Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 11 mars 2025

Gouverner par la peur : la nouvelle arme des élites

KDL7MCKE5ZAFBLQC6AVV7UJW3M.jpg

Thomas Joly, président du Parti de la France

Il y a quelque chose de fascinant – et d’effrayant – dans l’aptitude de nos élites à se précipiter avec une ferveur quasi religieuse dans les pires mensonges d’État. Comme hier avec le Covid, aujourd’hui avec la Russie, quiconque ose émettre le moindre doute sur la réalité de la menace est immédiatement taxé de fou, de traître, voire d’agent infiltré du Kremlin. La mécanique est toujours la même : on martèle un récit simpliste, on le répète ad nauseam sur toutes les ondes et on diabolise ceux qui osent le contester.

Emmanuel Macron, grand maître de la manipulation et du double langage, s’est mué en chef de guerre, évoquant sans trembler une possible confrontation avec Moscou. De quoi faire sourire si ce n’était pas si tragique. Qui peut croire un seul instant que la Russie, qui peine déjà à stabiliser ses positions en Ukraine, ait la moindre intention de fondre sur Paris et de faire défiler ses chars sur les Champs-Élysées ? Qui peut prendre au sérieux ces clowns en costume-cravate, ces adeptes du mondialisme sans frontières, qui se découvrent soudain une fibre patriotique à géométrie variable ?

Et pourtant, ils osent. Ils osent donner des leçons de courage et de fermeté à la droite nationale, à ceux qui, depuis toujours, défendent l’identité et la souveraineté de notre Nation. Les macronistes, ces chantres de la dissolution de la France dans le grand magma européiste, se parent des atours du patriotisme et accusent ceux qui refusent de céder à l’hystérie collective d’être les ennemis de la République. Le grotesque atteint des sommets quand on voit certains jeunes cadres de Renaissance – à la virilité plus que douteuse – jouer aux stratèges militaires et exiger une fermeté inébranlable face à Moscou.

Pire encore, même le Rassemblement National, censé incarner une alternative au système, se laisse piéger par cette fable ridicule. Par crainte de heurter une opinion publique abreuvée de propagande, Jordan Bardella reprend partiellement le discours ambiant sur une Russie avide de conquête, au lieu d’appeler à la raison et au pragmatisme. L’Histoire se répète : face au rouleau compresseur médiatique, la fausse droite plie, renonce et abdique.

Et que dire du rôle des médias ? Ces prétendus contre-pouvoirs sont devenus de simples chambres d’écho des ordres du pouvoir. Pas une once de nuance, pas le moindre débat, pas une seule voix discordante autorisée à remettre en cause la doxa officielle. On nous sert des éditorialistes tremblants, des « experts » de pacotille, des généraux de plateau télé qui expliquent doctement que la France doit se préparer à l’affrontement, comme si nous avions encore une armée digne de ce nom après des décennies de désarmement méthodique. Et malheureusement, comme toujours, une partie du peuple – en particulier les plus âgés – tombe dans le panneau. Aveuglés par la peur, hypnotisés par la propagande, ils se laissent convaincre qu’une guerre avec la Russie est inévitable et qu’il faut s’aligner sans réserve sur les injonctions des pathétiques gouvernements d'Europe de l'Ouest et de la Commission européenne.

Le Parti de la France refuse de souscrire à cette folie. Non, la Russie n’a aucune intention d’envahir l’Europe et encore moins la France. Non, Donald Trump n’est ni un fou ni un ennemi, mais un partenaire potentiel à la tête de la première puissance mondiale. Il ne s’agit pas de se soumettre ni à Moscou ni à Washington, mais de toujours agir en fonction d’un seul critère : les intérêts de la France et des Français. Contre cette propagande belliciste, contre cette manipulation éhontée, nous affirmons haut et fort notre refus de céder à l’idéologie mondialiste qui veut nous entraîner dans un conflit qui n’est pas le nôtre.

Diapositive1 copie 8.jpg

20:32 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le programme « Numérique en détention », une guignolerie à 125 millions d’€ !

tablettes-prison.jpg

La chronique de Philippe Randa

Décidément, l’opinion publique est souvent (toujours ?) en retard, sinon d’un train, au moins d’une technique… Beaucoup de nos concitoyens ne morigènent-ils pas contre la belle vie qu’auraient les détenus en nos bien insuffisantes prisons avec leurs… télés ! Hé non ! pas la télé ! S’ils se la coulent douce derrière leurs barreaux, c’est surtout grâce aux… tablettes tactiles, généreusement fournies en prison grâce à l’argent de nos impôts.

Certains s’étranglent sans doute d’indignation à l’évocation de ce scandale, mais on ne peut que leur souhaiter de ne jamais apprendre pour ceux qui l’ignoreraient (désolé alors pour ceux qui lisent ces lignes et qui m’en voudront) que le prix des tablettes oscillent entre 500 à 1 600 € (re-sic !).

25 000 tablettes ont ainsi été distribuées pour éclairer ces malheureux mis à l’ombre suite à quelques défaillances civiques de leur part.

Pour quelles raisons ? Mais pour les meilleurs intentions du monde bien sûr, car ce programme « Numérique en détention », nous apprend Le Figaro, a été « conçu dans le but d’aider les prisonniers à accomplir certaines tâches via des tablettes numériques sans l’aide des gardiens – rédaction du courrier, gestion de leur planning de parloir –,… », mais, comme c’est ballot ! il « a été détourné de sa visée pratique ». Qui l’aurait crû !

Ces tablettes Samsung qui « auraient dûes » rester fixées au mur des cellules, « encastrées dans des sarcophages inviolables », servent surtout à se distraire. On a peine à le croire ! (bis repetita).

Et pas que : au passage, nombre de détenus ont pu faire connaître sur les réseaux sociaux ce qu’ils pensaient de leurs gardiens : beaucoup de bien, qui en douteraient… et l’un d’eux, est même « parvenu à accéder à Internet, ce qui devait être impossible. Il s’en est vanté sur les réseaux sociaux proposant de vendre, pour 50 €, un tutoriel permettant de surfer sur le web et de regarder, comme lui, des clips de musique ou des films », rapporte Le Parisien.

Allez, une dernière petite mesquinerie pour la route :  le coût total de ce programme « Numérique en détention » lancé en 2018 par Nicole Belloubet, alors Garde des Sceaux, et étendu à toutes les prisons depuis 2023 : 125 millions d’€.

Gérald Darmanin, actuel Ministère de la Justice, a tout de même décidé de siffler la fin de la guignolerie en suspendant ce programme, ce qui gèle de fait pour 65 millions d’€ de crédits restants.

Tout contribuable appréciera comme il se doit la plaisanterie commencée il y a près de 7 ans avant d’être stoppée et qui aura donc coûté près de 60 millions d’€ !

7 ans… C’était déjà la Macronie ! Rappelons que Nicole Belloubet, après le ministère de la Justice (durant 3 ans et 15 jours de 2017 à 2020) a sévit à celui de l’Éducation nationale et de la Jeunesse (7 mois et 13 jours en 2024)… D’ici à ce qu’on découvre qu’elle y ait commis un autre programme à quelques millions d’€… Oh non ! Vous croyez ? Quand même pas !

Mais si on était à une guignolerie près en Macronie, ça se saurait, n’est-ce pas ?

Diapositive1 copie 8.jpg

20:26 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

10 mai, Paris : mobilisation nationaliste

facebook_1741642634124_7304978666878397608.jpg

16:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faculté de Rennes vandalisée, agressions : l’insupportable impunité des gauchistes

Rennes2.jpg

Bernard Germain 

Il n’y a plus un jour sans que les islamo-gauchistes, la « gauche » et les bien pensants ne montrent leur dangerosité, leur violence, leur sectarisme et leur débilité.

Rien que ces derniers jours ce fut démontré à plusieurs reprises de manière éclatante.

D’abord Vendredi 7 mars au soir à Paris. Manifestation, soit-disant en préparation de la « journée de la femme ». Au passage on me permettra de rire de cette imbécillité… la journée de la femme. Les femmes ne représentent que la moitié de l’humanité mais elles bénéficient d’une « journée » comme s’il s’agissait d’une espèce à protégée car en voie de disparition. Pitoyable.

Mais on constate aussi d’année en année que le combat pour les droits des femmes, qui était une cause respectable à ses débuts, est devenu du grand n’importe quoi. Il n’y a plus de combat pour l’égalité homme-femme, pour l’égalité salariale à compétence égale, contre les discriminations,… etc.

Aujourd’hui le combat des femmes est un combat contre les hommes, contre leur société patriarcale et pour la destruction de cette société.

C’est là qu’on revient à la manifestation de vendredi soir. Il paraît que c’était pour les droits des femmes. En réalité c’était une manifestation organisée par des organisations pro palestiniennes dont l’une est même le faux nez du FPLP, une organisation officiellement classée terroriste. Le préfet de police l’a donc interdite… les juges l’ont bien sûr autorisée. Consternant.

Le lendemain, samedi 8, nouvelle démonstration dramatique de ce qu’est devenu le combat « féministe ». Une manifestation durant laquelle il n’y avait quasiment aucun mot d’ordre pour l’égalité Homme-Femme ou pour condamner des discriminations que subiraient les femmes.

Non, les mots d’ordre étaient surtout centrés sur la Palestine et sur Gaza, avec moultes drapeaux palestiniens. Qu’est-ce que la Palestine et Gaza viennent faire dans une prétendue manifestation pour les droits des femmes ?

C’est simple : le « combat des femmes » a été récupéré et détourné par l’extrême gauche avec le soutien d’une « gauche » qui se couche devant eux. Et en plus il y avait des islamistes. Là on me permettra de me rouler par terre de rire.

Les islamistes défenseurs des droits des femmes ?… c’est un peu comme si nous disait qu’à l’époque Hitler avait été président d’une association de défense des juifs.

Comment peut-on être taré comme ces militants de « gauche » pour défiler avec des gens qui lorsqu’ils dirigent un pays (Iran, Afghanistan, Arabie-Saoudite, Pakistan, Algérie… etc.) nous montrent comment ils traitent les femmes, allant jusqu’à les tuer si elles ne veulent pas se soumettre à l’autorité des hommes ni aux préceptes de l’islam.

Ajoutons que ces décérébrés gauchistes et islamistes ont également agressé physiquement les manifestantes de Némésis qui souhaitaient manifester mais en n’oubliant pas de dénoncer les violeurs migrants et sous OQTF qui sévissent quotidiennement dans notre pays en exigeant leur expulsion de France.

Donc, là, face à ces agressions et viols que la gauche et les bien pensants ne veulent pas voir, il n’y a pour eux qu’une réponse : la violence. Et ce fut le cas.

Némésis a donc été expulsée manu militari de la manifestation et fut obligée de manifester dans un cortège à part et sous la protection de la police.

Et certains osent dire que c’est « l’extrême droite » qui est violente et agresse en France ?

Il serait temps que les responsables de ces exactions aillent là où ils méritent d’être : en prison. D’autant que sur le parcours de leur manifestation on pouvait voir sur les murs des tags : « Une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Il s’agit d’un appel au meurtre du même tonneau que ce que Raphaël Arnault (antifa de Lyon élu député LFI) qui avait déclaré : « Si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». Si nous vivions dans un pays normal, leurs auteurs, à commencer par Raphaël Arnault devraient être jetés en prison. Mais nous sommes dans la France de Macron et dans ce beau pays Raphaël Arnault n’est pas en prison, mais en plus il se permet de dénoncer les prétendues violences de l’extrême droite. Inversion complète des rôles. On croit rêver !

Quant à Rima Hassan, elle n’oublia pas d’apporter sa petite pierre à cet édifice en publiant sur son compte la photo d’un tag « Dissoudre Némésis à l’acide ». ça aussi c’est condamnable. Au passage on rappellera aussi dame sympathique comme une tarentule que c’est surtout dans les pays qu’elle glorifie qu’on défigure les femmes à l’acide.

Un second fait mérite d’être rapporté tant il est grave et représentatif de la dégradation et même de la décomposition que connaît notre pays : la situation à Rennes.

Il y a à peine une décennie Rennes était une ville de province tout à fait sympathique.

Lire la suite

01:17 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Résister à l'extrême-droite ? Réponse à Salomé Saqué

La réponse d'Ego Non

La dénonciation de "l'extrême-droite" fait partie des lieux communs de la gauche morale. Or, depuis quelques mois, nous avons assisté à une répétition de cette posture avec le petit essai de Salomé Saqué, "Résister". A lire cet opuscule – parmi les meilleures ventes d'essais du moment – la droite radicale constituerait la pire menace pesant sur l'Europe contemporaine. Pourtant, aucune analyse sérieuse n'est donnée sur les raisons poussant de plus en plus d'Européens à se tourner vers la droite plutôt que vers la gauche.

C'est pourquoi j'ai décidé de partir de cet angle mort pour lui répondre et revenir sur la nature philosophique de la vision du monde de droite. Loin d'être la menace de notre temps, cette dernière me semble au contraire la seule voie permettant de faire face aux défis de l'Europe. 

La chaine d'Ego Non : cliquez ici

channels4_banner.jpg

01:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |