samedi, 18 octobre 2025
Nier la biologie, c’est quitter la science pour la liturgie

Peggy Sastre, docteur en philosophie et journaliste scientifique s’entretient avec Eléa Cauvin, du Figaro, de son dernier ouvrage – Sexe, science & censure – sur le fait que la science universitaire notamment revient sur le concept d’homme et femme tel que nous l’enseigne la biologie. Avec la théorie du genre et autres fadaises, l’université, nous dit Peggy Sastre abandonne les rives de la science pour aborder celui de la liturgie. Il est temps de s’en remettre de nouveau au réel. Un réel que nous rappellent, comble de l’ironie, Vladimir Poutine et Donald Trump.
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Source : Le Figaro 18/10/2025
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La cuisine française serait-elle d’extrême droite ?

Robert Spieler
On en apprend tous les jours. Un article de Télérama, publié le 3 octobre 2025, fusille à bout portant l’émission de M6 « La meilleure cuisine régionale, c’est chez moi ». Les chefs Norbert Tarayre et Yoann Conte sillonnent le territoire à la recherche des meilleurs restaurants de cuisine française. Un affreux « périple aux saveurs passéistes et au fumet nationaliste », selon le magazine télé bobo. Et puis, les deux chefs n’auraient que le mot “tradition” à la bouche. « Peu de chances de croiser “mangeur de tofu” et autre “homme soja” que les viandards d’extrême droite fustigent sur les réseaux », s’indignent les journalistes du gauchiste Télérama. Ceux-ci se moquent d’un certain Théo qui a l’idée saugrenue de cultiver l’endive « comme ses parents et grands-parents avant lui » ou un autre producteur dont le pain de campagne à la moutarde mériterait d’être mis « à la carte des estaminets du Puy du Fou ».
Sollicité à donner son avis, un rédacteur du Monde, auteur d’un livre sur le racisme des « jeunesses blanches », donc un expert sur le plan culinaire, commente sobrement : « C’est la valorisation d’une France moyenâgeuse, d’une virilité chevaleresque ». Boulevard Voltaire nous invite à poursuivre le chemin chez les fous. En 2021, une chercheuse du CNRS expliquait que la « blanchité alimentaire » participait à « renforcer la blanchité comme identité raciale dominante ». En juin dernier, un professeur de Boston s’en prenait au guide Michelin et lui reprochait d’encore trop mettre en valeur la cuisine européenne, malgré un salutaire « mouvement de décolonisation de l’alimentation en repensant l’héritage colonial du pouvoir ». En juillet 2025, le Monde y était allé de sa dénonciation, quant au contenu du CAP Cuisine, dont les enseignements seraient « en décalage avec les tendances gastronomiques ainsi que les enjeux environnementaux et humains contemporains ». L’article s’était ému de la présence de protéine animale dans la majorité des plats traditionnels, mais aussi, et surtout, de recettes « centrées sur le patrimoine français ». Voilà que ces fous furieux en sont à vouloir la déconstruction de notre cuisine traditionnelle ! Une cuisine trop française, une cuisine trop blanche... En 2018, l’hebdomadaire Télérama avait publié son « palmarès des 11 meilleurs kebabs de Paris ». C’est ce qu’on appelle un magazine enraciné.
Source : Rivarol 15/10/2025
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Le journal du chaos

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vendredi, 17 octobre 2025
"Darmalin", l’ambitieux prêt à tout qui personnifie à merveille les LR d’hier ou d’aujourd’hui

Synthèse nationale
Pascal Praud a bien des qualités, journalistiques et sans doute humaines. Il a, en particulier, l’immense mérite de soumettre à débat des sujets qui, sans lui et les grands médias dans lesquels il officie, ne seraient abordés (et encore) que sous l’angle du politiquement correct. Cependant, son tropisme sarkozyste le conduit parfois à ne pas voir ou vouloir voir ce qui pourtant crève les yeux.
Ainsi, mardi dernier, 14 octobre, dans l’heure des pros 2, il a, une nouvelle fois, fait l’éloge de Gérald Darmanin, le ministre de la Justice démissionnaire puis reconduit. « S’il y en a un que je trouve extrêmement habile, toujours et tout le temps, a-t-il déclaré à l’antenne, c’est (lui). C’est un vrai homme politique. Il sait faire de la politique. C’est un professionnel de la politique ».
Si l’on part du principe que faire de la politique consiste à dire tout et son contraire, à soutenir un jour ceux que l’on dénonçait auparavant avec vigueur, à s’employer uniquement à surnager, à s’adapter en permanence, au gré des circonstances, à se donner une image trompeuse pour mieux atteindre ses objectifs pour soi-même, alors l’opinion qu’a Pascal Praud de Gérald Darmanin est la bonne.
L’homme, issu de LR et surnommé à juste titre "Darmalin" par ses ex-"amis", est en effet l’un de ses ambitieux autocentré, dont les dents acérées rayent les parquets lustrés de la République et qui sont prêts à beaucoup pour réaliser leur plan de carrière. Aujourd’hui, il joue le serviteur fidèle d’Emmanuel Macron. Il affecte de prendre de la hauteur et fait la leçon à Gabriel Attal, coupable d’avoir pris ses distances avec le président de la République. Dans un courrier qu’il a adressé, il y a quelques jours, à l’ancien Premier ministre devenu secrétaire général du mouvement macroniste (mais de moins en moins), on peut lire en effet : « Sans renier aucune de mes convictions (sic), je me mets (…) en retrait de toute activité partisane et prends dès aujourd’hui congé de mon engagement au sein de Renaissance (…). Je veux cependant vous dire deux vérités que j’ai déjà eu l’occasion d’exprimer. La première est que, quels que soient les désaccords d’appréciation avec le président de la République, ils ne peuvent être exprimés publiquement par le mouvement qu’il a lui-même fondé. Deuxièmement, les aventures individuelles et prématurées à l’élection présidentielle ne peuvent mener qu’à l’élimination collective dès le premier tour : la responsabilité de ceux qui feront ce choix sera immense ».
Cette profession de foi macroniste est d’autant plus "admirable" qu’il y a un peu moins de neuf ans, en janvier 2017, le même, alors secrétaire général adjoint de LR, écrivait (fort justement, d’ailleurs) à propos d’Emmanuel Macron (pas encore président), dans une tribune publiée par l'Opinion (cliquez ici) : « Macron caméléon, Macron le paradoxe, Macron le démagogue (…) ne détaille rien, ne précise rien, ne stabilote rien. Il ne sort jamais de l’ambiguïté. Il promet tout, finance tout, rembourse tout. (…) C’est Noël avant l’heure. (…) Il s’intéresse aux citoyens de la mondialisation heureuse. Il est le candidat de ceux qui réussissent et de ceux qui vont réussir. Mais derrière ce populisme, se cache le drame de la France : celui de ne pas dire la vérité aux Français, de ne pas faire de réformes, de ne pas préciser ses intentions. C’est la fin de la Ve République telle qu’on la connaît : M. Macron n’aura pas de majorité, ou alors de circonstances, et cela durera ce que dure les amours de vacances. Loin d’être le remède d’un pays malade, il sera au contraire son poison définitif. Son élection, ce qu’au diable ne plaise, précipiterait la France dans l’instabilité institutionnelle et conduira à l’éclatement de notre vie politique (…) ».
C’est ce « caméléon », ce « démagogue », ce « poison définitif » pour la France que Gérald Darmanin défend aujourd’hui auprès de Gabriel Attal ; au moment même où les députés de son ancien parti trahissent leurs électeurs en apportant leur soutien au gouvernement Lecornu II, otage consentant des socialistes ! Reconnaissons que la simultanéité des deux événements ne manque pas de sel et nous en dit beaucoup sur ce que sont vraiment les Républicains, et ce que vaut leur parole politique…
10:28 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Décès de Roland Favre, militant fidèle de la cause nationale...
ll était né à Dijon, avait commencé par travailler à la SNCF, puis ensuite dans la vente de vins. C'était un épicurien, grand amateur de chansons françaises, et fervent défenseur des animaux, mais surtout un esprit curieux, fin connaisseur de la politique française et de notre famille d'esprit, un autodidacte féru d'histoire ayant le sens de l'honneur...
Il avait milité de nombreuses années au Front national (dont il fut longtemps un des responsables pour le Val de Marne), puis au MNR.
C'était un ardent patriote, nous ne l'oublierons pas Semper fidelis.
10:07 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Guerre calendaire
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
La France s’enfonce dans le déclin. Cela n’empêche pas certains de développer une vision fondamentaliste de la laïcité. Ces irresponsables démontrent par leurs agissements leur futilité au CSEN. Instance consultative, le Conseil supérieur de l’Éducation nationale (CSEN) réunit les syndicats représentatifs du monde enseignant (personnels de direction, professeurs, parents d’élèves, étudiants et lycéens).
Le 1er octobre 2025, le syndicat majoritaire dans l’enseignement primaire, la FSU – SNUIPP (Fédération syndicale unitaire – Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC) y dépose un amendement approuvé par 44 voix et seulement 7 contre ! L’instruction s’effondre dans tous les niveaux de classe, y compris dans les établissements privés sous contrat, à cause de la persistance de funestes lubies « pédagogogistes », mais il y a d’autres priorités urgentes. Cette formation syndicale mène en effet un combat déterminant pour l’avenir de l’école : remplacer la dénomination des vacances de la Toussaint et de Noël par « vacances d’automne et de fin d’année ». Ce brillant syndicat qui a dû longuement cogiter pour rédiger ce texte aberrant, pense que les noms actuels des fêtes « n’ont pas leur place dans le calendrier de l’école républicain ». Il entend mieux faire respecter la laïcité.
Si le syndicat étudiant UNI (Union nationale interuniversitaire), classé à droite, a aussitôt lancé une pétition (1) qui aurait attiré environ 20 000 signatures, le ministère de l’Éducation nationale ne l’a pas retenu au grand dam des héritiers d’Émile Combes (1835 – 1921) ! Ce président du Conseil de 1902 à 1905 conduit une féroce politique anti-chrétienne. Il organise le fichage général des fonctionnaires réputés catholiques, en particulier les officiers (la tristement célèbre « Affaire des fiches »).
L’initiative de la FSU – SNUIPP reçoit un accueil assez favorable. Secrétaire générale de la FEP (Formation et Enseignement privés) – CFDT, Valérie Ginet assure que « ce changement pourrait permettre à tout le monde de se sentir inclus ». Pour Grégoire Ensel, vice-président de la FCPE (Fédération des conseils de parents d’élèves), cette modification sémantique « est un symbole important qui rappelle la laïcité de la République ». Le syndicat des anciens instituteurs réalimente de vieilles demandes fantasques.
Dès février 2013, Jacques Attali proposait de renommer Noël et Pâques par la « Fête des enfants » et une grotesque « Fête de la liberté ». Savait-il que Pâques (avec un s final) marque la résurrection du Christ chez les chrétiens ? En revanche, Pâque (sans le s) rappelle aux juifs la sortie d’Égypte sous la direction de Moïse. Cette « Fête de la liberté » orwellienne entérinerait-elle l’endettement bancaire colossal des États et des peuples européens ?
Toujours en 2013, quelques mois plus tard, en septembre, une certaine Dounia Bouzar, anthropologue de son état, membre de 2003 à 2005 du Conseil français du culte musulman, ensuite admise à l’Observatoire de la Laïcité lié aux services de Matignon, suggérait de retirer deux fêtes chrétiennes fériées pour une fête juive, Yom Kippour, et une autre musulmane, l’Aïd. Elle ne faisait que répéter une suggestion saugrenue de la candidate Verte à l’élection présidentielle de 2012, Éva Joly, qui n’en manquât jamais !
L’intention de ces individus demeure bien floue. Doit-on rendre fériés des événements festifs juifs et musulmans ou bien laïciser tous ces jours légaux de repos ? S’il faut en introduire d’autres qui mentionnent d’autres religions, pourquoi se limiter au monothéisme ? L’hindouisme, le bouddhisme, le sikhisme, l’animisme ont eux aussi droit à leurs jours d’arrêt au nom de la sempiternelle lutte contre toutes les discriminations. D’autres rêvent en revanche de tout laïciser.
Par un tweet à la date du 24 mai 2023, Éric Piolle, maire Vert de Grenoble et grand allié de l’extrême gauche, écrivait : « Supprimons les références aux fêtes religieuses de notre calendrier républicain. Déclarons fériées les fêtes laïques qui marquent notre attachement commun à la République, aux révolutions, à la Commune, à l’abolition de l’esclavage, aux droits des femmes et des personnes LGBT. » Sa déclaration nécessite deux réponses. S’il veut célébrer la Commune, Éric Piolle serait-il prêt à honorer la mémoire de Raoul de Bisson (1812 – 1890). Avant de devenir général de la Commune de Paris en 1871, ce royaliste légitimiste français lutte aux côtés des carlistes espagnols, puis avec les Bourbons-Siciles contre les Chemises rouges garibaldiennes. Le maire de Grenoble accepterait-il aussi de saluer la mémoire de l’aïeul des nationalistes-révolutionnaires, Louis Auguste Blanqui ?
Dans son tweet, Éric Piolle évoque « notre calendrier républicain ». L’édile grenoblois égrènerait-il son temps personnel en fonction de ventôse, de germinal, de fructidor et de brumaire comme La Libre Pensée qui utilise le véritable calendrier républicain en vigueur de 1792 à 1806 dans ses publications imprimées ? Il est étonnant qu’un décroissant anti-productiviste supposé se félicite de l’existence de la décade, la semaine de dix jours, ce qui peut représenter par rapport à la semaine actuelle un gain notable de productivité. L’actuel calendrier n’est pas républicain. Ses origines sont chrétiennes avec, pour point de départ, la naissance présumée de Jésus. Certes, on efface déjà la source religieuse en la remplaçant par une soi-disant « ère commune ». Foutaise ! Les mêmes s’indignent encore quand Donald Trump change le golfe du Mexique en golfe de l’Amérique…
Le calendrier européen procède de l’incroyable combinaison pagano-chrétienne. Des catholiques, plus ou moins de fraîche date, dénient néanmoins cette réalité historique, fruit du syncrétisme propre à la dynamique des spiritualités. En outre, 2025, date chrétienne, s’inscrit dans une semaine riche en divinités romaines. En français, mardi est le jour de Mars, le dieu de la Guerre. Le mercredi est le jour de Mercure, dieu du Commerce et du Voyage. Le jeudi est le jour de Jupiter, le roi des dieux, etc. En anglais, on retrouve l’équivalence partielle avec un autre panthéon, celui des divinités germano-nordiques : Tuesday est le jour de Tyr. Thursday est le jour de Thor. Leurs pendants allemands sont Dienstag et Donnerstag. Quitte à laïciser le calendrier, pourquoi se limiter aux fêtes ? Et les jours, parbleu ! À quand donc un Robert-Badinter-di, une Simone-Veil-di ou un Jacques-Mesrine-di ?
Cette fâcheuse tendance ne se limite pas aux fêtes du calendrier. Elle affecte le nom des communes. Par exemple, dans le département de l’Allier, la commune d’Yzeure intègre désormais celle de Saint-Bonnet-et-Saint-Jean. Faudra-t-il retirer le saint de Saint-Raphaël, de Saint-Nazaire ou de Saint-Denis sous le prétexte d’inclusivité ?
Le syncrétisme pagano-chrétien sous-tend toute la civilisation européenne d’expression romane – gothique (germano-nordico-helléno-latine) avec des moments fastes tels le Beau Moyen Âge, la Renaissance, voire la Révolution française éprise de Sparte et de Rome. Dans Le Figaro du 27 mars 2024, l’historien médiéviste Philippe Walter désigne la quête du Graal comme le thème de convergence entre les diverses variantes du christianisme et les polythéismes natifs. Pour lui, « le saint Graal est inhérent à la chrétienté occidentale (il est inconnu des orthodoxes). Il appartient à ce que j’ai appelé la ” mythologie chrétienne ”, un ensemble de croyances, de récits et même de superstitions extérieures au christianisme, mais qui ont fini par s’introduire en lui au point d’en être indissociable. La Réforme protestante remettra de l’ordre là-dedans et c’est sans doute l’une des causes de la disparition provisoire du saint Graal et de sa légende à partir du XVIe siècle ».
Il n’est donc pas anodin de vouloir changer la dénomination des fêtes traditionnelles et des lieux de vie communautaires européens. La déconstruction wokiste s’incruste trop en Europe. Une éradication radicale des méfaits de la Modernité s’impose plus que jamais !
Salutations flibustières !
(1) NDLR : la pétition de l'UNI cliquez ici
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°170, mise en ligne le 16 octobre
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Sarah Knafo, ce vendredi à 11 h, aux Grandes Gueules, sur RMC
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jeudi, 16 octobre 2025
Samedi 15 novembre, La Roche-sur-Yon : salon du livre de Noël
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Naufrage du macronisme et déshonneur des politiques

Les dix derniers jours ont donné aux Français le spectacle tragique d’un monde politique en vase clos, qui ne s’occupe plus du sort des citoyens. Ce marasme est révélateur d’un problème anthropologique et civilisationnel où les enfants rois sont finalement devenus adultes. Jacques Le Goff, sociologue et philosophe dans un entretien avec Alexandre Devecchio du Figaro, nous livre les raisons qui nous ont amené à cette disparition du politique et la pauvreté intellectuelle de ses représentants.
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Source : Le Figaro 16/10/2026
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Les trahisons des LR viennent de très loin, petits rappels historiques
Michel Festivi
Nous venons d’assister en direct, à un spectacle des plus affligeants. Alors que les élus LR n’avaient eu de cesse de refuser, la main sur le cœur, tout accord électoral même de simple second tour avec le RN, prenant prétexte que le programme dudit RN préconisait la suspension ou l’abandon de la loi Dussopt sur les retraites, votée dans la douleur en 2023 ; ces mêmes élus LR viennent d’abdiquer d’un coup d’un seul, et pour ne pas à avoir repasser devant les électeurs, en soutenant désormais le gouvernement Lecornu II, qui justement entend suspendre l’application de cette loi, uniquement pour ne pas être censuré. Après s’être dissous dans le macronisme, les élus LR se sont liquéfiés dans le socialisme.
Cette toute dernière trahison de leur électorat n’est pas la première. C’est même la marque de fabrique des notables LR et de leurs prédécesseurs, UMP, RPR et autres appellations confondues. Depuis au moins 1981, ce parti politique mystifie ses électeurs, en leur faisant croire qu’il appliquerait un programme de droite arrivé au pouvoir, alors qu’il n’a porté sur les fonts baptismaux, quasiment que des lois qui ont toujours renforcé les gauches dans leur ensemble. Petit retour en arrière, qui me paraît de la plus grande utilité, tant les français ont la mémoire courte, comme l’avait déjà proclamé un Maréchal de France.
En avril -mai 1981, le candidat Chirac ne parvient pas en finale. Aussitôt, il demande à ses équipes de faire barrage à Valéry Giscard d’Estaing et fait voter Mitterrand, pensant que ce dernier ne durerait pas et qu’il pourrait rapidement s’installer à l’Élysée, on connaît la suite. VGE a décrit dans le troisième tome de ses mémoires politiques tous les détails de cette affaire, même si VGE avait beaucoup à se faire pardonner, il était préférable à Mitterrand. En 1985, le RPR d’alors bâtit un programme extrêmement droitier, à faire pâlir celui du FN de Jean-Marie Le Pen. À peine arrivé à Matignon en mars 1986, Chirac abandonnait la plupart des mesures préconisées, et se rendait en rase campagne à tous les oukases de la gauche après l’affaire Malik Oussekine. Mitterrand sera réélu.
Alors que Chirac avait un temps fustigé l’Europe de Bruxelles (discours de Cochin), il se range inconditionnellement dans le camp des européistes les plus virulents, et fera voter « oui » au traité de Maastricht en 1992, on connait la suite. En 1998, la droite RPR et UDF avec les élus FN, emportent la majorité dans plusieurs Conseils régionaux. Des accords de gouvernances régionales sont trouvés. Aussitôt, les éléphants du RPR et de l’UDF, Chirac en tête, menacent ceux qui les ont promus. Charles Fillon en fera notamment les frais, la gauche minoritaire s’empare des exécutifs régionaux, elle n’en demandait pas tant.
Je ne vous parle même pas des deux mandats chiraquiens de 1995 à 2007, qui n’ont été qu’une séquence radicale socialiste, qui n’avait rien à envier aux politiques de gauche. Jean Marie Le Pen avait eu à cet égard une formule heureuse, il disait que Chirac avait repeint son parti aux couleurs du travaillisme. Fort de vouloir imposer la rupture avec ce magma informe, Nicolas Sarkozy est élu, après avoir siphonné les voix de l’électorat FN, comme il s’en vantait. Aussitôt installé, et au lieu d’utiliser « le karcher », il nomme Kouchner, Fadela Amara, Rama Yade, Éric Besson, ministres. Patrick Devedjian un fidèle parmi les fidèles de Sarkozy fustigera que : « l’ouverture aurait pu aller aussi jusqu’aux sarkozistes ». On connait la suite, la rupture sera très vite oubliée, et Sarkozy pour avoir trahi son électorat sera battu par le calamiteux François Hollande. Patrick Buisson dans La cause du peuple, avait repris toute l’histoire de ces renoncements et trahisons. En 2007, Nicolas Sarkozy a perfidement fait adopter le traité de Lisbonne, en bafouant le résultat du referendum de 2005, à l’origine de beaucoup de nos malheurs d’aujourd’hui, de notre paralysie législative, de notre perte de souveraineté.
Depuis l’arrivée du macronisme en 2017, de très nombreux LR ont rejoint les rangs de l’actuel président de la république, comme Éric Woerth et bien d’autres. Mais avec Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, on allait voir ce que l’on allait voir. De très nombreux électeurs ou anciens électeurs LR s’y sont laissés prendre une fois de plus, aux rodomontades et haussements de mentons. Mais pour conserver leur plat de lentilles, les députés LR sont allés à la soupe, une fois de plus. La trahison est consubstantielle aux dirigeants LR, c’est même à ça qu’on les reconnaît.
Il faut souligner ici le courage politique qu’a eu Éric Ciotti, car il avait beaucoup à perdre en quittant son poste de président des LR, et en rejoignant une alliance avec le RN, ceux qui l’ont bravement suivi ont fait preuve de rectitude morale et politique. Sa ligne politique s’en trouve aujourd’hui renforcée, par les dernières félonies de ses anciens compagnons. L’union des droites ne se fera pas tant qu’il existera un embryon LR suffisamment nocif. Il appartient désormais à l’électorat LR, où à ce qu’il en reste, de déserter en masse, et de voter pour d’autres candidats ou partis, les droites de conviction n’en manquent pas entre Marine le Pen, Éric Zemmour ou Marion Maréchal. En tout cas, il est plus que risible d’entendre des sénateurs LR ou des eurodéputés LR comme François-Xavier Bellamy, prétendre que s’ils étaient députés ils voteraient la censure. Quand son poste alimentaire n’est pas en jeu, la parole forte est facile.
J’ai sans doute oublié de nombreuses félonies, tant la liste des forfaitures est longue, le lecteur m’en excusera. Il faudra combien de jours, de semaines, de mois, pour que cet électorat LR s’évapore, et quitte les rivages nauséabonds de la fourberie politique ? En tout cas, si la France a aujourd’hui une dette abyssale, le plus fort taux d’imposition des pays de l’OCDE, une immigration illégale massive, une insécurité galopante, elle le doit, en grande partie, aux politiques de ceux qui se réclament des LR, et qui n’ont jamais voulu réellement rompre avec le socialisme ou le macronisme, ce qui est finalement, la même chose.
00:25 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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mercredi, 15 octobre 2025
En Corse, les lycéens se rassemblent pour défendre le calvaire de Quasquara
16:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Gouvernement d’imposture, opposition de lâches : la République des vendus
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Ce mardi à l’Assemblée nationale, Sébastien Lecornu, le valet d’Emmanuel Macron, a lu sans conviction la feuille de route d’un gouvernement d’imposture, né d’un marchandage honteux entre les débris du PS et les lâches de LR. Rien de nouveau sous le soleil pour la Macronie : la survie politique à tout prix, au mépris du peuple français.
Le Parti Socialiste vend son agonie contre quelques miettes : la promesse creuse de « suspendre » la réforme des retraites et d’épargner l’Assemblée d’un nouveau 49.3. Ces zombies n’existent plus que pour servir de caution de gauche à un pouvoir honni. Quant aux Républicains, ils s’accrochent pathétiquement à leurs sièges, prêts à toutes les compromissions pour éviter une dissolution qui les renverrait au néant électoral.
On comprend pourquoi : une quinzaine de leurs députés doivent leur mandat à la bienveillance de l’extrême-gauche lors des désistements du fameux « front républicain » de 2024 face au RN. Autrement dit, ces pseudo-droitiers doivent leur survie politique à Mélenchon et consorts ! Sauf que la situation politique a évolué et ces basses combines ne devraient pas se reproduire en cas de retour aux urnes.
Macron tire les ficelles, Lecornu exécute, le PS et LR rampent. Et pendant ce temps, les Français subissent l’insécurité, la submersion migratoire, la destruction économique et la honte internationale.
Assez de ces marchands de tapis, de ces notables ventrus qui trahissent la Nation pour un poste, une indemnité ou un rond de serviette dans un ministère ! Le Parti de la France appelle à balayer sans pitié cette clique de crapules, à mettre à terre ce régime vermoulu et à rendre enfin le pouvoir au peuple français.
16:15 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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À L'OCCASION DE LA SORTIE DU NOUVEAU LIVRE D'ERIC ZEMMOUR : UN GRAND ENTRETIEN DANS LE "JDNEWS" D'AUJOURDHUI
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mardi, 14 octobre 2025
Badinter au Panthéon, une comédie profanatrice
Éric Delcroix
Éric Delcroix est juriste, essayiste et écrivain, auteur de Droit, conscience et sentiments. Dans cette tribune, il évoque l’entrée au Panthéon de Robert Badinter, qu’il a connu en tant qu’avocat.
Polémia
Vendredi 10 septembre, en soirée, s’est déroulée la fausse entrée de feu Robert Badinter au Panthéon. Cette cérémonie, présidée par le président de la République, s’est tenue en présence de la veuve et de la famille du défunt. Nos dirigeants ont voulu faire une icône de celui qui a aboli la peine de mort en France, dont nos Républiques avaient été, il est vrai, trop prodigues (1793… 1944… 1962…). Notons que, contrairement à la rumeur persistante, Badinter n’a nullement dépénalisé l’homosexualité, celle-ci l’ayant été dès notre premier Code pénal, en 1791 : il a seulement aligné le détournement de mineur pédérastique sur celui des hétéros. Mais mon propos est ici de dénoncer cette cérémonie, à laquelle se pressait tout le gratin républicain et mondain de l’heure, en ce qu’elle avait de détestablement grotesque.
Tout d’abord, que signifiait l’instrumentalisation solennelle d’un cercueil vide, porté tout au long de la rue Soufflot par des gardes républicains, puisque la famille du défunt ainsi honoré n’avait pas voulu que la dépouille de l’ancien garde des Sceaux quittât le cimetière de Bagneux (où sa tombe a été scandaleusement profanée par on ne sait quel odieux imbécile) ? Certes, il y a un précédent, savoir le cas de l’artiste de music-hall (à chacun ses héros…) Joséphine Baker, dont les héritiers n’ont pas voulu non plus que le corps soit distrait de la tombe où elle repose depuis des décennies. Depuis quand a-t-on besoin d’un cercueil pour aller inscrire, avec la gravité qui sied, le nom d’un mort sur un cénotaphe ? Cela me paraît indigne, ce que la famille Badinter, assistant à l’hommage ambigu, n’a apparemment pas ressenti comme tel…
Ensuite, il m’est apparu choquant de voir les marches du Panthéon recouvertes d’un gigantesque tapis figurant le drapeau français bleu-blanc-rouge, drapeau passant ainsi de « l’étendard sanglant » de la Marseillaise à l’état détestable de paillasson républicain. Illustration de ce sens commun qui se perd dans les plus hautes sphères du pouvoir et de la pétaudière qui rayonne désormais du palais de l’Élysée. Il est vrai que Jean Zay, panthéonisé lui-même en 2015, ne voyait dans notre drapeau national qu’un « torche-cul ». Que l’on soit ou non habité par la mystique républicaine, on ne peut pas oublier aussi légèrement tous les soldats français et autres citoyens héroïques morts sous les trois couleurs.
Nous avons ainsi assisté, diffusée par les télévisions, à une comédie profanatrice de la mémoire d’un défunt porté dans un cercueil vide et du respect dû au drapeau national. Au passage de cette boîte, contenant sans contenu, les badauds applaudissaient le néant, qui peut donc avoir de l’emphase. J’espère ne pas avoir été le seul à voir que le roi, comme dans le conte d’Andersen, était nu… Le sens commun, le bon goût et le sens du sacré semblent avoir totalement disparu de notre République en capilotade.
Je détestais celui qui fut mon confrère Badinter, contre qui j’ai croisé le fer deux fois au prétoire et qui n’avait pas un comportement franc, mais qu’il repose en paix dans son cimetière de banlieue. L’inscription de son nom au Panthéon, dont on aurait bien pu se passer, ne justifiait pas qu’il fût, ainsi que notre drapeau, utilisé dans un cérémonial ridicule et en soi profanateur.
Source Polémia cliquez ici
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Il serait grand temps de passer enfin à l’union des droites, franchement et sans complexe
Michel Festivi
Un tout récent sondage de l’Ifop publié pour le magazine Valeurs Actuelles, vient confirmer ce que les analystes sérieux nous disent depuis des mois, les français dans leur majorité se déclarent favorables à la formation d’un gouvernement de coalition des droites associant les LR, le RN et Reconquête. (52%).
Mais le plus intéressant, c’est que dans le détail, l’électorat LR y est favorable à 82%, celui du RN à 89%, tout comme celui de Reconquête. Même ceux qui soutiennent Renaissance, n’y serait pas hostile à 41%. Cette volonté grandissante des électorats, se heurte de plein fouet aux querelles des états-majors et des égos surdimensionnés des chefs de Parti, notamment des LR et du RN. On peut sans craindre d’être démentis, regretter un fossé existant entre les appareils et les électeurs, préjudiciable à ces derniers.
Prenons des exemples concrets. Lors de l’élection législative partielle dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne, où la députée sortante UDR (ciottiste), avait été invalidée par le Conseil constitutionnel, le candidat UDR soutenu par le RN s’est retrouvé à l’issue du 1er tour en tête devant la candidate socialiste, mais soutenue aussi par la candidate LFI, arrivée 4ee, qui appelait à faire barrage « à l’extrême droite ». Cependant, le candidat LR en 3e position, conseiller départemental, n'avait traitreusement donné aucune consigne de vote, ce qui a entraîné la juste colère d’Éric Ciotti, qui a fulminé que les LR entendaient faire passer la gauche. Heureusement, les électeurs de droite ont été plus intelligents, et ont élu à 52%, Pierre-Henri Carbonnel de l’alliance UDR-RN.
Bruno Retailleau, courageusement, avait de son côté déclaré : « pas une voix pour la gauche », à croire que cela lui faisait « mal au cœur », d’appeler clairement à voter pour un UDR soutenu par le RN. La gauche n’a jamais eu ces pudeurs de jeunes filles bien au contraire, et sait à chaque fois se rassembler, quelles que soit les couleurs, pour le candidat de son camp le mieux placé.
En contrepoint, on indiquera que les tergiversations de Marine le Pen, où d’aucuns au RN, n’ont pas non plus le mérite de la clarté. Interrogée à plusieurs reprises, la patronne du RN, multiplie les déclarations alambiquées « ni droite, ni gauche », qui ne font pas avancer l’union des droites, pourtant plébiscitée à 89%¨par son propre électorat. Marine le Pen en se félicitant de la victoire de Pierre-Henri Carbonnel a fustigé « la tambouille politicienne des partis du système ». Elle et ses lieutenants devraient pourtant réfléchir à leurs éléments de langage parfois dévastateurs du « ni droite ni gauche » incompréhensibles pour beaucoup.
Certes, dans bien des régions, le RN a récupéré un électorat qui était traditionnellement acquis à la gauche, mais à une gauche patriote et non islamisée d’alors. Cet électorat populaire ne se retrouvant plus ni dans le PS, ni dans le PCF, ni encore moins dans LFI, ces partis ayant complètement abandonné les français qui souffrent, pour capter la clientèle des banlieues et des zones de non droit. Néanmoins, cet électorat populaire entend être défendu par des partis patriotes, souverainistes, il est grand temps que ces mouvements entendent la volonté populaire et la traduisent sans faille, dans les combats politiques qui vont être de plus en plus âpres.
Pierre-Henri Carbonnel, agriculteur de 35 ans, a justement fait remarquer que : « nous sommes dans un département très représentatif de la France, à la fois très rural et très urbain, grâce à la ville de Montauban, et souvent, les résultats du Tarn-et-Garonne sont très proches de ceux du national. »
Les prochaines échéances, et elles risquent d’être proches, nous apporteront une réponse. Dans les années 1980, les anciens s’en souviendront, Philippe Malaud alors président du CNIP avait lancé un slogan des plus roboratifs « Pas d’ennemi à droite ». A plus trente ans de distance, il reste toujours d’actualité.
11:08 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Grande-Bretagne : un rapport choc appelle à la remigration de deux millions de migrants illégaux
Source Breizh info cliquez ici
Un vent de rupture souffle au Royaume-Uni. Après des années d’immigration incontrôlée, de scandales liés aux hôtels pour migrants et d’impuissance politique chronique, un document de 113 pages fait trembler Westminster. Intitulé Mass Deportations: Legitimacy, Legality and Logistics, ce rapport, publié par le mouvement Restore Britain fondé par le député indépendant Rupert Lowe, propose ni plus ni moins que le renvoi massif de près de deux millions de migrants illégaux.
L’étude, dirigée par Harrison Pitt, Senior Policy Fellow du mouvement et éditorialiste au European Conservative, n’est pas un manifeste de colère mais une feuille de route, détaillée, chiffrée, et d’une froide précision bureaucratique. L’objectif : « restaurer la souveraineté du pays et la confiance des Britanniques dans l’État ».
Un diagnostic implacable : un pays submergé
Le rapport dresse un tableau alarmant.
Selon les estimations croisées de l’Observatoire de Migration d’Oxford et de Thames Water, le nombre d’immigrés illégaux en Grande-Bretagne serait compris entre 1,8 et 2 millions, dont près d’un sur treize à Londres.
À peine 4 % des arrivées illégales par bateau entre 2018 et 2025 ont donné lieu à une expulsion effective, malgré la multiplication des lois promises par les gouvernements successifs.
Sur le plan économique, la facture est jugée colossale : jusqu’à 7 000 £ par an et par migrant, en aides sociales, hébergements et services de santé, pour un coût total estimé à plus de 12 milliards de livres par an.
Le sondage annexé au rapport, réalisé par Find Out Now en septembre 2025, est sans ambiguïté : 60 % des Britanniques soutiennent les déportations massives, avec des pics à 72 % dans le Nord-Est. Un chiffre qui illustre le fossé entre le discours politique londonien et la colère populaire.
Rupert Lowe : “Ce n’est pas de la radicalité, c’est du devoir”
Dans sa préface, Rupert Lowe ne mâche pas ses mots. Les « envahisseurs domestiques », écrit-il, vivent aux frais du contribuable pendant que les Britanniques peinent à se loger et à se soigner.
Il appelle à un sursaut national : abolir le système d’asile, instaurer un environnement hostile, et adopter un “Great Clarification Act” permettant au Parlement d’annuler toute décision de justice entravant les expulsions.
Pour Lowe, quitter la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) serait certes souhaitable, mais secondaire: « L’État doit d’abord retrouver le courage d’agir. »
Son projet vise à combiner retours volontaires et expulsions forcées, dans un ratio de 3 pour 1, afin de “régler la question” en trois ans.
Démonter les verrous juridiques
La première partie du rapport, longue de 35 pages, s’attaque au cœur du problème : les entraves légales créées par la législation nationale et les traités internationaux.
Les auteurs réclament :
- l’abrogation des aides sociales prévues par le Immigration and Asylum Act de 1999 ;
- la suppression de l’Equality Act de 2010, accusé de “paralyser les politiques migratoires au nom d’une égalité abstraite” ;
- la sortie pure et simple de la CEDH et l’abrogation du Human Rights Act ;
- la dénonciation de la Convention de 1951 sur les Réfugiés et de son Protocole de 1967.
Un arsenal juridique radical, présenté comme nécessaire pour redonner la primauté au Parlement. L’objectif, selon Harrison Pitt, est clair : « L’immigration illégale n’est pas un phénomène naturel, mais le produit d’une législation permissive. »
Le plan logistique : une machine de guerre administrative
La seconde partie du rapport, plus technique, décrit comment déporter deux millions de personnes sans chaos ni faillite.
Le plan repose sur :
- la généralisation des e-visas et de la reconnaissance faciale en temps réel ;
- des amendes dissuasives jusqu’à 200 000 £ pour les employeurs d’illégaux ;
- la suspension automatique des comptes UberEats, Deliveroo et autres plateformes en cas de non-conformité ;
- la suppression de l’accès gratuit au NHS pour les sans-papiers ;
- une taxe de 25 % sur les transferts d’argent vers les pays non coopératifs.
Les expulsions forcées seraient encadrées par un ministère dédié, épaulé par 10 000 agents supplémentaires, pour un coût estimé à 49 à 57 milliards de livres sur cinq ans.
Mais selon les calculs de Restore Britain, les économies annuelles dépasseraient les 12 milliards : « Le prix du courage est bien inférieur à celui de la lâcheté. »
Des soutiens grandissants et des critiques virulentes
Le réseau de soutien du mouvement, remercié dans le rapport, va des personnalités médiatiques conservatrices comme Carl Benjamin à des universitaires d’Oxford et des Inns of Court. Tous partagent un même constat : l’État britannique a abdiqué face à la crise migratoire.
Mais les réactions sont explosives.
Les ONG et une partie de la presse progressiste dénoncent une “stratégie autoritaire, xénophobe et économiquement suicidaire”. D’autres y voient au contraire le retour d’une politique de responsabilité nationale, longtemps sacrifiée sur l’autel des droits abstraits et du juridisme européen.
Pour ses auteurs, Mass Deportations n’est pas un fantasme : c’est un plan d’action prêt à l’emploi.
Leur pari est clair : provoquer un choc politique et moral pour forcer le débat sur la souveraineté, la sécurité et la survie culturelle du pays.
Reste à savoir si ce manifeste trouvera écho dans les urnes ou dans les rues. Mais une chose est certaine : le Royaume-Uni semble désormais prêt à parler ouvertement de ce que la plupart des gouvernements européens taisent encore.
10:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Macron ou l’obsolescence programmée
Philippe Randa
Décidément, quand ça ne veut plus, ça ne veut plus ! Comment expliquer la cacophonie et la (pitoyable) commedia dell’arte qu’offre la classe politique – Rassemblement national autant que France insoumise exceptés, force est de le reconnaître – et un chef d’orchestre dont la pérennité à l’Élysée est désormais chaque jour remise un peu plus en question ?
Comment en est-on arrivé là ? Comment a-t-on pu en arriver là ?
On a coutume de dire que la démocratie gouverne mal (« le pire des systèmes de gouvernement à l’exception de tous les autres », disait Winston Churchill), mais se défendait très bien. Mais ça, c’était le monde d’avant, semble-t-il.
On a prêté à Emmanuel Macron, sans doute à juste titre, la machiavélique tentative d’avoir voulu dissoudre l’Assemblée nationale l’année dernière afin que le Rassemblement national y obtienne la majorité et gouverne si mal le pays qu’il aurait ensuite aisément repris la main en se présentant comme un nouveau sauveur de la Nation…
Mais patatras ! c’était, sans compter sans tous ceux qu’il avait humilié, dont son Premier ministre de l’époque Gabriel Attal qu’il n’avait même pas jugé utile de prévenir de son intention. Celui-ci fit capoter la macronienne astuce en ressuscitant un « Front républicain » contre le RN : certes, ce dernier n’obtint pas de majorité, mais de majorité il n’y eût plus… D’où la suite.
Mais désormais, le « front républicain », déjà déclinant avec les 126 élus du RN au scrutin majoritaire en 2024, est de plus en plus donné pour mort et enterré dans l’éventualité d’une prochaine dissolution de l’Assemblée.
Quant aux résultats d’un gouvernement RN, il est toujours imprudent d’être convaincu par avance de l’évidence de ses échecs comme de ses réussites : ne présentait-on pas l’actuel locataire de l’Élysée comme le « Mozart de la finance », notamment en raison de son passé de banquier ?
Dommage, si tel est le cas, qu’il n’ait retenu de l’enfant prodige né à Salzbourg, que sa prouesse pour le Requiem : l’économie française ne lui dit pas merci !
Une explication possible à un tel effondrement politique de l’ensemble de la classe dirigeante – encore une fois, RN et LFI en sont exemptés –, tiendrait peut-être au fait que celle-ci n’agisse qu’en fonction d’un « logiciel politique » qui fonctionnait sinon parfaitement, du moins efficacement depuis la fin du siècle dernier, mais qui s’avère désormais totalement obsolète… et que ne traverse pas l’esprit de celle-ci – du centre macrono-attalo-philippo aux Républicains, aux socialistes et aux écologistes – qu’il lui faille en changer.
Le vieux monde politique d’avant est mort : le candidat Emmanuel Macron l’avait annoncé en 2017 lors de sa première campagne électorale, mais c’était pour mieux tromper son monde ; loin de rompre avec celui-ci, au contraire, il n’a eu de cesse, en digne héritier de l’UMPS, que de le faire perdurer…
Et il arrive en cet automne 2025 ce qui arrive inévitablement un jour : la fin d’un programme due à l’obsolescence de son logiciel.
On attend désormais celle ou celui qui reboutera le système. Avec obligation de mise à jour.
09:29 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Crise politique ou basculement vers une droite nouvelle ?
Bruno Mégret
La France est aujourd’hui plongée dans une situation de confusion totale, et il est légitime d’en faire porter la responsabilité à Emmanuel Macron, un président qui n’a jamais vraiment exercé sa fonction, ignorant totalement ce qu’est la politique au sens noble du terme. En huit années, il n’aura produit que du vent, ridiculisant notre nation à l’étranger et semant le désordre à l’intérieur du pays. Mais l’ensemble de la classe politique, on le voit actuellement, est également responsable de ce chaos. Elle l’est par sa médiocrité, le caractère pitoyable de ses arguments, ainsi que par le sentiment que donne chaque groupe d’agir pour ses propres intérêts électoraux. Quant à la remise en cause de la loi sur la mini-réforme des retraites, qui semble être au cœur des discussions de sortie de crise, elle est dérisoire face à l’ampleur des fléaux qui menacent la survie même de notre nation.
Une vaste recomposition politique
Il est temps de prendre de la hauteur si l’on veut comprendre la nature des événements qui ont provoqué ce chaos. En réalité, nous sommes en train d’assister à une recomposition politique de grande ampleur. L’antagonisme qui opposait dans le passé la gauche égalitariste et collectiviste à la droite libérale et conservatrice a disparu pour donner naissance à un nouvel antagonisme dans lequel se font face, d’un côté, une droite nouvelle, défenderesse de notre identité nationale et civilisationnelle, et de l’autre, une gauche nouvelle, mondialiste et immigrationniste.
Le PS et LR s’effondrent, le RN s’envole
Cette nouvelle donne idéologique a commencé à se traduire électoralement lors des dernières élections présidentielles par la quasi-disparition du Parti socialiste comme du parti Les Républicains (LR). Dans le même temps, le RN, on l’a constaté à l’occasion des derniers scrutins, gagne des points et atteint des scores records en augmentation constante.
Cette progression spectaculaire est la conséquence du basculement idéologique qui, tout en fermant la porte aux acteurs de l’ancien clivage, a créé, pour les partisans de la défense de notre identité et de l’arrêt de l’immigration, un espace électoral considérable — un espace dont le Rassemblement national a pu bénéficier mécaniquement, sans effort particulier, puisqu’il était marqué du sceau indélébile anti-immigration forgé il y a plusieurs décennies déjà.
Un nouvel antagonisme
Comme nous l’avions annoncé dès 1990, la petite alternance entre le PS et le RPR devait céder la place à une grande alternance entre le FN et la classe politique. C’est ce qui est en train de se produire et qui a conduit le RN au cœur du nouvel antagonisme. De l’autre côté, l’ancienne classe politique, surprise par ce bouleversement, y fait face avec difficulté.
On voit cependant que le parti idéologiquement et fondamentalement opposé au RN est, à l’évidence, LFI, qui, avec tout ce qui le rend détestable, incarne l’autre branche de la nouvelle alternative : celle de l’immigration massive, de la « créolisation », voire du remplacement de notre peuple et de la déconstruction de notre nation et de notre civilisation.
LFI n’est pas encore un grand parti, mais il est dynamique, porteur d’une vision — odieuse mais cohérente politiquement — et, s’il persévère dans la ligne qui est la sienne, il pourra devenir la force que rejoindront les immigrés.
On peut craindre, en effet, que les musulmans ayant la nationalité française et s’intéressant de plus en plus à leur destin propre au sein de notre pays ne veuillent s’engager politiquement, et que les plus radicaux d’entre eux rejoignent la France insoumise, celle-ci ne pouvant dès lors que monter en puissance.
La crise comme conséquence du basculement idéologique
Ce grand basculement idéologique n’a pas encore produit tous ses effets, car si le RN et LFI sont bien positionnés dans le nouveau clivage, il n’en est rien du reste de la classe politique, qui constitue un troisième bloc au centre, formé de la macronie et des deux anciens partis de gouvernement (considérant les écologistes comme déjà alliés à LFI et le PC comme inexistant).
Dans ces conditions, la crise actuelle n’a rien à voir avec les institutions, lesquelles demeurent, à mon avis, dans leur intégrité essentielle à la stabilité de la nation. La crise vient en réalité de l’existence de trois blocs pour l’instant irréconciliables, qui empêchent arithmétiquement de constituer une majorité solide.
Cette configuration n’existe toutefois que parce que nous sommes dans une période transitoire de mise en place du nouvel axe structurant de la vie politique. Les partis du bloc central vont en effet devoir se prononcer et rejoindre l’un ou l’autre des deux camps : la défense de notre nation et de notre civilisation, ou la construction d’une autre société reposant plus sur l’islam que sur la tradition chrétienne et la culture française.
Une majorité pour la droite nouvelle
En l’état, cependant, on voit mal le parti Les Républicains, tel qu’il est représenté à l’Assemblée nationale, s’entendre avec le Rassemblement national et s’allier à lui comme l’a fait Éric Ciotti. Mais le pas que ne voudront pas franchir les députés LR, leurs électeurs peuvent le faire en votant directement pour le RN ou le parti de Ciotti.
Il en va de même pour les élus de la macronie qui se sont déjà libérés de Macron et dont les éléments droitiers pourront rejoindre la droite nouvelle, eux ou leurs électeurs.
La crise actuelle pourrait donc aboutir à une recomposition complète de la scène politique, qui devrait conduire les LR et une bonne partie des macronistes à rejoindre la droite nouvelle, les autres se rapprochant de la gauche nouvelle, laissant au centre un noyau résiduel.
Dans une telle perspective, des majorités de gouvernement pourraient se constituer assez facilement du côté de la droite nouvelle, dont les idées sont plus que majoritaires dans le pays.
La sortie de crise ne sera pas pour autant immédiate, car l’achèvement de cette recomposition ne peut s’accomplir qu’à travers de nouveaux scrutins.
Un programme économique plus réaliste
Cette analyse, qui montre que le RN est maintenant aux portes du pouvoir, devrait, me semble-t-il, le pousser à adopter une politique économique et sociale plus réaliste, visant à réduire les dépenses publiques et à alléger les charges et la réglementation qui pénalisent gravement les entreprises.
Des dispositions qui devraient relancer l’économie et augmenter, en conséquence, le niveau de vie des Français, c’est-à-dire leur pouvoir d’achat — un pouvoir d’achat qui ne peut pas être augmenté artificiellement par des bonus, des distributions de chèques ou des avantages divers, tous financés par l’État, un État qui doit aussi assainir les finances publiques.
La disparition du cordon sanitaire
Du côté de LR, il est temps, comme certains commencent à le faire, de reconnaître ce nouvel état de fait, de renoncer au cordon sanitaire et de soutenir le RN ou de s’allier avec lui, comme l’a fait Éric Ciotti.
Un repositionnement qui serait plus facile si le RN faisait subir au projet de retraite à soixante ans le même sort qu’à la sortie de l’euro, dont on n’a plus entendu parler.
L’achèvement de cette reconfiguration de la scène politique, après une dissolution ou à l’occasion de la prochaine présidentielle, permettra donc de sortir de la crise, puisque la droite nouvelle devrait être largement majoritaire, soit sous la forme d’une majorité absolue pour le RN, soit avec le renfort de tout ou partie de LR.
Si, de surcroît, cette nouvelle majorité s’accorde sur les mesures de rupture nécessaires pour stopper l’immigration, restaurer la sécurité, relancer l’économie, rétablir l’excellence à l’école et agir pour une refondation de l’Union européenne, la France devrait pouvoir amorcer un redressement.
Il y a certes beaucoup de conditions à réunir pour qu’un tel scénario se concrétise. Mais il existe une voie, et donc un espoir !
Article paru sur Polémia, cliquez ici.
09:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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lundi, 13 octobre 2025
Emmanuel Macron, le président qui aime la France effacée, repentante et rampante
Synthèse nationale
« Qui aime bien châtie bien », dit-on. Notre "bon" président doit aimer la France d’un amour débordant pour la malmener autant ! On le sait, l’un des exercices qu’il prise particulièrement est la mortification du pays qui l’a vu naître et l’a porté à la tête de l’exécutif à deux reprises. L’ombre élyséenne aime le mener sur la route de Canossa, les pieds nus, en robe de bure, la verge à la main, la tête couverte de cendres, avec la caution de l’Université et la bénédiction de la bien-pensance.
C’est ainsi que cet été, dans un courrier au président camerounais Paul Biya, rendu public le 12 août, il a mis officiellement au passif du pays ("la France" a fait ceci, "la France" a fait cela) les conclusions du « rapport de la Commission "Recherche" sur le rôle et l’engagement » de l’Hexagone « dans la lutte contre les mouvements indépendantistes et d’opposition au Cameroun de 1945 à 1971 ». De ce pavé de 1.035 pages en tout, en sa possession depuis le 12 janvier, il a retenu l’essentiel : une guerre (a) eu lieu au Cameroun, au cours de laquelle les autorités coloniales et l’armée française ont exercé des violences répressives de nature multiple. (Elle) s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de la France aux actions menées par les autorités camerounaises indépendantes ».
Sur place, sans surprise, on a recueilli très vite les premières réactions : « L’armée française a fait des massacres » ; elle a tué des Camerounais « qui devaient contribuer au développement du pays » ; la France doit donc faire « justice » à ce dernier, lui présenter des « excuses » et lui verser des « réparations » ; quant à l’avenir du Cameroun, il doit être le même que celui choisi par d’autres pays de l’Afrique francophone : sans la France, qui lui « a déjà fait trop de torts »…
Chapeau, l’artiste ! Encore quelques opérations du même acabit et il ne nous restera, de nos présence et influence passées, que des souvenirs… Ainsi qu’une raison supplémentaire de nous mortifier ! Macron déraisonne, mais c’est le pays qui subit et paie les conséquences de ses divagations !
16:38 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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dimanche, 12 octobre 2025
L’État Profond français : qui le finance et pourquoi ?
Une grande enquête réalisée par Claude Janvier et François Lagarde, avec une introduction de Thierry Meyssan et une postface de Philippe Broquère. Chez « The Book Edition ».
Vous en rêviez et vous l’attendiez. L’étude approfondie des rouages de la haute fonction publique, de la haute sphère du privé et des financiers.
L’Etat profond est censé aller dans le sens du bien commun, donc du bien-être des peuples. Un des problèmes majeurs est qu’il s’associe avec des lobbies sans scrupules, une espèce de monde sans foi ni loi, ou le règne du plus fort et du plus fortuné écrase la majorité. Empiler l’argent, encore et encore, au détriment des Français. L’idéologie mortifère absolue dans toute sa splendeur. La plaie de l’espèce humaine, du règne animal, végétal et minéral.
Tous les rouages d’une république au garde-à-vous obéissent sans sourciller, aux ordres bien trop souvent nocifs, d’un état devenu ivre et boulimique, avec leurs têtes de gondoles beaucoup plus préoccupées à se maintenir à des postes de pouvoir et à se faire élire et réélire, peu importe le poste obtenu, du moment que ça « paye bien ».
Quant à Emmanuel Macron, il est au pouvoir et il veut y rester le plus longtemps possible. Découvrez l’historique de son ascension dans nos chapitres. Il se pose en chef de guerre de la France et de l’UE, sans états d’âme. Ses déclarations incessantes, quasi-quotidiennes, démontrent sa volonté de plonger les Français, dans un climat de peur perpétuel. Quand une population est plongée dans la terreur, elle est ensuite totalement mûre au point d’accepter toutes les compromissions, les abnégations, et de partir guerroyer envers et contre tous.
Comment y remédier ? Les réponses sont dans ce livre. Puissiez-vous ne plus être le même quand vous l’aurez terminé.
10:14 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le RN est-il prêt à rassembler tous les patriotes pour sauver le pays ?
L'édito de Cyrano de ce matin sur Riposte laïque
Nous sommes dans une période historique. Ceux qui se font appeler le socle commun sont en train de s’écrouler, incapables de sortir de la crise et de leurs contradictions. Et pourtant, de LR aux Insoumis, en passant par les macronistes, les centristes, les socialistes, les communistes, les écologistes, tout les rassemble. Ils ont voté, depuis quarante ans, tous ensemble, les mêmes textes, ils nous ont imposé l’invasion migratoire, l’islamisation de notre pays, la perte de souveraineté, la mort de notre industrie, la dictature du politiquement correct, le coup d’État des juges, l’Union européenne, le mondialisme, en un mot, la mort de la France.
Mais la Bête Immonde, la leur, a des soubresauts, et ils ne sont plus capables de faire face aux conséquences de leur alliance, en 2024, pour empêcher le Rassemblement national de gagner les élections législatives, suite à la dissolution prononcée par Macron. Depuis, le régime fait tout pour gagner du temps, et surtout ne plus redonner la parole au peuple. Nous avons eu Barnier, Bayrou, et à présent Lecornu 1 et Lecornu 2. Sachant que le régime conserve l’arme ultime, la clique Mélenchon, alliée des islamistes, pour empêcher par la rue l’alternance démocratique voulue par le peuple français.
Face à cette situation historique, nous sommes en droit d’attendre de la part de tous ceux qui se réclament de la résistance patriotique un discours et surtout des pratiques à la hauteur des enjeux. Dans ce contexte, tout ce qui divise notre camp doit être banni, et tout ce qui empêche son unité doit être combattu.
Le Rassemblement national représente l’alternative des urnes contre nos ennemis. Il est l’élément dominant de par son histoire, son poids, ses résultats électoraux, du camp patriotique. Il ne peut gagner seul, et ne peut se contenter de sa seule alliance avec Éric Ciotti, et son parti l’UDR, pour incarner cette alternance et cette véritable alternative que les Français espèrent.
Il doit sortir de son sectarisme à l’encontre de Reconquête et permettre, fort de sa position dominante, comme sait le faire la gauche, de créer les conditions pour que l’unité de tous ceux qui ne veulent pas que la France meure se concrétise.
Et tout le monde doit avoir sa place dans ce regroupement.
Marion Maréchal, n’en déplaise à ceux qui, au RN, ne veulent pas d’elle, et à ceux qui, à Reconquête, la considèrent comme une traîtresse.
Philippe de Villiers, qui a l’avantage de ne pas avoir d’ennemi dans son camp, et qui, chaque semaine, émerveille des centaines de milliers de Français sur CNews et Europe 1, par son érudition et son décodage de la situation politique française.
Florian Philippot qui a le mérite, sur le terrain, de mener des combats nécessaires, hier contre la dictature sanitaire, ce jour contre la volonté de Macron de nous embarquer dans une guerre contre la Russie aux effets dévastateurs contre la France, sans oublier son combat de toujours contre l’Union européenne.
Sans oublier Nicolas Dupont-Aignan, et tant d’autres, combattants de toujours au service d’une France souveraine et identitaire.
Seul le RN, dans cette situation exceptionnelle, où Marine Le Pen a été déclarée inéligible par les juges du régime, peut créer les conditions, par sa position dominante, de cette alliance indispensable à la victoire de notre camp.
En a-t-il envie ?
Source cliquez ici
10:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Badinter panthéonisé mais la moitié des Français favorables au retour de la peine de mort
Claude Lorne, Le Nouveau Présent cliquez ici
Quoi qu’en pensât l’« universaliste » Badinter, tous les hommes ne sont pas égaux. Ainsi, l’imbécile profanation de sa sépulture au cimetière de Bagneux le 8 octobre, veille de sa panthéonisation, a provoqué une indignation générale alors que l’annonce de la tombe attaquée à la masse — la croix celtique la surmontant étant méthodiquement réduite en miettes — de Jean-Marie Le Pen et de ses parents au cimetière de La Trinité-sur-Mer le 31 janvier dernier, puis du caveau de la famille Brasillach vandalisé le 7 février suivant au cimetière de Charonne avait été accueillie au mieux par de l’indifférence, au pis par des ricanements revanchards.
Un « humanisme » à géométrie variable
« Aux grands hommes, la patrie reconnaissante » ? Mais l’icône du monstre qu’est le prétendu État de droit « préférait la République à la France ». Ce n’est pas nous qui le disons mais son thuriféraire Éric Fottorino interminablement interrogé le 9 octobre sur France Info où il évoqua l’attachement viscéral de son idole aux « Lumières ». Lumières dont découla la Grande Révolution, qui donna tant de boulot aux bourreaux qu’on estime à 17 000 le nombre des victimes de la guillotine. Cette hécatombe ne gêna-t-elle donc jamais Badinter alors que beaucoup des ratiboisés par le « rasoir républicain » n’avaient pas une goutte de sang sur les mains ? On ne sache pas d’ailleurs que l’aient davantage incommodé les massacres de 1944-45 pourtant dénoncés par son coreligionnaire Robert Aron dans son Histoire de l’Épuration publiée chez Fayard, épuration dont il évalue les victimes « à plus de 10 000 » en quelques mois, entre condamnés à mort et assassinés par les FTP après des parodies de « procès populaires ».
De même, dans son oraison sur « le grand avocat et le grand ministre » auquel nous devons l’abolition de la peine de mort, Emmanuel Macron — tout heureux de s’évader un moment de la pétaudière qu’il a lui-même provoquée avec la dissolution de l’Assemble nationale — a-t-il insisté sur la présence de Badinter à Jérusalem lors du procès d’Adolf Eichmann, haut dignitaire du IIIème Reich jugé pour crimes contre le peuple juif et contre l’humanité après avoir été kidnappé en Argentine par le Mossad en mai 1960. Mais, si nos souvenirs sont exacts, Eichmann fut condamné à mort et pendu le 31 mai 1962. Et, si notre mémoire est fidèle, Badinter n’y vit aucun inconvénient, au contraire d’un autre de ses coreligionnaires, la philosophe Hannah Arendt pour laquelle le condamné n’avait été qu’un rouage de la « banalité du mal ».
Pour sa défense et celle de l’État hébreu, le « grand humaniste », qui savait inéluctable l’exécution d’Eichmann, écrivait en effet préventivement dans L’Express (du 6 avril 1961) : « L’antisémitisme, aujourd’hui apparemment apaisé et comme repu par le carnage récent, n’est qu’un des aspects du crime fondamental de racisme. En lui, l’antisémitisme se perd comme les millions de juifs assassinés se fondant dans la masse immense des crimes du racisme qui déroulent leur procession tragique dans l’Histoire. Par le Noir lynché en Afrique du Sud, le « raton » torturé dans les douars, le Blanc assassiné au Congo, la chaîne des tortures se tend à travers ces jours que nous vivons et se lie à celles des ghettos martyrisés. C’est pourquoi, au-delà du crime contre le peuple juif, Eichmann répond du crime contre l’humanité ». Et passez muscade !
Comme on ne prête qu’aux riches, Badinter est également crédité de la « dépénalisation de l’homosexualité », chose faite depuis deux siècles. Sa loi du 4 août 1982 dépénalise en fait les relations sexuelles avec les mineurs de plus de 15 ans. Nuance… Croisée de l’avortement et député socialiste à l’époque, Gisèle Halimi était le rapporteur de cette loi. Au nom de la parité et du droit des femmes, fera-t-elle avant la fin du quinquennat partie de la cuvée panthéonisée par Macron autour des « valeurs républicaines » menacées par « une recrudescence de l’antisémitisme et une montée des communautarismes » dans « les temps obscurs » que nous subissons, succédant ainsi à Simone Veil, Joséphine Baker, les époux Manouchian et l’historien Marc Bloch dont le sacre est prévu en juin 2026 ?
Si, comme l’a rappelé l’actuel Élyséen, le garde des Sceaux de Mitterrand avait pris position pour une « dépénalisation universelle de l’homosexualité », il militait aussi pour l’« abolition universelle de la peine de mort ». Peine à laquelle 62% des Français étaient favorables en 1981. Qu’en est-il aujourd’hui ?
En 2010, ils étaient seulement 34 % à souhaiter le retour du « rasoir républicain » cher aux Jacobins. Mais, conséquence d’une criminalité galopante et des attentats de masse islamistes de Paris à Nice, on comptait 55% de partisans de la peine capitale en 2020 selon une étude de l’Institut Montaigne — qui s’en désolait. Avec l’arrivée de la génération Z biberonnée aux droits de l’homme, ce chiffre a un peu chuté : 49% selon une étude publiée cette fois par Sciences Po en 2025. N’empêche, 49%, c’est la moitié de la population cédant à la « réaction tripale » stigmatisée par l’historien Jean-Yves Le Naour. Qu’aura pensé cette moitié des fastes du Panthéon alors que les assassins, eux, n’ont nullement désarmé, bien au contraire, et que le ventre est toujours fécond qui les engendre ?
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Samedi 22 novembre, en Lorraine :
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Réaction en Corse face à l'insécurité
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samedi, 11 octobre 2025
Samedi 25 octobre, à Paris : une conférence de Roberto Fiorini à l'Institut Georges Valois
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Crise politique : Macron insiste avec Lecornu, la France s’enfonce dans l’impasse

Il aura suffi de quatre jours à Emmanuel Macron pour rappeler à Matignon l’homme qu’il venait de congédier. Sébastien Lecornu, ex-ministre des Armées devenu Premier ministre puis démissionnaire après une motion de censure, a été reconduit vendredi 10 octobre, dans un climat d’usure et d’exaspération nationale. Le chef de l’État assume : il n’a trouvé personne d’autre. Le pays, lui, s’interroge sur ce pouvoir en roue libre, prisonnier de ses propres cercles.
Un Premier ministre « par devoir », un président sans alternative
Lecornu s’est dit « fidèle au devoir républicain ». En réalité, il hérite d’une mission quasi impossible : faire voter un budget avant Noël dans une Assemblée éclatée, où plus rien ne passe. Le nouveau Premier ministre promet d’ouvrir les débats, de redresser les comptes, d’interdire toute ambition présidentielle à ses ministres – une clause inédite, presque désespérée, pour éviter que Matignon ne devienne un tremplin pour 2027.
Mais dans un hémicycle où aucun bloc n’a de majorité, l’équation est insoluble. Le « socle central » macroniste, réduit à 170 sièges, ne pèse plus lourd face aux 150 députés du Rassemblement national et aux 140 du Nouveau Front populaire. Entre les deux, une constellation de groupes qui se neutralisent. Lecornu II risque donc de tomber avant même d’exister.
La France insoumise et le RN ont déjà annoncé la couleur : motion de censure immédiate dès la déclaration de politique générale. Le PCF et les écologistes emboîtent le pas, tandis que les socialistes posent leurs conditions – suspension de la réforme des retraites, sinon censure.
Autant dire que le compte à rebours a commencé. Le gouvernement pourrait tomber avant la fin du mois, renvoyant le pays à un scénario ubuesque : une troisième nomination du même homme ou la dissolution de l’Assemblée.
La dissolution, ce mot que Macron redoute et que le peuple réclame
Officiellement, l’Élysée écarte cette option. En coulisse, tout le monde la juge inéluctable. Deux tiers des Français y sont favorables, lassés par le théâtre parlementaire et la valse des gouvernements. Les sondages annoncent un raz-de-marée du RN en cas de scrutin anticipé (30 à 35 %), loin devant la gauche réunie (25-30 %) et un macronisme résiduel (15-20 %).
Macron le sait : dissoudre, ce serait livrer le pays à ses adversaires. Ne rien faire, c’est prolonger l’agonie.
Depuis les législatives anticipées de 2024, la France vit suspendue entre deux crises. L’exécutif gouverne par intérim, le 49.3 en bandoulière, tandis que les Français assistent, impuissants, à une succession d’épisodes où les ministres tombent plus vite que les feuilles d’automne.
Le pouvoir d’achat s’effrite, la dette explose, la défiance atteint des sommets. Jamais sous la Ve République un président n’avait semblé aussi isolé, ni aussi contesté jusque dans son propre camp. Un ancien ministre confiait cette semaine : « Macron ne gouverne plus, il gère un effondrement. »
Vers un hiver politique
Si le budget 2026 n’est pas voté, la France risque la paralysie budgétaire, une dégradation de sa note financière et une nouvelle flambée des taux d’intérêt. Emmanuel Macron espère encore un sursaut institutionnel, mais les réalités parlementaires s’imposent : plus personne ne veut gouverner avec lui.
La dissolution, repoussée mais désormais probable avant Noël, apparaît comme la dernière carte d’un président acculé. La France, elle, avance à reculons — gouvernée par intérim, débattue à vide, et lasse d’un pouvoir qui ne sait plus dire « fin ».
La reconduction de Sébastien Lecornu ne résout rien, elle met en scène l’épuisement d’un système. Emmanuel Macron, privé de majorité et d’élan, n’a plus qu’une main tremblante sur les leviers du pouvoir. Dans un pays fracturé où les Français réclament des actes, le chef de l’État semble n’avoir plus qu’une obsession : tenir — encore un peu — avant l’inévitable.
Cette caste politique à la tête du pays depuis des décennies n’en a décidément absolument rien à faire des préoccuperions populaires. Le grand coup de balai semble se rapprocher, malgré l’attachement de cette petite caste, à ses postes et aux manettes du pouvoir.
Source : breizh.info
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08:55 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) |
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vendredi, 10 octobre 2025
L’opposante à Maduro, prix Nobel de la paix, une victoire contre le totalitarisme communiste
Michel Festivi
Maria Corina Machado, actuelle chef de file de l’opposition à Maduro, opposition qui avait l’an passé remporté les élections présidentielles, et qui depuis, doit vivre cachée pour ne pas être appréhendée par les milices maduristes qui la pourchassent, vient d’obtenir le prix Nobel de la paix. C’est une bonne nouvelle, étant précisé que cette décision du jury avait été prise plus de 15 jours avant l’accord de paix sur Gaza, accord dont la paternité en revient à Donald Trump.
Maria Corina Machado, qui avait emporté les primaires de l’opposition en 2023, très populaire dans son pays, avait été empêchée de se présenter aux élections présidentielles de juillet 2024, elle fut arbitrairement suspendue de ses droits civiques par le régime de Maduro. C’est finalement un illustre inconnu du grand public vénézuélien, un ambassadeur à la retraite, Edmundo Gonzalez Urrutia qui a pu se présenter pour la plateforme de l’opposition. Mais des pressions considérables ont eu lieu pour qu’il ne puisse pas faire campagne. Le candidat fut interdit de se déplacer en avion, des médias favorables à l’opposition ont été suspendus. Sans attendre la fin du dépouillement, Maduro s’était autoproclamé vainqueur. Le Tribunal suprême, à la botte du dictateur, a entériné cette mascarade. Ainsi, malgré une perte de plus de 15 points par rapport à l’élection précédente, Maduro avait été déclaré gagnant avec 51,95%, ce qui avait été rejeté par la communauté internationale, et des manifestations monstres anti-Maduro étaient intervenues, la répression fit 25 morts, 192 blessés et 2400 arrestations. Pour l’opposition, qui a pu avoir en main les procès-verbaux des scrutateurs, son candidat aurait obtenu 67,08%, et Maduro a refusé toute intervention d’observateurs internationaux, on comprend pourquoi.
Le leader Maximo a été félicité par tous les régimes dictatoriaux de la planète, le Nicaragua, Cuba, la Bolivie, la Chine, Madagascar, l’Iran, on notera que la Commission électorale maduriste s’est refusée à publier les résultats des machines à voter. L’Argentine, le Costa-Rica, l’Équateur, le Panama, le Pérou, l’Uruguay, le Guatemala, le Paraguay, le Chili, les USA de Biden ont rejeté le résultat « officiel », et même le Brésil et la Colombie n’ont pas reconnu les chiffres de Maduro, et ont demandé un nouveau vote. Le parlement européen a voté une résolution reconnaissant Edmundo Urrutia comme président légitime et démocratiquement élu. Ce dernier a dû se réfugier en Espagne en août dernier, grâce à un avion militaire espagnol.
C’est donc dans ce contexte, que Maria Corina Machado vient d’obtenir le prix Nobel de la paix. Elle vit désormais totalement isolée et cachée, dans un lieu tenu secret. Interrogée par Guillaume de Dieuleveult pour Le Figaro, elle lance « quiconque aujourd’hui soutient Maduro, soutient un cartel criminel ». Elle dénonce l’envahissement de son pays par des réseaux criminels, et le fait que le Vénézuéla soit devenu un havre pour les régimes iraniens, russe, cubain, les groupes terroristes du Moyen-Orient, les cartels latino-américains, avec à leur tête Nicolas Maduro. Maria Corina Machado soutient les initiatives de Donald Trump, qui a déclaré la guerre aux cartels.
Le Vénézuéla est devenu la plaque tournante de tous les trafics de drogue, d’armes, d’or, d’organes humains, au seul bénéfice des potentats du régime, car la population, elle, est exsangue. Un professeur gagne entre un et quatre dollars par mois, un enfant ne va à l’école que deux fois par semaine, le salaire minimum est de moins un dollar par mois, plus d’un tiers de la population, soit 8 millions de personnes, se sont exilées pour fuir la misère généralisée. On en revient aux temps de la RDA communiste, où les gens votaient « avec leurs pieds », pour s’extraire du totalitarisme communiste. La gauche française quant à elle ne dit rien, sauf LFI et le PC qui continuent à soutenir le régime sanguinaire maduriste. Le Monde diplomatique est à la pointe de cet appui. Mélenchon a toujours défendu Chavez et la révolution « bolivarienne », comme l’a souligné dans une tribune du mois d’août 2024, Christophe de Voogt, agrégé et docteur en histoire, soulignant les accointances de LFI pour les politiques démentielles qui ont ruiné ce pays : expropriations, dirigisme bureaucratique, spoliations diverses etc... Il souligne à bon escient « 80% de la population sous le seuil de pauvreté dans un pays qui fut naguère l’un des plus riches d’Amérique latine...pouvoir confisqué par une nomenklatura criminelle, appuyée sur une milice clientélisée... et qui n’hésite pas à tirer sur le peuple, car ayant annoncé en cas de défaite électorale « un bain de sang » ».
Et le chroniqueur d’enfoncer le clou « L’on comprend donc l’embarras de l’extrême gauche (et d’une partie de la gauche), devant cette énième révolution qui a mal tourné et qui risque fort de finir au vaste cimetière des illusions perdues et à l’inventaire des crimes de masse commis au nom de l’égalité ».
Dans mon livre publié l’an passé, La désinformation autour du Parti communiste « français », j’indiquais en reprenant les écrits de Marc Lazar, que le communisme « était toujours une passion française, et que les braises sont toujours chaudes ». Je vous fiche mon billet, qu’aucun homme de gauche en France, ne viendra applaudir à cette remise du prix Nobel de la Paix, qui a le mérite de mettre le doigt sur des plaies encore purulentes et sanglantes, qui font le lien entre le gauchisme et la misère qui s’abat partout où cette idéologie s’installe, par la violence et la fraude. L’histoire nous en a donné toutes les preuves, le présent nous le confirme encore.
23:41 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La répression s'abat sur notre Ami Pierre Cassen
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10:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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