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mardi, 11 mars 2025

Faculté de Rennes vandalisée, agressions : l’insupportable impunité des gauchistes

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Bernard Germain 

Il n’y a plus un jour sans que les islamo-gauchistes, la « gauche » et les bien pensants ne montrent leur dangerosité, leur violence, leur sectarisme et leur débilité.

Rien que ces derniers jours ce fut démontré à plusieurs reprises de manière éclatante.

D’abord Vendredi 7 mars au soir à Paris. Manifestation, soit-disant en préparation de la « journée de la femme ». Au passage on me permettra de rire de cette imbécillité… la journée de la femme. Les femmes ne représentent que la moitié de l’humanité mais elles bénéficient d’une « journée » comme s’il s’agissait d’une espèce à protégée car en voie de disparition. Pitoyable.

Mais on constate aussi d’année en année que le combat pour les droits des femmes, qui était une cause respectable à ses débuts, est devenu du grand n’importe quoi. Il n’y a plus de combat pour l’égalité homme-femme, pour l’égalité salariale à compétence égale, contre les discriminations,… etc.

Aujourd’hui le combat des femmes est un combat contre les hommes, contre leur société patriarcale et pour la destruction de cette société.

C’est là qu’on revient à la manifestation de vendredi soir. Il paraît que c’était pour les droits des femmes. En réalité c’était une manifestation organisée par des organisations pro palestiniennes dont l’une est même le faux nez du FPLP, une organisation officiellement classée terroriste. Le préfet de police l’a donc interdite… les juges l’ont bien sûr autorisée. Consternant.

Le lendemain, samedi 8, nouvelle démonstration dramatique de ce qu’est devenu le combat « féministe ». Une manifestation durant laquelle il n’y avait quasiment aucun mot d’ordre pour l’égalité Homme-Femme ou pour condamner des discriminations que subiraient les femmes.

Non, les mots d’ordre étaient surtout centrés sur la Palestine et sur Gaza, avec moultes drapeaux palestiniens. Qu’est-ce que la Palestine et Gaza viennent faire dans une prétendue manifestation pour les droits des femmes ?

C’est simple : le « combat des femmes » a été récupéré et détourné par l’extrême gauche avec le soutien d’une « gauche » qui se couche devant eux. Et en plus il y avait des islamistes. Là on me permettra de me rouler par terre de rire.

Les islamistes défenseurs des droits des femmes ?… c’est un peu comme si nous disait qu’à l’époque Hitler avait été président d’une association de défense des juifs.

Comment peut-on être taré comme ces militants de « gauche » pour défiler avec des gens qui lorsqu’ils dirigent un pays (Iran, Afghanistan, Arabie-Saoudite, Pakistan, Algérie… etc.) nous montrent comment ils traitent les femmes, allant jusqu’à les tuer si elles ne veulent pas se soumettre à l’autorité des hommes ni aux préceptes de l’islam.

Ajoutons que ces décérébrés gauchistes et islamistes ont également agressé physiquement les manifestantes de Némésis qui souhaitaient manifester mais en n’oubliant pas de dénoncer les violeurs migrants et sous OQTF qui sévissent quotidiennement dans notre pays en exigeant leur expulsion de France.

Donc, là, face à ces agressions et viols que la gauche et les bien pensants ne veulent pas voir, il n’y a pour eux qu’une réponse : la violence. Et ce fut le cas.

Némésis a donc été expulsée manu militari de la manifestation et fut obligée de manifester dans un cortège à part et sous la protection de la police.

Et certains osent dire que c’est « l’extrême droite » qui est violente et agresse en France ?

Il serait temps que les responsables de ces exactions aillent là où ils méritent d’être : en prison. D’autant que sur le parcours de leur manifestation on pouvait voir sur les murs des tags : « Une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Il s’agit d’un appel au meurtre du même tonneau que ce que Raphaël Arnault (antifa de Lyon élu député LFI) qui avait déclaré : « Si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». Si nous vivions dans un pays normal, leurs auteurs, à commencer par Raphaël Arnault devraient être jetés en prison. Mais nous sommes dans la France de Macron et dans ce beau pays Raphaël Arnault n’est pas en prison, mais en plus il se permet de dénoncer les prétendues violences de l’extrême droite. Inversion complète des rôles. On croit rêver !

Quant à Rima Hassan, elle n’oublia pas d’apporter sa petite pierre à cet édifice en publiant sur son compte la photo d’un tag « Dissoudre Némésis à l’acide ». ça aussi c’est condamnable. Au passage on rappellera aussi dame sympathique comme une tarentule que c’est surtout dans les pays qu’elle glorifie qu’on défigure les femmes à l’acide.

Un second fait mérite d’être rapporté tant il est grave et représentatif de la dégradation et même de la décomposition que connaît notre pays : la situation à Rennes.

Il y a à peine une décennie Rennes était une ville de province tout à fait sympathique.


Depuis 1977, le PS dirige la ville. Le maire actuelle est Nathalie Appéré. Cette socialiste laissera son nom dans l’histoire de sa ville comme celle qui en une dizaine d’années (elle est maire depuis 2014) aura largement contribué à la désintégration de cette cité. La police municipale n’est pas armée, mais on se bat à coups de Kalachnikov dans les rues et le trafic de drogue est partout. Tout comme les « mineurs isolés » sont incroyablement nombreux. Le résultat est une insécurité délirante et une délinquance qui ne l’est pas moins.

Mais les malheurs de la ville ne s’arrêtent pas là. L’université de Rennes est également en phase de destruction accélérée par l’action d’organisations antifas, de syndicats et de LFI.

La faculté de Rennes 2 est tout particulièrement touchée. Depuis des semaines une mobilisation étudiante s’est développée, au départ pour protester contre des coupes budgétaires. Sauf qu’on a très vite vu arriver les mêmes tarés violents et cette mobilisation fut le prétexte à un déchaînement de vandalisme qui va coûter plus de 300.000 € de travaux que le citoyen va payer puisque tout cela n’existe que grâce aux impôts des Français. Là encore on a vu fleurir sous forme de tags des « Free Palestine » ou « Free Georges Abdallah » (un terroriste palestinien actuellement en prison). Quel rapport avec les problèmes budgétaires ?

À Nouveau c’est l’extrême gauche dont LFI qui en est responsable. Notamment le « syndicat » Union Pirate, fondée à Brest par la députée Marie Mesmeur (La France Insoumise), mais aussi le groupe « Défense Active » et le syndicat « Solidaires » -syndicat gauchiste toujours dans les bons coups- qui ont fait dégénérer le mouvement qu’un nombre considérable d’étudiant non moins dégénérés ont accepté de suivre.

La police est intervenue et 5 personnes ont été mises en garde à vue et seront jugées le 24 avril 2025.

Et bien sûr en plus de la vandalisation des bâtiments ces débiles y ont également ajouté l’inévitable violence qu’ils utilisent en permanence pour imposer leurs opinions.

Deux personnes en ont fait les frais. L’une est l’ancien responsable du RN jeune et l’autre est le collaborateur parlementaire d’un député européen RN.

Ils ont été reconnus par des antifas qui se sont jetés sur eux en meute, les ont agressés, frappés à terre et volés.

On notera au passage, comme le rapporte le journal Breizh-Infos :

« Ce passage à tabac s’est déroulé sous les yeux de membres de l’administration de la faculté de droit, dont Barbara Sevestre, responsable administrative et financière de l’établissement. D’après plusieurs témoignages, cette dernière aurait refusé d’ouvrir les portes aux étudiants agressés qui tentaient de trouver refuge dans le bâtiment, les laissant ainsi à la merci de leurs assaillants. ».

Bravo à cette dame pour son attitude qui devrait lui valoir de sévères sanctions, notamment pour non assistance à personne en danger. Peut-être aussi a-t-elle eu cette attitude par solidarité avec les antifas en refusant d’ouvrir la porte afin que ces deux personnes échappent à leurs agresseurs ?

On notera aussi que la député LFI (celle qui a fondé l’Union Pirate) est allé voir en garde à vue les interpellés afin de leur apporter son soutien.

Comme je le disais, tout ces gens devraient être arrêtés, jugés, condamnés sévèrement et jetés en prison. Mais ce n’est pas le cas et notre pays est en train de s’effondrer.

Vous voulez une dernière preuve de l’état de décomposition de la France ?

Vous vous souvenez sans doute du récent meurtre de Mulhouse où un homme a trouvé la mort, poignardé par un Algérien sous OQTF. Il y a eu un rassemblement pour lui rendre hommage. À cette occasion deux jeunes (25 et 26 ans) de l’Action Française ont crié :

« Stop au francocide », et « expulsez les OQTF, bande de lâches ! ».

Ils ont été immédiatement arrêtés par la police et selon le journal Le Dauphiné du 25 février « Une enquête est en cours, a indiqué le procureur de Mulhouse, Nicolas Heitz, qui a estimé que « les faits sont graves » ». Là, c’est indiscutable, les faits sont très graves. Car demander l’arrêt des meurtres contre les Français et que les OQTF soient expulsés, c’est absolument insupportable et les auteurs doivent être poursuivis et condamnés.

Est-ce bien étonnant d’entendre cela de la bouche de Nicolas Heitz ?

Vous avez sans doute oublié qu’il était le procureur de St-Brieuc durant la bataille de Callac et il s’était illustré en refusant de poursuivre les antifas qui avaient par deux fois attaqué notre manifestation et violemment agressé les gendarmes. On ne se refait pas. 

Insupportable deux poids et deux mesures. Ceux qui devraient être en prison ne sont pas poursuivis et n’y iront pas.

Tandis que ceux qui défendent notre pays et ne disent que des paroles de bon sens sont traînés dans la boue, agressés, arrêtés, poursuivis et condamnés afin qu’il se taisent.

Qu’ils le sachent tous, nous ne nous tairons pas. Reste que notre pays est bien malade.

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01:17 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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