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jeudi, 24 avril 2025

Revue de presse : le grand média breton "Breizh Info" relate la projection de "Silenced" en Côte-d'Armor mercredi soir

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Bretagne. « Silenced », reportage signé Tommy Robinson, censuré par de très lâches élus avec l’appui de la presse mainstream et de la gauche. La liberté d’expression en danger

Une projection interdite à Lannion. Puis à Saint-Brieuc. Puis à Lorient. Partout en Bretagne, le film Silenced, réalisé par le Britannique Tommy Robinson, se voit réduit au silence. Officiellement, les arrêtés municipaux invoquent un risque de « trouble à l’ordre public ». Officieusement, c’est bien plus grave : ce n’est pas l’œuvre qui dérange, mais le fait qu’elle existe.

La gauche comme bras armé de la censure

Depuis plusieurs semaines, une mécanique bien huilée se met en place dès qu’un collectif national ou local annonce une projection : pression des élus de gauche et d’extrême gauche, pétitions, intimidations, menaces de manifestation, relais dans la presse subventionnée et amicale. Puis viennent les arrêtés municipaux, justifiés par un « risque de trouble », que les autorités provoquent elles-mêmes en activant leur propre camp. C’est le serpent qui se mord la queue : la violence supposée vient toujours des censeurs, jamais des organisateurs.

Gaëlle Le Stradic, vice-présidente de la Région Bretagne, résume à elle seule l’arrogance du système : « Le racisme n’est pas une opinion, donc pas de projection. Simple. » Voilà une élue qui décide, sans avoir vu le film, de sa teneur, de sa légitimité, et surtout de ce que les Bretons peuvent ou non regarder. C’est désormais cela, la démocratie culturelle.

Une presse qui désinforme en chœur

Quant aux médias de grand chemin ils se sont faits procureurs. À peine le titre du film mentionné, le procès est déjà instruit : Silenced serait un film « raciste », « complotiste », « islamophobe », « xénophobe ». Une œuvre « interdite en Angleterre » – en réalité non classée, mais censurée pour des motifs judiciaires dans un pays où les procès bâillons sont monnaie courante. Peu importe, aucun de ces journalistes ne semble avoir visionné le film. La vérité n’a pas sa place dans leur logiciel, seul le conformisme idéologique compte.

À Lannion, à Saint-Brieuc, à Lorient, les maires invoquent « les tensions sur les réseaux sociaux », « les affrontements entre ultra-droite et ultra-gauche ». Mais qui menace qui ? Qui intimide les propriétaires de salles ? Qui dénonce les organisateurs sur les réseaux sociaux ? Qui parle déjà de contre-manifestations ? Certainement pas les spectateurs du film, ni les associations comme Liberté Démocratie Bretagne ou le Cercle Trégor & Goëlo. Non, les seuls fauteurs de trouble sont ceux qui hurlent à la haine, mais ne supportent pas qu’on leur tende un miroir.

Charlie est mort, vive la censure

Où sont passés les « Je suis Charlie » ? Ceux qui, en 2015, défendaient le droit de caricaturer tout et n’importe quoi au nom de la liberté d’expression ? Les voilà désormais devenus des censeurs vigilants, prêts à interdire un documentaire dont le tort principal est de dénoncer un système de silenciation et de désinformation… qui les implique directement. Ironique.

Qu’on aime ou non Tommy Robinson, qu’on adhère ou non à ses thèses, Silenced est d’abord le témoignage d’un homme aujourd’hui poursuivi, emprisonné, harcelé pour avoir osé critiquer la gestion de la crise migratoire en Grande-Bretagne. C’est le reportage que les confrères des médias subventionnés français, outre Manche, n’ont pas fait, eux qui se sont écrasés des années sur les viols, les trafics, les gangs de pakistanais et la traite des Blanches. Le film ne donne pas de leçon : il raconte une histoire que n’a pas voulu raconter la presse aux ordres. Il soulève des questions, il suscite un débat – ce même débat que ses censeurs refusent d’avoir, préférant la répression préventive à la confrontation d’idées.

Après Silenced, ce sera quoi ? Un livre ? Une conférence ? Une chanson ? Une exposition ? À chaque fois, le même procédé : étiqueter, ostraciser, interdire. La Bretagne, terre d’insoumis, doit-elle devenir le laboratoire de l’intolérance gauchiste ? Ou ses habitants finiront-ils par se lever, au nom de la liberté de penser, de parler, de créer ?

Nous remettons le film, ci-dessous, en Version Originale sous titrée. Et nous vous invitons à le diffuser massivement, à le faire voir, entre amis, en famille, avec vos proches (la gauche bretonne n’a pas encore le pouvoir d’envoyer des flics de la pensée chez vous pour s’assurer que vous ne regardez pas ce documentaire). Merde aux censeurs !

Source Breizh info cliquez ici

20:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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