jeudi, 11 septembre 2025
Filip Dewinter, tout comme Eric Zemmour, sera dimanche à Londres pour assister au grand réveil du peuple anglais
Filip Dewinter, député du Vlaams belang, qui a de nombreuse fois participer aux journées de Synthèse nationale cliquez là sera à Londres au grand rassemblement populaire organisé par les patriotes anglais dont Tommy Robinson afin d'exiger la fin de la politique laxiste d'immigration au Royaume uni.
Eric Zemmour, président de Reconquête !, participera aussi à ce meeting où l'on attend plusieurs centaines de milliers de personnes cliquez ici.
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Terrorisme aux Etats-Unis. Assassinat en direct de Charlie Kirk, figure de la droite américaine
Source Breizh info cliquez ici
Le fondateur de Turning Point USA, Charlie Kirk, figure montante du conservatisme américain et proche de Donald Trump, a été assassiné mercredi 10 septembre 2025 lors d’un événement public à l’Utah Valley University. Âgé de seulement 31 ans, ce militant chrétien et patriote incarnait depuis une décennie la nouvelle génération de la droite américaine. Sa mort brutale illustre une fois de plus l’ampleur d’une violence politique qui ronge les États-Unis et dont la gauche n’est pas exempte, loin de là.
Un meurtre en plein campus
Charlie Kirk participait à une réunion de son « American comeback tour », un cycle de conférences destinées à mobiliser la jeunesse étudiante autour des valeurs traditionnelles américaines. Alors qu’il dialoguait avec le public, une balle tirée depuis un bâtiment voisin l’a atteint mortellement au cou. Malgré l’évacuation rapide et l’intervention des secours, il a succombé à ses blessures pendant son transfert à l’hôpital.
L’université a évoqué un tir de précision, vraisemblablement depuis un toit situé à près de 200 mètres de la scène. Le FBI, chargé de l’enquête, parle d’un « tireur d’élite ». Plusieurs suspects ont été brièvement interpellés puis relâchés, et le véritable assassin est toujours recherché.
Originaire de la banlieue de Chicago, Charlie Kirk avait fondé Turning Point USA à 18 ans. En quelques années, cette organisation est devenue le principal mouvement de jeunesse conservateur aux États-Unis, aligné sur les positions de Donald Trump. Défenseur de la famille, des valeurs chrétiennes et du port d’armes, Kirk s’était imposé comme une voix forte contre l’idéologie gauchiste, le féminisme militant et l’idéologie transgenre.
Animateur de l’un des podcasts politiques les plus écoutés du pays, il multipliait les débats sur les campus américains, s’adressant sans détour à une génération façonnée par le conformisme libéral des universités. Ses critiques du progressisme et son plaidoyer pour un conservatisme enraciné lui avaient valu autant d’admirateurs que de détracteurs.
Une extrême gauche radicalisée
La réaction d’une partie de la gauche américaine après sa mort illustre une radicalisation inquiétante. Certains médias progressistes ont multiplié les commentaires cyniques ou ambigus, tandis que le site féministe Jezebel revendiquait, quelques jours avant l’assassinat, avoir lancé une « malédiction » contre lui en raison de son opposition au féminisme.
À l’inverse, les hommages se sont multipliés dans le camp conservateur, de Donald Trump à Elon Musk, qui a résumé d’une formule brutale : « la gauche est le parti du meurtre ». Plusieurs responsables politiques ont parlé d’un « assassinat politique », confirmant que ce meurtre s’inscrit dans un climat de haine entretenu depuis des années par les discours radicaux de la gauche américaine.
Les démocrates ont toutefois également condamné l’acte. Joe Biden rappelle qu’«il n’y a pas de place dans notre pays pour ce genre de violence». «Cela doit cesser immédiatement. Jill et moi prions pour la famille et les proches de Charlie Kirk», a déclaré l’ancien président américain. Son prédécesseur Barack Obama n’a pas tardé non plus à réagir. «Nous ne savons pas encore ce qui a motivé la personne qui a tiré et tué Charlie Kirk, mais ce genre de violence abjecte n’a pas sa place dans notre démocratie», a dénoncé le 44e président des États-Unis.
La violence politique, une constante aux États-Unis
La mort de Charlie Kirk survient dans un contexte de tensions politiques exacerbées. Loin de se limiter à des joutes verbales, le climat américain est marqué depuis plusieurs années par des agressions, des émeutes, des attentats ciblés et des menaces récurrentes contre les personnalités conservatrices.
Alors que les universités se présentent comme des lieux de débat, elles deviennent régulièrement, du fait de la gauche totalitaire, comme en France; le théâtre de violences contre ceux qui osent défier l’idéologie gauchiste dominante. La disparition de Kirk, en pleine tournée universitaire, illustre tragiquement ce basculement.
Pour Donald Trump, Charlie Kirk était « le grand, le légendaire » porte-voix de la jeunesse conservatrice. Sa disparition laisse un vide au sein d’un mouvement qui voyait en lui un relais essentiel auprès des nouvelles générations. Mais elle révèle aussi une réalité plus sombre : aux États-Unis, la violence politique ne faiblit pas.
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Les charognards de la Ve
Philippe Randa
Comment expliquer la rage déployée par la quasi-totalité des responsables politiques de notre pays pour faire don de leur personne au palais de Matignon, voire à celui de l’Élysée pour les plus enragés ?
Le « job », comme le disait si élégamment en son temps l’ex-hôte du palais présidentiel Nicolas Sarkozy, n’apparaît pourtant guère attrayant en cette fin d’été : outre les 3 300 milliards de dettes de la France, l’absence de toute possibilité de solide majorité parlementaire et la mauvaise humeur (euphémisme !) de la grande majorité de leurs compatriotes réduit quasiment à néant tout champ de manœuvre possible pour redresser le pays, remettre les charrues avant les bœufs, relancer productivité, production et consommation, et redonner espoir autant que confiance dans l’avenir…
François Bayrou, après cinq autres Premiers ministres depuis 2017, vient de s’y vautrer de façon assez pathétique puisqu’il ne restera de son passage à Matignon que la cruelle démonstration de son incompétence. C’est finalement Sébastien Lecornu qui lui succède. Lui ou un autre…
Car désormais, de gauche à droite, après comme avant sa nomination, ses potentiels successeurs restent légions.
Alors, peut-être l’explication tient-elle dans une simple question, mais pourquoi pas : que ferait-on si l’on était persuadé d’une prochaine fin du monde ?
Une question que l’on a pu se poser à soi-même ou qui l’a été, un jour ou l’autre, par un ami ou un commercial quelconque dans l’espoir de retenir notre attention et de nous convaincre qu’à minuit moins deux de la fin de ce monde de brutes, il est indispensable d’acquérir un aspirateur dernier modèle ou de construire fissa un abri antiatomique au fond de son jardin…
Mais nos éminents professionnels de la politique ont trop à faire pour se préoccuper de la fin du monde. En revanche, s’il s’agit de la fin de « leur » monde, alors là, oui ! ça change tout.
S’ils sont si avides d’être nommés, n’imaginons pas que ce soit seulement, uniquement ou évidemment, pour augmenter leur future retraite, sans doute déjà grassement assurée pour la plupart d’entre eux : c’est là mesquine considération, tout juste digne, peut-être, de leurs électeurs.
Pour la plupart d’entre eux, c’est certes le moment où jamais d’acquérir qui un bâton de maréchal Premier ministre, qui un titre de ministre ou de secrétaire d’État… mais c’est aussi, peut-être, avec un cynisme assez effrayant, frôlant la folie, l’obsession d’un dernier tour de piste pour profiter, tant que faire se peut, des ors d’une république, Ve du nom, certes chancelante, mais qui a encore, à leurs yeux de prédateurs, quelques restes comestibles.
Toutefois, à la différence des vautours, hyènes ou autres chacals qui se nourrissent d’animaux morts qu’ils n’ont pas tués eux-mêmes, les charognards du monde politique se repaissent, eux, d’une république qu’ils n’ont eu de cesse d’amener à l’agonie…
Chronique parue sur le Nouveau Présent - cliquez ici.
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Jean-Claude Rolinat présente son dernier livre "L'avion, tueur de célébrités" sur TV Libertés
11:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Peut-on empêcher la gauche de saboter la contestation sociale ?
Didier Beauregard
L’automne risque d’être chaud, nous dit le ronron médiatique. La météo sociale et politique est effectivement très dégradée dans notre pays. Pour autant, le moment de la révolte populaire est-il venu ? La France reste marquée par l’intensité spontanée du mouvement des Gilets jaunes et le feu de paille qu’il a finalement été.
Fragilisé par un manque de pensées directrices et de structures organisationnelles, le mouvement a été vite écrasé par les forces combinées du pouvoir. Il a cependant laissé dans les esprits comme un désir de deuxième acte qui peine à trouver sa voie.
Les facteurs qui ont conduit les événements il y a sept ans sont-ils toujours à l’œuvre aujourd’hui ? De fait, les observateurs ont la plus grande peine à identifier la nature du mouvement du 10 septembre et l’engagement de ses animateurs, avec des avis qui balancent entre « extrême droite » et extrême gauche.
Pas de guillemets pour extrême gauche, dans la mesure où cette dernière a clairement fait connaître son intention de prendre le train en marche de la révolte sociale, LFI en tête, sans oublier les écolos qui se proposent de « verdir » le mouvement.
La gauche contre le peuple
Sans chercher très loin des analyses plus complexes et variées, ce seul engagement de la gauche radicale devrait suffire, en soi, à torpiller le mouvement social, de la même manière que la gauche a largement participé à la dénaturation, puis à l’extinction du soulèvement des Gilets jaunes. Elle a étouffé la dimension identitaire du mouvement, la révolte des petits blancs des territoires périphériques, au profit d’une pseudo-lutte « anticapitaliste » qui substituait le drapeau rouge au drapeau bleu-blanc-rouge, sur fond de violences de groupuscules radicaux, largement manipulés par le pouvoir en place. De quoi faire peur à la France du marais !
Si, comme nous l’écrivons depuis des années dans ces colonnes, la gauche est épuisée idéologiquement, très diminuée politiquement (moins de 30 % du pays), elle garde encore un grand pouvoir de nuisance grâce à la multiplicité de ses réseaux d’influence au sein des lieux de pouvoir, notamment dans les médias. Son alliance objective avec le capitalisme consumériste qui, depuis des décennies, a épousé le progressisme sociétal dont se réclame la multiplicité des familles de gauche, a construit une alliance de fer au centre de la vie politique des pays occidentaux qui empêche tout changement de l’ordre politique et social dominant.
Les dirigeants des partis de gauche ne peuvent ignorer ce rôle de soutien du système capitaliste mondialisé – qu’ils dénoncent par ailleurs dans leur vulgate quotidienne – puisqu’à chaque échéance électorale ils renouvellent le pacte de fer avec les partis « bourgeois ». Un pacte qui exclut les courants « populistes », c’est-à-dire ceux qui récoltent le plus grand pourcentage de voix populaires de l’arc dit « républicain ».
La question de fond, l’enjeu essentiel, est donc simple : comment peut-on, dans notre pays, mener un mouvement de révolte populaire qui ne soit pas récupéré et torpillé par la gauche, c’est-à-dire le système, afin d’empêcher l’émergence de la question migratoire et d’avoir une chance de faire bouger enfin les lignes politiques ?
Grande-Bretagne : une révolte identitaire
Si l’on regarde les événements des dernières années, la réponse paraît évidente : elle s’exprime aujourd’hui chez nos voisins britanniques avec une surprenante acuité. Largement sous-évalué par les médias mainstream, le mouvement « Raise the Colors » (lever les drapeaux) rythme depuis des mois la vie politique anglaise. Un mouvement essentiellement tourné vers le rejet de l’immigration musulmane, suite à des affaires sordides de viols de jeunes filles anglaises. Le mouvement consiste à saturer l’espace public et les manifestations populaires, nombreuses sur tout le territoire, de drapeaux britanniques et anglais (croix de Saint-Georges). La gauche unanimement s’est dressée contre ces manifestations qu’elle dénonce comme racistes et fascistes, soutenant activement la répression policière brutale de ces défilés identitaires, décidée par le gouvernement de Sa Majesté.
La France, contrairement aux pays anglo-saxons, a rejeté dans ses principes philosophiques l’institutionnalisation du communautarisme. Ce dernier s’impose dans la réalité sociale et culturelle nationale, en dépit et contre les principes républicains officiels. Tout mouvement de révolte en France aura une dimension sociale dominante, même si celle-ci repose sur un socle identitaire plus ou moins conscient. Les Gilets jaunes n’ont pas su maîtriser cette interaction complexe entre social et identitaire.
La solution, pourtant, est simple : la seule évocation de la question migratoire, même à la marge, mettrait en France la gauche hors-jeu. À l’heure où plus de 70 % des Français se disent opposés à l’augmentation de l’immigration (*), il est facile de simplement évoquer la dimension sociale et démocratique de l’enjeu migratoire dans notre pays pour que toutes les forces de gauche s’unissent, syndicats ouvriers en tête, contre une révolte populaire et volent au secours d’un système économique et social à bout de souffle, miné par la dette et l’effondrement industriel et éducatif.
La gauche, jusqu’au bout, jouera son rôle de supplétif du système en place ; on voit aujourd’hui le PS moribond venir au secours de la macronie épuisée afin de former un nouveau gouvernement. Le paradoxe est à relever : alors que l’affrontement droite/gauche, qui rythme le combat idéologique traditionnel, est de moins en moins signifiant, la gauche peau de chagrin s’est taillée une place de choix au centre de la vie politique, une place qui lui permet de neutraliser l’élan identitaire des contestations sociales populaires… Jusqu’à quand ?
Article paru le 9 septembre sur Polémia - Cliquez ici.
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