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vendredi, 06 septembre 2024

Un bien inutile « Haro sur le Barnier ! » 

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Bernard Plouvier

Pour une fois, le Président Macron a surpris en prenant une sage décision. Il a écarté d’un revers de main une coalition « de gauche », disparate et sans majorité de gouvernement, car sans autre programme que les gesticulations de l’absurde Mélenchon et de ses pom-pom girls wokistes, genristes, immigrationnistes, hystériques… en un mot : passéistes.

Avec Barnier, on pourrait gouverner du Centre macronien au Mouvement national, pour mettre fin à l’insécurité meurtrière et aux trafics divers qui fleurent bon le banditisme immigré : trafics de stupéfiants, d’armes et de prostituées, assassinats et crimes gratuits au couteau ou à l’arme de poing.

Avec Barnier, on pourrait décider de modifier la Constitution en passant au scrutin proportionnel pour les élections législatives et municipales, comme cela se fait pour les européennes.

La preuve est faite que la multiplication presque indécente des partis et l’émiettement des votes rend la pays, sinon ingouvernable, du moins en proie à la fête des fous – variante politique de la fièvre du samedi soir, où brûlent les voitures et où l’on s’entretue dans ou près des boîtes de nuit. 

Macron, qui a tout loupé – et dans les grandes largeurs -, pourrait finir en beauté grâce à un changement de régime électoral permettant à la volonté populaire de désigner réellement quel programme de gouvernement appliquer pour sortir du marasme économique : réindustrialiser le pays, assainir le néo-peuplement d’origine extra-européenne, faire respecter la Loi dans son intégralité, revigorer les campagnes et les petites villes laissées à l’abandon par des « services publics », davantage préoccupés de réparer les dégâts permanents induits par une jeunesse dévoyée et très inutilement importée d’autres continents.

À trois reprises, en juin-juillet de cette année, la Nation s’est exprimée, mais le total des voix n’a pas été pris en compte et le Parlement s’est enrichi de gens bizarres, élus par des grenouillages d’un autre temps. Les temps sont pourtant révolus de l’anarchie entretenue par le millier (Chambre + Sénat) de petits rois ambitieux, qui se comportent en roquets et en fofolles.

Si l’on veut sauver le système démocratique, il faut que chaque voix compte, que chaque citoyen puisse s’exprimer librement – sauf calomnie et pornographie, cela va sans dire. Mais il est consternant de constater que calomnies et pornographie se portent fort bien, alors que tout va mal dans le pays !

Un vieux « général de TSF », qui s’est surtout signalé par ses aptitudes à créer et entretenir la guerre civile, a osé dire un jour : « Moi ou le chaos ». Dans la situation réellement explosive de notre pays, il ne reste que deux éventualités :

• Ou bien, les politiciens comprennent qu’il est temps de respecter l’expression du vote populaire,

• Ou bien, l’on assiste à l’insurrection d’une Nation opprimée, envahie, salie et abandonnée par ses « élus » et ses « élites ».  

11:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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