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mercredi, 16 novembre 2022

À cause de mon article sur Laure-Line, le maire de Callac a éclaté en sanglots

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Martine Chapouton Riposte laïque cliquez là

Ce 15 novembre, c’est soir de conseil municipal à Callac.

18 h 20. Cela commence mal. La porte de la mairie est fermée à clé. Ceux qui veulent assister au conseil doivent attendre dehors dans le froid et sous une fine pluie désagréable.

Pourquoi cette porte verrouillée ? Le maire et ses services ont reçu plein de coups de téléphone demandant à quelle heure est le conseil. Alors, vous comprenez. Cela inquiète le pauvre homme.

Il redoute une manifestation, donc il a fait prendre des précautions. 18 h 30, les portes s’ouvrent. Les citoyens peuvent accéder à la salle du conseil où siègent déjà les élus.

Enfin, pas tous. Il manque trois élus, qui ont d’ailleurs donné procuration.

C’est pas de veine, notre chère Laure-Line Inderbitzin est portée manquante. On ne saura pas pourquoi.

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Notons que dans cette salle il fait vraiment bon. On doit être à 22 ou 23 degrés. Très au-dessus des 19 degrés que le maire indique être la norme pour toutes les autres réunions. C’est bien connu, « charité bien ordonnée commence par soi-même ». Mais on ne va pas s’en plaindre, dehors il fait vraiment frisquet.

Le maire lit l’ordre du jour des plus passionnants mais, surprise, il n’y a aucun point consacré à l’arrivée des migrants à Callac. Tout à l’heure, la porte était fermée, maintenant c’est le débat qui est fermé. Ça commence mal, cette affaire.

Les points de l’ordre du jour défilent. Un échange très passionnant suit, rythmé par les « abstention », « vote contre », « merci le point est adopté ».

Moi, je vous le dis tout net, je plains le maire. Ce pauvre homme, dont on voit bien que ce n’est guère un aigle de la politique, est constamment coupé par une femme, Lise Bouillot, qui est placée en face de lui de l’autre côté de la table. Elle n’a pas l’air très commode.

Cette femme, c’est l’ancien maire. Elle est maintenant dans l’opposition et doit avoir très mal vécu sa défaite. Elle a constamment quelque chose à dire ou à redire lorsque le maire s’exprime. Mais comme le brave homme n’a guère d’autorité, il laisse faire. Tout le temps. Je ne sais pas comment cela se passe pour lui en famille, mais au conseil, entre son âme damnée Laure-Line et cette bougresse, c’est évident que ce n’est pas lui qui « porte la culotte ».

Vient le point sur la démission de la première adjointe. Le maire informe que c’est pour une vague raison de santé qu’elle aurait décidé de quitter ses fonctions. Personne n’est dupe. Tout le monde sait qu’en fait c’est pour son désaccord avec le maire sur le projet Horizon qu’elle a quitté le conseil. Mais personne ne moufte. Dans la foulée, le maire indique qu’il va falloir la remplacer mais là… ô surprise, alors que c’était Laure-Line qui devait être nommée à ce poste, un simple jeu de chaise musicale a lieu.
Le 2e adjoint devient le 1er, le 3e devient le 2e… etc. Aucune explication n’est fournie.

Fait notoire, il n’y a plus 5 mais 4 adjoints. Donc, mon amie Laure-Line Inderbitzin, qui était mystérieusement absente, devait passer première adjointe, or, elle n’est que deuxième adjointe. J’espère que ce n’est pas ma faute, je m’en veux déjà d’avoir fait pleurer le pauvre maire à migrants, Jean-Yves Rolland.

Les spectateurs, qui avaient ouvert un œil à l’occasion de ce point, replongent dans leur somnolence.

Arrive l’ultime point des« questions diverses » et là, l’ancienne maire déclare d’un ton martial :
« Je souhaite qu’on parle du projet Horizon. On entend des tas de choses contradictoires, il faut nous dire où on en est ».

Les 30 à 40 citoyens qui somnolaient au fond de la salle se réveillent en sursaut. Là, c’est palpable, en une fraction de seconde l’atmosphère est devenue électrique.

Le maire prend la parole pour faire le point. On apprend tout d’abord qu’il a failli annuler le conseil à la dernière minute. Et pourquoi donc ?

Il se trouve qu’un article « horrible » est sorti dans la presse, attaquant Laure-Line (son adjointe) de manière « honteuse ». « Elle est mise en cause à titre personnel, c’est inadmissible ».

Et voyez-vous, le maire déclare au conseil : « je suis vraiment choqué, j’en ai pleuré et c’est pour cela que j’ai failli annuler le conseil à la dernière minute. Mais ça n’en restera pas là. Je vais convoquer un conseil extraordinaire et on va voter pour me donner le droit d’aller en justice. On a le nom de l’auteur de l’article ».

Il est mignon ce maire. Et apparemment, si on en croit le journal gauchiste le Poher, cela n’a pas traîné.

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Il n’a aucun problème à refuser un référendum à sa population sur un projet qu’il a sorti de son chapeau à la surprise générale, mais il pleurniche comme un gosse lorsqu’un article critique son action condamnable et celle de sa chère Laure-Line, son âme damnée.

Il n’est nullement « touché » ni « choqué » lorsque les bandes de nervis antifas veulent attaquer la manifestation des patriotes et pour cela ont affronté les gendarmes qui les empêchaient de passer. Mais si on critique son adjointe, immigrationniste enragée qui soutient ouvertement la violence des antifas et insulte les patriotes, là il ne peut retenir ses larmes.

Il y avait déjà Laure-Line qu’on savait fragile psychologiquement – la preuve son absence du dernier conseil municipal – maintenant on découvre que c’est aussi le cas du maire.

Avec une pareille équipe, Callac est bien parti…

Après cette introduction larmoyante sur le projet Horizon, le maire donne plusieurs informations au conseil et à l’assistance.

D’abord, la préfecture lui aurait proposé d’envoyer ses services afin d’étudier comment mieux sécuriser son domicile, puisqu’il serait « menacé ». Il aurait refusé car « il ne veut pas inquiéter sa famille avec de telles mesures ». C’est touchant.

Ensuite on apprend qu’une réunion a eu lieu à la préfecture avec le maire, afin de faire le point.
À cette occasion le préfet a confirmé que l’arrivée des migrants est de la compétence de l’État donc qu’aucun référendum ne peut être organisé par le maire sur ce sujet.
Par contre, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie qui le ferait avec la fondation Merci et l’association Viltaïs (qui a reçu de l’État 2,5 M€ pour l’année 2022).

Les bêtas du conseil municipal se croient tirés d’affaire puisque le préfet indique que l’arrivée des migrants est de sa seule compétence. Donc pas de référendum sur ce point. Sur ce point, effectivement, le préfet vient de leur éviter la noyade en les repêchant par le col.

Malheureusement pour nos as de la politique, ils ne semblent pas avoir compris qu’une fois arrivés sur place, l’accompagnement des immigrés est de la compétence de la mairie. D’où l’action de Merci et de Viltaïs.

L’ancienne maire a bien compris le problème. Elle a d’ailleurs déclaré lors du conseil : « il faut que l’État ne se contente pas de décider de l’arrivée des migrants. Il faut qu’il nous accompagne jusqu’au bout ».
Comprenez qu’il mette la main au porte-feuille afin de financer ledit accompagnement. Sauf que ce n’est nullement au programme et l’État se déchargera de cela sur la municipalité. C’est là que les problèmes vont commencer.

Par exemple, à l’école, comment vont faire les enseignants avec des classes dans lesquelles il y aura plusieurs dizaines d’enfants africains ne parlant pas le français ? Un accompagnant par classe serait prévu. Mais sa présence ne serait assurée que pour un mois et demi. Et après ? Personne ne veut répondre. Les enseignants, eux, ont compris.

Ils savent parfaitement qu’ils seront dans une situation intenable. Ils devront s’occuper soit des uns soit des autres.

Résultat, les petits Africains auront tous les problèmes de la création pour apprendre. Quant aux petits Français, leur apprentissage se trouvera gravement perturbé, sauf si le professeur ne s’occupe que d’eux. Le rêve pour les enfants et les enseignants.

Autre exemple, les emplois. Contrairement à ce qu’a annoncé de manière péremptoire le maire, il n’y a quasiment aucun emploi pour les immigrés. D’autant qu’ils ne parlent pas français et n’ont pas de formation. De quoi vont-ils vivre, alors ? Comme ailleurs, parce qu’ils ont 7 à 8 enfants par famille, ils recevront des allocations familiales conséquentes ainsi que des aides diverses… sans travailler. Donc sans cotiser.

En clair, ils seront, comme ailleurs, à la charge de la société. Il n’y a rien à Callac pour aider les familles modestes, les personnes âgées ou les jeunes. Mais nos brillants élus du conseil municipal s’enthousiasment de l’arrivée de gens qui seront exclusivement une charge pour la collectivité. Et ce ne sont que deux exemples. Il y en a beaucoup d’autres.

Les Callacois vont apprécier quand ils seront au courant de toutes ces conséquences concrètes. Le maire de Callac et sa joyeuse équipe ne sont pas près d’arrêter de raser les murs ni de se barricader dans la mairie. Ils ne comprennent visiblement rien à la galère dans laquelle ils ont embarqué, perdus qu’ils sont dans leur délire immigrationniste, comme ce conseiller municipal, par ailleurs très bien nourri, qui a répété au moins 10 fois « c’est de l’humain qu’on fait ! ».

L’affaire est loin d’être réglée.

Reste que ce conseil sera inoubliable pour ceux qui en ont été les témoins.

23:31 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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