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vendredi, 29 mars 2024

Piero San Giorgio :''C'est fou comme l'UE ressemble à l'URSS et la Russie à l'Occident d'avant'.

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L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ : Conférence de Pierre Jovanovic à Paris

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E&R Île-de-France recevra Pierre Jovanovic à Paris (intra-muros) le samedi 30 mars 2024 après-midi pour une conférence sur le thème « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ».

Conférence-dédicace autour de son nouveau livre 888

Le 18 août 1996, un prêtre de Buenos Aires assiste à un événement singulier, que son supérieur direct (et futur Pape François) demande de garder « secret » dans l’espoir qu’il soit oublié…

Le 7 novembre 1999, à Lourdes, les caméras de France 2 retransmettent en direct un « miracle » en présence de tous les évêques de France. Ces derniers choisissent de ne jamais en parler…

En 2010, Peter Kennedy, prêtre catholique, déclare que Jésus n’a jamais existé…

Quant aux protestants, ils doutent de la présence de Pierre à Rome… alors que les rabbins, eux, affirment, que Jésus n’a jamais été leur « messie » et que le leur devrait arriver incessamment sous peu.

Pierre Jovanovic montre dans ce livre totalement stupéfiant non seulement qu’il n’en sera rien, mais également que, si Jésus a changé le nom du marin-pêcheur en « Pierre » à la seconde où il l’a rencontré, c’était dans un but précis, millimétré et calculé avec 2 000 ans d’avance : prouver au monde entier son omniscience, sa divinité et sa bienveillance. Et c’est sans parler du fait que les travaux d’une entité spéciale de la CIA prouvent sa démonstration magistrale.
La clé donnée par Jésus (et visible de tous) se trouve dans la phrase sibylline : « Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église. »

Avec ce livre, le lecteur est littéralement emporté, happé par les pouvoirs surnaturels de Jésus qui se manifestent presque à toutes les pages, au point même qu’Il se rend quasiment perceptible…
Journaliste et écrivain, Pierre Jovanovic est l’auteur de 13 autres livres best-sellers, dont le célèbre Enquête sur l’existence des anges gardiens qui fête désormais ses 30 années de réimpressions. Il dirige la Revue de presse internationale sur quotidien.com

Informations importantes :

- Entrée : 10 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : inscription.conf75@gmail.com (Indiquez nom et prénom)

- L’adresse et l’heure exactes vous seront communiquées la veille par courriel

- Présence d’un stand Kontre Kulture (des exemplaires de son nouveau livre disponibles à la vente)

- Présence d’une buvette et d’un buffet.

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Marion Maréchal et Eric Zemmour sur les plateaux

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Intoxications sondagières

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

À deux mois et demi environ des élections européennes du 9 juin, sondages et enquêtes d’opinion s’accordent sur l’avance de la liste du Rassemblement national (RN) conduite par son président, Jordan Bardella, prise sur la liste de la majorité présidentielle emmenée par Valérie Hayer. Selon les instituts et suivant les jours, l’écart varie entre huit et dix points. En 2019, Bardella devançait la macronienne Nathalie Loiseau de 0,92 point.

Quitte à se tromper, la chronique d’aujourd’hui estime que la différence réelle au soir de l’élection entre le RN et la coalition macroniste sera moindre. Sciemment ou non, les résultats envisagés sur le vote possible induisent en erreur l’opinion. Les électeurs de l’Hexagone ont la mémoire courte. Au moment des élections régionales et départementales des 20 et 27 juin 2021, enquêtes et sondages prévoyaient déjà la victoire du RN dans deux à trois régions ainsi que dans un à deux départements. Dans les faits, aucune collectivité territoriale ne tomba aux mains du parti mariniste. Pis, entre 2015 et 2021, le RN perdit 106 conseillers régionaux et 36 conseillers départementaux. Dans l’un de ses éditoriaux qui ouvrent l’excellent Réfléchir & Agir, Eugène Krampon emploie la formule juste : « Marine Le Pen transforme l’or des sondages en plomb des élections. »

Il est fort possible que ce triste constat se répète au soir du 9 juin. Il faut se rappeler la campagne présidentielle d’Éric Zemmour en 2022. Les premiers sondages le donnaient entre 15 et 18 %. L’un d’eux le mettait même en duel face à Emmanuel Macron ! Au premier tour, l’ancien journaliste du Figaro ne fit que 7,07 %, d’où les sarcasmes permanents de la caste médiacratique. Dommage qu’aucun zemmourien ne leur ait rétorqué qu’en 2002, François Bayrou, ancien ministre et déjà candidat à de nombreuses élections, n’obtenait que 6,84 % des suffrages. Et que dire de Jean-Pierre Chevènement (5,33 %) ? Les partisans d’Éric Zemmour se sont trop fiés aux pronostics sondagiers et à la notoriété obtenue par leur candidat sur Internet et les réseaux sociaux.

Une trop grande assurance risque de jouer un mauvais tour (de scrutin) à Jordan Bardella. Ce dernier et son entourage de consultants peuvent vite prendre la « grosse tête ». Jugeant la victoire acquise, ils peuvent se montrer moins attentifs et commettre des erreurs sur lesquels les plumitifs du Régime fondreront dessus avec le secret espoir de déstabiliser, plus ou moins rapidement, le candidat.

En outre, être en tête dans les intentions de vote constitue en général un sérieux handicap. Les analyses socio-politiques démontrent que le RN bénéficie du socle électoral le plus solide. Toutefois, maints de ses électeurs potentiels demeurent tentés par l’abstention. S’ils entendent que leur chouchou va gagner largement, ils se démotiveront et resteront chez eux, ce qui fragilisera le résultat final. Par ailleurs, Jordan Bardella focalise sur lui l’attention médiatique. Tous ses faits et gestes sont épiés, examinés, commentés… Après un reportage à charge dans « Complément d’enquête » du 18 janvier 2024, une émission du service public télévisé, il est possible de sortir de nouvelles « révélations » croustillantes dans le but de le disqualifier moralement. Collégien, Jordan Bardella prenait sûrement du rab à la cantine sans autorisation préalable ou bien, à la sortie de la crèche, il se ruait sur les petites filles et les autres petits garçons. Bref, des actions inadmissibles qui relèvent du crime contre l’humanité ! 

Disposer d’une grande avance favorise enfin la mobilisation des électeurs anti-RN. Il y a parmi eux les retraités macroniens qui fantasment toujours sur leur « Mozart de la finance » alors que se prépare le suicide assisté presque obligatoire pour cause de rationnement à venir des soins médicaux. Il y a aussi les jeunes formatés aux délires climatistes et inclusifs qui rejouent en toute quiétude un anti-fascisme de bazar et qui considèrent comme pertinent le continuum idéologique entre la macronie et le RN. Fort heureusement, ces détraqués climatiques n’ont pas de liste commune. Leur choix – cornélien - se répartira entre le social-démocrate mondialiste Raphaël Glucksmann, l’éco-belliciste Marie Toussaint, le communiste bobo Léon Deffontaines et l’« Insoumise » Manon Aubry. Ouf !

Dès à présent, un régime à bout de souffle sature l’opinion d’injonctions phobiques dans la pré-campagne électorale à travers des radios et des chaînes télévisées complaisantes. Tout est bon pour propager une peur lancinante : le dérèglement climatique, les risques d’intervention militaire française en Ukraine, de nouvelles pandémies, la multiplication des faillites d’entreprises, une inflation toujours virulente. Le gouvernement dystopique hexagonal parie sur la crédulité des masses désinformées par les relais, officiels ou non, de la communication d’État.

Sondages et enquêtes d’opinion sculptent donc en douceur et hors de toute pression publique l’état d’esprit d’une population fortement à cran. Avant le 9 juin, bien des officines tenteront de brouiller l’image des candidats qui déplaisent ou qui pensent déplaire au Système établi alors qu’ils travaillent en  « opposants contrôlés ». Pourtant, les déconvenues tombent si vite surtout quand il s’agit d’élections nationales de « mi-mandat » !

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°108, mise en ligne le 27 mars 2024 sur Radio Méridien Zéro.

10:51 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

29 mars : une pensée pour Jean Mabire

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10:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette France des communiquants et des gangs : « Plus rien n’est caché, tout est su ; et plus on sait, moins on fait... »

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Que vous inspire la démission du proviseur du lycée Ravel, menacé de mort après avoir demandé à une élève de retirer son voile ?

Si quelques optimistes ont pu un bref moment croire dans les déclarations de matamore – à propos de l’abaya notamment – de Gabriel Attal lors de son très bref passage au ministère de l’Éducation nationale, son remplacement par Nicole Belloubet, officialisait de fait que ce n’était bien que du bla-bla-bla de communication… Rappelons les remous que les propos sur « l’insulte à la religion » et la « violation de la liberté de conscience » de cette ancienne ministre de François Hollande avaient provoqués, tout comme son intervention en 2020 pour libérer des milliers de détenus avant la fin de leur peine au prétexte fallacieux de l’épidémie de covid. Alors, l’exfiltration – c’en est une – du proviseur du lycée Ravel en passe de devenir « zone de guerre religieuse » en est la preuve. Mais ce n’est qu’un « fait-divers » de plus ! Combien d’autres, quotidiennement, de la même teneur ou bien plus gravissimes encore, sont ignorés ou deviennent lassant par leurs répétitions. Gageons que la médiatisation de cette affaire-ci durera moins longtemps que ne dure en vase… les chrysanthèmes.

L’État va tout de même porter plainte contre l’élève qui avait accusé ce professeur de violence à son encontre et le Premier ministre a indiqué qu’elle aurait quitté le Lycée…

Plainte pour « dénonciation calomnieuse », en effet, mais s’agissant d’une mineure, on imagine l’importance de sa condamnation, si condamnation il y a : dans quelques mois, un juge pourra très bien classer l’affaire sans suite… et on se doute que la demoiselle ne restera pas longtemps déscolarisée. On peut même ouvrir les paris qu’elle intégrera un nouvel établissement sous de triomphales acclamations et d’enthousiastes « youyous ». L’époque a les héroïnes qu’elle mérite !

D’après vous, pourquoi l’État ne se montre-t-il pas plus ferme envers de telles poussées hégémoniques des islamistes qui indignent la majorité de nos compatriotes ?

Parce que la caste qui gouverne notre pays n’a appris qu’à « communiquer », pas à résoudre les problèmes. Tant que ces derniers n’étaient pas trop importants, trop visibles, c’est qu’ils n’existaient pas. Ce n’étaient que des « sentiments de problèmes », comme dirait Éric Dupont-Moretti. Depuis plus de cinquante ans, on tait les problèmes liés à l’immigration et notamment la volonté de conquête religieuse de nombre d’entre eux. On l’a caché sous couvert d’anti-racisme, de culpabilisation liée à notre passé colonial et surtout des dangers d’un retour aussi diabolique que fantasmé de la « peste brune » comme on cache – pardonnez-moi l’expression – la « merde au chat » sous le tapis. Aujourd’hui, on ne parvient plus à contenir la réalité du « bruit et de l'odeur », selon l’expression utilisée par l’ancien président Jacques Chirac, des désagréments (euphémisme !) causés par « certaines personnes immigrées en France », comme on peut lire sur Wikipédia à propos de cette déclaration de 1991. Alors, oui, on subit aujourd’hui une tempête religieuse, un cyclone du trafic de drogue, un typhon avec l’explosion de la dette publique et un tsunami de chômage de longue durée… Mais contrairement aux paroles de la célèbre chanson de Jacques Dutronc : « Plus rien n’est caché, tout est su ; et plus on sait, moins on fait. »

Darmanin a tout de même lancé une vaste opération « place nette XXL » : 867 interpellations « jusqu’à présent »… et des saisies « de nombreuses armes et d’importants moyens financiers »…

Mais combien de ces « interpellés » ont été libérés le soir même, le lendemain ou au bout de 48 heures de garde-à-vue ? Combien seront finalement inculpés ? incarcérés ? condamnés ? Et combien, parmi eux, sont des « gros bonnets » et non des « charbonneurs », comme on nomme les petits revendeurs de drogue, aussi vite remplacés qu’arrêtés ? Et si la police démantèle réellement tout un gang, de son PDG à ses « techniciens de surface », imagine-t-on qu’un autre gang rival ne profite pas de l’aubaine et ne rafle aussitôt la « part de marché » laissée ainsi vacante ? Et on sait que même incarcérés, des chefs de gang n’arrêtent pas pour autant de diriger leurs affaires…  Plus que « place nette XXL », ne s’agirait-il pas surtout de la part de Gérald Darmanin de la même « Communication XXL » que celle de Gabriel Attal, lorsque celui-ci était ministre de l’Éducation nationale ? Permettez-moi alors de reprendre mot pour mot ce que je vous avais déclarés à l’époque à ce sujet, lors d’un précédent entretien, en janvier dernier : « D’expérience, les effets d’annonce ministériels ou présidentiels non suivis d’exécutions sont tellement courants qu’on peut légitimement se montrer, disons… attentif, non ? »…

La police a-t-elle encore réellement les moyens d’intervenir efficacement ?

Avant de parler de moyens, ne s’agirait-il pas de parler d’abord et avant de tout de « volonté » d’agir ? Que la majorité des policiers ait cette volonté, je n’en doute pas, mais sans ordre, ils ne feront rien, ce sont des fonctionnaires de l’État, je vous le rappelle. Si demain, on leur donne l’ordre de mettre le paquet pour en finir avec les gangs, les moyens, ils les trouveront et ils auront le dessus ; ils auront même facilement le dessus. Voyez cette fusillade entre deux gangs au quartier du Blosne à Rennes le 10 mars dernier. Une « longue fusillade (d’une) ampleur inédite », comme écrit Ouest-France. Elle a duré près de deux heures selon France Info… et seulement deux, voire trois voyous, ont été blessés. S’il existe des « tireurs d’élite », il y a aussi des « tireurs du dimanche », la preuve ! Mais le plus hallucinant a sûrement été d’entendre le lundi matin sur Cnews, dans l’émission de Pascal Praud, un des policiers de Rennes s’auto-féliciter non seulement de ne pas être intervenu deux heures durant « ce qui aurait risqué de faire davantage de victimes », mais surtout « d’avoir pu conduire les blessés rapidement à l’hôpital ». Alors, sans doute, quand les policiers redeviendront des « gardiens de la paix » et non plus des « ambulanciers », peut-être que les choses changeront, que les gangs ne feront plus impunément leurs lois dans notre pays… et que les lycéennes respecteront la laïcité dans les établissements scolaires.

Et la France redeviendra « France, mère des arts, des armes et des lois », comme l’a si bien loué Joachim Du Bellay. Nous étions alors en 1558.

Oui, mais Joachim du Bellay était un poète, lui. Pas un communiquant.

Philippe Randa a récemment publié :

Coups d’œil & Tirs à vue (Chroniques barbares XXI), Philippe Randa, Dualpha, préface d’Alain Sanders, 186 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici

La désinformation autour de l’écologie, Philippe Randa (présente), Dualpha, 198 pages, 25 euros… Avec les contributions de Francis Bergeron, Jean de Saint-Houardon, Richard Dessens, Michel Festivi, Nicolas Gauthier, Philippe Joutier, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Éric Pinel, André Posokhow, Bernard Plouvier, Claude Timmerman, Jean-Michel Vernochet. Pour commander ce livre, cliquez ici

00:43 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |