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vendredi, 07 mars 2025

Le petit théâtre de la peur

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron et le système politico-médiatique qui l’entoure ont un modus operandi bien rodé : terroriser les Français pour mieux les manipuler. Hier, c’était le Covid, avec des discours hystériques qui ont justifié des mesures liberticides absurdes. Puis est venu le réchauffement climatique, utilisé comme un prétexte pour imposer des taxes et des restrictions sans fondement. Aujourd’hui, c’est la Russie : un péril monté en épingle pour justifier l’alarmisme et la soumission.
 
Mais regardons les faits : où est l’invasion russe de l’Europe qu’on nous promet ? Où sont les preuves de cette guerre imminente qui justifierait que la France se précipite dans un conflit qui n’est pas le sien ? Encore une fois, il ne s’agit pas d’informer, mais de conditionner, d’angoisser, de sidérer. Et ça marche ! Malheureusement, cela fonctionne surtout sur les plus crédules, notamment la génération des boomers, ce bastion électoral du macronisme et du centrisme mou, toujours prête à gober la propagande servie par les éditorialistes du Système.
 
Ce petit théâtre de la peur n’a qu’un but : détourner l’attention des vrais problèmes. La France s’appauvrit, s’effondre, perd sa souveraineté, est grand-remplacée, pendant que Macron amuse la galerie avec ses discours inquiétants. Il est temps de dire stop. Il est plus que temps de se débarrasser de cette clique nuisible qui ment aux Français, qui les infantilise et qui affaiblit notre pays.
 
Assez de manipulations, assez de soumission ! Retrouvons une France forte et libre.
 
Site du PdF cliquez ici

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18:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les enseignements des législatives allemandes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Le 23 février dernier, soixante millions et demi d’Allemands votaient pour désigner leur nouveau Bundestag, suite à la dissolution de la vingtième législature prononcée le 27 décembre 2024 par le président de la République fédérale.

L’élection se déroule selon un mode de scrutin mixte original. Chaque électeur détient deux voix. Sur le même bulletin de vote se présentent deux colonnes. La première concerne le mandat direct : 276 circonscriptions au scrutin majoritaire uninominal à un seul tour. La seconde porte sur une liste présente au niveau du Land, soit 354 sièges répartis à la proportionnelle selon la méthode de Sainte-Laguë qui favorise les minorités. L’électeur coche donc à deux reprises sans forcément choisir la même formation politique. L’accès au Bundestag suppose d’obtenir 5 % au niveau fédéral ou bien de gagner trois mandats directs qui annulent ce seuil. Il est enfin possible pour une personne d’être à la fois candidate à un mandat direct et de figurer sur une liste régionale.

Une participation de 82,54 %, soit près de six points et demi de hausse, marque ces élections anticipées. Il faut remonter aux législatives de 1987 pour observer un si fort engouement civique. La brièveté de la campagne électorale n’a pas empêché un réel intérêt accru par les attentats islamistes allogènes à la voiture et au couteau. La tendance finale confirme une fragilisation partielle du consensus outre-Rhin.

Les listes de la coalition CDU – CSU arrivent en tête avec 28,52 %. Certes, elles remportent l’élection, mais leur résultat se trouve en dessous des 30 % prévus par les sondages. Pressenti pour devenir le prochain chancelier fédéral, Friedrich Merz est dès à présent vulnérable, car ses 208 députés n’arrivent pas à la majorité absolue de 316 sièges.

Le chancelier sortant, le social-démocrate Olaf Scholz, perd son pari de conserver son poste. Avec 16,41 %, le SPD réalise la plus mauvaise contre-performance électorale de son histoire. Perdant 86 sièges, les 120 heureux élus vont sûrement exiger quelques comptes à Scholz qui, tel un Biden obstiné et têtu, n’a pas voulu renoncer au profit de l’actuel ministre de la Défense, Boris Pistorius, plus populaire que lui d’après les enquêtes d’opinion.

Les libéraux-démocrates du FDP sortent du Bundestag avec 4,33 %. Dès l’annonce des premières tendances désastreuses, leur chef de file, Christian Lindner, a démissionné de la présidence du parti et quitté la vie politique active. Ce vote confirme le déclin du FDP qui n’est plus représenté que dans neuf Länder sur seize. Bien que perdant 33 sièges, les Verts restent relativement stables (11,61 % et 85 députés). Leur programme belliciste en politique étrangère et liberticide en politique intérieure ne gêne pas leurs électeurs nantis désormais bien souvent retraités. Certains responsables Verts seraient néanmoins favorables à une entente gouvernementale avec Friedrich Merz. Mais cette hypothétique alliance noire – verte impliquerait un gouvernement minoritaire.

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10:59 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec François Fillon

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Voici belle lurette que l’on avait oublié François Fillon, fort injustement poursuivi par une justice, une fois de plus, aux ordres du pouvoir politique. Si la qualité de nos hommes politiques d’aujourd’hui est leur médiocrité, ils n’en cultivent pas moins la rancoeur et n’oublient jamais de régler leurs comptes. Tous nos chefs d’Etat depuis De Gaulle n’ont pas dérogé à cette règles – on se souvient de Chirac à l’égard des balladuriens.

Sa défaite a amené François Fillon à se retirer du marigot au fort relent de lisier. Pour la première fois depuis longtemps, il a répondu aux questions de Tugdal Denis dans Valeurs actuelles. Et l’on découvre un homme d’une extrême lucidité face au monde de chaos dans lequel nous ont précipité nos politiques. Il aborde ici tous les sujets, qu’ils soient nationaux ou internationaux, au point que nous sommes les premiers à souscrire à ses analyses pour la bonne raison que cela fait des décennies que nous claironnons la même chose.

Lire l'entretien ICI

Source : Valeurs actuelles 6/3/2025

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09:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |