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samedi, 24 janvier 2015

Vous avez dit islamophobie ? Une mise au point

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Pierre Le Vigan - Boulevard Voltaire cliquez ici

Ne peut-on évoquer la situation actuelle sans utiliser le terme d’islamophobie à tort et à travers ? Nul ne doute qu’il y ait des gens qui critiquent l’islam, comme telle autre religion, ou comme telle croyance politique, pour des raisons caricaturales, mal informées, ou simplement très bêtes. Que le pouvoir ait tout intérêt à ce que monte une peur diffuse propice à l’union nationale (autour des responsables de la situation actuelle), c’est l’évidence. Que le pouvoir ne cesse de répéter « pas d’amalgame » tout en sachant très bien avec qui se fait l’amalgame, cela ne trompe pas non plus les esprits habitués à la communication gouvernementale.

Mais critiquer l’islam n’est pas principalement une question de phobie (peur de, angoisse de). En outre, la lutte contre l’« islamophobie » est menée par des militants de l’islam (ou des immigrationnistes aveuglés). Dans ces conditions, toute critique même courtoise et nuancée de l’islam devient de l’islamophobie. Pour échapper à l’islamophobie, il ne reste qu’une voie : l’islamophilie systématique. Sortons donc de l’usage de ce terme piégé.

Restent de réelles questions. On doit pouvoir se demander, sans être taxé par quiconque d’« islamophobe » :
1) si l’islam est ou n’est pas compatible avec la culture européenne, par exemple avec la place de la femme, surtout dans le cas où il est présent en masse au sein de nos peuples, jusqu’à changer nos peuples ;
2) si on peut critiquer les monothéismes, notamment pour leur intolérance, sans mettre en question le plus tardif et le plus « pur » – le plus absolu – des monothéismes, à savoir l’islam. Le judaïsme est en effet un monothéisme très proche du paganisme car national et le plus proche de ses racines païennes, et le christianisme est imprégné de la pensée pré-chrétienne. L’incarnation l’éloigne en outre du monothéisme pur.

Il serait dès lors étonnant qu’une critique légitime de la logique des monothéismes, que nous appellerons de manière un peu outrée « totalitaire » – en tout cas étouffante – épargne le cas de l’islam, et lui seul. Là aussi, sans haine et sans outrance, mais aussi sans esquive.

De surcroît, au lieu de dire que les islamophobes (sic) sont les idiots utiles du fondamentalisme islamiste – belle mais vaine figure de rhétorique, eût dit Socrate –, on pourrait dire que les terroristes islamistes sont les idiots utiles du nouvel ordre mondial et du choc des civilisations. Qu’il s’agisse d’un choc des sous-civilisations (islamisme antioccidental mais occidentalisé contre laïcisme primaire français, qui est tout ce qui nous reste de ce que fut l’esprit de la République) ne change en l’occurrence rien à l’affaire.

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Le numéro 62 du magazine Terre et peuple est paru :

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13:17 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Syndicats : corruption, dérives, Trahison...

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Yann

Terre et peuple cliquez ici

Syndicats : corruption, dérives, Trahison, voici le titre d’un ouvrage très intéressant issu d’une enquête sur le milieu syndical menée dans les plus grandes entreprises publiques, semi-étatiques ou même privées (Sncf, La Poste, Ratp, Air France, logements sociaux, les douanes, Dalkia, etc…). Nous pourrions ajouter à cette liste de déviances les harcèlements, les intimidations et menaces, et la lâcheté. Liste bien entendue non exhaustive…

La CGT est la plus souvent impliquée, certainement parce qu’elle est généralement le syndicat majoritaire dans ces secteurs. Mais les autres syndicats (UNSA, CFDT, FO et même SUD dont un des auteurs fait partie) sont impliqués dans d’innombrables magouilles : petits et grands arrangements entre directions et syndicats (souvent au détriment des salariés) ; silence des centrales syndicales concernant des faits avérés de transactions financières douteuses (notamment dans leur trésorerie très opaque); responsables syndicalistes et politiciens copains comme cochons pour l’attribution de certains marchés… J’en passe et des pires…

Malgré leur sensibilité de gauche, les deux auteurs n’épargnent personne et ont même l’honnêteté de mettre dans la bibliographie un livre de notre camarade Jean-Claude Valla, Georges Valois, de l’anarcho-syndicalisme au fascisme. Pourtant on pourra relever quelques contradictions, notamment un passage page 164 sur les douanes, où les auteurs s’étonnent que peu de syndicats « dénoncent la porosité effarante des frontières ». Ce qui semble en nette contradiction avec le syndicat SUD de M. Touly qui est le premier à défendre les clandestins et qui milite pour l’ouverture des frontières…

Après lecture de tous ces faits ahurissants, il est plus que nécessaire qu’un syndicalisme identitaire nettoie les écuries d’Augias afin de laisser la place aux vrais syndicalistes, défenseurs de TOUS les salariés, et non protecteurs d’une minorité corrompue et sectaire qui se gave toujours plus au détriment du bien commun.

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Jean-Marie Le Pen au Bistro Libertés de TV Libertés

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Le MNR à la Marche pour la Vie

marche-pour-la-vie1-e1418309285801.pngUn communiqué du MNR :
 
 - Annonce de mesures visant à développer la pratique de l’avortement dans le plan santé qui sera discuté avant l’été
 
- Ouverture à l’Assemblée Nationale le 21 janvier du débat sur la fin de vie dont les travaux préparatoires ont conclu à la prochaine légalisation de gestes euthanasiques.
 
C'est pourquoi le MNR vous invite à participer à la prochaine Marche pour la vie.
 
Rendez-vous dimanche 25 janvier à 13 h 30, place Denfert-Rochereau, pour défendre la vie.
 

09:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 janvier 2015

DEBAT : intéressant échange de vues entre Métamg et Vox-NR au sujet du FN

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LE LEURRE FRANÇAIS

Attendre gentiment les élections

Michel Lhomme

Métamag cliquez ici

Prenons, pour commencer l'année, un peu de hauteur. S'agira-t-il pour le Front National de gouverner, de gérer les affaires ou bien de rompre avec le système ?

Nous remercions ici l'excellent article de notre camarade Philippe Delbauvre sur voxnr.com qui est l'exemple même de la courtoisie des discussions que nous prônons, ce que j'appelle en privé l'esprit satsanga de satsang, un mot sanskrit qui signifie « être en compagnie de la vérité », en « compagnie des sages » ou en  « compagnie de la vérité qui est en soi » ou « rassembler le vrai en soi ». Le terme désigne précisément les assemblées fondées sur les principes de la non-dualité et des contradictoires qui seules et bien loin du point Godwin des invectives médiatiques récurrentes peuvent faire avancer la discussion.

Dans le texte de Delbrauve, le mot n'a pas été prononcé une seule fois mais si nous devions résumer la position du Front National sur l'échiquier politique français, c'est  bien celle de parti populiste. Le Front national est le premier grand parti populiste français. Or, de tradition républicaine, la France n'a jamais eu affaire par le passé au populisme comme manifestation politique d'envergure en dehors peut-être de l'éphémère poujadisme des années 50.

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07:02 Publié dans Michel Lhomme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 janvier 2015

Le Marquis aux Ronchons : bonne table !

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19:23 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comme souvent, Éric Zemmour parle d'or


Éric Zemmour : "À chacun son sacré" par rtl-fr

12:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arno Klarsfeld n’en revient pas. Et nous avec lui…

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire cliquez ici

Arno Klarsfeld est interloqué. Si interloqué qu’il a posté sur Twitter sa lettre de convocation du tribunal de grande instance de Nanterre, assortie de cette phrase : « Je suis convoqué le 3 fév pr être mis en examen pr av dit : “la France n’est pas antisémite mais une partie des jeunes des banlieues l’est”. »

La citation, à dire vrai, n’est pas complète. Le 9 janvier 2014 sur i>Télé, Arno Klarsfeld avait déclaré : « Non, la France n’est pas antisémite, il y a le noyau dur de l’extrême droite qui l’est vigoureusement, une partie de l’ultra-gauche et les islamistes et une partie des jeunes de banlieue. » Il est mis en examen pour avoir « porté atteinte à l’honneur et à la considération des “jeunes de banlieue” ».

Oui, Arno Klarsfeld n’en revient pas. Et nous avec lui. D’abord parce qu’ayant porté la même appréciation sur plusieurs segments de la population, si atteinte à l’honneur et à la considération il y a eu, elle devrait donc toucher tous ces segments. Si je traite de sinistre abruti Pierre, Paul et Jacques, pourquoi la justice se saisirait-elle du seul cas de Jacques ? Passons sur les islamistes qui se tapent de la considération qu’on leur porte comme de leur première kalach’… mais l’extrême gauche, l’extrême droite qui, si on en prend la définition usuelle, représente quand même 25 % de l’électorat, eux n’auraient donc pas été atteints comme les « jeunes des banlieues » ? Ils n’auraient donc ni honneur ni considération à défendre ? Ou en tout cas leur honneur et leur considération, tout le monde s’en tamponne le coquillard ?

Ensuite parce qu’Arno Klarsfeld n’a pas non plus livré le scoop du siècle. N’a pas découvert la pierre de Rosette, l’eau tiède, le fil à couper le beurre. « Une partie des jeunes de banlieue est antisémite… » « Une partie », cela veut dire quoi, au juste ? Une immense, une petite, une infime ? Dites donc, le monsieur nous avait habitués à déclarations plus fougueuses, fracassantes, ébouriffantes. « Une partie des jeunes de banlieue est antisémite. » Oui, bon. Cela sent son lieu commun de dîner en ville entre retraités, au moment de la tisane, après « les islamistes-sont-vraiment-des-fous » et « il-faut-faire-attention-dans-les-transports-en-commun-avec-tout-ce-qui-se-passe ».

Que cherche-t-on donc à montrer en mettant Arno Klarsfeld en examen ? Que son assertion est fausse ? Dans ce cas, c’est donc que l’assertion contraire est vraie : « Aucun jeune de banlieue n’est antisémite… » On peut rigoler quand même deux minutes, ou l’on va, nous aussi, recevoir une convocation ?

Que ces choses-là ne doivent pas être dites ? Que, comme dit l’autre, chacun son boulot et les vaches seront bien gardées, et celui d’Arno Klarsfeld, c’est de traquer l’antisémitisme dans le bocal de formol, sur l’étagère poussiéreuse, avec son étiquette écrite à l’encre de chine : « vieille droite ».

La prochaine fois qu’Arno Klarsfeld passera sur i>Télé, il pourra compléter son énumération : « … une partie des jeunes de banlieue et tous ceux, les yeux fixés sur la ligne Maginot de l’antisémitisme façon grand-papa, qui font semblant de ne pas les voir, les laissant benoîtement s’installer, croître et prospérer ».

12:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : dimanche prochain, à Calais !

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01:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Emmanuel Ratier revient sur "l'affaire Charlie"

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mercredi, 21 janvier 2015

En ce 21 janvier 2015, je suis Louis…

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Jean-André Bossy

Boulevard Voltaire cliquez ici

« Je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. »

Depuis le 21 janvier 1793, la France a souvent saigné. Qui, aujourd’hui, se préoccupe de la France et des Français ? « Les musulmans sont les premières victimes du fanatisme et du fondamentalisme », a déclaré monsieur Hollande, éphémère président de la République exsangue. Soit ! De la même façon, ce monsieur pourrait nous dire « Les communistes sont les premières victimes du goulag » ou encore « Les nazis sont les premières victimes de la Shoah », surpassant Bernanos qui affirmait qu’ " Hitler avait déshonoré l’antisémitisme ".

Monsieur Hollande et son gouvernement n’ont de cesse de nommer des victimes ; je préférerais que les coupables soient recherchés : de qui, de quoi sont victimes les millions de chômeurs, les sans-abri, les sans-dents, nous tous, les Français ?

Les gouvernements successifs, incapables d’assurer leurs devoirs régaliens, se réfugient tous dans la défense des « valeurs républicaines », monsieur Bartolone allant jusqu’à parler de la « religion suprême pour chacun d’entre nous : la religion de la République ».

Quels en sont les commandements ? La liberté ? Celle de blesser les croyants en se moquant du pape et de Mahomet, mais interdisant de caricaturer madame Taubira. L’égalité qui permet aux clandestins ayant violé nos frontières et nos lois de bénéficier de l’AME, lorsque le salarié imposable doit quérir l’autorisation de sa mutuelle pour certains soins ? La fraternité des Enfoirés, ces milliardaires qui demandent aux smicards de donner de l’argent aux SDF, à l’instar des journalistes et politiciens qui nous imposent le « vivre ensemble », alors qu’eux vivent entre eux, à côté, voire très au-dessus ? Qui sont les prophètes, les idoles de cette religion de la République ? Strauss-Kahn, Tiberi, Cahuzac, Cambadélis, Balkany, Fabius, Désir, Sarkozy, Thévenot, faites-moi rêver, que diable ! Quelle est la genèse de cette religion suprême ? L’Être suprême, cher à Rosbespierre, mais prélude de la Terreur…

Ernest Renan disait : « Le jour où la France coupa la tête à son roi, elle commit un suicide. » Louis XVI, quittant sa geôle pour rejoindre l’échafaud, ne s’inquiéta pas de son propre sort, mais demanda des nouvelles de La Pérouse, officier français, explorateur au service de la France. Comment PS, UMP, FN, EELV, etc., pourraient-ils se préparer pour 2017 tout en se souciant de La Pérouse ? Les Français sont les premières victimes de la République.

En ce 21 janvier 2015, Je suis Louis.

20:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Participation aux manifs : la préfecture de police ment !

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Je suis Zentropa

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J’ai toujours cherché à identifier et à combattre les causes plutôt que de me lamenter des conséquences…

Je n’ai pas attendu d’avoir peur de prendre le métro pour m’intéresser à la chose publique et à l’intérêt général….

Je ne confonds pas la charité chrétienne et la niaiserie masochiste…

Je fonctionne à l’amour et à la raison, pas à la haine et à la réaction…

Je suis radical, pas extrémiste…

Je vis mes convictions au quotidien, à l’aune de principes, pas de temps à autre, au hasard des faits divers…

Les ennemis de mes ennemis ne sont pas mes amis…

Mes slogans sont des idées, pas des concepts publicitaires…

Ma détestation des flics ne dépend pas de l’origine des gens qu’ils tabassent…

Seule m’importe l’estime des gens honorables…

J’ai honte si Causeur et Valeurs Actuelles sont d’accord avec moi…

Je ne suis pas de droite…

J’évite de chier là où l’on me demande de le faire…

Je crois à la vérité, pas à l’opportunisme…

Je ne conspue pas un système pour me ruer à sa rescousse au moindre ébranlement sérieux…

Je me fous de ce que pensent et disent les réacs, les néo-hussards et les cercles littérraro-masturbatoires…

J’étais à la manif pour les chrétiens d’Orient pas à la « marche citoyenne » de BHL et Netanyahou…

Je ne dénonce pas le monde moderne en étant sous cocaïne et antidépresseurs…

J’ai un idéal, pas une posture…

Je suis ethno-différentialiste, pas raciste, et ce n’est pas un cache-sexe sémantique…

Je suis humble, pas complaisant, vis à vis de mes faiblesses…

J’essaye d’être avant d’affirmer…

J’ai le même discours quel que soit mon auditoire…

Je ne crois pas les médias quand cela m’arrange…

Je ne hurle pas avec les loups…

Je ne suis pas Charlie….

Zentropa cliquez ici

09:52 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charlie : dans un processus historique...

charlie-manif.jpgJacques-Yves Rossignol

Ce n’était plus le Charlie de la bonne époque. Ils étaient tombés dans des obsessions un peu ridicules et infantiles (l’antimilitarisme, les beaufs). Sans compter ce qu’il faut bien nommer une idée fixe aussi absurde que désespérée : tenter de dissoudre et de fluidifier des représentations religieuses multiséculaires par une attaque frontale et moqueuse. Ils sont morts de cette provocation inutile, d’une curieuse absence de compréhension de l’esprit religieux « naïf ». Finalement ce triste événement se résume à ceci : des gosses sortis des banlieues et du Moyen Âge flinguent à la mitraillette des gosses irresponsables, sans méchanceté, vaguement utopistes, inconscients des vrais rapports de force du moment. Confrontation de deux types de consciences séparées par des années-lumière, bien que partageant inconsciemment un point commun essentiel : la détestation du matérialisme vulgaire et de la société à consommation dirigée.

Pathétique.

Mais ce qui est également triste à pleurer, c’est que c’est la bourgeoisie bobo – gay - arty, la plus vulgaire des bourgeoisies justement, qui rafle la mise. Comme toujours depuis trente ans. Ces nouveaux bourgeois ont hérité des hypocrisies de l’ancienne bourgeoisie, « catholique » par exemple, et ils les conduisent à leur paroxysme. Ils parviennent peu à peu à tout gâcher, à tout souiller et surtout à tout pétrifier. Ils glacent et pétrifient inconsciemment mais méthodiquement la totalité de ce qu’était la vie, la vie réelle et concrète des êtres sensibles. Nous aurons sans aucun doute prochainement en place de Charlie un épouvantable « magazine » clean, consensuel et bien pervers, financé et contrôlé par les spectres de l’art contemporains, les gays ou d’autres mécaniques mentales glacées de ce genre, zombies directement actionnés par le marché, avec la dose habituelle de bavardage humanitaire, d’hypocrisie et surtout de froide méchanceté pour tout ce qui n’émarge pas dans les instances du très gros argent : les gens d’esprit survivants, le peuple, les braves gens, les animaux.

À travers cet événement un peu délirant opposant deux types de consciences « pré-politiques » dépassées par la réalité politique actuelle (on a saisi que les « djihadistes » disposent moins encore que les « dilettantes » des outils d’analyse nécessaires pour comprendre l’époque), c’est bel et bien l’esthétisation glacée du monde qui va marquer des points. C’est ainsi, aussi inattendu que cela puisse paraître. Comme si tout se qui se passe dans le monde contribuait à mettre en place ce nouvel étage d’« hyperréalité » glacée qui a déjà presque entièrement recouvert ce que furent la nature et l’histoire vivantes. Par la suppression discrète, progressive et insensible de tout ce qui était dialectique, critique, en un mot : vivant.

Ici en l’occurrence : un journal « satirique », encore quelque peu drôle, critique et corrosif, tombe dans l’escarcelle de la nouvelle bourgeoisie méchante et mécanique, hystérique et ricanante, et ceci par l’étrange truchement de consciences religieuses « archaïques ». L’un des très rares journaux qui ne soit pas réduit à l’hébétude par l’esthétisation et la vitrification du monde est massacré, au propre et au figuré, par des « barbares » qui sont pour leur part persuadés de défendre leur propre conception « vivante » du monde, leur religion. Et qui ne peuvent saisir évidemment que c’est un tout autre groupe que la petite bourgeoisie dilettante qui aujourd’hui élimine méthodiquement, par réification et pétrification généralisées, toute possibilité de vie, notamment spirituelle : les mécaniques mentales schizoïdes de la bourgeoisie bobo – arty.

Après ce massacre, le monde s’est réveillé un peu plus affadi, un peu plus ensablé par le bavardage mondain, un peu plus mécanisé… Tout ceci est parfaitement logique et cohérent mais se passe évidemment de manière tout à fait inconsciente, très indirecte, sans la moindre trace d’intervention volontariste pour se débarrasser des derniers opposants à la vitrification généralisée du monde : les derniers vivants, les derniers résistants se trouvent tout simplement de plus en plus isolés, vulnérables, exposés à des conflits inattendus et paradoxaux…

Jusqu’alors la nouvelle bourgeoisie mondiale arty et glacée gagne toujours, je le répète, et peut poursuivre ainsi imperturbablement son travail de pétrification des cerveaux et du monde. Entre autres parce qu’il n’y a personne, absolument personne, pour l’identifier et la combattre.

01:16 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 janvier 2015

Quand le terrorisme était une valeur républicaine

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Gérard-Michel Thermeau

Contrepoint cliquez ici

Si la réalité du terrorisme est ancienne, le mot français est un héritage de la Révolution française. La Première République est née dans et par la Terreur.

La monarchie à peine renversée, une première Terreur pousse les révolutionnaires à massacrer dans les prisons de Paris plus de 1000 détenus considérés comme des « ennemis de l’intérieur » prêts à égorger les « patriotes » en septembre 1792. La plupart des victimes étaient de banals détenus de droit commun. Les éléments radicaux ne cessent de faire pression sur les organismes officiels, contraints ainsi d’adopter une politique visant à faire peur aux ennemis de la Révolution, ces comploteurs, ces traîtres, ces puissances étrangères qui veulent, dans l’esprit des révolutionnaires, « terroriser » les partisans de la Révolution. La Terreur réelle répond à une menace terroriste contre-révolutionnaire fantasmée.

Dans la situation de guerre où la France révolutionnaire est en guerre contre l’Europe coalisée, toute opposition est traduite comme une « trahison ». La Seconde Terreur, légale cette fois, se met en place. Comme le déclare Danton : « soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être ». L’argument est toujours repris par les historiens : la Terreur légale a permis d’encadrer la violence et donc éviter une violence plus grande encore. « Il est temps d’épouvanter tous les conspirateurs » déclare le club des Jacobins dans son adresse à la Convention le 5 septembre 1793. La Terreur était désormais « à l’ordre du jour », formule creuse qui permettait toutes les mesures d’exception.

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11:35 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

COMMUNAUTARISMES...

Photo 088.jpgPierre Vial

Terre et peuple cliquez ici

Héritage funeste, fruit empoisonné de l’Ere des Lumières, le goût, disons même le culte de l’utopie a marqué durablement les mentalités françaises. Pour le plus grand malheur des Gaulois. L’illustration la plus récente en est la tarte à la crème du « vivre ensemble ». Comme le montre l’excellente analyse d’Alain, c’est aujourd’hui le plus petit dénominateur commun des idéologues officiels du politiquement correct, installés (confortablement) dans le monde politicien, les media, l’enseignement, la justice, la culture et les religions monothéistes.

Le rouleau compresseur de la propagande émanant de ces milieux est trop puissant pour que les esprits faibles puissent y résister. D’où l’apparent unanimisme monté en épingle autour des « valeurs de la République ». C’est bien sûr un trompe l’œil, qui ne pourra longtemps dissimuler les réalités. Celles-ci sont simples : la mosaïque raciale et culturelle qu’est aujourd’hui l’Occident n’est pas viable. Le XXIe siècle est et sera toujours plus celui de l’affirmation des identités, en réponse et en riposte au mondialisme occidentalocentré. Or ces identités passent, pour une large fraction de l’humanité, par une appartenance religieuse. C’est ce que les zozos qui se gargarisent de « la laïcité » n’ont pas compris ou ne veulent pas comprendre.

Le Dieu des monothéismes est d’une intransigeance totalitaire intrinsèque : l’obéissance à sa Loi prime, par définition et par nécessité, toute autre allégeance. Dieu premier servi : cette exigence longtemps affirmée par un christianisme traditionnel est aujourd’hui mis en avant par l’islamisme, tout en étant aussi le ressort du judaïsme le plus orthodoxe. Face à cet impératif, les laïcs sont désarmés, impuissants parce qu’ils ne veulent pas comprendre que tous leurs prêchi-prêchas rationalistes ne pèsent rien devant un acte de foi.

Les jeunes musulmans qui refusent de se plier à l’acte de contrition qu’on veut leur imposer à l’école, sous prétexte de laïcité, vivent cela comme un appel à se renier et ont un réflexe, naturel, de révolte : leur appartenance à une communauté de croyants, qui leur apporte une raison de vivre, pèse bien plus lourd que les sermons des prédicateurs de la Ligue des droits de l’homme. Dont ils n’ont strictement rien à foutre. Tout comme lorsqu’on les emmène, en voyage organisé, faire un pèlerinage à Auschwitz qui provoque chez eux une « scandaleuse » rigolade. Ceux qui s’en étranglent d’indignation n’ont pas compris qu’à force de pisser contre le vent on se mouille les pieds…

Autre vieux principe : qui sème le vent récolte la tempête. Les gros malins qui ont vu, avec l’affaire Charlie-Hebdo, l’occasion de surfer sur la jobardise des braves Gaulois, vont vite s’apercevoir qu’à force de jouer avec le feu on finit par se brûler. Offenser ouvertement, avec les ricanements de circonstance, les convictions des masses musulmanes, implantées partout en Occident, revient à allumer la mèche d’un gros, très gros tonneau de poudre. Alors, ça va péter ? Evidemment. Et mort aux cons.

Quant au communautarisme juif, il sort renforcé des épreuves, comme cela a toujours été le cas dans son histoire. La dimension victimaire sert à serrer les rangs au sein d’une communauté traversée par des courants divers mais qui retrouve un réflexe de solidarité communautaire quand certains des siens sont touchés. Et le caractère dramatique d’événements traumatisants permet de rappeler certains fondamentaux : quand des morts juifs sont enterrés en terre d’Israël (comme quand des morts musulmans sont enterrés au Maghreb), c’est une façon très claire de dire l’essentiel, à savoir qu’un Juif ou un Maghrébin peuvent avoir dans leur poche une carte d’identité française, leur âme a ses racines en Israël ou au Maghreb. Cette réalité, respectable, mérite donc d’être respectée. Mais il faut savoir en tirer les conséquences.

Le communautarisme juif est pour les chefs politiques d’Israël un outil précieux pour faire face à la crainte de tsunami que constitue la vitalité démographique des musulmans. D’où l’appel de Benyamin Nétanyahou, rentrant de France où il avait reçu les témoignages d’allégeance des Juifs de Paris à l’occasion de l’émotion suscitée par les morts de l’Hyper Casher, lancé aux Juifs de France : « Ils savent au fond d’eux qu’ils ont un seul pays, l’Etat d’Israël, leur patrie historique qui les accueillera les bras ouverts comme ses enfants chéris » (Le Monde, 15 janvier). Voilà qui a le mérite d’être clair. Et qui justifie la décision d’étendre encore plus les colonies juives en Cisjordanie… pour absorber le flux des Juifs venant de France.

Déjà un tel appel avait été lancé en 2004 par Ariel Sharon. Non sans résultat. Alors que 2 000 Juifs venant de France se sont installés en Israël en 2009, ils étaient 3 400 en 2013… et 7 000 en 2014 à avoir réalisé l’Aliya (littéralement, « la montée » en Israël, qui se traduit aussi par « élévation spirituelle »). Mais certains repartent, découragés par les difficultés économiques de la vie en Israël : le prix des logements (il a augmenté de 80 % depuis 2007), la valse des étiquettes, la faiblesse des salaires, le fossé grandissant des inégalités… La précarisation de la classe moyenne frappe particulièrement les ultraorthodoxes, dont 60 % vivent sous le seuil de pauvreté (en majorité ils préfèrent se consacrer à l’étude du Talmud plutôt que d’avoir une activité professionnelle). Cela n’empêche pas le communautarisme juif d’être dynamisé par l’antique promesse : l’an prochain à Jérusalem.

10:08 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Prochaine soirée Livr'Arbitres : vendredi 6 février

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La conférence de presse de Riposte laïque suite à l'interdiction de la manifestation de dimanche

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Entretien Jean Raspail - Martial Bild sur TV Libertés

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Réinfo, le mag télévisé du Parti de la France

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lundi, 19 janvier 2015

Terrorisme islamiste chez Charlie : l'exemple vient de loin et de haut !

480703536.jpgYves Darchicourt

Pour les musulmans c'est le Coran qui est la source de la Loi et du comportement des croyants qui peuvent aussi se référer aux récits de la Vie du Prophète (la Sîra), à ses Actes et Paroles (la Sunna) - transmis oralement une centaine d'années environ - et qui, considérés comme infaillibles, ont été collationnés dès le IXe siècle pour servir de références exemplaires.

Il ressort nettement de ces textes que le Prophète de la religion d'amour et de paix, non seulement n'a pas rejeté, mais a prôné, prêché et participé à la violence guerrière et a eu recours à l'assassinat. Ainsi au printemps 624, après la victoire de Badr, Mahomet décide de faire exécuter ceux des prisonniers pour lesquels personne ne paierait rançon mais aussi deux hommes qui s'étaient moqués de lui et de ses révélations. C'est peu de temps après que fort courroucé par la diffusion de satires composées par un poète juif, le très vindicatif Mahomet commandita son assassinat. L'historien persan musulman Tabari ( 838-923) dans sa "Chronique : Histoire des Prophètes et des Rois" l'a relaté ainsi :

"ce fut dans le même mois de rabî'a premier que le Prophète envoya quelqu'un pour tuer Ka'ab, fils d'Aschraf, dont il avait essuyé beaucoup d'injures (...) un jour qu'il se trouvait au milieu de ses compagnons et que l'on parlait de ka'ab fils d'Aschraf, le Prophète se plaignit de lui et dit: " qui donnera sa vie à Dieu et tuera cet homme ?" L'un des Ançâr nommé Mohammed fils de Masmala dit : "Moi j'irai et je le tuerai ô apôtre de Dieu". Le Prophète le remercia vivement.

[ndlr :  les envoyés tuent le polémiste, ainsi que sa femme pour faire bonne mesure et reviennent rendre compte à Mahomet ]

Le jour commençait à poindre lorsqu'ils entrèrent dans la ville. Ils trouvèrent le Prophète occupé à prier et lui rendirent compte de ce qu'ils venaient d'accomplir. Le Prophète fut très heureux, rendit grâce à Dieu et les remercia".

Moralité : il ne faut surtout pas ironiser sur le Prophète au risque de la vie! L'incitation à la fureur homicide chez Charlie vient bien de fort loin et de très haut. Une religion d'amour et de paix on vous dit ! (à suivre)

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Big Brother à l'ENA

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Claude Bourrinet

Les récentes manifestations d'unanimisme obligé, accompagnées de saines pulsions de haines contre les « ennemis de la liberté », à qui il ne faut accorder aucune possibilité de s'exprimer, ni même de rire (un rigolard s'est pris deux ans ferme pour avoir actionné ses zigomatiques à la nouvelle de l'attentat sanglant de la rue Nicolas Appert, que l'on rebaptisera sans doute rue Charlie), ni même de donner l'impression de mal penser, ou simplement de penser, ont montré, sinon démontré, combien la société, travaillée par un pathos envahissant doublé d'une crétinisation approfondie (si tant qu'on puisse accorder de la profondeur à la bêtise), a fait des progrès remarquable dans la voie du totalitarisme.

On a pu opposer le totalitarisme dur à un autre, qui serait mou. 1984, de George Orwell, par exemple, contraste, pas sa nature brutale, aussi féroce que l'était le régime soviétique, avec le Brave New World, d'Aldous Huxley, le « Meilleur des mondes », qui dépeint une société eugéniste, engluée dans un hédonisme aussi adhérent qu'un nougat, univers doux comme une fin de vie assistée, ou plutôt une fin de partie.

Il doit bien exister des raisons pour lesquelles ces contre-utopies ont été imaginées par une Angleterre qui, tout haïssable qu'elle passe pour un Français, semble receler des trésors de liberté dont notre pays, enclin aux emballements passagers pourvoyeurs de morts collectives, est dramatiquement dépourvu. Stendhal le notait déjà, sous l'Empire, malgré son patriotisme et son admiration pour le tyran italien qu'était Napoléon. Il redoutait que la Grande Armée envahît la perfide Albion, beaucoup plus attachée à la liberté réelle que nous, qui nous entichons d'abstractions, donc de dogmes, donc de machines perverses à broyer les singularités.

Cette digression, loin d'être vaine, sert plutôt à interroger les contemporains ébahis que nous sommes sur l'éventualité improbable qu'un Anglais eût pu avoir l'idée de doter la promotion de l'ENA 2015-2016 du nom de notre si ironique satirique, auteur du redoutable Animal Farm.

Certes, il n'existe pas d'ENA outre-Manche, le débat est donc clos. Mais il n'y a qu'en France qu'un tel cynisme puisse voir le jour, à moins que ce ne soit pure naïveté, puisqu'on apprend que ce sont les élèves de l’École qui ont, dans un débat fort long, décidé cette provocation, ce crime contre la mémoire d'un homme qui n'a cessé de dénoncer les dangers liberticides de l’État contemporain.

Les attendus de cette décision sentent, il est vrai, la novlangue à plein nez : "Fortement marqués par les attentats récents, les élèves avaient à cœur de réaffirmer leur attachement à la liberté d'expression et, de manière plus générale, aux libertés qu'il appartient avant tout aux pouvoirs publics de protéger". Il est vrai que la protection est, à Océania, une urgente obligation. Comme l'on sait que dans cet empire, la liberté, c'est l'esclavage, que la paix, c'est la guerre, etc., que tout y est inversé par le jeu de la propagande, on comprendra que la caste politique actuelle appelle de ses vœux un Patriot Act, à l'américaine, dont on sait que les libertés fondamentales ne sont pas dans le logiciel.Le communiqué commence par une des citations de l'écrivain: "Parler de liberté n'a de sens qu'à condition que ce soit la liberté de dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre". Dieudonné appréciera, et tous les « Je ne suis pas Charlistes », ainsi que tous les dissidents, qui sont loin de partager ces niaiseries dignes de cours d’Éducation à la Citoyenneté des lycées, de semblance si jacobine. La loi Gayssot, les différentes lois Taubira appartiennent aussi, probablement, à l'univers orwellien, mais pas dans le sens de ces apprentis apparatchiks de cabinets, qui doivent les considérer comme des remparts contre l'esclavage.

Mais saluons cette pirouette humoristique de l'Histoire, digne d'un Charlie Hebdo qui n'aurait pas dégénérer (car ce torchon était lui-même sa propre dérision, la négation de ses débuts). La réalité rejoint la fiction, et c'est, pour un observateur distancié, un effet d'art que l'on ne peut que saluer du chapeau.

Mais une distance est-elle encore possible ?

19:22 Publié dans Claude Bourrinet | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Première manifestation de PEGIDA en France, c'était dimanche à Montpellier !

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Richard Roudier, l'un des initiateurs de ce rassemblement

Ce dimanche, bon nombre de rassemblements s'opposant à l'islamisation de l'Europe ont été interdits, que ce soit à Paris, Bordeaux ou encore Lyon. Montpellier est au final une des seules villes où le mouvement PEGIDA est descendu dans la rue pour défendre la liberté d'expression et contrer l'islamisme.

Le rassemblement de Montpellier a réuni au débotté une soixantaine de participants, et ce, malgré les pressions des milices d'extrême gauche locales qui hurlaient leur haine à une petite centaine de mètres. Cinq intervenants représentants Résistance Républicaine, des Identitaires et des nationalistes se sont succédés au micro pour aborder le problème de l'islamisation de notre société avec les conséquences dramatiques que l'on a connues avec l'attentat contre Charlie Hebdo.

A ce titre, des pancartes détournant  le slogan officiel « Je Suis Charlie » étaient brandies par les manifestants.  Ainsi on pouvait voir des « Je Suis Beslan » et des « Je Suis les Moines de Tiberine » qui  côtoyaient des « Je Suis Résistance » et des « Je Suis au Chômage »...

Ces détournements permettaient de mieux cerner les véritables problèmes afin de ne pas se laisser prendre au piège de la honteuse récupération politique par le système. Symboliquement le lieu de la  manifestation avait été choisi Place des Martyrs de la Résistance et parmi les slogans lancés à tue-tête, on a pu entendre « Islamistes hors d’Europe » et « Liberté d’expression ».

Une fois encore, et ce n’est pas une surprise, on a pu voir l’extrême gauche aigrie collaborer avec les islamistes.

09:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Exécution de fatwas à Paris : à qui profite le crime ?

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François Hollande enregistre un bond de popularité historique de 21 points dans le baromètre Ifop-Fiducial pour Paris-Match et Sud Radio publié aujourd'hui, ce qui le hisse à 40%.

Jamais auparavant une progression aussi forte n'avait été relevée par l'Ifop, doyen des instituts français de sondage, a indiqué Frédéric Dabi, qui dirige son département opinion. Manuel Valls gagne 17 points, ce qui le place à 61% de popularité, score supérieur à celui de son entrée à Matignon.

Source : Le Figaro

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