Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 04 décembre 2024

Notre Ami Jean-Paul Chayrigues de Olmetta (le Marquis) vient de nous quitter...

CHAYRIGUES DE OLMETTA JP  99.jpg

Je viens d'apprendre une très triste nouvelle : Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de Synthèse nationale, est décédé ce jour. Il venait d'avoir 81 ans. Je suis bouleversé.

J'avais fait la connaissance de Jean-Paul il y a une quarantaine d'années à Madrid grâce à notre regretté ami commun Olivier Grimaldi, lui aussi prématurément disparu il y a dix ans. Depuis, nous avons toujours participé au même combat, celui pour sauver notre nation et notre civilisation.

Homme d'idées, doté d'une grande culture, d'une élégance rare et d'une courtoisie exemplaire, c'est naturellement, lorsque nous avons créé l'association des Amis de Synthèse nationale, que nous l'avons choisi comme président.

Depuis le lancement de la revue, à la fin des années 2000, il a rédigé dans chaque numéro de celle-ci ses "Pages du Marquis" qui rencontraient auprès de nos lecteurs un réel succès. Vous pourrez lire son ultime article dans notre prochaine livraison.

Auteur de nombreux ouvrages, il venait, il y a quelques semaines, de préfacer le nouveau livre de Charles-Henri d'Elloy intitulé Au bal des facétieux. Depuis des années, il animait aussi régulièrement une émission très appréciée sur Radio Courtoisie

Jean-Paul était un catholique très attaché à la Tradition. Nous ne savons pas encore quand il sera enterré. Mais, d'ici là, nous serons nombreux à prier pour lui. Il nous manque déjà. 

Roland Hélie

23:17 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chute du gouvernement Barnier : réaction de Eric Zemmour

264621400_292891122851192_6182086905835534142_n.jpg

Communiqué d'Eric Zemmour, président de Reconquête !

Manifestement, le salut des Français ne viendra pas de cette classe politique, ni de ce Parlement où elle s'agite.

Le Gouvernement Barnier vient d'être censuré.

Pourquoi ? Pour une indexation des retraites au 1er juillet au lieu du 1er janvier... Nous aurons donc le budget Attal 2024, au lieu d'avoir le budget Barnier 2025. La belle affaire !

Comme cela sonne dérisoire à côté des menaces graves, imminentes et existentielles qui planent sur notre pays !

Pourquoi encore ? À cause de l’incapacité d'un Premier ministre à comprendre qu’on équilibre un budget en baissant les dépenses, pas en augmentant les impôts, et de l'incapacité de son opposition à avoir utilisé son levier de pression à temps, en imposant des mesures claires.

L'ironie de cette affaire ? Les politiciens qui voulaient mettre « une claque à Macron » viennent de le remettre au centre du jeu.

À lui désormais de décider du futur Premier ministre (de droite ou de gauche, à sa guise). À lui de décider de sa démission ou de rester jusqu'au dernier jour. À lui de décider du moment d'une dissolution.

Pendant ce temps, la France souffre et attend. Les Français attendent. Les agriculteurs se voient de nouveau baladés. L'école continue de s'effondrer. Les frontières restent béantes. Notre économie s'écroule sur elle-même.

À quand la fin du cirque ?

22:29 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’idéologie mortifère des faiseurs de guerres.

000_9C82FN.jpeg

Claude Janvier

En cette fin d’année 2024, le spectre d’une troisième guerre mondiale s’intensifie. Avec la prise d’Alep par des terroristes, mettant en péril le gouvernement syrien, et l’escalade des préparatifs d’une guerre frontale avec la Fédération de Russie, les fêtes de Noël s’annoncent bien moroses. En effet, les dirigeants européens craignent que Donald Trump, à partir du 20 janvier 2025, arrête l'aide militaire à Kiev, et que de facto, l’ensemble des pays de l’UE soient obligés de financer la guerre par procuration contre la Russie. L’économie européenne, déjà chancelante, risque de sombrer définitivement dans un délabrement total.  

Ajoutons à cela que les principaux dirigeants européens ne peuvent pas, et ne pourront jamais, admettre qu’ils se sont fourvoyés dans une guerre insensée, il est à craindre qu’ils aillent jusqu’au-boutisme, à savoir, la destruction de l’UE sur le plan économique et industriel. Car, en remettant constamment, les clés de la France et des autres pays de l’UE aux États-Unis et à l’oligarchie financière internationale, force est de constater que la paupérisation de nos pays devient de plus en plus flagrante. Le pillage a encore de beaux jours devant lui à moins que des gens sensés n’y mettent un terme rapidement.

La victoire de Donald Trump n’était pas prévue au programme par les dirigeants européens. Kamala Harris aurait assuré la pérennité du soutien de l’OTAN à Kiev. Avec Donald Trump, rien n’est moins sûr. « Curieusement », depuis la victoire électorale de ce dernier, nous sommes témoins d’une véritable escalade de provocations diverses envers la Fédération de Russie, et d’une attaque de terroristes armés par les États-Unis et la coalition internationale, dans le Nord de la Syrie et plus précisément dans la région d’Alep. « Curieusement », cette attaque survient le même jour de l’entrée en vigueur du cesser le feu entre Israël et le Liban.  « Curieusement », le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, responsable de l’attaque à Alep, entretient des liens étroits avec la Direction Principale du Renseignement (GUR) du ministère de la Défense de l’Ukraine. Tiens, tiens… Voir en fin d’article.

Lire la suite

15:33 Publié dans Claude Janvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Centre d’accueil des migrants de Salbris (41) : des vérités qui dérangent

Alexandre-Avril.jpg

Alexandre Avril
Maire de la ville de Salbris, conseiller régional, membre de l’UDR.
 
Nous reproduisons le Tweet du Maire de Salbris,
 
« Hier, au moment où l’on apprenait que la CEDH accorde aux migrants expulsés la garantie de pouvoir revenir en Europe, je visitais le Centre d’accueil des migrants (CADA) de ma petite ville de Salbris.
 
J’y découvrais des chiffres édifiants :
• depuis 2016, 78 places pour les demandeurs d’asile, contre l’avis de la mairie, dans des appartements de notre ancienne gendarmerie de centre-ville,
 
•  une dizaine de salariés de Coallia (l’association qui reçoit pour cela 150 millions d’€ par an de l’État et est soupçonnée de malversations, cf. l’enquête de @Valeurs) au discours clairement immigrationniste et qui m’ont accueilli dans une salle de réunion couverte d’affiches de Sud Solidaires, le syndicat d’extrême-gauche qui appelle à la régularisation des sans-papiers, ce sont donc des militants,
 
•  une « offre complète d’hospitalité » comprenant bien sûr l’hébergement, les soins mais aussi des avocats gratuits pour faire des recours contre l’État (la fameuse aide juridictionnelle que le Conseil d’État a récemment étendue aux étrangers),
 
•  budget de la structure de Salbris : 600 000 euros par an, payés par le contribuable (plus que l’EHPAD municipal ou notre ESAT),
 
•  durée moyenne de séjour : entre 18 et 24 mois. Le temps de faire une première demande puis un recours d’office si la demande est rejetée, doublant ainsi le délai de séjour,
 
•  nationalités : Afghans, Comoriens, Béninois… peu viennent de pays en guerre.
 
•  âge et sexe : écrasante majorité d’hommes, entre 30 et 40 ans, dont les familles sont restées au pays (ils m’expliquaient qu’elles les rejoindraient par regroupement familial une fois leur régularisation faite),
 
•  résultats : 65% obtiennent l’asile, il y a donc 35% de déboutés. 100% des déboutés font un recours, pris en charge par la structure. À nouveau un tiers de déboutés. Que deviennent-ils ? OQTF ? Oui, mais ils ne pourront pas repartir dans leur pays d’origine si ce dernier n’offre pas de laissez-passer consulaire (c’est le cas de l’Afghanistan ou des Comores), donc ils restent. Le CADA les laisse repartir dans la nature une fois l’OQTF prononcée. De toute façon depuis la décision de la CEDH d’hier, même s’ils étaient expulsés ils auraient le droit de revenir.
 
Le sujet est très délicat pour un maire, vous l’imaginez. Je ne veux pas faire offense aux personnes qui migrent, qui demandent l’asile, qui s’installent. Pourquoi s’en priveraient-ils alors qu’on leur ouvre les bras et prenons tout en charge pour eux ? Le sujet, c’est l’attitude de l’État qui :
 
1/ autorise les examens d’asile sur le sol national et non dans les ambassades de départ ou des pays tiers,
 
2/ met en place ces structures déléguées à des associations militantes qui vivent du business de l’immigration, encourageant les migrants du monde entier à venir ou les passeurs à les faire venir,
 
3/ culpabilise en réduisant toute critique de la politique d’immigration massive de notre pays au rejet des étrangers. Hier encore, à mes arguments municipaux (par exemple l’état de salubrité du CADA, dont la directrice m’expliquait elle-même qu’il est infesté de cafards malgré des campagnes régulières de désinfection), on ne m’opposait que des arguments moraux (le rejet de l’autre, la stigmatisation, le manque d’humanité).
 
Regardez la photo (publiée en commentaire) : le CADA est en plein milieu des écoles. Je ne dis pas que les migrants sont forcément dangereux mais on ne sait rien d’eux. Nous n’avons d’information sur leur passé et leurs antécédents que de manière déclarative. Ils sont à proximité directe d’une cour de recréation. L’État, d’habitude si prompt à le faire, n’applique aucun principe de précaution minimum. Vous seriez rassurés, vous, en tant que parents ?
 
Cela fera bientôt 10 ans que l’État a imposé ce CADA à ma ville, contre notre avis. Je saisis maintenant #BrunoRetailleau pour demander sa fermeture car j’ai d’autres projets pour ces bâtiments.
En attendant la fin de cette folle politique, quand l’alternance sera venue. »
 
Source EuroLibertés cliquez ici

11:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 10 décembre à Paris : conférence d'Emmanuel Albach au Centre Charlier

unnamed (2).png

Emmanuel Albach est l'auteur de

Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes

Pour commander ce livre cliquez ici

COUV 2015 986.jpg

10:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 décembre 2024

Challans (Vendée) : La projection du film sur Tommy Robinson suscite l'hystérie des censeurs patentés de la gauche totalitaire

Maelig.jpg

EricDubot.jpg

Rose Martin Riposte laïque cliquez ici

Maëlig Cozic-Sava, en haut, président du cinéma Manivel de Redon, et Éric Dubot (en bas), propriétaire du cinéma Kristell à Challans. Deux conceptions de la liberté aux antipodes l’une de l’autre…

Mercredi dernier, à la veille de la diffusion – une première en France – du film de Tommy Robinson, « Silenced », Rose Martin alertait nos lecteurs sur les intimidations d’un groupuscule gauchiste, Rebellyon de Résistance, auteur d’un texte insultant et menaçant à l’encontre d’Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, d’Éric Dubot, propriétaire du cinéma Triskell de Challans, et du maire de la ville, Rémy Pascreau. Cliquez ici

Pourtant, Éric Mauvoisin avait une certaine légitimité à présenter ce film, puisque, un mois plus tôt, devant 50.000 manifestants amis de Tommy Robinson, il avait pu prendre la parole, à Londres.

Malgré cette agitation hélas habituelle, la salle avait été remplie, et la projection s’était fort bien déroulée, avec beaucoup d’émotion dans l’assistance, par rapport au courage de Tommy Robinson, et à l’acharnement de tout l’appareil d’État, qui a réussi à le faire emprisonner pour 18 mois, sous des prétextes fallacieux. Un pot amical avait conclu la soirée, et Tommy, depuis sa prison, avait pu apprendre que cent Français lui avaient souhaité un bon anniversaire. Cliquez ici

Dans cet article, Rose avait insisté sur la réalité du fascisme du 21e siècle, en ces termes : « Que la gauche n’aime pas Tommy Robinson, c’est son droit, qu’elle le trouve trop populaire et pas assez wokiste, pourquoi pas ? Mais ce qui différencie les fascistes des démocrates, c’est que les premiers s’opposent par la force à tout ce qui est différent de leurs idées, alors que les seconds sont plutôt des adeptes de la célèbre phrase attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». On devinera donc aisément que ceux qui se prétendent antifascistes sont les nouveaux nazillons du 21e siècle, et que ce sont eux qui représentent les plus graves menaces pour nos libertés et notamment la liberté d’expression ».

Comment mieux illustrer ces propos que la publication de cette lettre, ci-dessous, qui est parvenue à la rédaction de Riposte Laïque. Elle a été écrite le 27 octobre, la veille de la diffusion du film « Silenced » à Challans. On y lit donc ce texte digne des régimes les plus totalitaires, signé anonymement par Le Conseil d’administration de « Manivel’Cinéma », un cinéma associatif de Redon, présidé depuis 2020 par Maëlig Cozic-Sava, qui a succédé au fondateur du cinéma, Philippe Rouxel.

ManivelRedon.jpg

Il est déjà stupéfiant qu’un cinéma associatif se permette de menacer un propriétaire indépendant comme Eric Dubot, par ailleurs également à la tête d’un autre cinéma, à Luçon, parce qu’il ose diffuser à Challans un film qu’eux ne diffuseraient pas à Redon. En effet, alors que le cinéma associatif Manivel est gavé de subventions et n’a aucun problème pour équilibrer ses comptes, sachant que le trou éventuel sera bouclé par les collectivités locales, le cinéma de Challans est lui complètement tributaire de ses seuls résultats d’exploitation, et devrait mettre la clé sous la porte à la moindre défaillance.

Les deux cinémas annoncent à peu près 200 000 entrées par an, mais là encore, la municipalité de Redon encourage toutes les initiatives associatives à se tenir dans le cinéma Manivel, pour gonfler des chiffres que des initiatives douteuses comme la quinzaine anglophone ne tirent pas vers le haut. Ainsi, des concerts s’y déroulent-ils tout l’été, et les écoles sont très fortement encouragées à venir fréquemment faire profiter les élèves de programmes par ailleurs souvent discutables. Eric Dubot ne peut compter que sur lui pour remplir ses salles. Donc, un militant associatif qui ne vit que grâce aux subventions des collectivités locales et nationales, qu’on pourrait appeler un fonctionnaire du cinéma, se permet de menacer un libre entrepreneur et de lui donner des leçons sur ses choix de programmation. Gonflé !

Reste le fond du problème. Ceux qui animent ce cinéma associatif de Redon sont des gauchistes, et ils se comportent en militants sectaires, qui ne diffusent que les films qui leur conviennent. Exactement comme ceux de Callac, où les immigrationnistes, fers de lance du projet Horizon, agissent de la même façon dans son cinéma associatif « La Belle Equipe » où on ne passe que des films qui leur conviennent idéologiquement, tout en profitant des sous de toute la collectivité. Ainsi, ces grands défenseurs de la culture multiplient les films et les initiatives citoyennes qui font l’apologie de l’accueil des migrants, mais refusent de diffuser le film « Vaincre ou mourir », parce qu’il est produit par le Puy du Fou. Seul problème, ils sont financés par les deniers publics, et imposent donc à l’ensemble de la population, qui finance ce cinéma, leurs choix politiciens. Cela s’appelle du sectarisme, du lavage de cerveau et du totalitarisme.

Mais il y a pire. Eric Dubot, preuve de ses grandes compétences, est président de « La Règle du Jeu », une association de cinéma d’Art et d’Essai, et il dirige également « La Chambre Syndicale des Cinémas de Bretagne et de l’Ouest ». Or, au-delà des insinuations malveillantes employés contre lui, le courageux et anonyme « conseil d’administration de Manivel’Cinéma » interpelle ces deux structures pour leur demander ni plus ni moins que de débarquer Eric Dubot de ses responsabilités parce que, en tant que propriétaire indépendant, il a autorisé Eric Mauvoisin, moyennent finance, à projeter le film de Tommy Robinson dans son cinéma. À noter par ailleurs que ce conseil d’administration se permet de qualifier les sites Riposte Laïque, Breizh Info et Synthèse nationale de « sites ouvertement fascistes ». Ils doivent savoir de quoi ils parlent, car en terme d’inversion accusatoire, on fait difficilement mieux…

Il suffit d’écouter Yann Vallerie, fondateur et rédacteur en chef du site « Breizh Info », interrogé sur la projection du film « Silenced » à Challans, pour comprendre qu’il n’y a rien de fasciste dans ses propos, et que si des sites défendent la liberté d’expression, c’est bien Riposte Laïque, Synthèse nationale et Breizh Info, tandis que les maîtres-censeurs de Manivel veulent s’opposer à la diffusion d’un film, comme les nazis s’opposaient à la circulation de livres qu’ils brûlaient en place publique.

Quant à Riposte Laïque, comment ne pas être fier de lutter, depuis bientôt vingt ans, contre l’islamisation de la France et d’avoir organisé les Assises pour les Liberté d’expression en 2015 ? Cliquez là

Les pratiques des animateurs Rebellyon de Résistance et du cinéma Manivel sont à l’opposé de cette conception. En effet, nous avons là un cas typique de comportement fasciste, qui commence par les menaces et les intimidations contre le propriétaire du cinéma, qui a reçu en 24 heures des centaines de courriels et de textos laissant entendre que son cinéma pourrait brûler s’il maintenait l’initiative. Le maire a reçu également nombre de coups de téléphone d’insultes, le sommant d’interdire cet événement dans sa commune. Et nous apprenons qu’en complément de ces pratiques de type antifa qui paraissent ne déranger personne, il se trouve un cinéma, à Redon, qui complète les menaces des nazillons gauchistes contre Eric Dubot, et veut le tuer socialement en l’éradiquant de la profession, pour crime de liberté d’expression.

Ces nervis gauchistes et les prétendus défenseurs de la culture de Redon ne sont que des fascistes en herbe. Bien évidemment qu’Eric Dubot, qui ouvre son cinéma à tout le monde, sans exclusive, incarne la liberté, alors que Maëlig Cozic-Sava et le Conseil d’administration du Manivel’Cinéma ne sont que les héritiers de tous les totalitaires du monde, qu’ils aient les traits de Staline ou d’Hitler, et que le terme « fasciste » leur convient bien davantage qu’à Riposte Laïque, Breizh Info ou Synthèse nationale, qui incarnent le combat pour l’amour de la France et la liberté d’expression.

N’en déplaise à ces petits Torquemada de la pensée unique, Éric Mauvoisin continuera à faire connaître dans la France entière le film « Silenced » de Tommy Robinson, et nous savons qu’il rencontrera certes des maîtres-censeurs comme la fine équipe du Manivel’Cinéma, mais aussi des amoureux de la liberté, dont la liberté d’expression, comme Éric Dubot et son équipe de Challans et de Luçon.

Quant à Riposte Laïque, il utilisera son réseau militant pour faire connaître le combat de Tommy Robinson partout en France, n’en déplaise aux petits commissaires politiques de Redon qui ont bien mérité ce retour de « Manivel ».

NDLR SN : Bien évidemment, Synthèse nationale est totalement solidaire de nos amis de Riposte laÏque, de Breizh Info et du Rassemblement vendéen, y compris dans les suites judiciaires qui pourront être données à ces allégations.

10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 décembre 2024

Sortie prochaine du nouvel album d'Ignace...

Diapositive1 copie 30.jpg

ignace_autoportrait.jpg

En savoir plus et le

commander dès maintenant cliquez ici

20:52 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Front de la Répression : La machine répressive s’emballe contre Yvan Benedetti

benedetti-repression.jpg

Trois procès en trois mois ! La machine répressive s’est emballée !

Le 4 novembre, j’ai été condamné en appel à 2.000 € d’amendes et 4.000 € de dommages et intérêts, de manière solidaire avec le traducteur de l’article publié sur Jeune Nation, et poursuivi en justice par l’Observatoire Juif de France et l’Observatoire Juif Européen.

Le 23 janvier, se tiendra le procès en opposition ou en appel (ça sera à la Cour d’appel de statuer) suite à une plainte pour injures de l’impudent David Metaxas avocat de l’assassin d’Axelle Dorier, jeune femme traînée sur des centaines de mètres sous une voiture conduite par des racailles. J’avais pris en première instance 10.000 € d’amendes et 15.000 euros de dommages et intérêts. Délirant !

Et ce 4 décembre, je serai jugé en appel pour des propos identitaires prononcés lors du discours de clôture du Congrès des Nationalistes qui s’était tenu à Lyon le 11 novembre 2022 et pour ma prise de parole à Predappio à l’occasion du centenaire de la Marche sur Rome.

Quoiqu’il en soit ils ne me feront jamais taire !

En savoir pus : Jeune nation cliquez ici

NDLR SN : Que l'on soit d'accord ou pas avec toutes les prises de positions d'Yvan Benedetti, c'est un devoir pour tous les patriotes de le soutenir en pareilles circonstances. Yvan est un combattant actif de la cause nationaliste. Ce qui lui arrive aujourd'hui peut arriver à bien d'autres demain. Il ne faut pas le laisser tomber...

Intervention de Yvan Benedetti, le 12 octobre 2019, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale :

 </p

15:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Jeudi 5 décembre, à Auray (56), conférence de Jean-Yves Le Gallou organisée par le Cercle Kelven

6052876887308421266.jpg

12:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Insolite : Jean-Claude Rolinat est un fieffé amateur de bandes dessinées

41sM9RWLxxL._AC_UF1000,1000_QL80_.jpg

10:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Michel Festivi, mercredi midi, sur Radio Courtoisie

Diapositive1 copie 36.jpg

Notre Ami Michel Festivi sera présent sur Radio Courtoisie le Mercredi 4 décembre prochain de 12H à 13H30 dans l’émission des historiens dirigée par Philippe Conrad pour parler de son livre « La désinformation autour du Parti communiste « français » ».

Radio Courtoisie cliquez ici

Acheter ce livre cliquez là

09:14 Publié dans Michel Festivi, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 décembre 2024

ALEP : « L’ÉTAT ISLAMIQUE », C’EST REPARTI !

image.jpg

Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Alep était une ville magnifique de cet « Orient plus que compliqué » lorsque j’y suis allé, il y a fort longtemps. Tout faisait penser à ce que notre imaginaire d’enfant ou d’adolescent avait laissé transpirer en termes d’images et d’odeurs. Images d’un Orient fantasmé. Le Bagdad « des mille et une nuits » bien entendu et, plus particulièrement  dans le cas qui nous intéresse, Alep avec ses  minarets en forme de fusées, sa massive forteresse, dominant la ville, mutilée plus tard par les combats entre rebelles et gouvernementaux… Des odeurs des souks et, plus particulièrement celle, plus persistante, du savon, spécialité locale déclinée à tous les parfums de l’orient.

Un raid spectaculaire qui a surpris tout le monde

L’inattendu, quelque part l’incroyable, s’est produit le mercredi 27 novembre dernier : la plus grande partie de la ville avec son aéroport, sont facilement tombés aux mains des rebelles islamistes du HTC, l’Hayat Al-Cham d’Ahmed Al-Chara. Ce dernier avait déjà fondé  Al-Nosra, puis le mouvement salafiste HTS. Le HTC d’aujourd’hui est la version d’Al-Quaida en Syrie. Ces rebelles ne partaient pas de n’importe où et sans « biscuits ». Ils disposaient déjà d’un solide sanctuaire, la province d’Iblid qui leur avait été laissée au terme d’un accord plus ou moins informel entre les parties, et leurs parrains respectifs – Turquie, Iran, Russie -, après la reconquête d’Alep par les forces   gouvernementales en 2016.

D’incroyables alliances contre-nature

Des hordes de barbus, armés jusqu’aux dents – un mix d’anciens de Daech, de mercenaires Turkmènes qui « roulent » pour Ankara et d’irréductibles ennemis de Bachar-Al Assad -, parties du quartier du Nouvel Alep, ont pénétré dans la ville sans rencontrer de grande résistance. L’armée syrienne était-elle endormie sur ses lauriers ? Ces hommes ont gagné la citadelle de la « plus vieille cité du monde », comme le revendiquaient jadis des prospectus publicitaires…

On a pu voir des images de jeunes rebelles juchés sur un char gouvernemental abandonné par son équipage, exprimant leur joie de conquérants. C’est un revers monumental pour le gouvernement de Damas et ses alliés russes et iraniens, ainsi que pour les proxys de ces derniers, le Hezbollah, déjà durement étrillé par Israël.

Quelle lecture correcte peut-on faire de ces alliances, bien souvent contre-nature ? D’abord, ce coup porté à Bachar et à son régime arrange les Kurdes dissidents, qui peuvent affermir leur autonomie auto-proclamée mais, dans le même temps, il est de nature à inquiéter leurs alliés américains, qui exploitent sans vergogne le pétrole syrien. Il n’est pas mal vu non plus, par Israël, car il affaiblit son ennemi syrien et ses alliés iraniens et chiites libanais. On pense même que l’État hébreu, pendant la guerre civile syrienne, avait soigné des insurgés islamistes en lutte contre la Parti Baas, en application du principe que « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Superbe alliance contre-nature, moralement condamnable ! La Turquie, pour des raisons différentes, est derrière ces insurgés islamistes qui humilient le régime damascène, son « meilleur ennemi ». Et pourtant, dans « le même temps » comme dirait « l’autre », il indispose Moscou qu’Erdogan veut ménager.

Et nous, Français, quel est notre intérêt là-dedans ?

Notre intérêt immédiat, pour notre sécurité intérieure, est l’affaiblissement de tout ce qui, de près ou de loin, peut conforter la mouvance islamiste. Ce n’est donc pas, une bonne nouvelle, même si le Hezbollah et son parrain iranien, qui tiennent nos amis libanais en otage, son sévèrement touchés, par contre coup. C’est une tragique information pour les Chrétiens d’Orient, et plus particulièrement ceux de Syrie et d’Alep, où ils pensaient pouvoir se reconstruire après la tyrannie de l’occupation de l’État islamique. Ils vont devoir, une fois de plus – une fois de trop ? -, quitter leurs foyers ou  « raser les murs »…

Si l’Occident avait réfléchi intelligemment lorsque la Syrie s’est embrasé, il aurait dû soutenir le régime laïc du parti Baas et s’appuyer sur Assad, malgré le despotisme non éclairé de son régime, car, entre deux maux, il faut choisir le moindre. Le temps était fini où l’Iran comme la Syrie, perpétuaient des attentats en nos murs, comme la Libye d’ailleurs sur un autre front. Mais non, les alliés de l’OTAN ont fait le choix inverse. Résultats des courses, des attentats, des victimes et…pas de représailles. Les alliances sont très paradoxales.

La France et ses amis sont proches de pays comme le Qatar et l’Arabie saoudite, qui ne sont pas plus démocratiques que la Syrie dirigée par les Alaouites Assad père et fils, et hostiles à ce dernier. Si l’on peut comprendre que nos intérêts pétroliers sont en jeux et que de fructueux marchés de ventes d’armes s’offrent en perspective à nos industries, on ne peut pas négliger la nébuleuse islamiste fondamentaliste, ni le trouble jeu de puissances comme la Turquie.

Accessoirement le double jeu d’Israël, État qui a la « vue basse », et ne pense pas à l’avenir, ne « roulant » que pour ses propres intérêts à court terme. Autre paradoxe pour notre camp, c’est de souhaiter ardument la victoire de l’un des régimes les plus durs et les plus anti-démocratique de la planète. Mais notre sécurité globale est à ce prix. L’Occident – et l’Europe plus précisément -, vont-ils enfin ouvrir les yeux et, entre deux maux, disons-le encore et encore, choisir le moindre mal ? On déroule bien le tapis rouge devant d’autres satrapes qu’Assad, tout aussi ou bien plus sanguinaires !

16:58 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fin de la coalition tricolore allemande

iStock-1912186088-scaled.jpg

La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les crises politiques s’accumulent en Europe. Longtemps moteur de la politogenèse eurocratique, le duo franco-allemand se paralyse de part et d’autre du Rhin. Une fragile et implicite cohabitation s’installe à Paris entre un président Jupiter dévalué et un « socle commun » parlementaire hétéroclite et instable. À Berlin, la victoire de Donald Trump a amplifié les fractures au cœur même du gouvernement fédéral.

Le 6 novembre 2024, le chancelier Olaf Scholz désavoue le ministre des Finances, Christian Lindner, et demande au président fédéral Frank-Walter Steinmeier de le limoger, chose faite dès le lendemain. Or Christian Lindner dirige le FDP, le parti libéral. Son éviction entraîne la démission de deux autres ministres libéraux de la Justice et de l’Éducation. En revanche, le ministre des Transports et du Numérique reste en place et abandonne le FDP. C’est la fin d’une entente montée avec douleur trois ans plus tôt.

Aux législatives de 2021, le Bundestag se fragmente en six groupes. La coopération habituelle entre les sociaux-démocrates du SPD et les Verts n’assure pas une majorité. Les deux partenaires se tournent alors vers un troisième larron, le FDP. Après de longues et âpres négociations, les trois formations s’accordent, le 24 novembre 2021, sur un contrat commun de gouvernement. Les journalistes parlent de « coalition en feu tricolore » en raison des couleurs respectives des nouveaux alliés (rouge pour le SPD, vert pour les Grünen et jaune pour le FDP). Cette configuration politicienne est inédite dans l’histoire de l’Allemagne fédérale.

Jusqu’en novembre 2023 et en dépit de divergences fréquentes entre les Verts et les libéraux, le gouvernement « tricolore » se maintenait cahin-caha. Il y a un an, le Tribunal constitutionnel fédéral de Karlsruhe prononçait l’inconstitutionnalité partielle du budget 2023, un camouflet inédit dû à l’initiative de l’opposition démocrate-chrétienne. Le gouvernement Scholz avait en effet jonglé avec différents financements. Il utilisait sciemment un reliquat budgétaire de soixante milliards d’euros, destiné à l’origine à lutter contre le covid-19, afin d’alimenter un fonds destiné à la transformation de l'économie et au climat. Les magistrats critiquèrent la manœuvre et s’indignèrent d’une dépense réalisée entre janvier et octobre 2023 de plus de trente-et-un milliards d'euros sans que ces sommes n’apparaissent dans le budget légal. Le Tribunal constitutionnel interdisait par conséquent de transférer le reste du montant vers tout autre fonds. Sa décision entraînait en outre le gel de l’ensemble des nouveaux crédits de tous les ministères fédéraux inscrits dans ce budget retoqué. Karlsruhe annulait enfin les subventions massives au secteur industriel et aux plans de décarbonation chers aux Verts.

Les dissensions s’affichent au moment où une violente crise économique et sociale atteint la première puissance économique d’Europe, fragilisée par les retombées négatives des sanctions contre la Russie. SPD et Grünen cherchent en priorité à aider les secteurs économiques en difficulté notable. La préparation du budget 2024 devient laborieuse et pose un dilemme : augmenter les impôts ou bien diminuer les dépenses à moins que la coalition s’exonère provisoirement d’une règle débile, celle du « frein à l'endettement » inscrite dans la Loi fondamentale qui limite tout endettement à 0,35 % du PIB. Tenant acharné de cette règle, Christian Lindner se présente aussitôt en défenseur d’une stricte orthodoxie budgétaire, économique et financière. Le 1er novembre dernier, il adressait au chancelier et à leurs alliés une note longue d’une vingtaine de pages suggérant une réduction draconienne des aides, des subventions et des dépenses publiques, en particulier dans le domaine de la lutte contre le changement climatique. Le vice-chancelier et ministre Vert de l’Économie et du Climat, Robert Habeck, y vit dans cette proposition une véritable déclaration de guerre contre lui et son parti.

Désormais chef d’un gouvernement minoritaire, Olaf Scholz aurait souhaité poursuivre jusqu’aux législatives de septembre 2025. Toutefois, son opposition de pacotille, les démocrates-chrétiens de la CDU et les conservateurs de la CSU, rejette cette combine. Mis à l’écart par Angela Merkel au début de son règne calamiteux, le millionnaire Friedrich Merz qui a travaillé pour BlackRock, à la fois président de la CDU et de son groupe parlementaire, profite des circonstances pour rêver d’accéder à la chancellerie. En position de force, le centre-droit a fait pression sur Scholz afin qu’il pose la question de confiance au Bundestag. Prévu le 16 décembre prochain, le vote sera très certainement négatif. Dès lors, si les députés ne désignent pas entre-temps un nouveau chancelier selon la procédure de l’article 68, Frank-Walter Steinmeier aura vingt-et-un jours pour dissoudre le Bundestag. Les élections anticipées sont annoncées pour le 23 février 2025. L’Allemagne entre en campagne.

Les sondages annoncent la victoire de la CDU – CSU, mais sans bénéficier d’une majorité absolue impossible à obtenir en raison d’un mode de scrutin mixte et complexe. Par ailleurs, outre un SPD en forte baisse, les études d’opinion préviennent de la sortie probable de la prochaine législature du FDP et de Die Linke (la gauche radicale wokiste) qui stagneraient en dessous du seuil électoral fatidique de 5 %. Les projections électorales qui découlent de ces premiers aperçus prévoient une chambre partagée en cinq factions parlementaires (CDU – CSU, AfD, SPD, Grünen et BSW). Rappelons que BSW signifie l’Alliance Sahra Wagenknecht - Pour la raison et la justice dont le positionnement politique atypique pour un esprit français incarne un conservatisme pacifiste de gauche radicale anti-wokiste opposé à l’immigration de peuplement. L’excellent Lionel Baland y voit une résurgence assez manifeste d’un national-bolchevisme atténué.

Considérée comme le prochain gagnant, la CDU – CSU envisage déjà de gouverner soit avec le SPD dans une nouvelle « Grande Coalition » - mais les relations entre Scholz et Merz sont exécrables -, soit avec les Verts comme, à l’heure actuelle, en Autriche où cette alliance a permis aux nationaux-conservateurs du FPÖ d’arriver en tête aux législatives du 29 septembre 2024.

La période électorale qui commence sera déterminante pour l’avenir d’un pays en déclin avancé et pour l’ensemble du continent. En effet, quand l’Allemagne tousse, l’Europe s’enrhume.   

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n° 135, mise en ligne le 27 novembre 2024 sur Radio Méridien Zéro.

10:32 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |