifé Khalifé, Daniel Laurent, Mme Christine Lavarde, MM. Dominique de Legge, Henri Leroy, Mmes Vivette Lopez, Brigitte Micouleau, MM. Alain Milon, Albéric de Montgolfier, Louis-Jean de Nicolaÿ, Mme Sylviane Noël, MM. Jean-Jacques Panunzi, Stéphane Piednoir, Mmes Kristina Pluchet, Frédérique Puissat, MM. André Reichardt, Bruno Retailleau, Bruno Sido, Philippe Tabarot

Union centriste : M. Michel Canévet, Mme Brigitte Devésa, MM. Alain Duffourg, Loïc Hervé, Mme Christine Herzog, M. Hervé Marseille, Mme Lana Tetuanui

Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants : M. Jean-Baptiste Lemoyne

Non-inscrit : M. Stéphane Ravier (Reconquête !)

Détail des votes

Les 3 sénateurs RN ont voté pour…

Source Le Salon beige cliquez là

18:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour qui sont ces migrants ?

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Françoise Monestier

Depuis maintenant des années, beaucoup de nos compatriotes qui ont du mal à boucler les fins de mois — et pourtant ils travaillent— sont contraints de dormir dans leur voiture. Que vont-ils penser en apprenant que Gérald Darmanin a pris la décision de faire décamper de Mayotte plus de 300 réfugiés africains (ce n’est qu’un début) qui pourrissaient la vie des Mahorais pour un hébergement de luxe au château de Thiverval-Grignon près de Versailles ?

Ces migrants en situation irrégulière à leur arrivée à Mayotte ont occupé illégalement — ils étaient alors plus de 700- le stade de Cavani, à Mamoudzou, la capitale de l’île, multipliant les provocations en tous genres : agressions, racket et bagarres. Cette installation a été le point de départ de barrages routiers et de manifestations des Mahorais qui n’en peuvent plus de vivre sur un territoire peuplé de plus de 50 % de clandestins et sont au bord de l’implosion socialo-ethnique.

Les nouveaux châtelains de Grignon , superbe bâtisse du XVII siècle inscrite au titre des monuments historiques propriété de l’Etat, ont obtenu le sésame – l’asile politique – qui leur ouvre grandes les portes de notre pays. Désaffecté depuis le départ pour Saclay de la prestigieuse école d’ingénieurs agronomes d’AgroParisTech, le château est géré par les travailleurs sociaux d’Emmaus, disciples de l’abbé Pierre.

Leur prise de possession des lieux a été imposée par le préfet des Yvelines au maire de la commune qui, n’ayant pas pu s’y opposer, regrette le « caractère contraint de cette décision ». Il y deux ans déjà, ce centre avait accueilli pendant plusieurs mois des migrants sans domicile.

Le valet de Matignon assure que ces réfugiés politiques originaires de la République du Congo, du Rwanda ou de la Somalie ne devraient rester que quelques semaines dans ce domaine dont le mobilier a été bradé par l’administration des Domaines en 2022, au grand dam des défenseurs du patrimoine français. Où iront-ils crêcher ? Dans les quelques havres de paix non encore touchés par ces installations forcées imposées par le pouvoir macroniste.

On ne peut que regretter que Darmanin, fort en gueule mais lamentable dans l’exécution de ses missions, importe en métropole ceux qui ont transformé Mayotte en une véritable poudrière et qui, au gré de leurs pérégrinations dans la France profonde, créeront « Un, deux, trois Cavani ». Et pendant ce temps-là, nos Smicards devront fermer leur gueule.

Le Nouveau Présent cliquez ici

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