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mardi, 22 novembre 2022

Cet autre « Pas d’amalgame ! » qui les gêne tant !

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La chronique de Philippe Randa

À défaut de gagner des élections, qu’elles soient politiques ou syndicales, syndicats, partis de gauche et associations diverses, variées et surtout politiquement très correctes n’aiment rien tant que battre le pavé parisien.

« Ça les occupe, c’est toujours ça ! », commentent certains en haussant les épaules… « Ah ! bon ! et alors ? », font écho d’autres, tout aussi blasés et les uns et les autres sont sans doute davantage préoccupés par leurs futurs réveillons de fin d’année : foie gras, crustacés et bûches glacées pour ceux de la France d’en haut… ou pâté Henaff, saucisses frites et glace à l’eau pour ceux de la France d’en bas, sommés de traverser la rue pour trouver du travail et de payer l’essence sans geindre.

Ainsi étaient-ils plus de 80 000 (pour les organisatrices, entre autres de NousToutes), moins de 18 000 (pour la police) – qui peut encore croire dans le sérieux de l’estimation des unes ou de l’autre avec un tel différentiel ? – à manifester, encore et toujours, à Paris et dans plusieurs villes de France, contre les violences sexistes.

Ces manifestants-et-tantes ou autres non-identifiés (sinon identifiables) se sont désolés des dysfonctionnements de la justice, ont stigmatisé sans distinction aucune les « mâles », se sont insurgés qu’on puisse ne serait-ce que vérifier la véracité des accusations portées par des victimes – forcément victimes – et des coupables – forcément coupables – et stigmatisant une « culture du viol » qu’il serait grand temps de stopper…

Serait-il risqué, comme un aveu inconscient de culpabilité, de demander que soit défini ce qu’est précisément cette « culture du viol » ? Peut-être celle décrite par le marquis de Sade dont les écrits romanesques et assurément sulfureux ont traversé les siècles et furent, effectivement, assez mis en avant par les militants de la gauche extrême, organisateurs de la chienlit de mai 1968… et assez nombreux – pour ceux que la mort n’avait pas fauchés à temps – à devoir répondre de harcèlements, agressions, viols, incestes et autres joyeusetés sexuelles dans lesquelles ils étaient passés maîtres… et pour lesquelles nombre d’entre eux ont été condamnés !

Parmi ces batteurs-et-batteuses de pavé, combien ont, par le passé ou encore aujourd’hui, rêvé pourtant d’un nouveau « mai 1968 » ? Poser la question est y répondre, n’est-ce pas : la plupart !

Quant à cette fameuse « culture du viol », qu’on me permette d’y apporter, sinon une définition, du moins un souvenir… C’était au tout début des campagnes de délation d’#metoo et autres balance-ton-porc (« et ta cochonne », nous rappelle le drame récent de la petite Lola, violée, torturée et tuée par une « chance pour la France » d’outre-méditerranée) …

J’interrogeais alors la fille d’une amie, jeune et jolie :

— Qu’est-ce que tu en penses ? Tu es souvent importunée, toi ?

— Oui, évidemment… Pas sur mon lieu de travail, ni parmi les gens que je fréquente ! Mais dans la rue, dans le métro, oui, tout le temps ! Tu devines par qui ! Pas des Norvégiens et pas non plus des Italiens… J’ai besoin de te faire un dessin ?

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18:23 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Re-parlons immigration

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Le billet de Patrick Parment

 Dans un éditorial des Echos, Jean-Marc Vittori n’a pas tout à fait tort quand il défend l’idée que sur le marché du travail on ne saurait aujourd’hui se passer de ces immigrés qui « font les sales boulots que les Français ne veulent pas faire ». Et d’avancer que la France compte 2,3 millions de chômeurs (au sens du Bureau international du travail), chiffre certainement sous-estimé, soit un peu plus de 7% de la population active. Et pourtant, nous dit le chroniqueur, sept entreprises sur dix ont du mal à recruter. Ce qui n’est pas nouveau.

Il est vrai que dans certains secteurs, les tensions sont fortes : bâtiment, soins aux personnes, transports, hôtellerie et restauration, agriculture. Et dans tous ces métiers, dès lors qu’ils sont peu qualifiés, on trouve en effet de nombreux étrangers pour occuper ces postes où beaucoup sont employés au noir. C’est un fait avéré. Mais notre homme en tire la conclusion que le phénomène migratoire n’est pas prêt de s’arrêter. Et ce d’autant que le patronat est demandeur de cette main d’œuvre bon marché. Dès les années soixante les constructeurs automobiles envoyaient des camions pour recruter des travailleurs marocains. Outre le fait d’avoir recours à cette main d’œuvre, le patronat en profitait pour faire pression sur les syndicats afin qu’il se montrent raisonnables en matière de revendication.

Fort de ce constat, le présent gouvernement, Darmanin en tête, propose de régulariser ces travailleurs immigrés. Si une telle mesure est pour le moins logique, il serait bon de ne pas confondre régularisation avec acquisition de la nationalité française, mais plus simplement de leur donner accès à tous les droits dont disposent les travailleurs français. Ce qui impliquerait aussi de la part des entreprises d’en finir avec le travail au noir ou au statut de (faux) travailleur indépendant. Les entreprises, grandes et petites, y sont-elles disposées, je n’en suis pas certain.

Enfin, il y a une zone d’ombres que n’abordent pas notre brave chroniqueur, c’est l’immense majorité des immigrés qui ne travaillent pas et qui vivent aux crochets de la société et donc du travail des Français, de ces Gaulois encore majoritaires dans ce pays.

C’est peu dire que le gouvernement se garde bien de nous fournir les chiffres mais on a tout lieu de penser qu’ils sont majoritaires. Combien cotise à la Sécurité sociale, combien bénéficie des allocations familiales et quelles est l’ampleur des arnaques dans ces domaines ? Quand on parle d’immigration, c’est surtout sur cet aspect du problème que se penche la droite nationale. Il y a des quartiers dans certaines villes où les habitants n’ont jamais parlé français et qui vivent des trafics en tout genre et de la drogue en particulier. On les qualifie généralement de « non droit ». Est-ce tolérable ?

Le vrai problème de l’immigration est là. Prenons un exemple récent. Les migrant débarqués de l’Ocean Viking, soit 234 pékins - de quinze nationalités différentes dont une majorité d’Erythréens -, viennent d’être remis en liberté, c’est-à-dire lâché dans la nature. De quoi vont-ils vivre à votre avis ? De rapine, de vols, que sais-je encore. Ont-ils le choix ?  Ils viennent tous d’une société où la violence est quotidienne. Autant dire que l’argutie psychiatrique n’est pas valable. Les pages de nos journaux regorgent des crimes et délits de ces immigrés si chers à notre gauche humaniste et criminelle. Le vrai problème est là : que fait-on de ces immigrés qui gangrènent et perturbent une société française déjà largement fracturée ?  A cette question, les macronistes, les gauchos-bobos de la France Insoumise, les Républicains, Renaissance ne répondent pas. Ils ont la trouille d’avouer que l’unique solution est de les renvoyer chez eux. Mais surtout d’en avoir la volonté politique et de s’en donner les moyens. En attendant les arnaques à la Sécu, aux allocs et autres ont encore de beaux jours devant elles. Alain de Benoist l’a bien résumé : « Il n’y a plus qu’une façon aujourd’hui d’aimer la France, c’est de la détester telle qu’elle est, et c’est de travailler à la changer. »

08:20 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 21 novembre 2022

Rome, samedi 26 novembre : le Centre d'étude Polaris, dirigé par Gabriele Adinolfi, présente au public romain l'Institut Iliade

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Un communiqué de Gabriele Adinolfi :

Italie : initiative métapolitique

Le Centro Studi Polaris, à la fois think tank et revue italiens que je dirige, organise ce samedi, 26 novembre, à Rome un colloque sur les thèmes: Défis et opportunités italiens et européens (au matin) et: La métapolitique de combat prend l’initiative (dans l'après-midi),

À cette occasion, Pierluigi Locchi, membre co-fondateur et responsable des relations internationales de l’Institut Iliade, et Nicola Torti, stagiaire de la promotion Léonard de Vinci, présenteront l'Institut Iliade, ses objectifs et les premières étapes qu’il a déjà franchies.

La réunion se déroulera plus précisément à Mentana, aux portes de la ville éternelle, exactement là où les forces françaises et italiennes s’affrontèrent en 1860, dans la tentative de Garibaldi de parachever l’unité de l’Italie – tentative qui ne réussira que dix ans plus tard. Tout un symbole, sans compter que cette réunion placée sous le signe de la fraternité des armes se déroulera dans la Aula magna de la Bibliothèque Charlemagne. (...)

Nous avons choisi une mairie avec une administration amie. Heureusement, nous en avons de plus en plus. Pour l'occasion, nous avons impliqué diverses réalités métapolitiques et éditoriales italiennes, toutes actives dans divers domaines politiques, sociaux, culturels et économiques, afin de tracer un chemin concret. Les conditions sont favorables et ce serait un crime de ne pas s'engager correctement.

23:47 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 26 novembre à Bignan (56) : Pierre Cassen donnera une conférence sur la résistance à Callac

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13:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 20 novembre 2022

Civitas organisait samedi à Rungis sa 4e Fête du Pays réel

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Belle réussite pour Civitas, samedi 19 novembre à Rungis. 

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Parmi les stands, celui de Synthèse nationale sur lequel de nombreux amis de notre revue sont passés nous voir ou pour acheter nos livres, comme ici Thomas Joly, président du Parti de la France, en compagnie de Roland Hélie.

22:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hospitalisation, mortalité, vaccination : le ministère de la Santé refuse de donner les chiffres !

Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées depuis décembre 2020 selon leur statut vaccinal anti-Covid n’existent pas ! Telle est la réponse stupéfiante faite, il y a quelques jours, par le ministère de la Santé à Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale).

Directeur de l’équipe SCEPID (Système complexe et épidémiologie) et de l’IRSAN (Institut pour la valorisation des données de santé) Laurent Toubiana demandait depuis maintenant plus d’un an à avoir accès à ces chiffres dans le cadre de l’étude SurViVax menée dans le cadre du SCEPID. En effet, dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des débats ont eu lieu autour de l’efficacité des nouveaux vaccins à ARNm. Des interrogations légitimes ont rapidement vu le jour dans la population, dans la mesure où le vaccin devait être administré à très grande échelle et sans recul sur d’éventuels effets indésirables.

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19:10 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Russie et l’Afrique

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Bernard Lugan

 Un dessin animé russe en langue française projeté dans les cinémas centrafricains met en scène un lion -sous-entendu l’Afrique -, attaqué par des hyènes - sous-entendu les pays occidentaux. Intervient alors l’ours russe qui aide le maître de la brousse à rétablir l’ordre des choses, c’est-à-dire le respect que l’on doit au lion. L’allégorie a bien été comprise par les spectateurs enthousiastes.

 Voilà comment, à travers le soutien sans états d’âme donné aux pouvoirs forts, les seuls respectables et respectés en Afrique, la Russie évince peu à peu les Occidentaux. D’autant plus facilement que les Africains en ont assez du diktat démocratico-moralisateur qui prétend leur faire changer de nature. Assez des folies de la « théorie du genre » et des délires pathologiques LGBT devenus les « valeurs » sociétales d’un Occident ayant perdu toute référence à l’Ordre naturel. Voilà pourquoi, comme l’a déclaré le général Muhoozi Kainerugaba, fils du président Museveni d’Ouganda « la majorité de l’humanité soutient l’action de la Russie en Ukraine. Poutine a absolument raison ». 

 D’autant plus que la politique russe n’a pas pour alibi le mirage du développement. Russes et Africains savent en effet très bien qu’il est impossible de « développer » selon les critères définis par l’Occident, un continent qui, d’ici à 2030, verra sa population passer de 1,2 milliard à 1,7 milliard, avec plus de 50 millions de naissances par an. Et que, pour gouverner ces masses humaines, les principes démocratiques occidentaux sont à la fois inopérants et crisogènes.

 En réalité, si Vladimir Poutine réussit en Afrique, c’est parce qu’il a très exactement pris le contre-pied du diktat démocratique que François Mitterrand imposa en 1990 au continent lors de la conférence de la Baule. Un diktat qui a provoqué un chaos sans fin parce que, comme les élections sont en Afrique autant de sondages ethniques grandeur nature, elles y débouchent donc automatiquement sur l’ethno-mathématique électorale. D’où la crise permanente. Les peuples les moins nombreux étant en effet écartés du pouvoir, soit ils ne se reconnaissent pas dans les Etats, soit ils se soulèvent contre eux. Tout au contraire, loin des nuées idéologiques, la politique africaine de la Russie est axée sur le réel, sur les forces armées qui constituent les cercles du vrai pouvoir. 

 Et pendant que l’OTAN avance ses pions contre la Russie en obtenant de nouvelles adhésions ou demandes d’adhésion en Europe du Nord, Moscou déplace les siens en Afrique, contre l’Occident, en signant des accords militaires avec la plupart des pays du continent.

 Quant à la France, elle s’est évincée toute seule du continent en raison de la nullité de ses dirigeants et de constantes et colossales erreurs politiques que je n’ai cessé de mettre en évidence dans les numéros successifs de l’Afrique Réelle. D’autant plus que, s’étant totalement  soumise à l’Otan, donc aux Etats-Unis, elle s’est montrée hostile aux intérêts russes, notamment en Libye, en Syrie, en Belarus et aujourd’hui en Ukraine. En Afrique, Moscou lui rend donc en quelque sorte « la monnaie de sa pièce ».  

Source : L’Afrique réelle

11:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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10:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

20 novembre 1936 : assassinat de Jose Antonio Primo de Rivera / 20 novembre 1975 : rappel à Dieu du général Franco

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10:51 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré leurs cris, j’ai accusé les gauchos de Herrou de trahir les ouvriers

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Pierre Cassin, président de Riposte laïque

Face à face, devant le lycée Atlantique de Luçon, entre cinquante militants de Reconquête  et cinquante gauchistes immigrationnistes. Les patriotes étaient venus, derrière Éric Mauvoisin, protester contre l’invitation faite par le proviseur, M. Fabrice Boumendjel, d’inviter le délinquant Cédric Herrou, sans la moindre opposition, laver le cerveau de nos élèves sur le devoir d’accueil de l’autre, fût-il clandestin. Et naturellement, les gauchistes, qui n’avaient pas déclaré leur rassemblement, étaient venus contester ce rassemblement, comme d’habitude.

Je n’avais pas prévu d’intervenir, étant simplement venu soutenir mes amis vendéens, qui étaient venus nombreux, quelques jours auparavant, nous aider à Callac.

Mais Éric Mauvoisin m’ayant sollicité pour prendre la parole, j’ai donc improvisé une prise de parole de deux minutes, pour dire leur fait à ceux que j’ai qualifiés, malgré leurs huées, d’agents du patronat, de traîtres à la classe ouvrière et au salariat, et de collabos du Nouvel Ordre Mondial, en expliquant pourquoi.

Pour voir le film cliquez ici

10:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 19 novembre 2022

Du bon usage d’une « Tête-de-pont »

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Bernard Plouvier

Pas besoin de s’appeler Clausewitz ou von Manstein – entre autres exemples possibles – pour savoir que l’implantation d’unités militaires dans une petite zone ennemie située au-delà d’une mer ou d’un fleuve n’a d’intérêt que si l’on a les moyens de pousser du « million d’hommes », servis par d’énormes moyens d’action guerrière et une logistique puissante, au-delà de cette base de départ.

Ce n’est pas un hasard si l’Opération grotesque de Dieppe en août 1942 a été un fiasco intégral. On n’avait envoyé au massacre de petites unités que pour calmer l’irascible Joseph du Kremlin qui réclamait ce qu’on lui avait promis depuis plus d’un semestre : une action à l’Ouest de l’Europe pour soulager l’Armée Rouge.

Et Churchill, l’incarnation de l’égoïsme so british, envoya des Canadiens se faire hacher menu ou croupir en Stalag et Oflag... délicieux « Winnie » - on se demande ce que ce raciste forcené aurait pensé du trio d’Indo-Pakistanais qui est à la tête de la mairie de Londres, du Gouvernement de Sa Majesté Charles III et du Home Office !

En 1942, les Britanniques n’avaient pratiquement pas de réserves en hommes à faire tuer ni en matériel offensif. Il en allait tout autrement l’année 1943 où les débarquements (anglo)-US de Sicile et d’Italie furent le prélude à des campagnes où les Alliés alignaient 3 combattants contre un (du côté allemand, car les Italiens ne se battirent pas : ils attendaient – sauf exception patriote – les cigarettes et les dollars d’occupation des G.I.... ce fut l’illustration de l’immondice de Brecht : « D’abord la bouffe, et après la morale »), 4 chars contre un, 6 canons et mortiers contre un et 20 avions contre un.

Et l’on rejoua le scenario de façon plus convaincante encore en juin 1944, en ravageant toute la Basse-Normandie !

Une tête de pont russe à l’Ouest du Dniepr, à hauteur de Kherson – la ville proche de son embouchure -, n’avait de sens que si l’Armée poutinienne jouissait d’une masse de manœuvre importante et très solidement armée pour s’assurer le contrôle de la vaste zone située à l’Ouest du dernier coude du Dniepr. Du gel des positions durant trois mois dans une tête-de-pont difficile à ravitailler, on peut raisonnablement inférer que l’Armée russe ne dispose pas de cette puissance offensive ni de la dureté nécessaire pour gagner une guerre.

Poutine n’est pas « Staline » : ses généraux ne sont pas fusillés en cas d’échec ; les soldats qui reculent ne risquent pas de tomber sous les balles des sbires du NKVD-NKGB ; enfin, il n’a pas d’allié puissant capable de lui fournir en abondance des armes et des munitions. 

Qu’il ait cru être dans son « bon droit » pour défendre les Russes entre Dniepr et Don - effectivement les clowns judéo-ukrainiens manipulés par les merveilleux Démocrates de Washington et de New York poussaient un peu loin la plaisanterie depuis le putsch de 2014 -, témoigne simplement de la naïveté du dictateur charismatique du Kremlin.

Jamais dans toute l’histoire, la notion d’Équité n’a triomphé, sauf à être étayée par une puissance guerrière supérieure à celle de l’ennemi abusif et de ses alliés.

Il est évident que les Accords de Munich de fin septembre-début octobre 1938 étaient la pure expression du Droit des peuples à s’auto-administrer ou à rejoindre la mère-patrie – Sudètes, Polonais de Teschen, Magyars de Slovaquie, Slovaques et Ruthènes en avaient plus qu’assez de la dictature des haineux francs-maçons de Prague. Il est évident qu’imposer une Guerre pour empêcher les Allemands de reprendre le contrôle de Dantzig, alors peuplée à 97,6% d’Allemands, était une ignominie si l’on se réfère au Jus Gentes.

Mais les Allemands ayant finalement perdu la guerre, les Accords de 1938 qui ont évité une guerre aux Européens et la courte Campagne de Pologne furent considérés comme des « crimes » et les merveilleux historiens carriéristes n’en finissent pas de déblatérer des âneries sur le sujet et à mépriser allègrement les principes juridiques... et ils ont raison ! Car, toujours et partout, le Droit ne fut et reste que l’expression policée et formelle de la Force.

Tout le monde sait que les professionnels du prêchi-prêcha font depuis toujours parler la ou les divinité(s) en faveur des gros bataillons. Le nouveau personnel du bourrage de crânes étant composé d’employés du dieu-$, avatar de Mammon, les Russes sont devenus des suppôts de Satan et le demi-dément Biden est le nouveau Papa-Noël.

Si Poutine ne mobilise pas bientôt du million d’hommes décidés à se battre, voire à mourir pour la patrie, il finira comme Saddam Hussein et les Russes deviendront esclaves des merveilleux judéo-yankees. L’histoire, si elle ne se répète jamais à l’identique, bégaie en permanence.               

20:06 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers la poliorcétique des cyborgs

Ces-guerres-qui-nous-attendent.jpgLa chronique flibustière

de Georges Feltin-Tracol

La 51e chronique hebdomadaire empiète joyeusement sur « Ça se défend ! », l’émission de votre Web-radio préférée consacrée aux questions militaires.

En janvier 2022 paraissait Ces guerres qui nous attendent 2030 – 2060 (éditions des Équateurs/PSL – Université Paris Sciences et Lettres, 224 p., 18 €). Réuni à l’initiative du ministère français des Armées, « le collectif Red Team est composé d’auteurs, de dessinateurs et de scénaristes libres et indépendants ». On y trouve François Schuiten, Jeanne Bregeon, Virginie Tournay, Laurent Genefort, Romain Lucazeau, Xavier Mauméjean et Xavier Dorison ainsi que des pseudonymes comme Colonel Hermès, Capitaine Numericus et DOA. En revanche, le Lieutenant Sturm, Wilsdorf et Alryck n’y figurent pas ! Le projet a agacé, sinon indigné, les écrivains français de science-fiction fortement épris de progressisme, d’inclusivité et d’égalitarisme.

Inspiré du complexe militaro-industrialo-médiatique qui regroupe outre-Atlantique les industries (numériques ou non), les militaires et le monde du divertissement, cet ensemble réfléchit aux guerres de demain et présente quatre hypothèses. Notons que le livre a été rédigé avant le début des hostilités en Ukraine. Il serait fastidieux de résumer chaque scénario. On insistera sur l’affirmation du combattant opérationnel cybernétique et le grand retour de la poliorcétique.

En science-fiction, le cyborg est un hybride entre l’organisme humain et la machine et/ou l’ordinateur. Les programmes militaires occidentaux ouvrent déjà la voie vers le transhumanisme avec les expériences d’exo-squelette de combat. Red Team imagine à assez brève échéance calendaire la finalité logique du passeport vaccinal et autre « visa numérique » : le puçage généralisé de la population. Cela va même encore plus loin avec NeTAM, soit Neuro Terre Air Mer, à savoir « un protocole d’interface neurale [… qui], selon l’auteur collectif, a pour but de pallier les défaillances humaines et d’améliorer les performances des sujets. [...] Le programme permet notamment l’échange de données homme/machine, la prise de contrôle d’équipements, l’amélioration des capacités du combattant en situation (perception, réception d’informations, gestion du stress, etc.), la collecte et l’archivage en temps réel par un double témoignage live et différé (objectif – subjectif) et l’exploitation de ces informations archivées en vue d’un usage ultérieur. De plus, le programme autorise l’accès à une banque de données sécurisée qui renseigne en flux continu sur le contexte de l’action en cours ». Il passe ensuite à un « programme ArmVie [qui] a pour vocation de recueillir l’ensemble des données d’implant des militaires connectés, en surveillant notamment leur sommeil, leurs habitudes alimentaires, leur activité physique, leur environnement quotidien, leurs interactions sociales, leur mobilité in et out de l’espace militaire, leurs réactions aux événements extérieurs, leur niveau de stress, etc. ». La surveillance actuelle des sportifs, en particulier des cyclistes, au nom de la lutte contre le dopage, en est une ébauche primaire et imparfaite.

La symbiose entre le combattant et l’intelligence artificielle devient une priorité aux yeux des contributeurs pour qui « les opérations spéciales, l’infiltration, les coups de main, le débarquement amphibie, visant à contourner les défenses adverses, redeviennent des enjeux fondamentaux ». Avec l’essor de l’IHM (interface homme machine), « l’homme sur le champ de bataille, du soldat jusqu’à l’officier, devient le centre d’un écosystème d’armement complexe. »

Dans le même temps, les conditions de la guerre évoluent sous l’impulsion des armements à très grande vitesse. Le missile hypervéloce, entre Mach 15 et Mach 16, soit près de 20 000 km/h, frappe n’importe où. Facile à tirer, ce missile se montre peu maniable et nécessite une infrastructure de maintenance, de ciblage et de protection que seuls des États performants peuvent se permettre d’avoir. Face à cette nouvelle menace se développe l’« hyperbouclier » (ou « bouclier défensif »). Conçu autour de systèmes physiques (matériels et humains), informatiques (cybernétique et communications) et logistiques (flux matériels) complexes, il emploie de nombreux drones antipersonnels et antichars qui saturent le champ de bataille. Sa principale faiblesse reste cependant une consommation élevée d’énergie, surtout s’il utilise le railgun, un canon capable de propulser très vite des projectiles inertes. Par exemple, « une barre de tungstène de 100 kg accélérée à Mach 12 peut détruire un char situé à 200 km ».

Ce nouveau cycle marque la fin d’une certaine forme de conflit d’autant que l’« hyperbouclier » se transforme bientôt en bastion de protection territoriale : l’« hyperforteresse ». « Arrivé à maturité, le concept de l’hyperforteresse cristallise la fin de la guerre de mouvement, paradigme dominant depuis les années 1940 (couple chasseurs/chars d’assaut). »

Défendant une zone de 150 km de rayon et se déployant autant sur terre, en mer, dans le milieu sous-marin que dans le champ aérien, le domaine spatial, l’univers informatique et la médiasphère, l’hyperforteresse utilise des essaims de drones que son « hyper IA » traite comme des entités uniques dotées de sous-systèmes de gestion. Son point névralgique demeure  « l’hypercloud [qui] désigne un ensemble de systèmes de collecte et de traitement des informations ». Or, son entretien nécessite un « haut niveau de maintenance » du fait du vieillissement rapide de ses structures. Sa pérennité exige une autonomie dans la production et la fabrication « sur place de pièces, via des mini-usines et des imprimantes 3D ». En outre, « une hyperforteresse est extrêmement dépendante des flux logistiques. Par ailleurs, afin de bénéficier d’une énergie abondante et disponible, chacune d’elles dispose d’une mini-centrale nucléaire ». Dans cette nouvelle ère de la guerre, « seuls les pays qui disposent d’une base industrielle souveraine complète ou quasi complète, jusqu’à l’accès à l’espace, lit-on, peuvent garantir à leurs populations une protection face aux risques géopolitiques et conservent une grande marge de manœuvre diplomatique » Il devient par conséquent fort probable que « dans la guerre de position, défaire l’hyperforteresse devient l’objectif principal pour vaincre ». C’est le grand retour de la poliorcétique, l’art militaire d’assiéger les villes.

Entre les hyperforteresses apparaît « le no man’s land […] une zone démilitarisée qui s’étend entre les bordures de deux hyperforteresses durant une guerre de position ». À l’intérieur de ces châteaux forts 4.0, dans un cadre douillet, les civils s’adonnent aux RZE (réseaux de services), c’est-à-dire des « réseaux communautaires qui se structurent autour de la profession, de la religion, de passions et convictions communes ou encore du quartier d’habitation ». La présence de ces communautés affectives dans le monde virtuel représente le transfert des déceptions de la réalité en enchantements dans les mirages dangereux d’une ambiance rêvée.

Red Team conçoit une guerre à haute technicité dans un cadre socio-psychologique qui rappelle plus le XVIIe siècle européen que l’époque médiévale. Le conflit en cours en Ukraine confirmera-t-il ou non ces spéculations ? Seul l’avenir nous le dira.    

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°51, mise en ligne le 15 novembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

19:56 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éolien : la violation du droit ordinaire

Anne Brassié reçoit Valérie Bernardeau, présidente de l'association SOS Danger Éolien, et Jean-Louis Remouit, administrateur de la Fédération de l'environnement durable, présidée par Jean-Louis Butré. Valérie Bernardeau nous alerte sur les dangers dument constatés des éoliennes sur la santé des Hommes et des bêtes. Jean-Louis Remouit nous propose un état des lieux du combat anti-éolien. On découvre avec étonnement que toutes les lois régissant cette activité sont des lois d'exception renforcées par le premier ministre, Elisabeth Borne. 

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11:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 18 novembre 2022

Fiasco migratoire

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Vincent Trémolet de Villers

L’Ocean Viking est en train de devenir un symbole dévastateur. L’histoire de ce bateau et de ses 234 migrants est l’apologue de toutes les défaillances de notre politique migratoire. Une Europe incapable d’abord de tenir ses frontières, de s’attaquer aux passeurs, de coordonner les missions des pays qui la composent. Des ONG dont le souci humanitaire dissimule une volonté politique : accoster dans des ports européens plutôt que dans ceux du Maghreb. Un dévoiement des notions d’accueil et d’asile que l’on invoque pour habiller notre impuissance. Et puis, une fois que le bateau est à Toulon, la faiblesse d’État visible à l’œil nu quand quatre migrants profitent d’un vice de procédure pour quitter la zone d’attente, quand une vingtaine de mineurs venus d’Érythrée parviennent à quitter la structure qui les accueille et se volatilisent. On peut enfin s’interroger sur la reconduite effective de ceux qui seront déboutés du droit d’asile. Au regard du taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF), on peut penser que la très grande majorité d’entre eux sont encore chez nous pour longtemps. Pourtant, le ministre de l’Intérieur n’avait pas lésiné sur les démonstrations d’autorité : centre militaire, DGSE, Ofpra... Le bilan général de cette histoire ? L’étranger qui force la porte de l’Europe sait qu’il n’en repartira pas...

Dès lors, il devient absurde de parler de frontières ouvertes puisqu’elles sont incapables de se fermer, hypocrite d’évoquer une politique migratoire quand elle se disloque sous nos yeux. La cruelle vérité est que l’autorité de l’État est perpétuellement bafouée dans un de ses principes constitutifs : le pouvoir de décider qui entre ou sort du territoire. Les conséquences d’un tel affaiblissement sont vertigineuses : défiance des citoyens, réveil de sentiments xénophobes, recherche désordonnée d’actions radicales. En d’autres termes, effacement de la politique. Les solutions fermes et sereines pourtant existent. On les trouve non pas dans les autocraties mais chez les sociaux-démocrates danois, qui devraient être un exemple pour toute l’Europe.

Source : Figaro 18/11/2022

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jeudi, 17 novembre 2022

Samedi prochain, 19 novembre, venez nous retrouver sur le stand de Synthèse nationale à la Fête du Pays réel à Rungis

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mercredi, 16 novembre 2022

"Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu", le nouveau roman à ne pas manquer de Thierry Bouclier

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Suzanne Coste, qui a grandi à l’île d’Yeu, vit désormais à Nantes. Dans le courant de l’été, elle arrive dans le petit port de la Meule pour retrouver son père. Elle le découvre mort. Une balle dans la tête. La gendarmerie locale conclut à un suicide. La jeune femme, persuadée qu’il s’agit d’un assassinat, demande l’aide de Julien Ardant, dit « Le Hussard », qui passe ses vacances sur l’île. Une enquête difficile, pleine de rebondissements, commence. Elle va mener les deux protagonistes des falaises de la côte sauvage aux bas-fonds de Pigalle, en passant par le bocage vendéen. Au fur et à mesure de leurs découvertes, le libraire parisien et la belle Islaise s’aperçoivent qu’ils ont mis les pieds dans une sale affaire. De vieilles histoires, et un cadavre oublié, remontent à la surface. Les tentatives de meurtres, pour les éliminer, se multiplient. Derrière le drame familial, qui est progressivement mis à jour, se dissimule un inavouable secret.

Cette nouvelle aventure du Hussard conduit le lecteur au milieu des superbes paysages et des mystères de l’île d’Yeu. Meurtres, mensonges, mais également histoire d’amour, rythment ce polar du début à la fin.

Thierry Bouclier est avocat à la Cour. Il est notamment l’auteur de deux romans noirs, Le Dernier des occupants et Rouge et jaune pour le Hussard.

Le Hussard et le cadavre de l’île d’Yeu, Thierry Bouclier, Edition Auda Isarn, 12,00 € cliquez ici

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À cause de mon article sur Laure-Line, le maire de Callac a éclaté en sanglots

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Martine Chapouton Riposte laïque cliquez là

Ce 15 novembre, c’est soir de conseil municipal à Callac.

18 h 20. Cela commence mal. La porte de la mairie est fermée à clé. Ceux qui veulent assister au conseil doivent attendre dehors dans le froid et sous une fine pluie désagréable.

Pourquoi cette porte verrouillée ? Le maire et ses services ont reçu plein de coups de téléphone demandant à quelle heure est le conseil. Alors, vous comprenez. Cela inquiète le pauvre homme.

Il redoute une manifestation, donc il a fait prendre des précautions. 18 h 30, les portes s’ouvrent. Les citoyens peuvent accéder à la salle du conseil où siègent déjà les élus.

Enfin, pas tous. Il manque trois élus, qui ont d’ailleurs donné procuration.

C’est pas de veine, notre chère Laure-Line Inderbitzin est portée manquante. On ne saura pas pourquoi.

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Notons que dans cette salle il fait vraiment bon. On doit être à 22 ou 23 degrés. Très au-dessus des 19 degrés que le maire indique être la norme pour toutes les autres réunions. C’est bien connu, « charité bien ordonnée commence par soi-même ». Mais on ne va pas s’en plaindre, dehors il fait vraiment frisquet.

Le maire lit l’ordre du jour des plus passionnants mais, surprise, il n’y a aucun point consacré à l’arrivée des migrants à Callac. Tout à l’heure, la porte était fermée, maintenant c’est le débat qui est fermé. Ça commence mal, cette affaire.

Les points de l’ordre du jour défilent. Un échange très passionnant suit, rythmé par les « abstention », « vote contre », « merci le point est adopté ».

Moi, je vous le dis tout net, je plains le maire. Ce pauvre homme, dont on voit bien que ce n’est guère un aigle de la politique, est constamment coupé par une femme, Lise Bouillot, qui est placée en face de lui de l’autre côté de la table. Elle n’a pas l’air très commode.

Cette femme, c’est l’ancien maire. Elle est maintenant dans l’opposition et doit avoir très mal vécu sa défaite. Elle a constamment quelque chose à dire ou à redire lorsque le maire s’exprime. Mais comme le brave homme n’a guère d’autorité, il laisse faire. Tout le temps. Je ne sais pas comment cela se passe pour lui en famille, mais au conseil, entre son âme damnée Laure-Line et cette bougresse, c’est évident que ce n’est pas lui qui « porte la culotte ».

Vient le point sur la démission de la première adjointe. Le maire informe que c’est pour une vague raison de santé qu’elle aurait décidé de quitter ses fonctions. Personne n’est dupe. Tout le monde sait qu’en fait c’est pour son désaccord avec le maire sur le projet Horizon qu’elle a quitté le conseil. Mais personne ne moufte. Dans la foulée, le maire indique qu’il va falloir la remplacer mais là… ô surprise, alors que c’était Laure-Line qui devait être nommée à ce poste, un simple jeu de chaise musicale a lieu.
Le 2e adjoint devient le 1er, le 3e devient le 2e… etc. Aucune explication n’est fournie.

Fait notoire, il n’y a plus 5 mais 4 adjoints. Donc, mon amie Laure-Line Inderbitzin, qui était mystérieusement absente, devait passer première adjointe, or, elle n’est que deuxième adjointe. J’espère que ce n’est pas ma faute, je m’en veux déjà d’avoir fait pleurer le pauvre maire à migrants, Jean-Yves Rolland.

Les spectateurs, qui avaient ouvert un œil à l’occasion de ce point, replongent dans leur somnolence.

Arrive l’ultime point des« questions diverses » et là, l’ancienne maire déclare d’un ton martial :
« Je souhaite qu’on parle du projet Horizon. On entend des tas de choses contradictoires, il faut nous dire où on en est ».

Les 30 à 40 citoyens qui somnolaient au fond de la salle se réveillent en sursaut. Là, c’est palpable, en une fraction de seconde l’atmosphère est devenue électrique.

Le maire prend la parole pour faire le point. On apprend tout d’abord qu’il a failli annuler le conseil à la dernière minute. Et pourquoi donc ?

Il se trouve qu’un article « horrible » est sorti dans la presse, attaquant Laure-Line (son adjointe) de manière « honteuse ». « Elle est mise en cause à titre personnel, c’est inadmissible ».

Et voyez-vous, le maire déclare au conseil : « je suis vraiment choqué, j’en ai pleuré et c’est pour cela que j’ai failli annuler le conseil à la dernière minute. Mais ça n’en restera pas là. Je vais convoquer un conseil extraordinaire et on va voter pour me donner le droit d’aller en justice. On a le nom de l’auteur de l’article ».

Il est mignon ce maire. Et apparemment, si on en croit le journal gauchiste le Poher, cela n’a pas traîné.

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Il n’a aucun problème à refuser un référendum à sa population sur un projet qu’il a sorti de son chapeau à la surprise générale, mais il pleurniche comme un gosse lorsqu’un article critique son action condamnable et celle de sa chère Laure-Line, son âme damnée.

Il n’est nullement « touché » ni « choqué » lorsque les bandes de nervis antifas veulent attaquer la manifestation des patriotes et pour cela ont affronté les gendarmes qui les empêchaient de passer. Mais si on critique son adjointe, immigrationniste enragée qui soutient ouvertement la violence des antifas et insulte les patriotes, là il ne peut retenir ses larmes.

Il y avait déjà Laure-Line qu’on savait fragile psychologiquement – la preuve son absence du dernier conseil municipal – maintenant on découvre que c’est aussi le cas du maire.

Avec une pareille équipe, Callac est bien parti…

Après cette introduction larmoyante sur le projet Horizon, le maire donne plusieurs informations au conseil et à l’assistance.

D’abord, la préfecture lui aurait proposé d’envoyer ses services afin d’étudier comment mieux sécuriser son domicile, puisqu’il serait « menacé ». Il aurait refusé car « il ne veut pas inquiéter sa famille avec de telles mesures ». C’est touchant.

Ensuite on apprend qu’une réunion a eu lieu à la préfecture avec le maire, afin de faire le point.
À cette occasion le préfet a confirmé que l’arrivée des migrants est de la compétence de l’État donc qu’aucun référendum ne peut être organisé par le maire sur ce sujet.
Par contre, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie qui le ferait avec la fondation Merci et l’association Viltaïs (qui a reçu de l’État 2,5 M€ pour l’année 2022).

Les bêtas du conseil municipal se croient tirés d’affaire puisque le préfet indique que l’arrivée des migrants est de sa seule compétence. Donc pas de référendum sur ce point. Sur ce point, effectivement, le préfet vient de leur éviter la noyade en les repêchant par le col.

Malheureusement pour nos as de la politique, ils ne semblent pas avoir compris qu’une fois arrivés sur place, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie. D’où l’action de Merci et de Viltaïs.

L’ancienne maire a bien compris le problème. Elle a d’ailleurs déclaré lors du conseil : « il faut que l’État ne se contente pas de décider de l’arrivée des migrants. Il faut qu’il nous accompagne jusqu’au bout ».
Comprenez qu’il mette la main au porte-feuille afin de financer ledit accompagnement. Sauf que ce n’est nullement au programme et l’État se déchargera de cela sur la municipalité. C’est là que les problèmes vont commencer.

Par exemple, à l’école, comment vont faire les enseignants avec des classes dans lesquelles il y aura plusieurs dizaines d’enfants africains ne parlant pas le français ? Un accompagnant par classe serait prévu. Mais sa présence ne serait assurée que pour un mois et demi. Et après ? Personne ne veut répondre. Les enseignants, eux, ont compris.

Ils savent parfaitement qu’ils seront dans une situation intenable. Ils devront s’occuper soit des uns soit des autres.

Résultat, les petits Africains auront tous les problèmes de la création pour apprendre. Quant aux petits Français, leur apprentissage se trouvera gravement perturbé, sauf si le professeur ne s’occupe que d’eux. Le rêve pour les enfants et les enseignants.

Autre exemple, les emplois. Contrairement à ce qu’a annoncé de manière péremptoire le maire, il n’y a quasiment aucun emploi pour les immigrés. D’autant qu’ils ne parlent pas français et n’ont pas de formation. De quoi vont-ils vivre, alors ? Comme ailleurs, parce qu’ils ont 7 à 8 enfants par famille, ils recevront des allocations familiales conséquentes ainsi que des aides diverses… sans travailler. Donc sans cotiser.

En clair, ils seront, comme ailleurs, à la charge de la société. Il n’y a rien à Callac pour aider les familles modestes, les personnes âgées ou les jeunes. Mais nos brillants élus du conseil municipal s’enthousiasment de l’arrivée de gens qui seront exclusivement une charge pour la collectivité. Et ce ne sont que deux exemples. Il y en a beaucoup d’autres.

Les Callacois vont apprécier quand ils seront au courant de toutes ces conséquences concrètes. Le maire de Callac et sa joyeuse équipe ne sont pas près d’arrêter de raser les murs ni de se barricader dans la mairie. Ils ne comprennent visiblement rien à la galère dans laquelle ils ont embarqué, perdus qu’ils sont dans leur délire immigrationniste, comme ce conseiller municipal, par ailleurs très bien nourri, qui a répété au moins 10 fois « c’est de l’humain qu’on fait ! ».

L’affaire est loin d’être réglée.

Reste que ce conseil sera inoubliable pour ceux qui en ont été les témoins.

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Un nouveau livre de Robert Steuckers aux Editions du Lore

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Par un foisonnement hétéroclite, ce nouveau recueil de Robert Steuckers fera sans nul doute autorité en ce qui concerne la question russe au sens large.

Fondements du nationalisme russe, germanophobie et anglophobie dans le débat russe du début du siècle, origines de l’Europe soviétique, généalogie des droites russes, enjeux géopolitiques passés et présents, fronts du Donbass et de Syrie sont, entre autres, les thématiques abordées.

Robert Steuckers met également à l’honneur de grandes figures telles Soljénitsyne, Rozanov, Tioutchev, Kopelev ou encore Douguine et Parvulesco.

Cette lecture voulue didactique par l’auteur permettra à chacun de mieux comprendre la trame du monde actuel où la Russie se trouve sur le devant de la scène.

Pages russes, Robert Steuckers, Editions du Lore, 406 pages, 30,00 € cliquez ici

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Quelle souveraineté pour l’Europe ?

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Georges Castro

S’il est naturel, pour les nations, de suivre avant tout leurs intérêts, le conflit ukrainien consacre un peu plus l’absence de « communauté » européenne. L’Allemagne, la Pologne, la Hongrie… mais aussi l’Espagne ou encore le Portugal avancent avec leur agenda particulier. Hélas celui-ci rime souvent avec le maintien, sinon le renforcement d’une vassalisation au bénéfice des États-Unis ou au moins à un alignement avec leurs intérêts.

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Source : site Polemia

 

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mardi, 15 novembre 2022

The BIG reset - Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

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Olivier Delamarche : Le Système s'effondre !

Être en guerre contre la Russie ou pas, telle est la question! À quelques semaines d'intervalle, le chef de l'État, adepte du "en même temps", affirme que nous sommes en guerre puis déclare l'inverse… La différence est fondamentale, car outre les milliards que l'UE envoie pour soutenir l'armée ukrainienne, les entreprises françaises, ou ce qu'il en reste, commencent à tirer la langue : 9 000 ont déjà mis la clé sous la porte au 3ᵉ trimestre. Et la situation ne va pas aller en s'améliorant. Les sanctions prises contre la Russie auront pour conséquence de multiplier leur facture d'électricité par 10 ! La récession approche donc à grand pas… Pendant ce temps, outre-Atlantique, les Ré-publicains, qui ont promis qu'il n'y aurait plus de "chèque en blanc" pour soutenir Kiev, bataillent pour remporter le Congrès, mais rien n'est joué. Quoi qu'il en soit, l'invité de "Politique & Éco", l'analyste financier Olivier Delamarche, exhorte les Gilets Jaunes à redescendre dans la rue pour éviter ce que certains redoutent : la fin de notre civilisation !

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Vaccins Covid - Enfants sacrifiés

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Immigration et droit d’asile : pourquoi ne pas saisir le navire ?

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Christian Baeckeroot

Bien que titulaire d’une licence en Droit public (licence en 4 ans, soit l’équivalence d’une maîtrise), je ne me considère pas comme un juriste faisant autorité.

Par contre, je suis un père de famille et un grand-père préoccupé par l’immigration et en particulier par l’immigration illégale. Je constate que l’accueil de « migrants naufragés » oppose 2  positions :

1/  Pour les uns, il faut accueillir ces « migrants naufragés » au nom d’une  « obligation humanitaire » ;

2/ Pour les autres, c'est accepter et encourager une immigration illégale.

Face à ce problème aujourd’hui sans solution, il est indispensable de faire évoluer le Droit et pourquoi ne pas mettre les ONG  « sauveteurs » en face de leurs responsabilités dans la mise en pratique de cette traite d’êtres humains.

Le cadre juridique à établir pourrait :

1/ imposer aux navires « sauveteurs » une « boite noire » permettant une localisation permanente de chaque navire et le suivi de son parcours ;

2/ exiger une identification immédiate du navire procédant à un sauvetage ;

3/ attendre les instructions pour faire route vers la zone de départ ou vers un port d’accueil.

Aux juristes de mettre en forme cette proposition ou une proposition similaire.

Dans l’attente d’un cadre juridique ratifié par l’État ou du non-respect par le navire du cadre juridique, la procédure d’urgence suivante pourrait être appliquée :

1/ débarquement des « migrants » pour examen de leur situation ;

2/ saisie du navire à titre conservatoire ;

3/ ouverture d’une procédure judiciaire contre l’armateur et du capitaine.

Les Français doivent rester maîtres de leur destin.

Source : Le Salon Beige

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Callac : Riposte laïque dévoile la vérité sur Laure-Line Inderbitzin, l'adjointe immigrationniste responsable du grand remplacement

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Martine Chapouton

Source Riposte laïque cliquez là

À Callac, c’est Laure-Line Inderbitzin, la troisième adjointe, qui porte la culotte, notamment sur le désormais célèbre projet Horizon. Beaucoup d’habitants le disent sous le manteau, tant ils craignent les conséquences de leurs propos, dans une petite ville où la municipalité fait régner une forte terreur idéologique, qualifiant de « raciste » et de « fasciste » quiconque s’oppose au projet de Marie-France Cohen et ses 70 familles africaines. Soit 80 % de la population, selon les propos tenus par le maire lui-même, Jean-Yves Rolland, sur la place du marché, un mercredi matin, devant une quinzaine de témoins, dont les principaux animateurs de l’association « Les Amis de Callac et ses environs ».

Il se dit que, folle furieuse d’une telle faute de communication, Laure-Line Inderbitzin, aurait qualifié, dans l’intimité de quelques échanges, le maire de propos peu élégants, pour avoir tenu publiquement de tels propos, et qu’elle ne porterait pas le premier magistrat de la ville, agriculteur, dans une haute estime. Le mépris classique des prétendus intellectuels pour les hommes de la terre et les ouvriers…

Une curieuse personne que cette adjointe, aujourd’hui âgée de 45 ans. Scolarisée à l’école de Plusquellec, près de Callac, elle est donc une enfant du pays. Elle poursuivra ses études à Brest, avant de rencontrer son mari, avec qui elle s’installera à 10 km de Callac. Quatre enfants naîtront de cette union, avant que la bougresse ne décide de quitter brutalement son mari.

On la dit instable psychologiquement, et les rumeurs bruissent, dans Callac, sur certains faits passés inquiétants que par respect pour sa vie privée nous tairons.

Bien que possédant un lieu de vie à Callac, elle s’installera avec son nouveau compagnon à dix kilomètres de là. L’homme deviendra le maire de la commune où ils vivent, et, en bon élu de gauche, se prépare, malgré les réticences de la population, à installer des éoliennes.

Finalement, ils étaient faits pour se rencontrer, ces deux-là. Elle veut imposer des clandestins à une majorité de la population qui n’en veut pas, et il veut implanter des éoliennes à ses administrés, qui n’en veulent pas davantage. Un couple de gauche dans toute sa splendeur !

Pour des raisons que nous ignorons, Laure-Line les aime, les clandestins africains, et elle est la première à signer des pétitions, avec la gauche radicale, pour que leur régularisation soit la plus rapide possible, des fois qu’en France on puisse expulser des personnes qui n’ont rien à faire chez nous.

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Elle est aussi enseignante, notamment professeur de breton dans un lycée public. Certains esprits chagrins s’étonneront que dans un contexte où le niveau scolaire baisse tous les ans, on se permette d’ajouter une heure de breton en 6e, mais il paraît que cela fait partie de la reconnaissance des langues régionales, voulues par les instances européennes. Elle enseigne aussi officiellement le français. On espère qu’elle ne raconte pas aux élèves que c’est la langue de l’envahisseur…

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D’autres affirment que Laure-Line aurait l’arrêt-maladie facile, surtout quand sa hiérarchie ose être en désaccord avec elle. Sans doute la contrariété. Et nombre de parents, toujours sous le manteau, se disent choqués de l’orientation politique de ses cours. On craint de deviner que les élèves de Callac, comme presque tous les élèves de France, se voient laver le cerveau par le devoir d’accueil de l’autre, sans oublier la prochaine catastrophe climatique à cause de l’Homme. Il suffit de l’écouter parler, elle a tout à fait ce profil d’enseignant arrogant qui préfère rééduquer ses élèves que de les instruire.

Laure-Line a donc pris en main le dossier de Callac, et c’est elle qui, fidèle à ses engagements immigrationnistes, défend la copie avec ardeur, voire avec hargne, lors des différents conseils municipaux, suppléant un maire parfois dépassé.

Ne faisant guère dans la nuance, lors des deux rassemblements appelés par les opposants au projet Horizon, elle sera en première ligne des contre-manifestants, et ne verra aucun problème à cautionner, par sa présence, un rassemblement de gauchistes non déclarés aux autorités. Et bien sûr, elle prendra la parole, invectivera les opposants, les insultant politiquement, au nom de la lutte contre l’extrême droite, un terme dont elle ne paraît pas bien connaître la signification.

Mais c’est lors du deuxième rassemblement où la municipalité, sans vergogne, assurera toute la structure et l’organisation, chapiteau, repas et boissons compris, qu’elle donnera sa pleine mesure. D’abord, comme tout était gratuit, les gens de gauche vinrent en famille, ce qui permit de gonfler fortement les chiffres. Et il se dit, toujours sous le manteau, que Laure-Line, grande défenseur de la viticulture bretonne, avait largement payé de sa personne, avant de prendre le micro. Est-ce pour cette raison que la bougresse dut lire son discours, qui pourtant ne durait pas plus de deux minutes ? Nous l’ignorons. Toujours est-il que tous les élus firent corps autour d’elle, et l’écoutèrent religieusement insulter les opposants, et appeler à ce qu’ils ne mettent plus jamais les pieds à Callac.

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Voilà donc qui est Laure-Line Inderbitzin, vraie cheftaine de la ville de Callac, enseignante propagandiste, apologiste de l’immigration, qui a un tel mépris des Français et des Callacois que cela ne lui a posé aucun problème de tenir un discours avec un slogan raciste au pied de la tribune : « Réfugiés, ne nous laissez pas seuls avec les Français ».

Cela ne lui a pas posé davantage de problèmes que trois cents de ses invités attaquent les gendarmes, voulant en découdre avec les manifestants qu’elle qualifie de fascistes. Aucun mot d’excuse de sa part, ni de la municipalité, suite à une agression dont elle porte la responsabilité, et qui pourrait valoir les tribunaux aux élus de Callac.

Dans un prochain article, nous amènerons d’autres précisions sur cette femme prête, par idéologie et par haine d’elle-même, à livrer Callac à des nouveaux venus, majoritairement musulmans et africains, et à qualifier de racistes ceux qui, avec bon sens, expliquent la folie du projet Horizon, lors de ce reportage effectué par le talentueux Vincent Lapierre.

 

Rassurez-vous, le meilleur est à venir, pour Laure-Line Inderbitzin. Suite au prochain numéro…

Vincent Lapierre était à Callac le 5 novembre :

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Le Vendée s'apprête à recevoir le collabo Herrou qui prétend baver sa haine anti-française à Luçon

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Communiqué de Reconquête Vendée :

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Internet et ses géants aux pieds d’argile

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La chronique de Philippe Randa

En cette période d’avenir incertain – mais l’avenir a-t-il jamais vraiment été certain ? – il est étonnant de constater que les mésaventures, sinon l’effondrement pour certains d’entre eux, de géants financiers, industriels ou économiques de l’internet ne soulève guère de commentaires.

Il en est ainsi des annonces de 11 000 licenciements annoncés par Mark Zuckerberg, le patron de Meta, la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, soit 13 % de ses effectifs… dans le même temps où Elon Musk « dégage » la moitié des employés de Twitter qu’il vient de racheter, pour des raisons certes de saine gestion tout autant que pour avoir les mains libres après ses tonitruantes annonces de « libérer » la parole de ses utilisateurs.

De plus, nous apprend BFMTV, « … tout le secteur de la technologie est concerné. Fin août, Snap, la maison mère de l’application Snapchat, a supprimé environ 20 % de ses effectifs. La semaine dernière, Stripe (paiements en ligne) et Lyft (réservations de voitures avec chauffeur) ont fait part de licenciements massifs, tandis qu’Amazon a gelé les embauches dans ses bureaux. »

Ainsi, ces GAFAM, dont on ne cesse de nous vanter la surpuissance – ou de nous « alerter sur », c’est selon – contre laquelle nous ne pourrions rien, apparaissent à l’évidence comme des géants aux pieds d’argile.

Certes, licenciements ne signifient pas disparitions : Facebook est toujours là et bien là… et Elon Musk n’a pas injecté dans le rachat de Twitter des dizaines de milliards de dollars (27 milliards de sa poche, 5,2 milliards apportés par des fonds d’investissement et des grandes fortunes et quelques prêts bancaires souscrits notamment auprès de la Société Générale et de BNP Paribas) à la légère sans avoir d’idées pour relancer cette affaire…

Mais les GAFAM ne sont pas les seuls géants à connaître des déboires… définitifs même pour FTX, deuxième plate-forme d’échange de cryptomonnaies, pourtant considérée comme l’une des plus sûres du monde, qui a été liquidé en une semaine, « ruinant » son PDG Sam Bankman-Fried dont la fortune était encore estimée il y a peu à 16 milliards de dollars, laissant sur le carreau 300 salariés et 100 000 clients avec leurs seuls yeux pour pleurer.

Ajoutons que la Chine n’est pas davantage épargnée puisque, nous apprend le magazine économique Cajing Tianxia, les licenciements se multiplient dans le secteur du numérique, notamment chez iQiyi (le « Netflix chinois »), Baidu, ByteDance ou Alibaba…

Ces exemples actuels – et combien d’autres ! – nous rappellent le sort de ces empires qui, tout au long de l’histoire de l’humanité, n’ont cessé de toujours vouloir gonfler démesurément afin d’asseoir leur domination politique, religieuse ou économique… sans voir que leur ambition aussi irrationnelle que démente portait en elle les causes de leur effondrement.

« Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre », nous dit un vieil adage latin… Cela reste finalement la seule certitude que l’on peut avoir dans l’avenir, et sans doute le seul espoir dans un monde sinon meilleur, tout au moins bien différent du nôtre. Avis aux mégalomanes tout autant qu’aux pessimistes !

Lire EuroLibertés cliquez ici

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lundi, 14 novembre 2022

Le 19 novembre 2022, tous à Rungis !

La fête du Pays réel, c’est la volonté de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

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Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation : entretien avec Pierre Hillard

En marge d’une séance de dédicaces nantaise de son ouvrage Des origines du mondialisme à la Grande réinitialisation, Pierre Hillard a répondu aux questions d’E&R Pays de la Loire.

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samedi, 12 novembre 2022

«Ocean Viking»: le droit d’asile dénaturé

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Mathieu Bock-Côté

L’affaire de l’Ocean Viking donne à tous le sentiment de revoir un film connu, dont on connaît déjà la fin, et qui aura une suite, car cette scène est appelée à se répéter au fil des années à venir. Elle ne met pas seulement en scène 230 migrants cherchant refuge en Europe, mais une entreprise planifiée de violation des frontières européennes, menée tout à la fois par des passeurs criminels et des ONG qui ont pour fonction de jouer la carte du chantage humanitaire dès lors que les sociétés occidentales ne consentent pas immédiatement à l’ouverture de leurs frontières. Les deux s’inscrivent dans un même dispositif, et sont devenus inséparables. On ne saurait évidemment être indifférent au sort des malheureux errant sur un navire en Méditerranée, et leurs secours en mer n’est remis en question par personne. Mais le sens commun exige aussi le retour de ces migrants illégaux qui cherchent à entrer en Europe sans en avoir le droit vers leur port d’origine.

Ce n’est pourtant pas ce qui arrive. Le problème est fondamental : nous sommes témoins d’un détournement du droit d’asile à grande échelle, au point où celui-ci est devenu une filière migratoire à part entière. Le droit d’asile, à l’origine, servait à accueillir des individus persécutés, des dissidents, cherchant refuge sous une souveraineté protectrice, appelés ensuite à rentrer chez eux, une fois leur sécurité garantie. Il sert désormais à permettre la migration des peuples et des communautés d’un pays à l’autre, d’une civilisation à l’autre, d’un continent à l’autre. C’est la trame de fond de notre temps : le Sud remonte vers d le Nord, moins à la recherche de sécurité que d’une prospérité fantasmée, sans se rendre compte que les société occidentales risquent de s’affaisser sous l’effet d’une pression démographique qui les déstructure et fracture leur cohésion sociale. Cette poussée est bien antérieure à la crise des migrants de 2015 et remonte aux années 1980. Les sociétés occidentales ne savent pas empêcher ce mouvement. Elles sont prisonnières d’une structure juridique et d’un discours idéologique sur leurs « valeurs » en complet décalage avec l’époque. Un imaginaire sans-frontiériste entend neutraliser autant que possible la différence entre le citoyen et celui qui ne l’est pas. Un humanitarisme inédit substitue au principe de la diversité des peuples celui de l’interchangeabilité intégrale des populations. Dès lors, la défense des frontières devient non seulement à impossible, mais illégitime, car un ordre nouveau, post-politique et post-étatique, devrait émerger à sur les ruines des souverainetés nationales. Les ONG immigrationnistes qui se prennent souvent pour l’avant-garde éclairée de l’humanité trouvent à l’intérieur de nos pays un relais chez les associations de « défense des droits » des migrants à l’intérieur même des sociétés occidentales, qui multiplient les actions spectaculaires pour les contraindre à la naturalisation des clandestins. 

C’est au nom de leur « tradition d’accueil » que les sociétés occidentales sont censées consentir à ce qui prend  la forme, objectivement, d’une submersion démographique. C’est d’ailleurs la seule tradition qu’on leur concède et dont elles sont en droit de se réclamer : les autres traditions sont appelées à s’effilocher et sont jugées réactionnaires. C’est aussi au nom de leurs « engagements internationaux » que les États occidentaux sont sommés d’accueillir ceux qui veulent y entrer de force. On oublie pourtant que ces « engagements internationaux » sont moins le fruit de la délibération démocratique et de la souveraineté populaire que d’une forme de nomenklatura mondialiste et d’apparatchiks progressistes évoluant dans les mille et une associations entrelacées de la gouvernance globale, qu’elle soit européenne ou onusienne. Il ne devrait pas être interdit  de questionner la légitimité de ce « droit international » qui relève surtout du coup de force idéologique.

Les peuples occidentaux n’en peuvent plus. Ils subissent l’immigration massive qui crée chez eux une forme de misère nouvelle, en plus de les condamner aux affres de la dépossession existentielle. Les peuples, traités à la manière d’un résidu venu des temps sombres des souverainetés nationales, doivent non seulement consentir à ce nouvel empire humanitariste, mais aussi l’applaudir, sans quoi on les accusera d’être en défaut d’humanité. Ils ne peuvent qu’ouvrir leurs frontières et leurs ports, lever leurs barrières et faire tomber leurs remparts, pour prouver aux inquisiteurs nouveaux leur ouverture,  leur générosité. La logique de la repentance qui hypnotise et contamine les esprits arrive à son point culminant : un peuple désirant maîtriser ses frontières est un peuple coupable, un peuple désirant demeurer lui-même est un peuple nauséabond.

Source : Le Fiagro 12/11/2022

09:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |