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samedi, 08 mars 2025

8 mars, une journée de trop ?

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Chaque 8 mars, une étrange cérémonie se répète : la Journée internationale des droits des femmes. Une journée qui, à bien y regarder, relève d’une absurdité presque insultante. Pourquoi faudrait-il un jour spécifique pour honorer la moitié de l’Humanité, comme si être une femme était une anomalie, une catégorie à part qu’il faudrait encourager ou protéger ? C’est là une condescendance insupportable. Aimer les femmes, c’est d’abord les considérer comme une évidence, et non comme une cause politique.

Mais les féministes, ces insatiables militantes du chaos social, ne célèbrent pas cette journée pour les bonnes raisons. Leur combat n’a rien à voir avec la mise en valeur de la féminité ; il s’agit au contraire d’un rejet de tout ce qui fait l’essence même de la femme. Elles revendiquent l’avortement de masse comme une victoire, brandissent le divorce comme une libération, glorifient l’asservissement des femmes au marché du travail au détriment de leur rôle familial. Elles prônent la déconstruction des identités sexuelles, encouragent une misandrie latente et ringardisent le modèle familial traditionnel qui a pourtant bâti notre civilisation. Pire encore, elles se rendent coupables d’un silence complice face aux véritables menaces pesant sur les femmes françaises : l’explosion des violences liées à l’immigration afro-musulmane. Là où le féminisme devrait défendre celles qui sont les premières victimes de cette insécurité grandissante, il détourne le regard, préférant accuser le patriarcat occidental, coupable commode et imaginaire.

Le féminisme moderne n’aspire qu’à une chose : transformer la femme en un homme comme les autres. Il faut qu’elle travaille, qu’elle boive, qu’elle séduise et qu’elle consomme comme un homme. Mais les femmes n’ont pas vocation à singer les hommes. Elles ne seront jamais leur reflet, et c’est tant mieux. Leur grandeur ne réside pas dans une imitation servile de la virilité, mais dans ce qu’elles sont intrinsèquement : la beauté, la douceur, l’élégance, l’équilibre du foyer, la force tranquille de la transmission. Ce ne sont pas des rôles imposés mais des qualités naturelles que la société devrait exalter au lieu de les nier.

Car c’est bien là que réside la vérité : la femme est un trésor. Elle est le complément parfait de l’homme, son alliée, son inspiration. Elle accomplit l’acte le plus noble qui soit : elle donne la vie. Aucun progrès technologique, aucune idéologie ne pourra jamais remplacer l’amour d’une mère, cet amour originel qui fonde les sociétés et façonne les civilisations. Voilà ce qu’il faut célébrer. Non pas une énième revendication politique mais un hommage sincère à celles qui, par leur présence et leur rôle unique, donnent un sens au monde.

En ce 8 mars, au lieu de se perdre dans des luttes stériles et destructrices, il est temps de se souvenir que la véritable grandeur féminine ne réside pas dans l’affrontement, mais dans l’harmonie.

Pour le blog de Thomas Joly, cliquez ici

 

Note : Marilena Grill a 16 ans en juillet 1944 quand elle se porte volontaire pour le service auxiliaire féminin de la République sociale italienne (RSI). Elle est affectée au bureau qui s'occupe de rechercher les soldats turinois disparus sur les différents fronts. Le 28 avril 1945, elle est enlevée chez ses parents par quatre partisans et après cinq jours de détention arbitraire, elle est assassinée d'une balle dans la tête. Elle n'avait pas encore 17 ans. Un crime de plus au (lourd, très lourd) passif des rouges... Communistes, assassins !

Le gouvernement de Giorgia Meloni vient de lui rendre hommage par l'émission du timbre que nous reproduisons en tête de cet article du président du Parti de la France. Une leçon de courage, de mémoire et de fidélité de la part de nos amis et camarades italiens que nos dirigeants hors sol feraient bien de méditer !

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17:45 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journée de la Femme : Sarah Knafo sera cet après-midi aux côtés du Collectif Némésis

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Collectif Némésis : cliquez ici

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09:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Clairvoyant l'Italien...

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09:41 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De la guerre

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L’académicien Jean-Marie Rouart dans un texte paru dans Le Figaro (8/3) intitulé : « Comment comprendre cet engouement pour la guerre qui semble saisir Emmanuel Macron ? » s’interroge sur le soudain prurit guerrier du président. Nous en avons extrait les passages suivants.

N’est-il pas irresponsable de jouer avec la troisième guerre mondiale ? Le jeu des alliances par effet de domino a montré tout à long du XXe siècle le risque qu’il y avait à se laisser entraîner dans des conflits qui ont abouti non seulement à la destruction de l’Europe, mais à la quasi-ruine des pays qui la composent. Est-ce donc l’exemple à suivre? Quant aux discussions de marchands de tapis sur la dissuasion nucléaire, n’a-t-elle pas quelque chose d’indé- cent au regard d’une menace aussi définitive ? Comment les grands responsables politiques peuvent-ils avec une sorte d’impudeur évoquer des situations qui entraîneraient à plus ou moins brève échéance la destruction d’une partie voire de la totalité de la planète ? La dissuasion nucléaire n’a pas été créée pour mettre le feu au monde au nom d’une générosité illusoire. Nous en avons payé déjà trop cher le prix.

(…) Autre question qu’à mon avis on ne se pose pas assez : qu’est-ce donc aujourd’hui qu’être patriote? Dramatisons : pour quel pays est-on prêt à mourir? La France ? L’Europe, mais laquelle ? C’est une variante de l’interrogation de 1939 où l’Ukraine tiendrait le rôle de la Pologne : qui est prêt à mourir pour Dantzig ? Le feu nucléaire pose la question différemment. Il ne s’agit plus de mourir seul mais d’entraî- ner dans sa mort des milliers, voire des millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Cela pose même la question de la survie de l’espèce humaine. Est-ce vraiment une menace sur laquelle nous avons réfléchi avant de jouer les apprentis sorciers ? Si patriote qu’on soit, on peut aujourd’hui se sentir un patriote de ce bien merveilleux, à la fois intime, personnel et universel, qu’est la vie. Mais il y aura toujours ceux qui, comme le docteur Folamour, le héros de Kubrick, préfèrent jouer les Sardanapale et, quitte à mourir, souhaitent disparaître dans un bain de sang collectif.

(…) Dans ce climat anxiogène dont le président Macron visiblement requinqué tire une nouvelle légitimité, on peut s’interroger sur ce qu’il adviendra réellement de ce projet d’« économie de guerre », sorti en hâte des tiroirs, ainsi que des 800 milliards que Madame von der Leyen veut jeter dans la balance. Ces grands spectres, accompagnés de gesticulations et de réunions d’urgence, sont une spécialité européenne. Les actes ont parfois du mal à suivre. Ce qui en l’occurrence serait plutôt rassurant pour ceux qu’alarme cette précipitation dans la perspective guerrière avant d’avoir épuisé toutes les négociations en faveur de la paix, y compris avec la Russie, espace européen de culture européenne. Car, soyons carrément anticonformistes, il n’est pas inutile de donner une chance à la paix.

Source : Figaro 8/3/2025

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09:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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09:05 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |