dimanche, 11 janvier 2015
Il y a trois ans, après la tuerie de Toulouse : propos de Dominique Venner
Il y a un peu moins de trois ans, au lendemain de « la tuerie de Toulouse », Dominique Venner répondait dans un entretien :
Question à Dominique Venner par Pauline Lecomte : Pour reprendre le thème de votre nouveau livre, L’Imprévu dans l’Histoire. Treize meurtres exemplaires (Editions Pierre-Guillaume de Roux), la tuerie de Toulouse entre-t-elle dans ce type d’imprévus ?
Dominique Venner : Oui, c’est un imprévu. Sans préjuger de toutes ses conséquences, c’est un événement qui laissera des traces. On pensait que le terrorisme islamiste était en voie d’extinction. Et l’on découvre qu’avec l’immigration, la France a couvé un nid de terrorisme pouvant frapper à tout instant et de façon imprévisible.
Question : Y aura-t-il un avant et un après Mohammed Merah ?
DV : Je viens de lire les propos de Claude Klein, professeur à l’Université hébraïque de Jérusalem (rapportés par Adrien Jaulmes dans Le Figaro du 26 mars 2012, page 2) : « L’affaire, dit M. Klein, met au jour des réalités sociologiques inéluctables : la France, qui abrite la troisième plus grande communauté juive du monde, après Israël et les Etats-Unis, avec quelques 600 000 Juifs, est aussi le pays qui compte la plus importante minorité arabe musulmane. Et c’est dans cette communauté que se développe le phénomène de l’islamisme radical. » Autrement dit, le drame de Toulouse révèle une réalité occultée par la bienséance officielle : la France est divisée en communautés ethniques différentes, parfois hostiles. Des réflexes communautaires antagonistes se révèlent face à un événement qui les touche particulièrement. Sans doute le savait-on. Mais voici que le drame de Toulouse en souligne la réalité.
Question : Plusieurs articles de presse ont été consacrés à votre livre L’Imprévu dans l’Histoire. Je vais en citer un, lu dans Valeurs Actuelles, sous la signature de Frédéric Valloire : « Dans son essai précédent, écrit ce chroniqueur, Le Choc de l’Histoire (Via Romana), Dominique Venner avait présenté sa philosophie de l’Histoire. En voici l’expérimentation : à travers treize meurtres politiques du XXe siècle surgit l’inattendu. Celui-ci bouscule tout sens de l’Histoire, emporte un ordre établi, ou au contraire le consolide, élimine un concurrent, avertit d’une intention, dévoile un adversaire, révèle une fragilité… » N’est-ce pas à tout cela que fait penser le drame de Toulouse ?
DV : C’est un événement sanglant dont nous ignorons la portée. Il me semble révélateur de réalités que l’on s’efforce de masquer, celles de l’énorme immigration extra-européenne et, comme je l’ai dit, de réflexes ethniques et communautaires perturbateurs. Nous ne sommes qu’au début d’un processus conflictuel qui rendra consciente les permanences identitaires.
16:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Charlot en tête du cortège des Charlie
Ainsi donc les véritables responsables de la situation actuelle de la France et des drames qu’elle a subis ces derniers jours paraderont-ils en tête d’importantes manifestations de centaines de milliers de Charlie. Ce sera en quelque sorte les Charlot entrainant les Charlie dans des marches dont on ne voit pas vraiment en quoi elles entraveront de quelque manière que ce soit la montée d’un terrorisme parfaitement prévisible et que nous annonçons depuis des lustres. Il est au passage cocasse de penser que 99,99% des manifestants n’ont jamais acheté, lu ou ouvert le moindre numéro de Charlie Hebdo et, jusqu’à mercredi dernier, en ignoraient jusqu’à l’existence. On mesure ainsi le niveau d’ahurissement et le degré de sidération mentale entretenus par les grands media, formidables caisses de résonance de la pensée unique. Droite et gauche rassemblées en une sorte de syndicat des faillitaires s’arc-boutent contre l’expression de prétendus amalgames dont ils savent pertinemment qu’ils ne sont que des rapprochements logiques mais dont la propagation serait fatale à leur carrière, avantages, honneurs et prébendes liés. Ces hommes sans conviction sont au service du système et ne doivent leur siège (éjectable) qu’à leur soumission aveugle à ses dogmes. Souvenons-nous du volontariste candidat socialiste Hollande annonçant tranquillement sa conversion ultra-libérale, à plat ventre devant le grand capitalisme international. Souvenons-nous aussi du redoutable Sarkozy remisant, aussitôt élu, son virtuel Kärcher, pour pratiquer la plus laxiste des politiques migratoires. Ceci, après avoir truffé son premier gouvernement d’opposants à son camp politique. Qui peut encore croire ces bouffons ? Au-dessus d’un certain seuil, la crédulité devient indécente et devrait être proscrite, voire taxée.
Les seuls à qui est intimé aujourd’hui le silence sont précisément les plus clairvoyants, ceux qui ont à temps et à contretemps alerté sur les dangers d’une immigration massive et incontrôlée, ceux qui ont eu raison deux, trois ou quatre décennies avant les douloureuses et tardives prises de conscience actuelles. Leur parole et leurs écrits constituent un reproche permanent que seuls de puissants… amalgames ont permis, avec plus ou moins de bonheur, de juguler jusqu’à ces dernières années. Hélas pour la nomenklatura, aujourd’hui le mur du silence se fissure, la crise économique, les enjeux sociétaux, les dangers qui nous menacent et Internet contribuant à un inéluctable réveil des peuples.
La classe politique, droite et gauche confondues, n’a rien appris, rien compris et et s’avère incapable d’assumer son incurie et son aveuglement, réduite à de pauvres manipulations de masses, assorties de mensonges manipulatoires. Ils portent l’entière responsabilité de la situation actuelle.
Ultime preuve, s’il en était besoin, de la mascarade en cours : le premier ministre turc, l’ultra-islamiste Ahmet Davutoglu devrait aujourd’hui participer à la manifestation alors que la Turquie s’affichait, il y a peu, comme un fervent soutien de « Daesch ». C’est à ce genre d’information, parmi quelques centaines d’autres que l’on mesure mieux l’importance de la manipulation idéologique en cours.
13:50 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aura t-on encore longtemps le droit de ne pas être Charlie ?
Au train où çà va ce n'est pas certain du tout! On a pu voir aujourd'hui les prémisses de ce qui demain dimanche devrait être l'Apothéose, non pas des 17 victimes de la furie mahométane de ces derniers jours, mais de quelques unes d'entre-elles et notamment du quarteron de signatures préférées des médias et de la bobosphère : Cabu, Wolinski, Charb et Tignous érigés en martyrs tout à la fois de la République, de la liberté de la presse, de la laïcité, de la tolérance, de la France plurielle, du vivre ensemble, de l'Islam de France et de l'humour talentueux au service de l'Universel.
Bref oser dire qu'on n'appréciait que modérément voire pas du tout une feuille de bobos éditée pour les bobos et qui n'avait pas même l'intérêt de pouvoir être parcourue d'un derrière distrait va bientôt relever de la même inconscience qu'une critique des lois mémorielles. Et pourtant - au-delà du drame humain infiniment regrettable pour les victimes et leurs proches mais qui n'est pas plus sinistre par exemple que la mort prématurée de dizaines de soldats français pendant les diverses interventions exotiques "contre le terrorisme" (et pour les multinationales) de ces dernières années - en quoi le Gaulois devrait y aller du lacrymogène sur la disparition probable d'une parution qui, dans une très large proportion, s'attachait surtout à discréditer tout ce qui se rattache à la patrie, à la nation, à la famille naturelle, à l'identité européenne, aux traditions religieuses... bref à déverser son fiel anti-blanc et anti-national enrobé d'humour scatologique sauce perverse avec, pour donner le change, quelques saillies -qui se révèleront aussi financièrement profitables que malencontreuses- en direction d'une sensibilité religieuse d'importation fort réactive au blasphème.
Avancer que demain le grandiose panthéonesque va confiner au grotesque sera certainement politiquement incorrect, tout comme pronostiquer qu'après-demain le "beauf" contribuable va trouver sévère que Charlie "citoyen d'honneur de Paris" soit arrosé d' un million d'euros d'aide publique à fonds perdus pour renflouer une trésorerie défaillante depuis des lustres faute de lecteurs. Un Charlie qui va en outre bénéficier d'un million d'exemplaires d'un "spécial survivants" tiré et "publicité" gratos et ratisser le produit d'un geste citoyen salutaire qui s'apparente presque à de la vente forcée tant la pression morale est déjà forte sur le populaire.
Alors pendant que c'est encore possible sans encourir le lynchage médiatique et la mort civique, je persiste à dire que je ne suis décidément pas Charlie !
13:34 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des colleurs d'affiches du Parti de la France arrêtés cette nuit à Paris : le pouvoir retrouve ses priorités !
Cette nuit, lors d'un collage d'affiches à Paris sur le parcours de la « marche républicaine » de cet après-midi, des militants du Parti de la France ont été arrêtés Place de la Nation, interrogés au poste pendant 4h et leurs affiches ont été confisquées sur ordre d'un juge. La République française semble avoir retrouvé ses priorités...
Pourquoi le PdF ne défilera pas aujourd'hui ? cliquez ici
13:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manifestation Charlie hebdo : dimanche après-midi, on reste chez nous !
09:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre l’islamisme et le régime failli : sursaut national
André Gandillon
Directeur de la revue Militant
Fait divers tragique, bien sûr, notamment pour les familles touchées. Toutefois, l’émotion orchestrée autour de cet attentat provient uniquement de ce que Charlie hebdo est un journal ordurier qui reflète la nature de la classe politique régimiste à la mentalité nauséeuse. Et il faut noter que la compassion médiatique concerne plus les journalistes défunts que les policiers et l’ouvrier qui y ont aussi laissé leur vie.
Tout se passe comme si la classe politique régimiste et mondialisée s’était sentie directement touchée par les balles ayant atteint leurs complices. Cet hebdomadaire n’est pas l’emblème de la liberté d’expression, mais des vomissures de la pensée dominante de leur république à l’encontre de la France et de la civilisation européenne, l’injure étant sa signature. Quant à la liberté d’expression, elle n’existe plus en France depuis les lois Pleven et Gayssot.
Charlie Hebdo appelait à l’interdiction du Front national dans la mesure où il est réputé « fasciste », multipliait les caricatures blasphématoires et sacrilèges contre les chrétiens. Il avait cru s’en prendre impunément à l’islam : les mahométans ont suivi des préceptes coraniques et ont vengé ce qu’ils considéraient comme une injure. Ces assassinats sont moins des actes terroristes que des actes politico-religieux.
Cette affaire illustre la faillite et la nuisance de ce régime et du personnel qui s’y agrège. Factuellement, ils ont été incapables de protéger la vie de gens auxquels ils apportaient une protection policière personnelle, ce qui montre leur incurie foncière. Des ministres de l’Intérieur ont jadis démissionné pour moins que ça.
Surtout, ils sont la cause de la situation qu’ils déplorent : ils ont favorisé l’implantation et la diffusion de l’islam en France et en Europe, facilitant l’immigration extra-européenne et finançant les mosquées ; ils sont allés chercher noise à des États musulmans qui ne les menaçaient pas. S’il y a un terrorisme islamique, ils ont leur part dans son existence. Sous l’impulsion de la maçonnerie, ils ont suscité une société de mort qui ne peut qu’inspirer le mépris et le dégoût, ne respectant la vie ni avant la naissance, ni dans la vieillesse.
Le défilé de dirigeants politiques appelant les uns après les autres à « l’union nationale » est une odieuse opération de récupération politique, dans la mesure où ils sont responsables de la situation présente qu’ils sont incapables de juguler. Et le Front national montre sa nature en faisant tout pour s’agréger aux fossoyeurs de la France. De même, l’épiscopat, au lieu de sonner le glas pour des anti-chrétiens militants, il devrait sonner le tocsin depuis longtemps contre ce régime.
La solution aux problèmes présents n’est pas dans une unité nationale de circonstance autour du syndicat de faillite de la France et dans un phénomène d’hystérie collective organisée, mais dans un sursaut national devant rendre la France à elle-même.
09:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 janvier 2015
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
18:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La vérité :
Disons que si, au lieu de s’en prendre à la rédaction de Charlie Hebdo, des terroristes avaient décimé celle de Valeurs actuelles, il est fort à parier que les réactions n’auraient pas été les mêmes. On n’aurait pas vu fleurir les « Je suis Valeurs » comme on a vu fleurir les « Je suis Charlie » (du verbe « être », je suppose, pas du verbe « suivre »). La classe politique gouvernementale n’aurait certainement pas parlé d’« union nationale » (thème mystificateur par excellence, d’ailleurs, car une telle « union » profite toujours à ceux qui détiennent le pouvoir et veulent bénéficier d’un consensus). Contrairement à son prédécesseur Hara Kiri, Charlie Hebdo, journal libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante. Celle-ci sait reconnaître les siens.
Alain de Benoist
17:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN
Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :
« Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».
Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! » »
14:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Guerre islamiste : réaction de Carl Lang, Président du PdF.
14:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faites attention en sortant de chez vous :
13:28 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Que peuvent bien penser les morts de Charlie hebdo ?
de Philippe Randa
La France vit dans l’émotionnel : 17 morts, ce n’est pas rien, il est vrai… Des morts brutales, à motif terroriste ; si ce n’était le cas, qui s’en soucierait au-delà du cercle forcément restreint des proches ?
La Nation entière est ainsi appelée à se rassembler le dimanche 11 janvier pour une manifestation où on se devra d’être vu. S’y bousculera la quasi-totalité des personnalités politiques et sans doute people de notre pays, Président Hollande en tête. Mais aussi, nous annonce-t-on, bien des Chefs d’État d’Angela Merkel à David Cameron, en passant par Matteo Renzi, Mariano Rajoy… qui à peu près tous, ont eu pourtant à subir qui les caricatures humiliantes, qui les jeux de mots scatologiques de l’hebdomadaire satirique…
Même Marine Le Pen et les responsables du Front national, sans doute le mouvement le plus traîné dans la sanie par celui-ci, se plaignent d’en être écartés par le Parti socialiste et l’extrême-gauche, tandis que l’UMP et les centristes se trouve bien gênés d’une telle promiscuité…
Polémique qui consterne pourtant tous ceux qui ne veulent voir là qu’une occasion formidable de rassembler le peuple de France.
Occasion manquée, donc… Reste la récupération. Si ce n’est la nation française, qui donc tirera bénéfice de la « semaine sanglante » ?
Sûrement pas la mémoire des victimes des deux tueries, qu’elles soient celles du siège de Charlie hebdo ou de l’épicerie casher, deux jours plus tard.
Tout d’abord, il y a les victimes collatérales : le policier et l’agent d’entretien de la rue Nicolas-Appert, la policière municipale de Montrouge et les clients anonymes de la Porte de Vincennes… L’histoire ne retiendra pas plus leur nom ou leurs visages que ceux des « petites mains » de la rédaction ; seuls les quatre noms déjà connus de Cabu, Charb, Tignous et Wolinsky sont systématiquement repris par les médias…
D’ailleurs, que peuvent bien penser eux-mêmes ces quatre-là, où ils sont désormais, de ces démonstrations pour la plupart hypocrites, intéressées… ou contraire à tous leurs engagements passés ?
Que pensent-ils de ces trois jours de deuil national en leur honneur dans une Nation française qu’ils n’ont eu de cesse de singer ?
Que pensent-ils de ces Marseillaises qu’ils ont tant moquées, entonnées à leur mémoire dans tout le pays ?
Que pensent-ils de ces catholiques qu’ils ont tant injuriés, salis et moqués qui prient pour le salut de leur âme, appliquant leur principe du pardon des offenses ?
Que pensent-ils de ces responsables de la communauté musulmane proclamer “Je suis musulman, je suis Charlie”, malgré l’insulte faite à leur prophète ?
Que pensent-ils de ce Front national qu’ils combattaient et qui, seul de la classe politique, sonnait en vain le tocsin contre le danger islamiste… Combat frontiste, qui plus est, dénoncé avec tant de haine par Charlie hebdo ?
Que pensent-ils de ce million d’euros dont il est question que l’État donne pour que leur hebdomadaire puisse continuer à paraître, alors qu’il se faisait un point d’honneur, jusqu’alors, à ne pas accepter d’argent de la publicité ?
Trop d’honneurs tue l’honneur, dit-on… N’y aurait-il pas chez beaucoup un désir de vengeance à peine dissimulé à tuer ainsi la mémoire des morts de Charlie hebdo, alors que les tueurs fous d’Allah n’avaient pris que leur vie ?
12:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le commencement...
Serge Ayoub Porte parole du courant solidariste français
Source Solidarisme cliquez ici
Je ne suis pas Charlie. Je suis français.
Moi et les miens avons été traités de beaufs, de racistes, de paranos, de brutes, de pro-Bachar, voire d’assassins haineux, par Charlie Hebdo. Aujourd’hui Charlie Hebdo est mort, décapité par de vrais assassins nourrissant contre lui une haine véritable. Charlie Hebdo est mort, quand bien même il continuerait quelques temps à paraître. Charb, Wolinski, Cabu, Tignous sont morts, et nous sommes tristes pour eux et pour leurs familles. Malgré leur détestation pavlovienne de ma personne, de ceux que j’admire et de ceux que je peux éventuellement inspirer, malgré les amalgames et les raccourcis, et l’humour de mauvais goût, ce sont douze et probablement plus de mes compatriotes qui sont morts aujourd’hui sous les balles d’ennemis féroces.
Quel message nous envoient-ils, ces ennemis ?
Une attaque contre la liberté de la presse ? Oui, mais ce n’est pas seulement ça. Il ne s’agit pas d’une campagne de musulmans conservateurs militants pour faire retirer tel numéro de Charlie Hebdo jugé insultant ou blasphématoire, afin de « faire jurisprudence » et d’imposer les nécessaires dérogations à l’émancipation d’un islam politique et juridique sur le territoire.
En réalité ce message est celui d’une vengeance et comme toute vengeance d’une sanction à valeur d’exemple. « Le prophète Mohammed a été vengé » a-t-on pu entendre l’un des tueurs s’exclamer. Vengé de quoi ? Des blasphèmes réitérés et assumés de la rédaction de Charlie Hebdo contre Mahomet et l’Islam. Une banalité dans notre République laïque, mais impensable en Islam. Il fallait laver l’affront dans le sang. Et en lavant cet affront, adresser un avertissement non pas seulement à toute la presse, mais à tous les Français : « Ne parlez pas mal de l’Islam. » Les terroristes se foutent de la liberté de la presse en France. Savoir si les journalistes sont écoutés, payés par des conglomérats, tenus en laisse idéologiquement par la précarisation de leurs revenus : tout cela n’a aucune espèce d’importance par rapport à leur projet qui est d’augmenter la puissance de leur courant religieux. Ce qui compte, c’est que tous les Français s’habituent à l’idée qu’on ne parle pas mal de l’Islam impunément. Moi la dernière fois que j’ai entendu parler d’atteinte à la liberté de la presse, c’est quand le FN a refoulé Mediapart d’un meeting. Et la fois d’avant, c’était quand Mélenchon s’était emporté contre le Petit Journal. Très honnêtement, je vois mal le rapport avec l’acte de terroriser tout un peuple en lui intimant le silence et un respect craintif.
Ce respect craintif transpire d’ailleurs dans chacune des interventions mesurées de nos responsables politiques. Dire que l’Islam n’a rien à voir avec cette barbarie n’est ni vrai ni faux. C’est simplement un moyen de ne pas attirer l’attention des terroristes. Inversement l’attitude guerrière, consiste justement dans l’amalgame et l’outrance. Historiquement, aussi injuste quelle soit la vengeance aveugle a toujours été une méthode très dissuasive. En cela, ceux qui parlent de ne pas rentrer dans le jeu guerrier des terroristes sont précisément ceux qui font leur jeu : ils se laissent terroriser.
Je vais préciser ce que je pense de cette fausse question de l’amalgame. On lit partout, « L’immense majorité des musulmans ne veut pas la guerre ou la violence. » C’est probable. « L’immense majorité des musulmans veut simplement qu’on la laisse pratiquer sa religion tranquille. » Comme la plupart des croyants, admettons-le. « L’immense majorité des musulmans n’aurait jamais fait de mal aux dessinateurs de Charlie Hebdo. » On peut le croire, et il y a même fort à parier que le policier nommé Ahmed, mort en service pour les défendre, achevé au sol parce qu’il représentait la France par son uniforme, était musulman. Cela ne change au demeurant rien au fait que l’Islam soit fondamentalement aussi exotique en Europe que le bouddhisme. Mais soit, oui, c’est vrai, « l’immense majorité des musulmans » n’a rien à voir avec la violence terroriste.
Et c’est pour ça qu’elle ne compte pas. Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous forcent à parler de l’Islam. Ceux qui nous forcent à nous inquiéter. Ceux sans lesquels la religion musulmane en tant que telle ne provoquerait que notre indifférence, une indifférence identique à celle que suscite le culte des bouddhistes venus en nombre croissants de l’Empire du milieu, ou des chrétiens évangélistes, africains ou pas. Y a-t-il une bouddhistophobie ? Non.
Les musulmans qui comptent, ce sont ceux qui nous ont déclaré la guerre. S’il n’y avait pas de menace, cette inquiétude qui s’appelle islamophobie n’existerait pas. Le musulman qui compte, celui avec lequel il faut désormais compter c’est celui qui a la force d’instaurer un califat, pas celui qui a son petit rond de serviette au dîner du CRIF pour donner bonne conscience aux crétins qui nous gouvernent, et qui ne représente personne.
Car c’est bien une bande de crétins qui nous a amenés où nous sommes. Les vrais coupables ce sont eux, et c’est précisément dans ces moments de rage et de colère que c’est un devoir de le rappeler.
Quel est leur crime ?
Faire et laisser venir des immigrés musulmans par millions sans pouvoir les intégrer ni socialement ni culturellement.
Laisser la religion comme seule identité positive à leurs enfants déracinés.
Abrutir ceux-ci avec un discours antiraciste pour qu’ils votent pour eux.
Les manipuler pour qu’ils participent à leurs tentatives de coups d’État en Syrie ou ailleurs.
Les laisser, au nom de l’ouverture des frontières, revenir entrainés et aguerris.
Il faut y penser lorsqu’ils appellent à une marche « républicaine » pour les victimes de Charlie Hebdo, et pour celles qui suivront.
Les criminels, ce sont la gauche française, celle qui mérite de disparaître. Celle d’un gouvernement qui a décidé en août dernier de bombarder l’État islamique en dépit du bon sens, de l’efficacité tactique, et de nos intérêts stratégiques. En effet non seulement les frappes renforcent l’État Islamique, ainsi que nous l’avions prévu dans notre article contre ce que j’ai appelé Doctrine Chauprade, mais en s’y joignant, notre gouvernement a fait de la France une cible, et bientôt peut-être un champ de bataille. On ne rappellera néanmoins jamais assez leur trahison, et l’importance de se débarrasser de ces gens le plus vite possible.
Ce qui doit venir à la place de ces traîtres qui nous ont fabriqués un ennemi au sein de notre propre société ? Une force politique légitime, qui assume la violence de la réalité à laquelle nos sociétés européennes font face, et qui sache lui opposer une violence adéquate, légale et proportionnée à la menace. Ce rôle ne peut pas être tenu par le gouvernement socialiste. D’abord parce que ces assassinats islamistes sont une métastase de l’idéologie immigrationiste du PS. Ensuite parce que le ministre de l’Intérieur de ce gouvernement, malgré les menaces et ses services de renseignements, a été incapable de défendre ni ses concitoyens ni ses fonctionnaires. Il a donc failli à sa mission. D’ailleurs, quand bien même ils voudraient nous défendre, il suffit de les regarder pour savoir qu’ils en sont incapables.
Ce rôle ne peut pas être tenu non plus par une droite à moitié inféodée aux émirs qataris, dont le rôle dans la pseudo révolution syrienne (devenue un bourbier djihadistes) est pour le moins trouble.
Je vais être plus clair : le Front National est, d’après moi, non pas la solution, mais le seul espoir de solution et de victoire. Lui seul a eu le bon diagnostic sur la situation actuelle, lui seul, au-delà de toutes les erreurs de recrutement et de tactique qu’il peut commettre, est capable d’être porté par un peuple français qui retrouverait foi dans son destin, foi dans sa force et dans sa capacité à défendre ce qu’il est et ce qu’il doit rester.
Votez FN. Ce sera un commencement.
02:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 janvier 2015
Ce soir, plusieurs familles juives peuvent dire merci à Taubira...
Amedy Coulibaly, le tueur de policière de Montrouge jeudi matin et preneur d'otages dans une épicerie casher à Saint-Mandé, porte de Vincennes, a rencontré le Président Nicolas Sarkozy en 2009.
En passant, l'homme devrait se trouver en prison depuis 2013 mais libéré il y a deux mois suite à la loi Taubira qui autorise la libération de prisonniers pour les condamnations de allant jusqu'à 5 ans d'enfermement. Merci beaucoup Madame.
Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici
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Confidence : je ne suis pas Charlie
Arnaud Raffard de Brienne
Les réactions officielles, officieuses, politiques et médiatiques de l’ensemble de la société convergent pour condamner l’attentat effroyable commis contre le journal satyrique Charlie Hebdo. Cet acte inspiré par la barbarie obscurantiste au front bas ne peut trouver aucune justification d’aucune sorte et au moins, sur ce point, il y a consensus, ce qui est plutôt rassurant et les victimes méritent tout le recueillement qui leur est dû. Est-on obligé pour autant de vénérer à posteriori ce journal provocateur, blasphémateur, souvent méchant et presque toujours vulgaire ? Doit-on psalmodier avec la foule « je suis Charlie », une affichette à la main et un badge à la boutonnière ? En tout cas, je me permets une confidence, je ne suis pas Charlie mais alors pas du tout, je serais même plutôt du genre anti-Charlie, ce qui ne m’empêche nullement de défendre farouchement la liberté d’expression, y compris celle de Charlie Hebdo.
Le plus crispant dans tout cela, c’est le rabâchage en boucle des media, dupliquant à l’infini, avec gourmandise parfois, les poncifs éculés, les clichés, les expressions usées jusqu’à la corde. Dans un climat de lâcheté et d’individualisme, on y parle de fermeté, d’union – de qui, de quoi, pour quoi faire ? – tout en psalmodiant « pas d’amalgame, pas d’amalgame », de crainte que les Français ne fassent certains rapprochements interdits. On nous annonce même une « manifestation républicaine » (sic) et je me demande bien à quoi peut ressembler une manifestation républicaine. J’observerai attentivement, soucieux d’élargir mon champ culturel. Cette république n’en peut d’ailleurs plus d’être mise à toutes les sauces du débat républicain au front républicain et j’en passe… J’espère au moins que nous seront épargnés les marches blanches, les lâchers de ballons et autres veillées avec cierges sur fond de slogans débilitants. Il serait plutôt grand temps de prendre conscience de la situation réelle et beaucoup plus pertinent de commencer à envisager un gouvernement de salut public ?
Jamais bien entendu ne sera abordé le vrai débat, les politiciens n’ayant d’autre rôle que d’endormir nos concitoyens dont une grande partie n’en demandent d’ailleurs guère plus. Responsables de l’état de la France, ils ne peuvent que biaiser, finasser et édulcorer le débat dans l’espoir que jamais ne soit évoquée leur culpabilité accablante. Prétendre qu’islamisme n’a aucun rapport avec islam en réussissant à ne pas sourire relève presque du tour de force et à ma connaissance, aucun attentat de ces dernières décennies n’a été commis au cri de « Jésus-Christ vaincra », « Yavhé au pouvoir » ou « Bouddah seul dieu sur terre ». Ou alors cela m’a échappé. Aucun des politiciens, ni des journalistes du système, pourtant fort prolixes depuis hier, n’a jugé bon de rappeler les manquements et erreurs gravissimes de ces dernières décennies en matière d’immigration incontrôlée, débridée, folle même. Ils n’ont pas plus évoqué l’échec patent mais prévisible de l’intégration et de l’assimilation, la montée du communautarisme et de l’intégrisme islamiste dont nous déplorons aujourd’hui les funestes conséquences. Leur pauvre camouflage de ces dernières semaines consistant à ne voir que des « actes isolés » et des « déséquilibrés », comme s’il en pleuvait, ne trompe plus grand monde et gageons que ces distorsions sémantiques s’avéreront de plus en plus inopérantes dans les mois à venir à mesure que se multiplieront des actes de moins en moins isolés.
20:19 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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LA FRANCE RESPECTABLE ET... L'AUTRE
Il y a la France respectable et l’autre.
Il y a la France des magouilles politiciennes, des petits arrangements entre amis et… l’autre.
Il y a la France respectable qui met les bons d’un côté – c’est-à-dire elle-même -, et l’autre.
Il y a cette France respectable qui porte le drapeau des droits de l’homme et qui terrorise… l’autre.
Il y a cette France respectable qui lance ses anathèmes au nom du politiquement correct et profère ses fatwa… sur l’autre
Il y a cette France respectable qui vient nous parler de liberté, de liberté de la presse et de sa liberté de pisser sur l’autre.
L’autre qui pèse plus lourd dans les urnes que la France respectable, intolérante, antifrançaise qui a armé les tueurs de ces dessinateurs qui défendaient leur liberté ... pas celle de l’autre
Il y a la France respectable… et NOUS, l’autre.
Patrick Parment
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« ILS » NE VEULENT PAS DE NOS GUEULES ? « QU’ILS » RESTENT ENTRE EUX !
Le bloc-notes de
Jean-Claude Rolinat
J’ai milité pendant 17 ans dans les tranchées du Front avant qu’en 1999, je quitte ce parti. A moins que ce ne soit lui qui m’ait quitté. Aujourd’hui, les orientations du FN et son ouverture à des catégories « particulières » m’étonnent et m’interpellent. Mais, devant le refus de l’establishment de l’englober dans un hommage national rendu dimanche 11 janvier aux victimes de Charlie hebdo, je m’insurge ! Comment, le gang des pleureuses professionnelles de l’ultra gauche, les fournisseurs éplorés de jérémiades, les pourfendeurs de « fachos » qui prônent en ces moments douloureux l’unité nationale, refuseraient la présence de représentants d’au moins un cinquième ou un quart de l’électorat français ? Cet ostracisme répugnant me dégoûte !
Oui, le massacre des journalistes de Charlie hebdo est odieux, oui ce monstrueux assassinat collectif soulève notre indignation, il n’y a pas de mots assez forts pour désigner cette exécution perpétrée froidement par deux jeunes d’origine maghrébine ayant, en raison de l’inique droit du sol, la nationalité française. Honte à ceux qui ont permis ce processus juridique !
Preuve est faite, la démonstration est là, tragique, que s’attaquer au Pape et aux curés, ça coûte moins cher que de s’en prendre à l’Islam. Nul commando de Gardes Suisses ne viendra régler leur compte aux impertinents… Ce n’est pas seulement la liberté de la presse qui a été attaquée, c’est évidemment la liberté de s’en prendre à l’image du Prophète, en un mot de commettre un blasphème. Ridiculiser Benoit XVI ou son successeur, évoquer la pédophilie de très rares prêtres, c’est ne prendre aucun risque. Se moquer irrévérencieusement de Mahomet, c’est se condamner à l’enfer : fatwa un jour, fatwa toujours. Ces gens-là, les islamistes, les « fous d’Allah », ne lâchent rien. Rien n’est oublié. C’est bien pour cela qu’il faut les éradiquer. Un conseil aux petits maîtres qui détiennent (encore) le pouvoir : qu’ils reconstituent une sorte de 25e DP avec un Massu contemporain à sa tête – si cette espèce d’officier existe encore ! – et on réglera le problème avant l’hiver prochain !
S’agissant de la manif d’unité nationale comme « ils » disent, qu’ils restent entre eux les UMPS et autres cocos-écolos-bobos-gauchos : ce sera sans moi. Dimanche 18 janvier, on peut toujours aller à la réunion de Riposte Laïque place de la Bourse.
Je n’ose imaginer ce qui se serait dit si, ce qu’à Dieu ne plaise, nos talentueux dessinateurs de Présent à Minute en passant par Rivarol, avaient été victimes d’une telle « Saint Barthélémy » comme leurs originaux confrères de Charlie hebdo : rien, ou pratiquement rien. Pas de concerts de pleureuses, une vague brève en dernière page des quotidiens, 30 secondes d’info à la télé et des commentaires du genre « ils l’ont bien cherché »…
Alors moi, dimanche, je n’aurai rien à faire dans un cortège où les syndicats, l’ultra gauche et les partis du système battront le pavé parisien.
16:19 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après l'attentat contre Charlie-Hebdo : le bal des aveugles et des hypocrites
Après l'opération islamiste qui a coûté la vie à une douzaine de personnes au siège de Charlie-Hebdo, les réactions officielles se sont multipliées, ce qui est normal.
Mais quand on lit que « Un attentat contre la presse est un attentat contre la République. » (J.P. Huchon, président du Conseil Régional d'Ile de France) ou que « Ce qui s’est passé ce matin au siège de Charlie Hebdo est une attaque odieuse contre un des piliers de notre démocratie, un acte d'une barbarie extrême contre ceux qui, au quotidien, font vivre l’information et animent le débat public. » (Fleur Pellerin, ministre de la culture et de la communication). Ou que :
« Olivier Galzi (I-Télé), Président du Press Club, l’ensemble des journalistes membres du Conseil d’Administration du Club et Isabelle Bourdet, sa directrice expriment leur indignation totale face à cette attaque sans précédent et d’une lâcheté absolue contre la presse française. »
Ou quand François Hollande parle d'un acte « contre un journal, c' est-à-dire contre l'expression de la liberté », nous n'oublions pas le véritable lynchage médiatique dont a été victime Eric Zemmour (par exemple par i-télé) pour avoir mis en évidence les dangers de la présence sur notre sol de millions de musulmans. Comment donc pouvons-nous prendre au sérieux tous ces personnages ?
Avec tous les patriotes, accentuons la pression pour que nos hommes politiques mettent fin à la folle islamisation de notre pays.
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Xavier Raufer sur TV Libertés
11:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Honneur à Chalon-sur-Saône : VOILA LA VERITE !
11:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
GUERRE !
Pierre Vial
Président de Terre et peuple
Mes amis ont réagi à l’actualité comme il le fallait, car il était nécessaire de dire très vite comment nous interprétons les événements liés à l’attaque contre Charlie Hebdo. Il m’appartient de prendre un peu de recul, pour prendre en compte la succession des faits et leur interprétation, après les premiers constats. De la façon la plus froide, sans se laisser embarquer dans l’ambiance émotionnelle, fabriquée d’ailleurs de toutes pièces, pour les raisons que nous allons voir.
1. Depuis le temps que nous disons et redisons que les faits nous donnent raison, nous en avons une confirmation spectaculaire. Donc argument à mettre en avant : nous avions et nous avons raison.
2. La consternation et les lamentations officielles de tous ceux qui sont partie prenante du Système ne nous concernent pas. Les gens de Charlie Hebdo étaient nos ennemis et nous haïssaient. Nous n’allons donc pas pleurnicher sur leur sort. Donc argument à mettre en avant : nous ne sommes pas concernés.
3. Les bobos sont traumatisés : ils découvrent que la guerre est là, prête à entrer chez eux. Ils essayent de se rassurer en sortant la vieille rengaine d’un islam pacifique, tolérant, respectueux des autres. Ils ont tout faux et vont de plus en plus s’en apercevoir : les musulmans ont le devoir de soumettre (ou d’abattre) les Infidèles. Point. Ceux qui sont censés parler en leur nom, comme cette vieille crapule de Boubakeur, pratiquent la vieille méthode du double langage et appliquent le vieux principe : « La main que tu ne peux couper, baise-la ». En attendant bien sûr de pouvoir la couper. Donc argument à mettre en avant : c’est la guerre et ceux qui se voilent la face en seront les victimes, tant pis pour eux.
4. Hollande dit que les charlots de Charlie Hebdo sont « nos héros ». Les jeunes musulmans des cités considèrent, eux, que leurs héros sont ceux qui ont flingué à Charlie Hebdo. Ceux qui disent le contraire, dans les media, sont soit des menteurs soit des crétins irresponsables et incultes. Donc argument à mettre en avant : à la guerre il faut choisir son camp.
5. Sans céder à la tentation du conspirationnisme, il faut constater que cette affaire sent déjà, à l’heure où j’écris (jeudi 8 janvier 17 h), particulièrement mauvais. On a pu constater que les tireurs avaient agi avec sang-froid, détermination, précision. Bref, en professionnels. Et ces professionnels auraient « oublié » une carte d’identité dans une voiture ? A qui veut-on faire croire cela ? Mais alors s’il y a manip, qui est derrière ? Surgit alors la bonne vieiile question : à qui profite le crime ? Au moment où Hollande a besoin de se refaire une santé dans les sondages ?
6. Le chœur des lamentations (de Hollande à Sarkozy, de Mélenchon à Bayrou – Marine aurait voulu s’y joindre mais on ne veut pas d’elle) en appelle à « défendre la République ». Quelle République ? L’idéal républicain a été un bel idéal – celui d’une Communauté du Peuple éprise de justice et de liberté – et pourra le redevenir un jour, dans une République identitaire. Mais aujourd’hui, parce qu’elle est la caution rance du Système en place, la République est devenue une vieille pute vérolée. Hollande et les autres s’accrochent à cette branche pourrie parce qu’ils sentent que le vent commence à forcir et que cela va continuer.
7. Même si tout est fait pour conditionner les braves Gaulois, ils ne sont pas si bêtes que le croient les maîtres du Système et se posent des questions. Et cela ne fait que commencer.
8. Nous sommes donc entrés dans une zone de turbulences et c’est tant mieux. Argument à mettre en avant : tout ce qui ébranle le Système est bon.
9. Musulmans, chrétiens, juifs et laïcards tous unis. C’est un des deux camps en présence. L’autre, le nôtre, est en face. Qui n’a pas compris cela n’a rien compris.
10:57 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 17 janvier, Carl Lang à Seloncourt (Doubs)
10:45 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Attentat islamiste : les coupables sont recerchés, les responsables nous enfument !
En visite en Arabie Saoudite en décembre 2013, la ganache élyséenne n'avait pas hésité à poser brandissant le sabre qui figure sur le drapeau du royaume chamelier, le sabre emblématique des conquérants musulmans.
Une pantalonnade de plus pour l'incapable majeur qui est censé gouverner la France certes mais aussi le symbole fort de la dhimmitude acceptée au plus haut niveau de notre pays. Une dhimmitude rendue inéluctable par la progression de l'immigration de peuplement allogène majoritairement mahométane. Un processus de soumission à une religion étrangère qui nous écrasera quand les populations qui la portent seront devenues majoritaires en France et en Europe. Il n'y a pas plus d'Islam de France que d'Islam de n'importe quel pays occidental, il n'y a que l'Islam: l'Islam des origines, une religion simpliste née dans les déserts de la péninsule arabique, qui s'est étendue par conquête militaire, qui a enflé et reflué, qui s'est maintenue et s'étend par les armes et l'immigration dans le monde entier, une communauté de croyants qui ignore les nations et les races et dont le but ultime est d'imposer de gré ou de force la Loi coranique.
La volonté de conquête islamique est certes pragmatique (embrasse la main que tu ne peux pas mordre!) et patiente (nous allons conquérir l'Europe par le ventre de nos femmes). Trop lente sans doute pour certains impatients qui estiment qu'il est temps de passer à la vitesse supérieure, celle du djihad. Le terrorisme djihadiste a pour but premier de tester les capacités de réaction des européens. Et c'est sans doute le but de l'attentat qui vient d'avoir lieu à Paris. Les tenants du djihad ne vont pas être déçus: au terrorisme la caste politicienne entend opposer le "vivre ensemble" affirmé, la tolérance magnifiée, les vertus républicaines sublimées et les droits de l'homme érigés en bouclier de la France plurielle. Vladimir Poutine lui, qui est un vrai homme d'état, avait affirmé qu'il allait faire traquer les terroristes mahométans "jusqu'au fond de leurs chiottes".
La réaction, la vraie sera celle du peuple souchien, ces gaulois, ces français moyens - tant méprisés et caricaturés par les gocho bobo anarchistes salonnards subventionnés de Charlie Hebdo - dont on craint tellement qu'ils ne s'adonnent à une Saint-Barthélémy des djihadistes réels ou supposés qu'on les bombarde sans interruption de propos lénifiants, de dithyrambes lacrymogènes et d'appels à l'unité nationale. Unité nationale derrière ceux qui n'ont de cesse de détruite les nations! On en rirait presque! Les coupables de la tuerie sont identifiés et seront espérons le abattus, les politiciens responsables de la situation qui a mené à cet attentat - l'alignement sur les desiderata du nouvel ordre mondial en matière d'immigration - vont essayer d'échapper au ras le bol populaire. Pour combien de temps ?
Rassemblement ! Résistance ! Insoumission ! Reconquête !
00:59 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Libre Journal de Pascal Lassallle : c'est samedi à midi sur Radio Courtoisie
00:54 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CGT : Thierry Lepaon a quitté son nid douillet !
Yves Darchicourt
L'assaut djihadiste sur les locaux de Charlie Hebdo qui a fait 12 morts dont notamment deux policiers a totalement occulté la démission forcée de Thierry Lepaon de son poste de secrétaire général de la CGT, pourtant la première du genre dans l'histoire de ce syndicat.
Il faut dire que le damné de la terre en chef était complètement déconsidéré auprès de sa base par la révélation de ses exigences de satrape tant pour la décoration byzantine de son appartement de fonction et de son bureau que pour son gros salaire de permanent ou encore ses très confortables indemnités de départ de la CGT normande pour... la CGT parisienne ! Lâché par les aparatchiks de l'officine eux-même dûment chapitrés par le parti communiste le bel oiseau n'avait guère d'autre solution que de démissionner piteusement.
Lepaon s'en va donc sans faire la roue comme il aimait tant le faire devant micros et caméras. Que va t-il devenir lui qui n'a pas tenu une clé de 12 depuis des lustres ? Le goulag ou le placard aussi doré que discret ? Qui va lui succéder ? Les camarades cgétistes sont tellement déboussolés que d'aucun parlent de rappeler Bernard Thibaud qui paraît-il à l'oreille de certaines autorités morales du bidule dont l'exemplarité a largement contribué à ramener le nombre de syndiqués en France à 7%. On va bien rigoler !
00:49 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 janvier 2015
Une certaine dose de perversion quand même...
Directeur de Synthèse nationale
Depuis l’annonce du massacre qui s’est déroulé dans les locaux de Charlie hebdo, le 7 janvier, on assiste à un concert de réactions presque toutes aussi dégoulinantes de niaiseries et d’irresponsabilités les unes que les autres. Toute la classe politico-médiatique y va de son couplet rappelant à qui veut encore l’écouter que cet attentat ne doit pas engendrer « des amalgames douteux » ou encore que « l’islam est une religion de tolérance qu’il ne faut pas confondre avec les tueurs fanatisés ». De Hollande à Sarkozy en passant par Juppé et autres Filippetti, chacun rivalise dans le compassionnel de circonstance et les bons sentiments de vierges effarouchées.
Toutes ces simagrées ne doivent pourtant pas nous faire oublier l’énorme part de responsabilité que portent ces gens dans la situation actuelle. A force de refuser de voir les réalités en face, ceux qui sont sensés depuis des décennies diriger notre pays, qu’ils soient de la droite molle ou de la gauche dogmatique, par confort intellectuel ou par soumission à la volonté mondialiste de broyer les identités, ont créé les conditions du carnage qui nous attend. Ils ont bonne mine aujourd’hui d’appeler à « l’unité nationale » alors qu’ils ont tout fait (et qu’ils continueront à tout faire) pour détruire notre nation et anéantir notre civilisation.
Depuis cinquante ans les nationalistes sonnent le tocsin. Nous ne cessons de prévenir que l’importation sur notre sol d’une masse de gens déracinés qui ont une toute autre approche des choses que la nôtre ne peut entrainer à terme que des problèmes graves. Lorsque nous disons cela, je précise que c’est sans aucun mépris pour quiconque. Toute civilisation est respectable chez elle, à condition qu’elle reste chez elle. L’islam est peut être une religion adaptée aux pays où il a prospéré mais il se trouve qu’ici, en France, nous sommes en Europe, terre de tradition helléno-chrétienne hérissée de cathédrales et de beffrois sur laquelle il n’a pas vocation à se développer.
Mais l’immigration massive et incontrôlée n’est pas la seule raison que nous ayons d’imputer à la classe dirigeante la responsabilité du développement du terrorisme islamique. Depuis une trentaine d’années les gouvernements successifs, et leurs chiens de garde que sont les journalistes aux ordres, se sont tous alignés servilement (à l’exception de Villepin au moment de la seconde guerre du Golfe, reconnaissons-le) sur la volonté américaine de déstabiliser le monde arabe. De l’Irak à la Lybie et de l’Egypte à l’Afghanistan, chacun a pu constater « la brillante réussite » de cette politique hasardeuse imposée par les lobbys et légitimée par quelques donneurs de leçons patentés. Le dénommé Bernard-Henri Levy étant un étalon en la matière. Cette politique belliciste continue à faire des ravages en Syrie aujourd’hui.
Revenons à l’attentat qui a visé Charlie hebdo. Cela étonnera peut être certains mais nous aussi nous avons un cœur et, par conséquent, nous partageons la peine des proches des victimes de la tuerie. Cela étant dit, je n’aime pas Charlie hebdo (1). Ce journal réputé satirique est en fait très conforme au « politiquement correct ». Lorsqu’il s’en prend à l’islam, c’est avant tout pour des raisons sociétales. Il refuse de reconnaître la dimension ethnique qui nous en sépare. L’esprit dans lequel les caricatures de Mahomet ont été publiées il y a quelques années ne pouvait qu’à un moment ou un autre entrainer des représailles de la part des islamistes. Ce moment est hélas arrivé. C’est triste, mais c’est ainsi.
Quoiqu’il en soit, il faudra un jour nous expliquer comment d’un côté on se permet d’insulter une croyance quelle qu’elle soit et que de l’autre on favorise l’implantation de celle-ci sur notre sol. Il doit y avoir une certaine dose de perversion chez ces gens là...
Note
(1) Un bémol cependant : je n’oublie pas qu’en juin 2013, au moment de l’affaire Esteban/Méric, Charlie hebdo avait publié un article, signé du politologue Jean-Yves Camus, allant à contre-courant des trombes d’insultes déversées alors sur les nationalistes.
11:36 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Logique !
L’attentat contre ce héraut du conformisme qu’est Charlie Hebdo n’est que l’aboutissement du laxisme des autorités politiques de ce pays depuis des décennies face à l’islam et l’immigration incontrôlée tout autant que d’une politique étrangère contraire aux intérêts de la France et l’Europe.
On peut même s’étonner qu’avec près de 10 millions d’extra-européens sur notre sol des événements nettement plus graves ne se soient pas perpétrés. La perte de nos référents culturels, l’absence de défense de notre identité conduisent de jeunes hommes à s’identifier au combat djihadiste et à partir jouer les mercenaires en Syrie. Il n’est donc pas étonnant que quelques-uns d’entre eux estiment que le combat doit également être porté dans ce pays à la botte des Etats-Unis.
Car cet attentat est aussi le résultat d’une politique étrangère totalement indexée sur celle des Etats-Unis.
Sarkozy et Hollande sont sur la même longueur d’onde. En déstabilisant la Libye hier comme le fit Sarkozy, assisté de l’irresponsable Alain Juppé, lui-même aux ordres de cet illuminé de Bernard-Henri Lévy, on a détruit tout l’équilibre fragile qui régnait dans cette Afrique subsaharienne. On en paie aujourd’hui l’addition avec les opérations menées sans grands résultats au Mali et ailleurs. Et, comme si cela ne suffisait pas, on a continué à jouer les va-t-en-guerre contre la Syrie. Autant d’erreurs qui nous ont conduit à la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui.
Mais, cela ne suffit pas aux irresponsables qui nous gouvernent puisque l’on procède de la même manière avec la Russie de Vladimir Poutine que toute la presse bien-pensante – c’est-à-dire l’écrasante majorité de nos médias – a transformé en bouc émissaire. Là encore, la patte de Washington …
Sarkozy hier, Hollande aujourd’hui, ne sont que les valets des intérêts du capitalisme anglo-saxon. Quant à la soi-disant liberté de la presse ou de la liberté tout court d’ailleurs, on se marre, on se gausse. Les lobbies juif et américain veillent au grain. La dernière fois que l’Europe était libre, c’était à l’époque des empires… austro-hongrois, français et allemands. Il y a bien longtemps.
En attendant, le talentueux Cabu et quelques autres ont payé la note en croyant défendre la liberté de penser. Paix à leur âme.
08:27 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Réaction de Riposte laïque :
08:16 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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08:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |